UNE PREMIERE FOIS INOUBLIABLEMon histoire se d�roule � La R�union. Je suis mari� et j'ai des enfants qui ont grandis. Je pensais depuis quelques ann�es de plus en plus au sexe d'homme et �e me donnait la trique quand j'y pensais. Je devenais donc (ou l'�tais-je toujours) gay. J'ai fait mon service militaire parmi des commandos, et j'�tais parfois troubl� par le sexe de mes camarades sortant de la douche, je repoussais ces pens�es obs�nes qui m'obs�daient car j'ai �t� �duqu� dans une mentalit� o� le masculin l'emportait sur le f�minin comme on dit. Pendant mon service militaire, j'ai vu une fois, Jim, un sergent noir africain, tr�s sympathique au demeurant, qui sortit un jour de la douche devant moi. C'�tait la premi�re fois qu'on douchait dans le m�me cr�neau horaire, on n'appartenait pas � la m�me compagnie. Il avait un sexe �norme et en �rection, sur le coup je n'ai pas pens� � la longueur que �a devait avoir, mais aujourd'hui je pense qu'il devait faire 24 ou 26 cm sur 7 cm de diam�tre, un engin comme je n'en avais jamais vu, ni en image, ni r��llement. J'�tais interloqu�, comment quelqu'un pouvait-il avoir un truc aussi �norme. Il compris mon trouble car il devait �tre habitu� � la r�action des mecs en le voyant dans la tenue d'Adam. Il s'approcha de moi, les autres rigolaient de me voir ainsi troubl�. Jim, comme on le surnommait, me mit la main sur son sexe, encore mouill� qu'il n'avait pas essuy�. J'ai failli m'�vanouir d'�motion. Je lui sortit une vanne pour cach� mon visage tout rouge. "Eh ben dis donc, quel belle cravate tu as toi !!". C'�tait nul mais je n'avais rien trouv� d'autres. Il rigola, un sergent-chef entra pour nous dire de nous grouiller. Il partit se pr�parer. Je restais l� bouche ouverte. J'entrais dans la douche et me masturbais en pensant � ce sexe que j'ai tenu quelques secondes. qui dura des ann�es... ma main droite n'avait pas pu se refermer quand j'avais touch� son bidule... Je terminais mon service obligatoire sans l'avoir vu de nouveau, et j'�tais trop timide et trop peureux de prendre contact avec lui, de toute fa�on il m'aurait d�chirer avec ce qu'il avait comme matraque. J'appris de toute fa�on aussi qu'il �tait h�t�ro et s'amusait plut�t avec des histoires de gays. On n'avais pas le choix, dans mon �le tout acte gay �tait condamn� par le peuple d'abord, mais aussi parmi nous, soldats. Je compris qu'il fallait enfermer ces sentiments au plus profond de moi et dans ce temps-� (ann�es 70-80) il �tait hors de question de faire un coming-out, m�me si aujourd'hui �a a un peu �volu�... Je ne parlais � personne de ce que je ressentais et prenait autant de plaisir � sortir avec des femmes, jouissait en elles, etc... avec des comportements on pourrait dire normaux. Il arrivait, n�anmoins, que pendant le plaisir de l'acte, je m'imaginais recevoir une bite d'homme dans le fion, mais �a n'allait pas plus loin si l'on peut dire. L'id�e me venait que je devais consulter un psy, mais l'exemple d'autres amis ayant "consult�s" et ayant une attitude encore plus bizarre me faisait r�fl�chir. Les ann�es ont pass�es et j'ai eu une vie "normale" si l'on peut dire, auto-boulot-foyer-dodo... Un jour, � 51 ans bien sonn�, pendant mon travail j'allais un jour sur un site web d'homos et commen�ait par curiosit� � regarder des photos et des vid�os de gays. Cela m'excita comme pas possible. J'avais envie d'�tre sodomis� par un de ces gars. Je mis donc une annonce avec mon adresse mail et msn sans trop de conviction. Un jour, un homme que j'appelerais Tony, et de mon age, me contacta par mail, il �tait gay-actif, mari�, je me connectais ensuite par MSN pour lui parler. On discuta pendant 1 heure, me donna rendez-vous chez lui en l'absence de sa femme. Enfin ma premi�re fois arrivait. Il habitait � l'autre bout de l'�le et je devais trouver un moyen de me lib�rer du boulot. Cela fut fait un beau jour. Il me signala qu'il �tait libre. Je pris ma voiture, tout tremblant comme une nouvelle mari�e, conduisit avec l'esprit dans un nuage et arriva devant sa maison. Il me fit entrer en me prenant par le bras et regardant alentours. Il me semblait avoir la fi�vre tellement j'�tais excit�.. On parla un peu, et il commen�ait � m'embrasser, je me laissait faire et l'embrassais moi aussi. Il se mit tout nu et m'invita � faire de m�me, j'avais une trique incroyable � cause de l'excitation. Allong�s tous les deux, on s'embrassa longuement. On fit un 69, m�morable. Il partit prendre une capote qu'il enfila rapidement en me rassurant qu'il allait �tre doux pour ne pas me faire trop mal. Il me lubrifia l'anus, me p�n�tra doucement. J'avais mal, avait l'impression que j'allais �tre d�chir� par ce sexe, qui n'�tais pourtant beaucoup plus gros long que le mien, environ 15 cm, mais quand m�me bien plus �paisse. Je lui criais d'arr�ter, il le fit, me demanda d'�carter plus mon cul avec mes mains pendant qu'il rajoutais plus de gel, je m'executais, et il essaya de nouveau, cette fois-ci ce fut bizarre, la douleur fut moins grande et m�me si je le sentais �norme, je commen�ais � jour � mon grand �tonnement. Je lui demandait d'y aller compl�tement, il me laboura le ventre dans plusieurs positions, j'en voulais encore plus et mon pauvre amis transpirait. C'�tais le bonheur complet pour nous. Il s'arr�ta, �puis�s mais combl� en ce qui me concerne. Je n'avais jamais imagin� ressentir un tel plaisir. Je le quittais en lui donnant rendez-vous pour un autre jour. Et depuis je pense d�j� avec excitation � ce moment � venir. Farid974R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |