Le prof d'informatiqueL'�cran afficha le message tant redout� : " Index out of range ". Je tapai sur la table en l�chant un soupir d'exasp�ration. Cela faisait 3 jours que je passais toutes les fins d'apr�s-midi sur ce programme que je devais rendre le lendemain. Dans une demi-heure, la salle d'informatique allait fermer et ce foutu programme ne fonctionnait pas. Je regardai les lignes d�filer sur l'�cran sans comprendre ce qui clochait. La salle �tait quasiment vide. Une fille commen�a � remballer ses affaires, un gar�on l'attendait dans l'embrasure de la porte. Au fond des rang�es d'ordinateurs, il y avait le moniteur de la salle d'informatique pench� sur son �cran. Je contemplai d�sesp�r� mon �cran tentant d'analyser ces vicieuses lignes de codes et de comprendre mes erreurs. J'entendis derri�re moi une voix qui me demanda " tu veux que je t'aide ". Je me retournai et je vis le moniteur de la salle qui s'�tait approch� sans que je m'en aper�oive. Il �tait charg� de surveiller le bon usage des ordinateurs et parfois donnait des conseils. Il devait avoir entre 25 et 30 ans, athl�tique, brun, avec des yeux noirs, tr�s beau avec ses traits affirm�s et volontaires. Beaucoup de charme. J'acceptai son aide avec ferveur. Il s'assit � cot� de moi et me demanda ce que je devais faire et quel �tait le probl�me. Il �tait souriant et disponible. Tr�s p�dagogue, il m'expliqua et corrigea mes fautes. De temps en temps, par inadvertance, nos mains se touchaient fugacement provoquant autant de d�charges �lectriques qui me troublaient. Son parfum l�ger et agr�able arrivait jusqu'� mes narines. Je fis semblant d'�couter car j'�tais subjugu� par ses mains et son visage. Le programme fonctionnait. Maintenant il �tait l'heure de sortir. Le moniteur �teignit les ordinateurs et la salle. Nous nous retrouv�mes dans le couloir. Il ferma la porte. Je ne sus pas pourquoi je l'attendis. Il se tourna et me demanda " tu vas bouffer maintenant ? " Je lui r�pondis " oui je vais au R.U. ". " Tu permets que je t'accompagne ? Je n'ai plus rien dans le frigo ". J'acquies�ai, enthousiaste. Pendant le repas, on a discut� de tout. J'appris qu'il �tait en th�se d'informatique, qu'il �tait assez sportif, c�libataire, qu'il habitait le vieux Lille. A chaque fois, qu'il plongeait ses yeux noirs dans les miens, je rougissais. A chaque fois qu'il me touchait la main pour prendre du pain ou du sel, je rougissais. J'�tais sous le charme. Comment je ne l'avais pas remarqu� avant ? On sortit du R.U. et il me demanda doucement " alors qu'est-ce qu'on fait ? " en me regardant droit dans les yeux. Je m'entendis lui dire avec stup�faction " je t'offre un caf�. Dans ma piaule ? ". Il me d�cocha avec un sourire ravageur. Nous nous rend�mes presque muets, dans ma chambre d'�tudiant, � la r�sidence qui �tait proche du restaurant universitaire. En ce d�but de soir�e, la r�sidence r�sonnait de bruits de la vie estudiantine. Ma piaule, comme toutes les autres �tait un r�duit de 4 m�tres su 3. Il y avait juste assez de place pour un lit, un bureau, une armoire, un lavabo. Comme je suis ordonn�, je pouvais l'inviter sans honte. J'avais mis quelques photos de ma famille dans un coin du bureau auxquelles il jeta un coup d'oeil. Il s'assit sur le lit. J'allumai les deux lampes qui dispens�rent une lumi�re douce plus douce que celle, blafarde du plafonnier. Je mis � chauffer le caf� et je m'assis � cot� de lui. Il me regarda et je fus captiv� par son regard. Il approcha sa main et m'effleura le visage. Je ressentis sa chaleur. Il m'attira et d�posa sur mes l�vres un doux baiser. Je le lui rendis tout en plongeant dans le lac noir de son regard. Il me serra contre lui et m'embrassa fougueusement. Je sentis sa chaude langue caresser la mienne. Ses mains parcouraient mon corps et retir�rent ma chemise de mon pantalon. Tout en continuant � m'embrasser, il la d�boutonna et me l'enleva. Je sentis mon tricot de corps se soulever et ses mains br�lantes touch�rent ma peau. Des d�charges �lectriques parcouraient mon dos et je sentis monter en moi une chaleur bienheureuse. Il retira mon sous-v�tement puis �ta rapidement son pull et son tee-shirt. Il me serra � nouveau dans ses bras et me coucha sur le lit. Nous �tions peau contre peau, langue contre langue, nos mains cajolant nos corps embras�s. Il cessa de m'embrasser et d�fit ma ceinture. Il d�boutonna mon jean pendant que je le caressai � travers son pantalon. Sa main se glissa entre le jean et mon slip. J'�tais en pleine �rection. Il me caressa le sexe en m'embrassant � nouveau. Je d�fis sa ceinture et je d�boutonnai son pantalon. La braguette glissa et je sentis �galement sa verge en �rection, bien dure et bien imposante. Sa bouche descendit sur ma gorge puis sur son mon torse pour atteindre les t�tons qui �taient eux aussi tr�s durs. Il l�cha et les mordilla alors que ses mains s'affairaient � enlever mon jean. Sa bouche descendit sur mon ventre vers mon pubis. Il embrassa ma verge � travers le tissu tr�s fin et soyeux de mon slip. Il termina de m'enlever mon pantalon qui rejoignit la chemise sur le sol. Il se leva et retira son jean. Il avait un boxer noir qui moulait son sexe tendu et gorg� de promesses. Je m'approchai de lui et pris ses fesses entre mes mains. J'embrassai sa barre � travers le boxer et impatient je le fis glisser. La verge jaillit. Elle avait une odeur agr�able et musqu�e. Il me caressa le visage avec son chibre. J'ouvris la bouche et l'enfourna goul�ment. Il me tint la t�te en faisant courir ses mains dans les cheveux. Son membre allait et venait tandis que mes mains emprisonnaient ses fesses tr�s fermes et muscl�es. Puis, je le branlai alors que ma bouche voyageait de ses testicules au bout du gland. J'entendis ses r�les de plaisir et je fus compl�tement noy� dans des ondes de chaleur lubriques. Il se retourna et s'appuya sur le bureau, les jambes l�g�rement �cart�es. Je baisai ses fesses en les massant d�licatement puis je les �cartai. Sa rosette m'apparut comme un soleil. J'enfouis mon visage dans ses chairs et ma langue l�cha rapidement sa fente. Il poussa � nouveau un r�le de plaisir. Je d�ambulai, de haut en bas et m'attardai sur sa rondelle du bout de la langue. J'�cartai encore plus ses fesses et j'introduis ma langue dans son trou. Cela avait un go�t bizarre mais pas d�go�tant. Je mis mes deux mains sur son sexe et je le branlai en cadence. Au bout d'un moment, il se retourna et me coucha sur le dos sur le lit. Mes jambes �taient en dehors et �cart�es. Il m'embrassa sur la bouche puis chercha son pantalon. Il en sortit un pr�servatif. Il d�chira d'un coup de dents l'enveloppe, prit le caoutchouc et le d�roula rapidement sur mon sexe. Cela me d�concerta un peu, je n'en avais jamais mis. Il se retourna et je le vis s'asseoir sur mon chibre. Il se laissa p�n�trer sans probl�me et je sentis ma verge �tre enserr�e dans une gangue chaude. Une d�ferlante de plaisir m'envahit et j'eus un petit hoquet. Il se souleva et s'abaissa dans un lent va et vient. Il me caressa les couilles et je sentis qu'il se masturbait �galement. Une de ses mains fouilla mon entre jambe et un doigt atteint ma rondelle. Il me la massait alors que j'�tais dans la sienne. Je caressai son torse muscl� et j'�tais perdu dans une mer tr�s agit�e de volupt�. Il acc�l�ra le rythme. Il s'accrocha � mes jambes. Sa respiration se fit plus rapide. Des ondes de plaisirs intenses partirent de ma verge et d�ferl�rent dans ton mon corps et mon esprit. Je sentis monter l'orgasme avec la puissance d'un raz-de-mar�e. Je poussai un petit cri et je sentis ma semence jaillir. Il d�c�l�ra. Il se leva et se retourna. Il se masturba rapidement et ne tarda pas � m'envoyer son foutre sur mon ventre dans un cri lib�rateur. Il m'enleva le pr�servatif plein de ma jouissance et le jeta � la poubelle. Il prit un mouchoir dans la boite sur le bureau et me nettoya. Puis il se coucha sur moi et m'embrassa en souriant. Nous nous regard�mes dans les yeux et je me perdis une fois de plus dans ses yeux noirs. Nous c�linions tendrement en silence. La vigueur revint dans nos deux membres. Nos caresses se firent plus sauvages. Il descendit vers mon sexe et l'emboucha. Je m'abandonnai les yeux ferm�s � ses caresses buccales. Je sentis qu'il introduisit un doigt dans ma rondelle apr�s l'avoir caress�e. Ce n'�tait pas tr�s agr�able mais l'id�e qu'il me p�n�trait me fit oublier la sensation douloureuse et cela m'excita. Il me masturba pendant que je sentis son doigt aller et venir et qui tentait de desserrer mon anneau presque vierge. Chaque partie de mon bas ventre fut une source de plaisir. La douleur disparut, et il introduisit un deuxi�me doigt, cette fois plus facilement. Je jouai avec ses cheveux pendant que sa bouche s'activait sur mon chibre. Il chercha son pantalon et sortit un nouveau pr�servatif. En un tour de main, il enfila la capote sur son membre. Il me mit sur le ventre. Il �carta mes fesses et sa bouche vint se poser sur mon anus. Sa langue parcourut rapidement ma raie provoquant un plaisir intense qui partait du creux de mes reins. J'ondoyais au gr� de ses coups de langue et de ses caresses. Il mit son membre caoutchout� sur ma raie et m'effleura la rondelle. Il �carta mes fesses et pr�senta son p�nis � mon anus en me tenant par les hanches. Je savais ce qu'il allait me p�n�trer j'esp�rais que mon corps se souviendrait d'une lointaine premi�re fois. Je sentis une douleur dans le bas du dos et son chibre entra en moi. Il s'ins�ra pr�cautionneusement dans mes tendres chairs. J'�tais �cartel�, empal�, ouvert comme on rompt une miche de pain. Il s'arr�ta et je m'habituai � la douleur. Puis il reprit la p�n�tration avec des pauses par intermittence. Je sentis son pubis se frotter sur mes fesses, mon corps avait aval� compl�tement son sexe. D'un d�hanchement souple, il commen�a � aller et venir tr�s doucement. La douleur s'estompa et fit place au plaisir. Mon anus lubrifi� et pr�par� me dispensa une jouissance jusqu'alors inconnue. Mon sexe frotta sur la couverture au rythme du balancement de son corps. Nous ne faisions qu'un. Je le sentis en moi, je le sentis autour de moi. Ses bras parcouraient mon corps au rythme de nos respirations et de nos ahanements. Il acc�l�ra puis d�c�lera puis recommen�a. J'�tais sur des montagnes russes dont son chibre �tait le sommet. Il se retira et me mit sur le dos. Il prit mes jambes dans ses bras, me les souleva et les posa sur ses �paules. Il me p�n�tra d'un coup. Nous pouvions voir sur nos visages le plaisir que nous ressentions. Il me pin�ait l�g�rement les t�tons pendant que je me masturbai alors qu'il allait et venait en moi. Il acc�l�ra et maintint une cadence �lev�e. Je ne savais plus qui, j'�tais enti�rement engloutit par la jouissance qui explosait comme mille soleils. J'entendis deux cris, deux feulements et une lave bouillante jaillit sur mon ventre. Il sortit de mes fesses et retira le pr�servatif qui �tait rempli de sa substance. Il s'allongea � cot� de moi et joua avec mon sperme et m'embrassant. Il d�posa un baiser sur mon ventre et trempa ses l�vres dans le liquide. J'�tais ext�nu�. Il me caressait le torse, la nuque et le visage. Nous rest�mes un moment comme cela, tendrement enlac�s. Il se leva et me dit qu'il devait rentrer. C'est vrai que ce lit �tait � peine assez grand pour un �tre humain normal. J'aurais voulu qu'il reste avec moi. Il s'habilla et moi je restai nu alangui sur le lit avec une vague douleur dans le bas du dos. Sans un mot, il m'embrassa encore une fois et sortit de la chambre. Je restai un moment allong� en pensant � ce qui c'�tait pass�. Cela n'avait rien � voir avec le souvenir de ma relation sexuelle. Et cette fois, cela y �tait, j'�tais vraiment un homme et je savais que je ne conna�trais jamais le sexe des femmes. Je me levai, je mis mon slip, je nettoyai mon sperme s�ch�. J'�teignis la cafeti�re inutile. Je pris ma serviette et mes affaires de toilette et je me rendis � la douche. J'avais un peu mal � l'anus mais j'�tais heureux et j'ai l'impression de flotter au dessus du sol. Le lendemain, � part des sourires amicaux et socialement corrects, l'assistant ne m'adressa pas beaucoup la parole et je sentis qu'il m'�vitait dans la salle informatique. Je restai jusqu'� la fermeture. Un peu g�n�, je lui demandai s'il voulait qu'on se voit se soir. Il me dit qu'il ne voulait pas. Je lui r�pliquai que je l'aimai, enfin c'est que je croyais. Sur mon insistance, il m'expliqua sur le m�me ton qu'il avait employ� pour m'aider dans la programmation, qu'il ne m'avait rien promis, qu'il n'�tait pas amoureux m�me si cela avait �t� super, qu'il �tait trop jeune pour s'investir dans une relation, qu'il n'�tait pas un bon mec de toute fa�on, . J'appris plus tard qu'il �tait de la race des pr�dateurs. FarfalinoR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |