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Une belle rencontre, quel chantier !

Je vais vous raconter ce qu'il m'est arriv� il y a quelques mois.
Je me rendais chez un client. Il faisait tr�s chaud et je marchais lentement regardant � droite � gauche, attendant 14 heures, l'ouverture de la boutique o� je devais faire la comptabilit� au nom du cabinet pour qui je travaillais.
C'est en traversant la route qui menait � cette boutique que je vois deux mecs assis dans une camionnette qui me regardait avec un sourire de coin sur leur visage en se racontant des choses que je ne pouvais comprendre.
Mon regard fut attir� par le chauffeur, une trentaine d'ann�es, brun, viril, les chevaux courts, l�g�rement boucl�s. Tout en marchant je continuais � la regarder, et lui me suivait aussi avec un regard persistant.
La rue travers�e, je m'arr�te de marcher pour r�fl�chir sur ce qui venait de ce passer tout en continuant de regarder la camionnette s'�loigner (le feu �tait pass� au vert). Je fus tr�s surpris de voir quelle s'arr�tait 100 m�tre plus loin, juste devant une maison avec un �chafaudage. Toujours immobile, je vois les deux occupants sortir le la camionnette, le chauffeur �tait grand, tr�s carr� d'�paule et habill� d'une combinaison blanche de ma�on ; mon regard �tant tellement attir� par cet inconnu, je ne vois pas le deuxi�me qui p�n�tre imm�diatement dans l'immeuble en travaux surtout que je voyais bien que le chauffeur me regardait aussi.

Quoiqu'il en soit, je tourne la t�te parts chez mon client qui venait d'ouvrir. Je passais l'apr�s midi en pensant � cet inconnu dont la situation avait particuli�rement excit�. Je pr�texte un rendez vous au bureau pour partir une heure avant. Evidemment, je partis imm�diatement dans la direction de cet immeuble, esp�rant qu'ils soient toujours l�.

A mon premier passage sur le trottoir d'en face, je ne vus personne, mais le chantier ne paraissait pas pour autant ferm�. Je m'allume une cigarette et l'air de rien, je repasse devant l'immeuble des fantasmes, et l�, il �tait devant l'all�e sous l'�chafaudage.
Il vit rapidement que je ne savais pas quoi faire et c'est alors, qu'il s'est touch� fortement son entrejambe, �videmment trop loin pour moi, faisant signe de venir.
En arrivant devant lui, je pouvais enfin le d�couvrir, au moins 1 m�tre 90, de grandes mains �paisses, des yeux vert, de superbes l�vres ourl�es cachant des dents d'une blancheur extr�me, une peau matte. Sa combinaison laissait appara�tre une belle toison brune.

Il me proposa d'une voix amus�e de visiter cet h�tel particulier en r�fection. Aussit�t, la porte pass�e, j'entends qu'il donne un tour de clef � cette magnifique porte d'entr�e du 18eme. Arriv� un 2eme �tage, j'entre dans une grande pi�ce blanche orn�e de boiseries encore en bois brut, le sol �tait recouvert de plastique, et je vois devant moi le passager de la camionnette, lui aussi �tait dans cette combinaison blanche, il devait �tre un peu plus jeune et mesurait 1 m�tre 80 environ.
Mon regard fut tout de suite attir� par la bosse qui se dessinait entre ses jambes. Il me dit qu'il s'appelait Bruno et le chauffeur Erik. Je sentis imm�diatement la main d'Erik qui caressait mes fesses. Ils me pr�cisaient qu'ils n'�taient pas PD, mais mari�s et qu'ils n'�taient pas, de temps � autre, contre une pause " pipe " par un mec.
Je me retourne et je descends la fermeture �claire de la combinaison d'Erik, je m'aper�ois qu'il est nu dessous, je peux alors voir un torse muscl�, dessin� par une syst�me pileux importante. Son sexe commen�ait d�j� � bander, il �tait une bonne dimension et tr�s �pais. Sans plus attendre, il m'appuis sa main sur ma t�te et me faire comprendre qu'il est temps de le prendre en bouche. A mesure que je le su�ais, je sentais son sexe de plus en plus gros et long, je caressais ses cuisses muscl�es et poilues, ses fesses fermes et je ne pouvais sucer plus et que la moiti� de sa pine et de moins en moins, enfin son gland prenait toute ma bouche.
Je le sortis de ma bouche pour pouvoir voir cette engin, il �tait magnifique, vein�, au moins 23 centim�tre et une assise digne d'un Rocco (et je sais de quoi je parle, j'ai le mod�le taille r�elle a la maison).
Je me retourne et je vois que Bruno s'est d�j� d�barrass� de ses v�tements, qu'il est juste derri�re moi nu, la bite a la main, et quelle bite lui aussi, je croyais r�ver, un peu plus petite, mais tellement �paisse que je ne pouvait pas la prendre dans la bouche.
Je me mets sur les genoux j'enl�ve ma chemise et j'essaye de prendre en bouche ce deuxi�me taureau. Je sentais qu'Erik �tait entrain de baisser mon pantalon. Je sentais � la fois sa bite qu'il frottait sur mes fesses, ses mains qui me tenaient les hanches et je l'entendais dire :
" Putain ce cul, je vais l'exploser ce petit cul " et l'autre " putain il suce mieux que nos poufs ".
Erik n'a pas attendu beaucoup avant de me mettre son b�ton, c'�tait difficile au d�but, j'ai cru me casser en deux, mais il avait la mani�re de le faire, et il a attendu que je m'y habitue avant de commencer un va et vient, et m�me temps Bruno me tenait la t�te et m'enfon�ait de plus en plus son engin dans le fond de ma gorge, j'ai cru que ma bouche allait exploser.
Tout les deux allaient de plus en plus vite, je n'arrivais plus � tenir mon �quilibre, pour la premi�re fois je me laissais aller sans pudeur au d�sir, celui de sucer et celui d'�tre pris, l'objet sexuel.
D'un seul coup il se retirait en il �changeait leur place, Bruno m'enfon�a sans mod�ration son pieux de 18 cm mais surtout d'une largueur de 9 cm et pris avec une force comme jamais j'avais eu et surtout pendant plus de 10 minutes, pendant ce temps Erik me donnait � l�cher sa bite surdimensionn�e, il la faisait cogn�e sur mon visage, me faisait l�cher ses boules et remonter avec ma langue le longs jusqu'� son gland, puis je la su�ait avec le plaisir de la prendre en bouche. De mon autre main je me branlais, sachant bien que mes deux �talons improvis�s ne m'aideront pas � ce niveau.
Bruno me prenait de plus en plus fort � tel point que je n'arrivais presque plus � sucer son coll�gue de travail. Il m'enculait et frappait mes fesses avec force, souvent mes genoux d�collaient du sol tellement il me prenait fort.
Soudain, il se retira et �jacula cinq ou six fois sur mon dos, je sentait son sperme chaud qui coulait, Erik pris sa place et m'empala si fort que je ne pouvais plus bouger et surtout pas me branler ( de toute mani�re si je me touchais, j'aurais jouis), pendant plus de d'un quart d'heure, il me prit, je sentais ses couilles qui claquaient sur mes fesses, le plaisir �tait extr�me, a tel point que je ne sais pas diff�rencier la douleur ou le plaisir que me procurait ces molosses en me p�trissant.
D'un seul coup il m'attrapa les jambes et me souleva tout en me prenant, j'ai cru mourir et je trouvais cela fantastique. Ensuite il se positionna devant moi et �jacula tout sur moi. Je ne tardais pas � venir moi aussi.

La suite vous la connaissez, nous nous sommes rhabill�s et apr�s un " � la prochaine ", j'ai repris mon court de la vie, mais avec une belle histoire dans ma t�te qui dans des moments de solitude, me donne toujours beaucoup de plaisirs.

Rody

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R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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