Cyrillo

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Rencontre particuli�re

Partie 2 L'abordage

Pour ceux n'ayant pas lu la premi�re partie Rencontre particuli�re Partie 1: L'approche

J'�tais un �tudiant de 22 ans, 1m83, 70 kg, blond aux yeux bleus travaillant le samedi dans un magasin de fringue gay. J'esp�rai retrouv� un client de l'apr�s midi dans un bar. Bien qu'�tant parapl�gique, il avait r�ussit � me mettre dans tous mes �tats.

Apr�s avoir longtemps r�fl�chi, j'avais opt� pour une tenue tr�s classique mais ayant fait ces preuves : une chemise noire cintr�e manches courtes ouverte jusqu'au bas des pecs laissant appara�tre un collier raz du cou en bois sur un buste imberbe et un pantalon noir ultra moulant. Avec �a il serait difficile de me r�sister...

Arriv� dans le bar, je cherchais du regard � terre un fauteuil roulant, mais je n'en vis pas. Je sentais la d�ception monter en moi. Une fois de plus je n'�tais fait des films. Je d�cidai de quand m�me rentrer. Peut-�tre viendrait-il plus tard... de toute fa�on, il ;me fallait un mec ce soir pour me soulager ! Je levais donc le regard et je LE vis assis sur un tabouret de bar au milieu de trois mecs qui semblaient bien l'appr�cier. Il me regardait avec un regard si tendre... Il semblait si calme que �a m'�nerva ! Moi, j'avais rat� toute mon apr�s-midi � cause de lui et risqu� de perdre la confiance de mon patron. Il me fallait qu'il souffre !!! Pas forc�ment autant que moi, mais il me fallait une revanche et je l'aurais !

Je vais vers lui et il m'embrasse (sur la joue, ne commencez pas tout de suite � vous �nerver) en me glissant � l'oreille : " Je n'attendais que toi... " Int�rieurement j'�tais aux anges mais ma vengeance m'appelait. Il n'allait pas s'en sortir � si bon compte ! " Vraiment !?! " dis-je � voix haute. " Pourtant les apparences me laisse plut�t penser le contraire ! " poursuivais-je en montrant de la t�te les mecs autour de lui.

Il piqua un phare et pris une gorg�e de son verre. L� j'�tais en jubilation totale ! Je devais faire durer cette situation. Je le laissais donc avec ses amis pr�textant que moi aussi j'en avais � saluer. Ces beaux yeux bleus me lanc�rent un regard noir plein d'envie et de col�re m�l�es. J'ai eu du mal � ne pas revenir sur mes pas et lui rouler un patin d'enfer ! Mais la vengeance donne des forces inestim�es.

Nous ne cessions de nous regarder de cot�, d'�pier chaque geste de l'autre mais surtout sans jamais tourner la t�te. Il m'en avait d�j� trop dit et s'il avait fait un autre ;"pas' vers moi, il aurait �t� trop demandeur. C'�tait � moi de faire ce pas mais je le ferais uniquement lorsque ma revanche sur moi-m�me serait pleine.

Au bout de dix minutes de ce r�gime Alerte g�n�rale, il se mit � toucher l'avant bras du plus beau des trois mecs avec qui il discutait. Faisait-il cela expr�s pour me faire r�agir, ou avait-il d�j� tourner la page ? La punition que je lui infligeais se retournait contre moi. Mais si j'allais directement vers lui, il s'aurait qu'il avait gagn� et pourrais se venger � sa guise... Si je l'imitais, on risquait d'aller dans une escalade qui nous s�pare d�finitivement....

Il me fallait une bonne excuse pour le rejoindre ; qu'un �v�nement ext�rieur � ma volont� me s�pare de mon ami pour retourner le voir. Mais oui, mais c'est bien sur !!! Je demandai alors � mon ami d'aller aux toilettes ; qu'il ne devait pas discuter que c'�tait un ordre ou du moins un service que je lui demandais.

Mon ami s'ex�cuta et moi, apr�s avoir tatoper des doigts sur le comptoir en regardant dans toutes les directions, je retournai comme si de rien n'�tait aupr�s de l'homme qui monopolisait mon attention.

A la premi�re interruption de la discussion, il se tourne vers moi. Et me demande :

- ; Maintenant que tu n'es plus dans le cadre de ton boulot. Comment trouves tu mon nouveau T-shirt ?

Il avait effectivement mis le T-shirt qu'il m'avait achet� l'apr�s-midi m�me.

- ; Mais tr�s bien. Il te met bien en valeur... r�pondis-je en me demandant o� il voulait en venir.

- ; Prouve le moi ! me lan�a t'il avec son sourire carnassier et un regard dans lequel se unifiait la fiert� d'avoir atteint son but et le d�sir qu'il �prouvait pour moi.

Le salop ! Il avait r�ussit son coup. Il me pla�ait au pied du mur ! Si je continuais � jouer l'indiff�rence il partirait s�rement avec le mec. Il m'avait tendu une perche mais m'obligeait � faire le premier pas.

D'accord ! Mais il allait voir de quel bois je me fauche. Je lui �carte les jambes et me place au milieu. Je sors les fesses comme si j'allai me baisser pour le sucer... et l� je donne un grand coup de reins. Je me colle � lui, le sers fort avec un bras le long de sa colonne vert�brale l'autre main derri�re sa t�te. Il ne peut plus bouger. Il est tout � moi !!!

Je le regarde droit dans les yeux. Il est surpris mais heureux.

- ; Tu veux une preuve ? J'esp�re que celle-ci te conviendra lui dis-je en approchant tout doucement mon visage du sien.

Je continuais de plonger dans ce regard dans lequel on se perdait si facilement. Nos deux bouches se touch�rent et s'ouvrirent, se mass�rent et se coll�rent laissant � nos langues le plaisir de faire de m�me. Ce baiser si tendre dura bien une minute voire plus. De toute fa�on le temps comptait plus. Une fois termin�, il me souffla " Enfin ! ". Cela lui valu un nouveau baiser.

Apr�s avoir repris ces id�es, il se rendit compte qu'il ne connaissait pas mon pr�nom. Je me d�cidais de nouveau de le titiller de nouveau.

- ; Tu aimerais bien le savoir ! Hein ? Jean-Fran�ois

- ; Mais comment sais tu mon pr�nom ?

- ; Ca aussi tu aimerais bien le savoir !... N'est-ce pas ?

A la suite d'un assez long temps d'h�sitation, je lui r�v�lai que mon pr�nom �tait Amaury et que je connaissais le sien par sa carte bleue. Nous parl�mes pas mal de lui, de moi, de son accident de voiture et de ces cons�quences mais �galement pas mal de sexe.

Nous �tions dans les bras l'un de l'autre. On n'arrivait pas � se d�tacher (enfin de sa part c'�tait logique vu qu'il �tait bloqu� sur son tabouret) et nous embrassions tr�s souvent. Les trois autres mecs avaient compris qu'il �tait rien qu'� moi et nous avaient laiss� assez rapidement.

Ces mains jouant sur mon corps continuaient � faire augmenter mon envie de lui et d'aller plus loin ensemble. Il partageait les m�mes pens�es et il me proposa donc de venir boire un dernier verre � son h�tel. J'acceptais en lui faisant le remake de notre premier baiser.

Le barman apporta son fauteuil qui �tait dans l'arri�re-salle. Il sauta dessus puis apr�s avoir r�cup�r� son manteau m'amena � sa voiture. Apr�s �tre mont� rapidement, il mit son fauteuil en moins de deux derri�re le si�ge conducteur. On �tait donc assis c�te � c�te dans un endroit beaucoup plus intime qu'un bar... Il fallait que je profite de cette promiscuit� maintenant. Je me penchais vers lui et allais lui ouvrir sa braguette. Mais il me regarda avec son regard doux qui me fait tant craquer et me dis qu'il pense qu'on sera plus � l'aise dans quelques minutes... Alors que je me retirais tout penaud, il bloqua ma main qui �tait sur son paquet et de l'autre monta mon visage vers ses l�vres pour me donner un baiser d'une sensualit� incroyable. Je restai tout le trajet (qui ne fut pas long) la main l� o� il me l'avait arr�t� et la t�te sur le c�t� � le regarder. Lui, d�s que la route lui permettait faisait de m�me.

Arriv� � l'h�tel, nous nous pr�cipit�mes sur son lit. Allong� sur lui, j'essaye de lui retirer le T-shirt que je lui avais vendu. Lui d�boutonne les deux ou trois boutons qui restaient � ma chemise. Ayant fini le premier, il fonce droit sur mes t�tons. Sa bouche sur l'un, une main sur l'autre... il avait de l'exp�rience et prit soin de voir quelle pression j'�tais capable de supporter. Pendant ce temps, j'enl�ve compl�tement ma chemise. Alors que j'allais ouvrir ma ceinture il pousse un grognement de d�sapprobation. Il ne pouvait pas parler vu qu'il avait toujours la bouche scotch�e � mes t�tons. Ses mains prirent les miennes pour les placer sur son corps. Il �te son T-shirt tr�s rapidement et reprend son travail.

Puis sa bouche commence � descendre lentement. Elle passe sur mon nombril et continue sa course vers le bas. Il me suce au travers de mon pantalon avec les dents. Putain que c'est bon !

Mes 20cm sont de nouveaux bien pr�sent. Mais ayant pr�vu le coup, je ne porte rien sous mon pantalon. Il s'en rend rapidement compte car mon gland d�passe du pantalon. Il gobe ce qu'il peut. Ses mains quittent mes t�tons pour ouvrir ma braguette. Mon sexe � peine lib�r� est aval� jusqu'� la base. Et il reste mon pieux enfoncer dans sa bouche. Sa gorge joue avec mon gland, une de ses mains est retourn� sur un t�ton pendant que l'autre me caresse les bourses. Puis il recommence les vas et viens sur ma hampe.

Mon dieu que c'est bon. Il sait si prendre ! Mais � ce rythme, je vais jouir tr�s rapidement. Je me d�gage de son emprise et descend � sa hauteur. On s'embrasse puis pour le remercier je veux lui faire ma sp�cialit� des su�ons (qui ne laisse pas de traces) dans le cou. Pendant que m'ex�cute il arrive � me choper un lobe d'oreille avec sa bouche. Il arrive ainsi � me rendre ainsi autant de plaisir et de frissons que je dois lui en procurer. Le probl�me est que j'ai d�j� subi une pipe m�morable et que je ne tiendrais pas tr�s longtemps.

Je descends donc vers son sexe ouvre son pantalon et descend un superbe boxer (autre que celui de l'apr�s-midi mais qui est encore plus sexe !) jusqu'� mi cuisse. Je d�couvre une queue au repos. Je suis un peu d��u mais je me dis qu'elle ne va pas le rester tr�s longtemps. Je d�ploie toute ma science de la fellation mais malgr� tous mes efforts rien n'y fait. Pourtant il semble appr�cier...

Je remonte son visage. Et l� il me dit qu'il

- ; Je suis d�sol� mais depuis mon accident, je n'arrive � bander que lorsqu'on me prend. me dit-il en donnant un coup de t�te vers la table de nuit o� attendait des capotes et du gel. (Lui aussi avait bien pr�par� son coup !!!)

- ; S'il n'y a que �a pour te satisfaire... r�pondis-je en m'emparant d'un pr�servatif et d'un paquet de gel.

Pendant que j'enfile la fine pellicule de latex qui nous permettra de partir au septi�me ciel sans risque, il a pris un cousin qu'il s'est mis sous le dos. Il remonte ses jambes. Il est sacr�ment souple, ces genoux sont juste � cot� de ma t�te. Il me pr�sente un cul offert...

Apr�s l'avoir g�lifi�, je pr�sente tout doucement ma queue � son cul. Elle bute l�g�rement sur sa rosette. Je me penche pour lui offrir un dernier baiser avant l'assaut final. Que ce moment est paisible, nos langues virevoltent ensemble. Je sens ces mains efflor�es tout mon corps... Quand d'un coup, elles claquent sur mes fesses et tirent mon bassin vers lui. C'est donc lui qui s'empale sur moi dans un immense soupir d'aise. Je suis rentr� compl�tement. Il ne semble pas souffrir pourtant mes 20cm font d'habitude peur... J'y suis bien, c'est chaud, la pression de sa rondelle sur ma queue est faible. Il n'a apparemment pas mal mais vu qu'il souhaite que ce soit assez violant, je lui pilonne le cul. Il aime �a, il couine de plaisir et progressivement je vois son sexe grossir. Avec une main, il me caresse et me travaille les seins, de l'autre il se branle en me frappant les abdos avec sa bite. J'adore et je ne tarde pas � monter. Ne tenant plus, je sors de son intimit�, arrache ma capote, arrose son buste de mon sperme chaud et tombe vider ces cot�s.

Je le vois se finir en masturbant une bonne queue de 17cm bien �paisse. Il faut que je la goutte avant qu'il jouisse. Malgr� mon �tat d'�puisement je me jette dessus et l'absorbe. A peine quelques va et vient plus tard, je sens que tout son corps se contracte. Je me recule un peu pour admirer sa jouissance mais l� seules deux ou trois gouttes de sperme sortent.

Constatant mon d�sappointement, il m'explique que le reste est parti directement dans la vessie. Il se redresse, m'embrasse, fait un transfert dans son fauteuil et se dirige vers le minibar.

- ; Officiellement tu es ici pour un dernier verre ! Qu'est ce qui te ferait plaisir ? me demanda t'il en ouvrant la porte du petit r�frig�rateur.

- ; De l'eau ! uniquement

J'avais bien l'intention de recommencer nos activit�s. Il me fallait que je reste les id�es claires.

Nous recommen��mes rapidement nos attouchements. Alors que la premi�re fois �tait bestiale ne r�pondant qu'aux d�sirs dans une pr�cipitation passionnelle, la seconde fut sensuelle bas� sur la lente d�couverte du corps du partenaire aim�. Durant cette exploration du plaisir, nous nous sommes d�couvert dans toutes positions possibles. Et il y en avait pas mal...m�me � quatre pattes. Mais soudain il vit le jour se lev� par la fen�tre.

- ; Oh non !!! pas d�j� !

- ; Hein ??? quoi...

- ; Le jour se l�ve d�j� et je dois faire plus de 200km avant 16h !

- ; Fait une nuit blanche, je me charge de te garder r�veiller jusqu'� ton d�part.

- ; Ca j'en doute pas. Mais apr�s ???

- ; Tu veux que je parte ?

- ; Non, surtout pas... J'aimerai tant que nous voyons unis tout le reste de la nuit... Je veux te sentir en moi durant tout mon sommeil.

- ; Couche toi en chien de fusil, lui dis-je en me levant pour fermer les rideaux.

Je viens me coller derri�re lui, l'�treins et le prend une derni�re fois en l'embrassant.

A mon r�veil, j'�tendis " Ah si seulement tu �tais Parisien... ". J'ouvre alors lentement les yeux, il �tait pench� sur moi. Il me regardait avec son regard si doux mais qui cette fois �tait emplit de m�lancolie.

- ; Bonjour charmant jeune homme

- ; Bonjour magnifique amant, lui r�pondis-je

Apr�s les banalit�s habituelles du matin, nous sommes all�s prendre un brunch ensemble. Puis il m'a raccompagn� chez moi et est parti pour son rendez-vous. Je ne l'ai jamais revu mais je garderai pour toujours un souvenir �mu de cette rencontre particuli�re.

Amaury

P.S. : Je ne revis l'ami que j'ai envoy� aux toilettes que quelques jours plus tard. Je le remerciais chaleureusement pour le service qu'il m'avait rendu et lui avouais que mon plan avait parfaitement march�. Il me r�pondit que c'est lui qui me remerciait, car quand il est arriv� aux toilettes il est tomb� sur deux mecs en train s'embrasser. Leurs regards se sont crois�s, il fut aspir� par eux et qu'ils ont fini la soir�e � d�foncer � qui mieux - mieux dans la toilette handicap�e sachant que mon mec n'en aurait s�rement pas besoin vu le traitement que je devais lui prodiguer...

N'h�sitez pas � me faire part de vos interrogations ou r�actions �

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