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Journ�e d'appel de la pr�paration � la d�fense

Il y a quelques jours, j'ai fait ce qu'on appelle la journ�e d'appel de la pr�paration � la d�fense (J.A.P.D.) : pendant toute une journ�e, l'appell� (c'est-�-dire tous les jeunes fran�ais recensc�s entre leur 16 et 18�me ann�e) se rend sur une base militaire pr�s de chez lui pour �tre initi� � la d�fense du pays. Tout au long de la journ�e, ils te font visionner des films de propagande militaire et r�publicaine (ahem...), petite initiation au secoursime, visite d'une mus�e militaire... tout �a pour obtenir un papier indispensable pour passer des examens nationaux.

Je suis donc arriv� � la caserne, peu apr�s 7 heures du matin. Pour entrer, il fallait passer un portique s�curis� : pr�sentation de papiers d'identit� et convocation. Tout est en r�gle, je passe. Et l�, je suis accueuilli par celui qui allait rendre cette journ�e bien plus passionnante que pr�vue. Un grand, cheveux fonc�s tr�s court, habill� en trellis bien moulant. Il a quelques boutons mais c'est pas grave : �a lui donne encore plus de charme !

Le lieu est pas g�nial, c'est tr�s gris, il fait froid. Il m'am�ne dans une salle o� je pourrais prendre un petit d�jeuner. Je m'installe, d�vore le peu qu'ils m'ont donn�. Le beau jeune homme s'installe � l'autre bout de la salle, il discute un peu avec une femme, elle aussi militaire. Bon, il semble plut�t proche d'elle, je suis un peu d��u...

Toute la journ�e passe tr�s lentement. Heureusement, mon "beau" accompagne le groupe dont je fais partie tout au long de l'apr�s-midi. Il est l� pendant les visionnage, debout tout au fond de salle. Il est l� �galement pendant le secoursime : on doit faire du bouche-�-bouche � une connerie de mannequin en plastique. Inutile de pr�ciser que c'est pas au mannequin que j'aimerai faire ce genre de choses... Le midi, dans leur cantine, il est juste devant moi dans la file. Il me remarque vite fait : il a fait tomber son couteau � mes pieds. Je le mate toute la journ�e : je d�tourne mes yeux du programme, je le regarde et quand je sens qu'il s'appr�te � tourner son regard dans ma direction, je tourne les yeux de l'autre c�t�. Il a pas du me remarquer de la journ�e, il m'a vu que de dos !

A la fin de la journ�e, ils nous remettent leur satan� papier indispensable. On donne notre nom, on signe et lui, il est � la sortie, il nous donne notre papier. Il me le tend, je lui fais un joli sourire et je lui dis au revoir. J'attends, pr�s de la porte, une amie que j'ai rencontr� le jour m�me. Elle arrive, son portable sonne : son p�re l'attend dehors. On devait prendre le bus ensemble pour rejoindre la gare, je me retrouve tout seul. Je dis au revoir � la fille et donc, je suis tout seul, pr�s du portique de sortie.

Il vient vers moi ! J'ai cru un instant qu'il allait en direction du portique, mais non, c'est moi qu'il vient voir !

;- Salut ! Tu t'appelles comment ?

Je lui dis mon pr�nom, en croyant qu'il venait me voir car j'aurai pu oublier un truc dans la salle !

;- J'ai cru comprendre que tu m'as regard� toute la journ�e...

Je n'ai absolument pas quoi r�pondre ! Je bredouille un "euuuh", je sens que je rougis. Il voit tr�s bien que je suis g�n�, en plus d'�tre �tonn�... Moi qui pensais �tre pass� incognito..

;- J'te plais, c'est �a ?

Je rigole pour dissimuler ma g�ne, j'ai bien envie de r�pondre oui... Il me dit qu'il a remarqu� que je le matais depuis le matin, d�s que je suis arriv�.
Il me dit "viens". J'ai vraiment tr�s peur, je ne sais absolument pas quoi m'attendre ! Il m'am�ne dans la salle de la biblioth�que militaire : juste � c�t� de la salle o� nous sommes rest�s toute la journ�e.
Il rentre, je le suis, les volets sont ferm�s, il ferme la porte avec une cl� qu'il sort du porte-cl� de sa ceinture. Il m'embrasse. C'est tr�s sauvage, il me serre contre lui, m'ouvre la bouche avec ses l�vres et rentre sa langue. J'adore ! On s'embrasse pendant, je crois, cinq minutes.

;- C'est moi qui g�re la biblio. Personne ne peut y rentrer, il faut r�server � l'avance... et celui qui avait reserv� aujourd'hui est parti il y a deux heures...

Je comprends tr�s vite que l'endroit est donc plut�t intime...

;- T'es actif ou... ?

Je lui r�ponds que je suis passif. Il m'embrasse encore une fois, un peu plus fort qu'avant. J'en d�duis donc qu'il est actif. Il fait quelques pas en arri�re, enl�ve sa ceinture, baisse un peu son pantalon et il sort une bonne grosse queue ! Je serais incapable d'en dire la taille, tout ce que je peux dire c'est qu'elle m'a bien rempli la bouche !

;- Suce-moi.

Je m'approche, je me mets � genoux et d�s que ma bouche touche son gland, il se met � soupirer tr�s fort. Je fais de bons va-et-vient sur sa bite : il me remplit bien, je sais faire "la gorge profonde", il a l'air d'adorer. Entre deux soupirs, il me chuchote qu'il va jouir. Je continue � le sucer, il comprend que je veux qu'il jouisse dans ma bouche. Quand le sperme commence � monter, il pousse des petits cris de plaisir, il prend ma t�te et la colle encore plus contre son bassin. Je me prends presque une dizaine de gicl�es de sperme dans le fond de la bouche, j'adore, c'est tout chaud. Il sort sa bite, me l�ve et me roule une bonne pelle comme il sait les faire.

;- Ca faisait trop longtemps que j'en avais envie !

S'il savait � quel point j'avais aussi envie de le sucer... Encore quelques minutes � s'embrasser. Je ne sais pas trop ce qui m'attends... Tout d'un coup, sa queue reprend de la vigueur...

;- Tu t'es d�ja fait sodomier ?
;- Oui.
;- Et donc t'aimes bien...?
;- J'adore !

Texto, il me dit qu'il va me d�foncer ! Ca tombe bien j'adore �a ! Il me refait sucer un peu sa bite pour l'humidier : il me prend, me fous totalement � poil, et lui aussi en m�me temps : il n'est pas trop muscl�, un petit peu de pectoraux et un peu d'abdos. C'est pas un m�ga-musclor mais je m'en tape : il a une trop belle gueule, et sa queue est vraiment g�niale ! Il me couche sur le ventre, par terre. C'est un peu froid, et moi qui suis tellement chaud. Avec ses doigts recouverts de salive, il me mouille un peu. Il se couche sur moi, se maintient avec une main sur le sol, l'autre tient sa bite. Je sens son gland frotter contre ma rondelle. "Putain ca va �tre trop bon, tu va voir !" Il s'amuse � frotter de haut en bas son gros gland contre mon p'tit cul : c'est sans doute pour "durcir" encore plus !

Et l�, il appuie tr�s fort contre ma rondelle : je sens son gland rentrer. Ca me fait un peu mal, je suis pas super pr�par�... Il attend un peu, il sort, il rentre � nouveau. L�, il va jusqu'� la moiti� de sa bite. La douleur commence � partir. Il a vraiment une bonne bite ! De nouveau il attend, il sort et il revient. Quand il a enfin pu rentrer sa queue enti�rement dans mon cul, il me chuchote dans l'oreille "T'es pr�t, t'as pas mal ?". Je n'ai absolument pas mal, au contraire je commence d�ja � ressentir pas mal de bien avec sa queue qui reste dans mon cul. "Ok, accroche-toi bien..."

Il commence � me limer, il y va de plus en plus vite. En moins de 30 secondes, il est d�ja en train de me d�foncer. J'adore sentir sa bite frotter contre la paroi de mon anus : il me remplit bien ! Il y va tr�s fort : je sens cependant qu'il ne va pas totalement "au bout" de mon cul. Il soupire un peu, je g�mis. La position n'est pas super confortable. Il sort, il se met � genoux, il entoure mon bassin avec ses mains et il me mets � quatre pattes, d'un seul coup. "Tu va encore mieux sentir ma bite".

Il rentre d'un seul coup, tr�s fort ! Je sens sa bite toucher le fond de mon cul, il va jusqu'� la prostate ! A chaque fois qu'il la touche avec sa bite, je gueule tr�s fort tellement c'est bon. Il me met une main sur la bouche. Il me chevauche : il a mis ses jambes de chaque c�t� des miennes. Sa bite, je la sens mille fois mieux que tout-�-l'heure ! Il y va : il me d�fonce vraiment ! Il rentre, il sort, ils enchaine les va-et-vient, il va bien au fond. Je ne peux pas gueuler mais c'est pas l'envie qui manque : c'est tellement bon ! Il souffle tr�s fort, juste � c�t� de mon oreille, et je l'entends me dire "T'aimes �a, hein ?", "T'as un cul trop bon", "T'adores te faire d�foncer", "J'te baise bien !".

C'est vrai qu'il me baise super bien. Il a trouv� mon point sensible : ma prostate. Il s'amuse, il appuie tr�s fort dessus, il sait que �a me fait gueuler ! C'est vraiment trop bon !
Il doit sentir qu'il va jouir. "J'peux jouir ton cul ?". J'en ai trop envie ! D�s que je dis "ou�", je sens tout de suite des gicl�es de sperme bien chaud tout au fond de mon cul. Il g�mit tr�s fort, moi en m�me temps, il a enlev� sa main de devant ma bouche. Quand il a fini de jouir, il sort de mon cul, et m'appuie sur le dos pour que je me couche. Il s'effondre sur moi, je sens tout son corps sur le mien. On reste comme �a pendant quelques minutes, et pourtant, m�me apr�s quelques minutes, je sens toujours la sensation de plaisir dans mon bas-ventre.

Il m'embrasse tendrement. "C'�tait trop bon...". On se rel�ve, il prend mes v�tements, il me rhabille. Pendant que je refais mes lacets, il se rhabille devant moi. On s'embrasse encore. Il regarde vite fait avant de sortir : il n'y a personne. On sort. Il me laisse son num�ro, il me dit de l'appeller quand je suis rentr�. C'�tait triste de le quitter aussi vite, j'aurai voulu rester avec lui... Je regarde ma montre : il m'a bais� pendant plus d'une heure ! c'est pass� super vite ! Je quitte la caserne, il me fait un coucou � travers la grille du portail et je vais rejoindre mon bus.

Quand je l'ai appell�, il m'a dit pleins de choses sur lui, il m'a dit qu'il a tr�s envie qu'on se revoit, et pas uniquement pour du sexe... J'ai vraiment tr�s h�te de le revoir !

Maxime

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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