Cyrillo

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Cela faisait longtemps que je voyais qu'entre mes parents les choses n'allaient plus. Ma m�re a d�cid� de passer l'�t� ailleurs, " prendre du recul " je suppose.

Mes deux soeurs ne sont plus souvent l�, l'une travaille et l'autre finit ses �tudes, je me retrouve donc seul cet �t� avec mon p�re qui travaille, et semble d�cid� � ne pas prendre de vacances pour �viter d'avoir � penser � tout cela.

Je m'emmerde sec, je me sentirais coupable de partir et le laisser seul, et de toutes mani�res je n'ai pas grand-chose � faire, mes amis sont partis loin d'ici avec leur famille dans des lieux paradisiaques, moi je reste dans mon appartement citadin,dans une ville assez terne. Au d�but de l'�t� il y avait Jean-lou, mais � pr�sent je suis seul. Et c'est moi qui pense � la place de mon p�re : que vont-ils devenir ?

La question du divorce n'a pas �t� soulev�e, pas encore, mais je ne suis pas idiot. Dans ce cas mon futur est tout trac� : je pars chez ma m�re et mon p�re se saoule dans son boulot. Je ne veux pas. J'aime bien ma m�re bien s�r, mais j'adore mon p�re. Je ne peux pas imaginer la vie sans lui, il a toujours �t� si proche de moi ! Vous en connaissez beaucoup des p�res qui prennent des cong�s quand leurs enfants sont malades, qui les conduisent � leurs activit�s du mercredi, qui jouent avec eux ? Mon p�re est comme �a. Et plus qu'avec mes soeurs c'est avec moi qu'il est le plus complice, moi le petit dernier.

Depuis quelques temps mon regard sur lui a chang�, au regard admiratif du petit gar�on c'est ajout� une fascination pour tout son �tre, plus je le regarde plus je le trouve beau, attirant. Naturellement je suis loin encore de fantasmer sur lui, mais pour un jeune gar�on comme moi comment ne pas �tre admiratif devant lui ? Il faut dire que je ne m'aime pas trop, avec mon m�tre soixante-dix je me trouve trop petit, et surtout trop maigrichon, je fais un peu de sport mais cela ne fait rien, mon corps semble vouloir s'attarder dans des corpulences de grand gar�on.

Bien s�r il y a du changement depuis quelque temps, cela doit faire deux ans que j'ai d�couvert la masturbation et je la pratique tous les jours. Mais l� encore je ne me trouve pas bien pourvu, j'ai beau avoir entendu que 12 cm de plaisir c'est la m�me chose que 18 cm de plaisir, j'ai du mal � m'en convaincre, mes mesures r�guli�res indiquent une croissance, mais c'est si lent ! En plus mes poils ne semblaient pas press�s eux non plus, j'ai un petit buisson autour de mon sexe, mais c'est tout, pas grand-chose sous les bras et sur les jambes, rien sur le torse et le visage, lorsque je vois mes copains de classe qui se rasent d�j� cela me rend jaloux. Ajoutez � cela des cheveux ch�tains et des yeux marron, et vous verrez un gar�on qui sort du lyc�e comme il y en a tant en fait.

C'est � se demander si mon p�re est bien mon p�re. Je sais bien que oui, j'ai vu des photos de lui enfant et nous nous ressemblons �norm�ment, pourtant ce n'est plus le cas en ce moment ! 185, beau ! Je n'ai que ce mot qui me vient, c'est un homme, un vrai, il est fort, taill� dans du marbre, une carrure d'athl�te sans pour autant tomber dans des exc�s de muscles saillants. Il a une belle voix grave, des yeux dans lesquels on se perd, une peau magnifique qui se dore au moindre rayon de soleil et couverte d'une �paisse toison brune. Dans chacun de se gestes
on sent la force et la douceur.

A 44 ans il ne fait pas son �ge et cela m'amuse de le voir avec ses amis qui font dix ans de plus que lui ! Je ne pouvais alors savoir � quoi ressemblait son sexe bien s�r, j'avais pris des
bains avec lui quand j'�tais petit, mais � cet �ge je pense que tous les gar�ons trouvent que le sexe de leur p�re est �norme, m�me si cela laisse des traces et mon sexe me semblait bien loin de ces souvenirs d'enfance.

Ce n'est que depuis peu que je regarde mon p�re, son corps, avec cette attention, et le soir dans mon lit c'est dans son corps que je m'imagine dans mes fantasmes adolescents, le corps d'un homme viril.
Je n'ai encore jamais eu d'autre exp�rience qu'avec ma main, pour le reste cela restait des simples conversations avec les copains, pleines de sous entendus sur nos d�sirs, des oeillades sous les vestiaires ou quand nous dormions chez les autres, mais sans plus.

Derri�re ma pudeur j'avais tr�s envie d'en faire plus, j'avait entendu parler de masturbation de groupe et j'�tais tr�s curieux de voir � quoi cela pouvait ressembler, et voir � quoi mes propres copains pouvaient ressembler. Mais cela restait un r�ve, et rien de plus. Les femmes �taient des objets lointains fascinants mais inaccessibles.

Me voila donc � tourner en rond, seul, ce qui veut dire beaucoup de t�l�, de temps pass� dans des magasins de jeux vid�o, de BD, et d'angoisse pour ce qui allait se passer entre mes parents. Je vois mon p�re qui � l'air de plus en plus sombre et qui en m�me temps semble culpabiliser de me laisser seul, le soir nous allons au cin�, nous louons des films, nous jouons aux �checs, mais je sens bien qu'il est soucieux et triste. Je voudrai lui crier que je l'aime et que je veux rester avec lui, mais tout ce que je peux faire c'est me serrer contre lui sur le canap� le soir et sentir ses bras muscl�s me serrer contre son coeur. Alors il m'arrive de fermer les yeux, de ne plus regarder le film et de rester l� si bien contre lui, sentir sa respiration et de ne plus penser.

Parfois il rentre plus t�t et nous allons faire un peu de sport, du v�lo, un tennis dans la chaleur du soir, alors je me donne � fond, pour ne plus penser, pour me fatiguer et dormir le mieux possible.
En rentrant il y a quelque chose que j'aime, c'est qu'il prend sa douche et peux rester un moment avec sa serviette autour de la taille en sortant . Cela faisait pr�s de quinze jours que les choses allaient ainsi, et je sentais de plus en plus un poids sur mon coeur, je n'arrivais plus � manger, les films finissaient par tous se ressembler, la chaleur m'�crasais et finissait par me rendre fou, m'emp�chant de dormir.

Un soir o� nous regardions un film � l'eau de rose sans int�r�t, les amants vivaient une situation tragique ou un p�re interdit � sa fille de revoir son amour, je me suis soudain vu s�par� � jamais de mon p�re et j'ai fondu en larmes d'abord discr�tement puis sans me contr�ler.
Mon p�re �tonn� m'a serr� plus fort pour me r�conforter pensant ou voulant faire croire qu'il ne s'agissait que d'un film, mais j'ai �clat� au milieu de mes sanglots " je t'en supplie Papa, ne me laisse pas, je ne veux pas te quitter ! ". Ce fut son tour de para�tre triste comme jamais, il m'a serr� plu fort encore et m'a parl� doucement des merveilleuses ann�es qu'il avait pass� avec ma m�re, avec nous les enfants, qu'il n'�tait pas question de m'abandonner, qu'en effet ils
allaient se s�parer mais qu'il serait toujours l�. Et il m'a comme berc� en me racontant ces ann�es d'amour, ma naissance, les b�tises de mes soeurs et les miennes. Finalement il �tait tard et je suis all� me coucher. Mais � peine arriv� dans ma chambre le poids est retomb� sur mon coeur, et sans r�fl�chir je suis all� frapper � la porte de mon p�re " est-ce que je peux
dormir avec toi ? ", il m'a fait un petit sourire affectueux et triste " bien s�r, viens l� ".

Je me suis gliss� sous le simple drap (c �tait l �t�), il est pass� � la salle de bain. Je sais que d'habitude il dort nu, mais pour ce soir il est revenu avec un cale�on. La m�me tenue que moi, qui avait un t-shirt aussi. Je me suis blotti au creux de ses bras et me suis endormi en un instant. Depuis ce soir-l� j'ai toujours dormi avec lui, le dos coll� contre on torse puissant et velu, s�par� d'un plis du drap. Nous avons fini par regard� la t�l� dans sa chambre, dans le lit et je me sentais mieux que jamais lorsqu'il me prenait dans ses bras et qu'il �tait torse nu.

C'est alors que je me suis rendu compte que son corps me fascinait de plus en plus, la journ�e lorsqu'il �tait parti je me masturbait en l'imaginant faire l'amour � des femmes sans nombre. Et il m'arrivait de plus en plus souvent d'avoir une �rection lorsqu'il me prenait contre lui, sentir son corps contre le mien me renvoyait � mes fantasmes.

Les jours passaient et je n'attendais plus que ce moment, celui o� il me prendrait contre lui. Les journ�es �taient de plus en plus chaudes, nous dormions les fen�tres ouvertes mais les nuits n'apportaient pas la fra�cheur d�sir�e, je dormais donc sans t-shirt. Sentir son torse poilu dans mon dos et ses bras puissants autour de moi m'�lectrisait totalement. La chaleur intenable nous fis enlever le dernier drap du lit et nous dormions en cale�on l'un contre l'autre.

Une nuit que je ne dormais qu'� moiti� je me serrais fort contre mon p�re et je sentis soudain avec un choc qu'il �tait en �rection ! J'avais imagin� mon p�re des centaines de fois dans mes r�ves en train de faire l'amour des femmes, mais sentir son sexe raide contre moi ! J'�tais � la fois terriblement mal � l'aise et excit�, la raideur de mon sexe en disait long. Je pensais alors que n'�tant plus avec ma m�re il devait avoir certains manques, et dormir avec lui l'emp�chait peut-�tre de se masturber. L'id�e que mon p�re pouvait se masturber ne m'�tait jamais venue, mais � pr�sent je ne pensais qu'� cela. Je pris doucement un mouchoir et me masturbais discr�tement, heureusement � l'�poque je n'�jaculais que tr�s peu de sperme. Mais cette nuit-l� fut une rupture, � pr�sent si je n'arrivais plus � m'endormir, ce n'�tait plus � cause de tristes pens�es mais � cause de cette obsession, et je ne savais m�me pas ce qu'elle �tait !

Je perdais totalement la t�te la nuit. Le lendemain, alors qu'il dormait et s'�tais mis sur le dos, je me serrais contre lui et lui passait la main sur son torse, jouant avec ses poils merveilleux. Je descendais lentement vers son nombril et distinguais nettement venir une �rection qui se mit � tendre le haut de son cale�on. L'id�e que je puisse donner une �rection � mon p�re
m'enchantait totalement. Je continuais � jouer avec ses poils et � le caresser de fa�on plus insistante, je sentais la tension dans tout son corps. Il marmonna quelque chose et se retourna contre moi, m'entourant fort dans ses bras. Je sentais son sexe dress� contre le bas de mon dos et mes fesses.

Terriblement excit� aussi je me serrais plus fort � lui, sans savoir ce que je voulais. Je bougeais l�g�rement mon corps pour sentir son sexe se presser contre moi, et lui pris la main, sans r�fl�chir je la posais sur la bosse se mon sexe. Le contact d'un corps contre mon sexe, m�me � travers un tissu, me fit d�faillir. Mon souvenir suivant fut lorsque le r�veil sonna,
je sentis mon p�re se serrer plus fort contre moi, dans un demi sommeil je sentis qu'il bandait encore, sa main se balada un peu sur moi et passa sur son cale�on, puis je le sentis sursauter et se retirer rapidement du lit. Il devait s'�tre rendu compte qu'il n'�tait plus dans un r�ve ou un souvenir sensuel � c�t� de sa femme. J'en voulais plus, je ne savais pas ce que �a voulais dire, mais il m'en fallais plus.

Alors j'eu l'id�e, je me demande comment, de ne pas lancer la lessive, j'ai remarqu� qu'il ne lui restait plus de cale�ons. Le soir en rentrant nous sommes all� faire un tennis, je me suis donn� � fond et nous sommes rentr�s plein de transpiration.

Lorsqu'il sortis de sa douche il remarqua qu'il n'avait plus de sous-v�tements, et resta donc la serviette autour des reins. Nous nous sommes donc couch�s comme �a, et comme la veille je repris mon jeu, et il rebanda aussi fort, il ne m'a pas �t� dur de d�faire sa serviette et pour la premi�re fois j'ai pu regarder le sexe de mon p�re. J'�tais captiv�, il semblait si diff�rent de moi ! Par sa taille, qui me semblait �norme, large, et longue. Sa couleur, dans la demi obscurit� je la voyais plus sombre. Que dire de la foret qui l'entourait, des poils longs et soyeux. Ses boules magnifiques pendaient au dessous, et alors que je le caressais bougeaient
lentement et semblaient vouloir remonter. Son sexe continuait � gonfler, je voyais son gland qui me paraissait si gros, et qui pourtant restait bien recouvert par un long pr�puce.

Il me semblait �tre dans un r�ve, je descendis ma main vers sa toison, j'osais enfin toucher son sexe, il fr�mit sous mes doigts, si chaud, si doux.
Il semblait si gros dans ma main ! Je ne me rendais plus compte de ce que je faisais, je le masturbais l�g�rement, il semblait aimer cela, je voyais sa poitrine se soulever plus fort, son corps se tendre, puis comme la veille il remua en se colla contre moi, de peur je lui tournais le dos, il se plaqua contre moi m'entourant de ses bras, il me serrait fort, et je sentais son bassin se frotter contre moi de fa�on r�guli�re, puis soudain il sursauta et je sentis qu'il venais d'�jaculer dans mon dos.

J'�tais assomm�, je tremblais, qu'avais-je fait ? C'est comme si au moment o� mon p�re �jaculait, mon d�sir �tait retomb� d'un coup. Je ne savais plus rien. Nous sommes rest�s comme �a tout le reste de la nuit, je ne pouvais pas fermer l'oeil, ni penser .Quand il s'est r�veill� il est rest� un moment contre moi, j'ai senti sa main dans mon dos, il a senti le sperme entre nous deux, je l'ai entendu murmurer " merde ! merde ! merde! ". Il s'est lev� doucement, en d�gageant un bras de sous moi nous avons tous deux un peu boug�, resserrant � nouveau son sexe contre mes fesses, et j'ai senti une nouvelle �rection venir " non !non ! " continua-t-il, il passa � la salle de bain, revient m'essuyer le dos tout doucement avec sa serviette,puis il sortis. En me levant j'ai vu un mot sur la table " je rentre tard ce soir, ne m'attends pas, ton Papa qui t'aime ". Je ne savais pas trop comment r�agir, je n'arrivais pas � penser normalement.

Je suis sorti et me suis promen� toute la journ�e, je ne pensais pas � la nuit de la veille, je ne pensais � rien. Je suis rest� dehors tard, il faisait si chaud je passait dans les rues en regardant les gens. Vers minuit j'ai vu mon p�re sortir d'un bar, seul, je pouvais voir qu'il avait bu. Pas comme un mari tromp� qui veut oublier, mon p�re ne boit pas comme �a, mais suffisamment pour embrumer ses soucis.

J'avais de la peine pour lui, et une fois de plus l'id�e de nous s�parer me tomba dessus comme une pierre. Je marchais dans la chaleur, essayant parfois d'inspirer un grand coup, mais j'�tais comme dans un �tau ; Je suis rentr� vers une heure trente, il �tait d�j� l�, il s'�tait couch� et
avait ferm� la porte de sa chambre. Il semblait clair qu'il voulais �viter un nouvel accident, mais j'�tais mal rien qu'� l'id�e de me coucher seul.

Je me suis allong� nu sur mon lit mais me retrouver seul me paniquait. Je suis donc entr� dans sa chambre. Il dormait allong� sur le ventre, nu. Je suis all� me glisser contre lui, passant un bras au dessus de son dos. Il soupira et se tourna dans son sommeil, nous �tions face � face, je me suis serr� contre lui, il passa ses bras autour de moi, les miens autour de lui, je sentais son haleine contre mon visage, l�g�rement alcoolis�e. Le contact de son corps me faisait tellement de bien que je me suis serr� un peu plus contre lui, je bandais � pr�sent.
J'avais du mal � voir s'il �tait �veill� ou pas, j'ai approch� mon visage du sien et ai murmur� " je t'aime Papa ".

Je ne savais pas encore ce que je faisais ou ce que mes gestes et mots signifiaient, puis je me suis recoll� le dos contre son torse comme les nuits pr�c�dentes, mais c'�tait la premi�re fois que nous �tions nus ainsi l'un contre l'autre. En me retournant j'ai du lui frotter le sexe car j'ai senti son sexe se raidir contre mes fesses. Il s'est mis � remuer et j'ai bien senti qu'alors il s'est r�veill�, moi je fis semblant de rien. Il resta coll� � moi un moment, il passa sa grande main sur mon �paule, soupira, et se s�para de moi en se mettant sur le dos.

Cette s�paration me fit mal, je n'�tais bien que contre lui. Alors tout bascula en moi, je suis all� me coucher sur lui, sa poitrine contre la mienne. Il a ouvert les yeux " non ", mais j'avais d�j� rapproch� mon visage du sien et je lui donnais mon premier baiser, sa bouche m'a peu � peu accept�, je sentais sa langue contre la mienne, c'�tait si doux ! Je sentais sa barbe dure non ras�e contre ma peau alors que ses l�vres et sa langue jouaient avec les miennes.

Il passa ses bras autour de moi, l'un me caressant le dos, l'autre pressant mon coup pour
renforcer notre baiser, puis nous sommes rest�s joue contre joue, un moment sans bouger, je ne sentais que sa main qui me caressait l�g�rement le dos.
Je sentais qu'il commen�ait � d�bander, je me suis un peu d�gag� et lui ait touch� le sexe qui r�agit tout de suite, je me suis gliss� entre ses jambes, lui caressant le torse, le ventre, les cuisses, approchant ma bouche de son sexe que je pris � pleine mains, et du bout de la langue je me mis � titiller son pr�puce qui couvrait compl�tement son gland et qui d�passait un peu comme un bourgeon de chair.
Je l'entendis soupirer " non, il ne faut pas, pas toi, pas toi " mais je continuais et je me mis � prendre une partie de plus en plus grande de son sexe en bouche. Je me suis mis � faire coulisser son pr�puce pour d�gager son gland, jouant � le d�calotter puis le recalotter.

Il avait un go�t �trange, que je ne connaissais pas, mais je pensais " c'est le go�t de mon p�re " et je le su�ais plus avidement, sentant qu'un fin liquide coulait de son sexe, certainement plus qu'une compl�te �jaculation pour moi.

Il g�missais, disant des " oui " et des " non ", et moi je me sentais bien comme jamais, je buvais mon p�re, ma source, moi-m�me entourant son membre cr�ateur de mes l�vres, de ma langue, de ma salive, de mon amour. Je lui caressais les cuisses, le bas du ventre, ses testicules, et il g�missait toujours plus, �mettant parfois un r�le de plaisir, passant parfois une main dans la toison de son torse tandis que moi je respirais � plein nez l'odeur de son pubis, il commen�ait � transpirer dans la chaleur de la nuit.

Sentir son sexe dans ma bouche me procurait un plaisir intense, il n'y avais plus que cela au monde je le sentais qui voulait bouger et se d�gager mais mes caresses sur son sexe gonfl� de d�sir �taient les plus fortes. Il se mit � trembler de tout son corps, son sexe devint dur comme de la pierre, puis ce fut comme s'il se rel�chait totalement dans un grand r�le, et il �jacula puissamment au fond de ma gorge, un sperme �pais et chaud que sans r�fl�chir j'avalais, son sexe �tait ma fontaine de vie, c'�tait comme si chaque goutte me rapprochait plus de cet homme, j'�tais n� de son sperme et le boire �tait comme une renaissance merveilleuse.

Apr�s avoir continu� un moment � sucer son sexe je levais les yeux, il �tait tout luisant de sueur, essouffl�, compl�tement allong� et abandonn�. Je me suis allong� sur lui encore, posant ma t�te contre sa poitrine puissante. Il m'entoura de ses bras, je ne m'�tais jamais senti aussi bien.

J'avais bu � la source de moi-m�me, mais cet apaisement n'avait pas �teint toutes mes envies, j'�tais raide encore, et je frottais mon sexe contre les poils de mon p�re, je sentis rapidement que le siens reprenais de la vigueur, il se dressa contre la raie de mes fesses et mes testicules.

Je l'embrassais encore et je le sentais de plus en plus fougueux, c'�tais � mon tour de me laisser faire, je sentais ses mains me caresser tout mon corps et son sexe se presser avec insistance sur ma raie, oh Papa, comme je t'aime !

Ce corps velu et muscl�, cette virilit� magnifique qui m'enserre, ces l�vres qui me couvrent de baiser, ces mains caressantes, jamais je n'aurai imagin� cela ! Son sexe joue � glisser sur ma raie, ce qui me donne des frissons, je ne savais pas que cette partie de mon corps pouvait me donner un tel plaisir. Je balance l�g�rement mon bassin et je sens le pr�puce qui est au bout de son gland chatouiller mon anus, je m'appuie un peu plus sur lui et il commence un lent mouvement de va et viens.
Je sens son gland qui vient presser, sans me p�n�trer, tout doucement, contre mon anus, cette sensation nouvelle m'�tonne et me remplit de plaisir, je sens le liquide s�minal qui suinte par l'orifice de son pr�puce venir humidifier mon anus excit�. Nous restons un moment comme ��, la pression de son p�nis se fait plus insistante, je suis tout tremp� du liquide fabuleux.

Soudain il me saisis de ses bras puissants et me pose le dos au lit et il s'�crase sur moi, frottant son p�nis contre le mien ridicule � c�t� de son mod�le et cr�ateur. Comme il est bien plus grand que moi ma t�te d�passe � peine de ses �paules, je plonge mon visage dans sa toison pleine de transpiration. Il y a quelque chose de bestial et de doux � la fois en lui. Il se rel�ve un peu et place son sexe entre mes jambes en reprenant son va et viens dans la fente de mes
fesses glissantes de son liquide s�minal.
Ses bras viennent �carter mes jambes, son sexe est � nouveau contre mon anus. Soudain, dans un mouvement lent il s'enfonce en moi. Son pr�puce qui recouvre totalement son gland a retenu largement de liquide, et alors qu'il pousse en moi son gland se d�calotte et totalement lubrifi� rentre en moi.

Je n'imaginais m�me pas ce que pouvait �tre la sodomie et le sexe de mon p�re commen�ait � s'introduire en moi ! J'�tais concentr� sur cette sensation neuve, �trange d'un cylindre de chair qui rentrait en moi, le tout d�but �tait facile, je croyais que c'�tait fini, mais il me semblait que c'�tait un sexe toujours plus gros qui s'introduisait en moi, toujours plus gros, plus long, et le liquide s�minal qui avait aid� � l'introduction du bout de son gland n'�tait plus l� pour faciliter le passage. Je ne pourrais pas vous dire si j'ai eu mal, je ne m'en souviens pas, je ne pensais qu'une chose : mon p�re est en train d'entrer en moi. Au bout d'un temps qui m'a paru interminable il est entr� au maximum. Il a commenc� a faire de touts petits mouvements de bassin rapides et le plaisir a commenc� � se diffuser en moi.

Je ne sais pas combien de temps cela a dur�, le temps n'existait plus, il n'y avait plus que mon
p�re sur moi, en moi, en moi. Je ne voulais plus que cela finisse, je ne voulais que son sexe, plus profond, toujours plus. Puis il s'est redress� sur ses avant-bras et m'a soulev� les jambes, me les a plac� sur ses �paules et il s'est r�introduit avec force en moi, le plus profond�ment possible avec de grands mouvements de va et viens, son corps venait frapper mes fesses, je sentais son bassin et ses poils contre moi, avec ses boules pendantes qui frappaient mes fesses. Je n'�tais plus que la prolongation de son corps, parfois une go�te de sueur tombait de lui sur mon corps br�lant.

Abandonn� � lui je l'admirait qui allait et venait en moi, haletant. Il se mis � acc�l�rer peu � peu son mouvement, avec des gestes plus rudes, comme s'il voulait toujours aller plus loin en moi oui, viens, plus loin, plus en moi, je ne suis plus tout entier que le sexe de mon p�re. Je devine que la jouissance approche, sa respiration se fait plus forte, ses coups plus puissants, je contracte mes muscles pour l'enserrer plus �troitement, et c'est l'explosion.

Il g�mit longuement, � chaque fois qu'il donne un nouveau coup de rein, tandis qu'en moi je sens que son sexe vient de d�poser son sperme, au plus profond, tout comme il l'avait fait en m'engendrant. Mes entrailles sont pleines de ses germes f�conds. Mon p�re fait encore quelques va et viens lents, puis il se retire, et s'effondre sur le dos � c�t� de moi, tremp� de sueur, essouffl�.

" Mon dieu, mais qu'est-ce que j'ai fais ? ", il se prend le t�te avec ses mains. Je ne veux pas qu'il souffre, pas � cause de moi, pas maintenant que j'ai v�cu le plus beau moment de ma vie, je me serre contre lui et lui murmure " je t'aime Papa, plus que jamais, je voudrais que ce moment dure toujours ". Il me regarde les yeux rouges, et me demande d'une voix triste " c'est vrai ce que tu me dis ? C'est ce que tu voulais ?je ne t'ai pas bless� ", non il ne m'a pas bless�, au contraire, il m'a fait cadeau de son baume, de lui, de sa force.

Je l'embrasse et me sert contre lui, comme lorsque nous dormions les nuits pr�c�dentes, ses mains viennent caresser mon corps puis trouvent mon sexe que j'avais presque oubli�. Il commence � me branler lentement, tr�s lentement. Je sens son sexe dur contre moi, il a jouit deux fois et c'est comme s'il ne s'�tait rien pass� !

Je le saisis et le guide vers mon anus, il s'y introduit doucement, beaucoup plus facilement, et il recommence � aller et venir, il a cess� de
me masturber, il est tout � son mouvement, son torse poilu est �cras� contre mon dos, plein de sueur, il passe ses bras sous mes aisselles et me tiens fermement alors qu'il joue en moi, en moi, mon origine, ma source, mon p�re, une fois encore le temps s'arr�te et je ne fais plus qu'un avec lui, coll� contre lui, lui en moi, toujours plus en moi.

Une fois encore je le sens qui se contracte, qui g�mis, qui se vide en moi, son foutre venant rejoindre celui qu'il y a laiss�. Je ne suis plus qu'une corde raide, si je n'�tais pas allong� je m'effondrerais de fatigue, de plaisir, de satisfaction, et pourtant mon sexe n'a jamais �t� aussi raide. Mon p�re ne s'est pas retir� de moi, je sens que son sexe a perdu de sa duret�, mais il continue lentement de me prendre. A chacun de ses mouvement une vague de plaisir, c'est insupportable, c'est comme si une main invisible me masturbait, mais ses coups de rein sont si lents, retardant toujours plus ma d�livrance, puis soudain sans pr�venir tout mon corps semble se vider, je n'ai plus d'autre sensation qu'une �nergie qui vient du fond de mon bassin. Mon p�re l'a senti et accompagne doucement mon raidissement en se serrant plus contre moi. C'est comme si un trait de plaisir me traversait en gagnant en force en se rapprochant de la sortie, le plaisir monte dans mon sexe et c'est l'explosion.

Je r�le mon plaisir, c'est la premi�re fois que je le laisse ainsi me submerger, ce n'est plus une branlette du soir sous les draps, silencieuse rapide et discr�te, non, c'est le plaisir pur qui jaillit, sans m�me que j'ai besoin de me masturber, sans entraves. Je suis �puis�, vide.

Bien s�r bien que ce soit la premi�re fois de ma vie que j'�jacule autant, cela reste modeste par rapport aux flots de mon p�re, mais je me sens vide, ext�nu�. Je sens simplement mon p�re en moi " Papa, reste en moi, je t'en supplie ", ou ai-je dit reste avec moi ? De toutes fa�ons il est rest� en moi, et m'a p�n�tr� lentement, longuement, tr�s longuement. Je me souviens qu'il est � nouveau venu en moi, j'ai senti dans une demi conscience une chaleur nouvelle dans mes entrailles. Nous sommes rest�s ainsi toute la nuit, je ne sais plus ce qu'il s'est pass�, il me semble que mon p�re a joui une fois de plus en moi.

Le matin je me suis r�veill�, il �tait contre moi, collant de sueur, son sexe flasque � moiti� introduit dans mon orifice, je bandais � nouveau. J'avais envie de mon p�re, toujours et encore, l'envie de son sexe me d�vorait, je le massais doucement de mon bassin, je tentais de
contracter mes muscles fessiers, mal m'en a pris, son sexe a gliss� hors de moi, sensation d�licieuse, mais cela a r�veill� son d�sir et avec une grande facilit� il s'est r�introduit en moi, et � nouveau il m'a pris, lentement. Il m'a pouss� sur le ventre et s'est couch� sur moi, �cras� sous son poids, sa force virile, et mon sexe frottant contre le lit explosa � nouveau, et encore il me remplit de son sperme.

Il avait des �jaculations fortes et abondantes, et j'�tais plein de lui, de sa vie, de ma vie premi�re, j'aurais voulu que cela continue toujours, mais il semblait �puis�.
Il me saisit et nous fit rouler de fa�on � ce que nous restions unis, moi couch� sur le dos
sur lui, son sexe ramollissant toujours en moi. Tous les deux fatigu�s et contents. Nous avons parl� longtemps.

C'�tait la toute premi�re fois qu'il touchait un homme, il avait commenc� � ressentir du d�sir malgr� lui lorsque nous nous couchions ensemble, il avait r�v� de moi la nuit, ce matin ou il avait �jacul� c'�tait moi dans son r�ve, et il s'en �tait senti coupable, pensant qu'il �tait un mauvais p�re, et que je demanderais � le quitter pour vivre avec ma m�re.

Il m'avoua que jamais avec ma m�re il avait autant fait l'amour avec autant de passion jusqu'� �puisement complet, sauf peut-�tre pour moi ajouta-t-il avec un sourire, d'o� mon besoin de revivre cet instant de ma f�condation ?

Il semblait clair que nous n'allions plus nous quitter, et depuis nous n'avons cess� de faire l'amour tendrement, je ne me lassais pas de le sentir jouir en moi et de rester contre lui, lui en moi, pendant des heures. Cela a dur� trois magnifiques ann�es, puis il a fallu nous s�parer, je devais changer de ville pour poursuivre mes �tudes. La s�paration fut douloureuse, nous avons fait l'amour les deux jours avant mon d�part, avec l'�nergie et la passion du d�sespoir.

Tr�s curieusement notre s�paration s'est ensuite tr�s bien pass�e, et le plus �trange est que nous �tions rest�s, bien que fid�les, int�ress�s par les femmes. Il s'est remari� au bout de quelques ann�es, et moi, si je ne le suis pas, j'ai r�guli�rement des copines merveilleuses avec
lesquelles tout va parfaitement. Il n'y a plus de contacts sexuels entre nous, cela s'est arr�t� assez vite, mais il n'y a plus aucune pudeur entre nous, et nous gardons des gestes l'un pour l'autre que nous ne manifestons pas en public de peur de choquer.

Il reste une chose que je lui ai promis de me faire : je veux que ce soit lui qui enterre ma vie de gar�on, je veux aller plein de lui � ma femme la nuit de noce.
Car si aujourd'hui nous nous ressemblons beaucoup physiquement, il restera toujours une part de faiblesse en moi qu'il devra combler.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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