le CommencementLe Commencement Je m'appelle Ray, beau m�tis (ma peau est si claire qu'on s'y m�prendrait) de 25 ans imberbe de la t�te aux pieds. Je vis avec mon ma�tre et son copain du moment. Aujourd'hui il m'a surpris en train de lire des histoires de culs sur le site de ob.ob5.ru et maintenant il m'oblige � raconter ma propre histoire. Je suis donc assis sur un gros Plug au moment j'�cris. J'avais 19 ans � l'�poque, j'�tais �tudiant assistant de gestion et je travaillais comme serveur dans un resto de luxe pour pouvoir acheter mes bouquins. Un soir, nous avons eu la visite de 2 clients tardifs au resto. L'un �tais grand et costaud en costume 3 pi�ces avec une mallette, le prototype m�me de l'homme d'affaire prosp�re et l'autre avait plut�t l'air du garde de corps Barraqu�, cheveux mi-longs veste en cuir avec des poils partout. J'ai pris leurs commandes et suis revenus les apporter il ne restait plus que 2 tables occup�es. Pendant que je d�posais les plats, j'entendis des brides de leurs conversations. Mais j'ai bien vu les regards �namour�s qu'ils se lan�aient. On aurait dis deux nouveaux mari�s. Leurs mots et aussi leurs regards m'ont fil� une trique d'enfer. Faut dire que les filles ne m'ont jamais attir�e et que je pr�f�rais toujours aller visiter les sites gays et me branler ensuite avec un ou deux doigts dans le cul en fantasmant sur les beaux mecs que j'avais vus. Mais je n'�tais jusque l� sortis avec personne j'�tais ind�cis. Mais en voyant ces 2 mecs j'ai toute de suite su ce que je voulais. En ramenant les 2�mes plats je me rends compte que le type veste de cuir avec la main gauche sous la table visiblement entre ses jambes, je m'imagine un tas de trucs et ma bite n'arr�te plus de durcir. Je les imagine en train de baiser, de s'embrasser et de se sucer comme dans les magazines gays que j'apporte souvent au boulot avec moi. Je n'en peux plus, j'ai envie d'�tre avec eux de me faire prendre pour la premi�re fois. Alors je me dirige vers les toilettes des clients et en route je m'aper�ois qu'il ne reste plus que mon coll�gue, les 2 clients et moi dans le resto. En arrivant � leur niveau, je regarde la veste de cuir droit dans yeux, lui fais un sourire, me retourne en balan�ant de la croupe comme le font les salopes. J'ai d�cid� de les s�duire tous les deux. Je rentre dans les toilettes, descends mon jeans, sors ma bite raide (je ne porte jamais de cale�on) et commence � la branler. Ah ce que �� fait du bien ! Je fais des va et vient les yeux ferm�s en pensant tr�s fort � mes deux clients. Je m'enfile 2 doigts bien profond�ment dans le trou et me caresse la prostate. Je m'entends g�mir tellement c'est bon. Tout � coup la porte des toilettes s'ouvre et j'aper�ois en face de moi le gars en veste de cuir qui me regarde. J'ai l'impression de me ratatiner sur place. Il est si impressionnant et tellement grand que j'ai l'air d'un nabot avec mes 1m76 sous lui. Il doit bien mesurer dans les 2 m�tres. Il me dit : Je n'arrive pas � y croire c'est aussi facile que �� ! Un regard un peu appuy� et le tour est jou� (moi qui ai toujours eu peur de draguer). Je reste bouche b�e comme h�b�t�. Tout en parlant il m'avait pouss� par la nuque et maintenant je suis courb� les fesses � l'air et le visage dans le bidet. Il me maintient la t�te dans le WC avec une main et me crache sur la rondelle. Je sens un gros doigt me p�n�trer, ensuite deux et enfin trois. L� je commence � avoir mal et lui dis. J'ai l"impression qu'une barre de fer chauffer � blanc me transperce de part en part et je hurle carr�ment. Han han han il continue de me labourer sans tenir compte de mes pleurs. Je ne ressens plus rien du plaisir de tout � l'heure, ce n'est plus que douleurs. Je ne sais pas combien de temps il me traita ainsi, mais � la fin j'entendis un grognement et je su que c'�tait fini. Il se retira aussi brusquement qu'il �tait entr�, se rajusta et me dis : Si vous avez ou non envoyer moi vos critiques RaySuite de l'histoireR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |