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Premier fistEn mati�re de domination, je voudrais te raconter mon premier plan cho. C'est en ao�t 1983, je vais rejoindre, en voiture, des copains � La Baule. J'ai tout mon temps et j'ai d�cid� de m'arr�ter en route. D'abord � Bordeaux que je connais tr�s peu. J'ai mon Guide Bleu pour les mus�es et les �glises mais j'ai aussi mon petit GayPied.J'ai pris une chambre dans un petit hotel, pas glorieux mais pas cher du tout. Que faire en fin d'apr�s-midi? Les bars ne sont pas encore ouverts. J'ai vu dans le guide qu'ils signalent 2 saunas, l'un mixte, l'autre r�serv� aux hommes avec r�duction �tudiants et militaires. Mon exp�rience se limite � une visite dans un endroit de Toulouse qui ne m'a vraiment pas convenu. J'h�site un peu, mais comme toujours, lorsqu'il s'agit de pouvoir donner un peu d'air � ma queue, je fonce ! J'ai beaucoup march� pour le trouver ce sauna, un quartier un peu glauque, mais tr�s bonne surprise, l'endroit est neuf, rutilant et a �t� con�u � cet usage. Evidemment, avec mes 20 ans, je ne passe pas inaper�u. Je me fais brancher illico et je me suis probablement fait toucher et pomper un peu, j'ai oubli� le d�but. Dans une des chambres, un mec tr�s poilu, � genoux, les mains attach�es dans le dos, des pinces sur les seins, la bitte et les couilles ligatur�es. Ma bite r�agit instantan�ment au spectacle et le petit pagne ne cache plus rien. Un mec � cot� me balance sa main sur la tige mais je le repousse, ce n'est pas �a que je veux. Je fais de mon mieux pour m'approcher autant que je peux et le grand schleu me remarque. Il me dit (heureusement en fran�ais): "Tu es int�ress�?" "Tu veux m'ob�ir aussi?" Nous restons donc � 4 avec celui qui gardait la porte. Lui aussi avait �t� recrut� sur place, comme porte serviettes et gardien de porte. Il est de Bordeaux, pas terrible, assez mince et pas tr�s bien foutu, mais je d�couvrirai plus tard son savoir faire. Le soumis en revanche est un beau mec, aussi brun que son ma�tre est blond, bien proportionn� et surtout extr�mement poilu. Peter lui dit de se pr�senter � moi et l'autre de se relever pour venir se monter � moi, il se tourne, montre son cul en se baissant (je d�couvre qu'il a le trou bien d�gag�, sans un poil), me fait voir sa bouche bien ouverte et finalement s'aplatit � mes pieds pour me les l�cher. Putain mec, je n'en pouvais plus! J'ai senti tout de suite comme �a allait me plaire. J'ai vite fait de dire discreto � Peter que je n'avais aucune exp�rience. �a l'a d'autant plus allum�:"Alors je vais te donner quelques le�ons!" On a commenc� par d�tacher le slave et il m'a montr� comment faire de bons noEuds sans blesser. Le meilleur a �t� le travail des couilles. On les �tir�es au max puis on a fait des tours et des tours avec la corde jusqu'� ce qu'elles soient compl�tement tendues au fond de la bourse, comme si tout allait p�ter. L'autre couinait un peu, et de temps � autre Peter lui balan�ait une baffe en lui disant de la fermer ou qu'alors.. Quand on les a eu bien attach�es, Peter m'a dit de les malmener un peu, il m'a montr� que d'une pichenette, tu sais, un coup d'ongle, on provoque une douleur � faire trembler tout le corps. Il m'a pass� un briquet en me disant "Allez, chauffe le un peu" �a me fout un peu la trouille mais c'est trop excitant pour r�sister! Peter m'a donn� l'opportunit� de m'essayer � donner des ordres moi aussi, je crois qu'il a vite compris que j'�tais en train de d�couvrir ma nature et �a l'excitait. Lui s'est veng� sur l'autre, le bordelais maigrichon, il lui foutait ses pieds dans la gueule, le faisait ramper en le traitant de tous les noms dans un m�lange des 2 langues. Il a ensuite voulu qu'on les fesse en cadence, chacun le sien, on leur a foutu une d�rouill�e jusqu'� ce qu'ils aient le cul en feu! L'�clate totale pour moi! J'en avais tellement r�v� et voil� que je le faisais vraiment! Il lui a d�tach� les mains, mais pas les couilles et lui dit de se mettre sur le dos, les jambes �cart�es au max. Ils avaient tout pr�vu et je me suis retrouv� avec un gant de latex sur ma main droite � commencer � lui pr�parer la rondelle. Ils avaient aussi un super lubrifiant. Le slave se laissait faire comme s'il avait �t� chez le dentiste. J'ai rentr� un doigt, puis un deuxi�me, puis trois. L� Peter me dit qu'il faut faire une pause avant d'�largir encore, qu'il faut bien le travailler, masser l'int�rieur pour d�tendre les muscles. Ce qui m'�tonnait c'est que de temps en temps il lui foutait un coup sur les couilles qui le faisait se contracter autour de mes doigts, un vrai salopard! Je crois r�ver, j'ai ma main dans on cul jusqu'au poignet et il s'�clate � mort. Sa bitte est band�e � bloc! La sensation est superbe, c'est tr�s chaud et bien vivant, �a bouge un peu partout l�-dedans. Peter me dit que je peux en profiter un moment pour faire bouger mes doigts et essayer de rentrer un peu plus. J'ai quand m�me peur de faire une connerie et je me retiens. Encore quelques minutes et le slave montre des signes de faiblesse, Peter me fait signe de sortir. A voir la grimace et � entendre le feulement du mec �a lui a fait plus mal que quand je suis entr�. Il avait l'air vraiment �puis� mais Peter lui a foutu la gueule sur ma bite et lui a dit de me remercier en me vidant les burnes dans sa bouche. Ce qu'il a fait, consciencieusement jusqu'au bout. Pendant ce temps lui avait pris le bordelais aux oreilles et debout, lui d�fon�ait la gueule � grands coups de queue. Nous sommes all�s prendre une douche ensemble tous les 4, et je me souviens qu'il a continu� � jouer avec eux, les faisant aboyer et leur faisant renifler son trou du cul. Moi j'en pouvais plus, on a pris un verre et je suis rentr� dormir deux heures, rempli d'une grande perplexit�. PierreR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |
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