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Premi�re sodomie

Voici une nouvelle histoire qui m'est arriv� il y a six ans environs.
Un coll�gue de bureau, que je voyais un peu en dehors du travail et qui vivait avec un colocataire se trouva dans une d�licate position un soir ou son colocataire invita une conqu�te f�minine pour la soir�e, voir plus.
Contraint par la force des choses de quitter les lieux, le temps d'une soir�e, il vint chez moi et je lui proposait de dormir sur place pour arranger ses affaires. Christophe (c'est son pr�nom) accepta rapidement. L'ennui c'est que mon petit appartement nous obligeait � dormir dans le m�me lit. Apr�s une recherche de solution, nous avions conclu que finalement cela ne nous d�rangeait pas. Nous pass�mes la soir�e en ville et rentrions assez tard dans la nuit.
Nous nous sommes couch�s et rapidement endormi.
Pendant la nuit je fus soudainement r�veill� sans raison apparente. Nous �tions tous les deux allong�s sur le ventre et ma main caressait le bas de son dos.
A cet instant il se r�veilla aussi, et se mit en chien de fusil de telle sorte que sa queue fut un peu d�gag�e. Je laissais glisser ma main vers le bout de son sexe tendu.
"On ne devrait pas" me dit il.
Pourtant, dans sa voix je ressentais plut�t un "branle moi" qu'autre chose. Je continuais � saisir son sexe et me mit sur le cot�. Je senti sa main venir me prendre ma verge tout aussi dur. Elles avaient toutes deux une taille similaire ce qui me d��u un peu compte tenu de mon fantasme particulier � jouer avec des �normes sexes, le mien n'�tant pas un mod�le du genre.

Malgr� tout, je continuais � lui faire du bien. Il se sentait sans doute � l'aise et se mit sur le dos. Je fus pris d'une envie forte de le sucer. Je relevais son tee shirt et commen�a � lui embrasser le torse. Il l�cha ma queue et se laissa faire. Courb� sur lui, je descendais lentement et vint finalement le prendre en bouche. Sa queue bien que modeste �tait bonne. Je faisais de long va et viens et lui l�cher de haut en bas.
Parfois, je passais le bout de ma langue sur la base du gland, comme j'aime le faire, ce qui le fit gonfler un peu plus et cabrer ses reins. J'�tais tr�s habitu� des fellations car c'est mon p�ch� mignon. J'aime donner du plaisir au mec. Un soir bien arros�, il s'�tait l�ch� � me confier qu'il aimait que les femmes le sucent mais que cela ne le faisait pas jouir. En me rappelant ses paroles, une sorte de d�fi vint � moi.
Mais alors que je redoublais d'effort pour r�colter son miel, il se redressa et mit ses mains sur mes hanches. En deux coups de cuill�res � pot et sans que je n'ai le temps de r�agir, je me retrouvais � genoux, la t�te pos�e sur l'oreiller pr�t � me faire sodomiser. J'avais eu jusque la, bon nombre de rapport homo mais je n'avais jamais �t� p�n�tr�. En fait, � bien y r�fl�chir, je n'avais de ma vie que sucer de grosses queues et inonder ma bouche que de sperme chaud.
Je me retrouvais dans une position nouvelle et mon pucelage risquait de partir d'un coup de rein. Je le laissais faire. Il frotta son sexe raidi par le plaisir le long de ma raie quelques longs instants.
J'attendais avec impatience, f�brile. Soudain, d'un coup de rein, alors que je ne m'y attendais pas, il me p�n�tra avec force et vigueur. Je n'ai pas souvenir d'avoir ressenti une douleur.
Peut �tre �tait ce une chance qu'il ne fut pas monter comme un cheval.
Nous n'avions rien pr�vu, tout �tant improviser; ni gel, ni capote. Rien. Il commen�a les aller venu dans mon intimit�. Je compris, pour la premi�re fois de ma vie, le plaisir que pouvait ressentir un mec � se faire enculer. Parce que du plaisir, j'en ai eu ce soir l�. Christophe avait le "d�faut" d'�tre long � jouir et la p�n�tration a dur�e assez pour me faire jouir deux fois de suite.
Une fois qu'il eu son plaisir, il se retira et se coucha sur le cot� en me tournant le dos. Il l�cha un "excuses moi, je suis fatigu�" puis se rendormi. Visiblement g�n� d'avoir pris son pied et de s'�tre d�voil� devant un coll�gue de bureau. Nous n'en n'avons jamais reparl� mais nous avons �trangement r�it�r� nos �bats � deux reprises.
Depuis je me suis fait sodomiser par une ou deux autres personnes pas plus, j'en ai suc� quelques autres et j'attends toujours un monstre de la nature pour me faire pousser ces r�les inconnus pour moi.

Nico

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R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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