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Pompiers d'�lite

" Recherche gar�ons gays 18-22 ans sportifs, pr�ts � s'engager sans limite dans le corps d'�lite des pompiers ". J'avais r�pondu � cette annonce dans un magazine gay il y a maintenant deux mois. ;J'avais d'abord re�u un mail me proposant de me connecter � un site internet o� �tait d�crit le fonctionnement de ce corps d'�lite. Les aspirants pompiers, apr�s une s�lection drastique, �taient recrut�s uniquement parmi des candidats gays et subissaient pendant 6 mois un entra�nement intensif afin qu'ils soient au top de leur forme physique et psychique pour r�aliser des missions d'exception. A l'issue de ce stage, ils devaient passer toutes les �preuves probatoires pour �tre incorpor�s dans le corps des pompiers d'�lite. Ils signaient alors un engagement de 5 ans en acceptant d'�tre 24h sur 24 et 7 jours sur 7 � la disposition de leur corps de troupe. Il s'engageaient aussi � n'avoir de relations sexuelles qu'avec les autres pompiers et � ob�ir sans r�serve aux ordres qui leur �taient donn�s.

Quelques pages d�crivaient la vie � la caserne. Une large place �tait r�serv�e au sport avec en moyenne 3 heures par jour de pratique. Le centre de formation et la caserne disposait d'une piste d'athl�tisme, de terrains de sport, ;d'une piscine, d'une carri�re d'�quitation, d'un gymnase et d'une salle pour la pratique des sports de combat. Des sorties en for�t �taient r�guli�rement organis�es pour s'entra�ner au marathon ou pour faire du cyclisme dans le cadre du triathlon. Chaque pompier devait aussi pr�parer une formation afin qu'il se reclasse facilement � la fin de son engagement. Entre les entra�nements, la formation et ;les interventions l'emploi du temps �tait bien rempli et justifiait pleinement l'exigence d'une vie en internat. L'h�bergement se faisait en chambres de 8 avec des sanitaires communs. De nombreuses photos illustraient le site et on pouvait observer des minous craquants s'entrainant � poil dans la piscine, courant dans les bois avec juste un petit short bleu marine hyper moulant ou prenant une douche dans une atmosph�re de joyeuse camaraderie.

Apr�s avoir surfer sur ces pages, j'ai ensuite �t� aiguill� vers un questionnaire en ligne tr�s complet. Je devais d�cliner nom, pr�nom, date de naissance, niveau d'�tudes, mensurations y compris celle de ma bite au repos et band�e. Un espace �tait r�serv� pour t�l�charger des photos. Je devais �galement d�crire en d�tails mes exp�riences sexuelles et mon statut s�rologique. Enfin je devais accepter un engagement par lequel je d�clarais �tre totalement disponible.
Quelques jours plus tard je recevais un mail m'annoncant que ma candidature avait �t� accept�e et que je devais me rendre la semaine suivante au centre de s�lection pour 3 jours.
C'est ainsi que je me retrouvais dans la cour de la caserne des pompiers d'�lite de la r�gion parisienne avec une trentaine d'autres minous pour passer les �preuves de s�lection qui devaient durer trois jours. Apr�s nous avoir fait mettre en rang par deux nous f�mes dirig�s vers un vestiaire. Un pompier en uniforme bleu marine rentra et nous intima l'ordre de nous mettre � poil, de ranger nos affaires dans le casier correspondant � notre place et de nous diriger dans la pi�ce � c�t�. Un infirmier � un bureau nous remettait � chacun notre fiche o� �tait inscrit notre nom. Muni de ce document un autre infirmier nous mesurait et nous pesait et notait ces donn�es sur la fiche. Un troisi�me prenait nos mensurations : tour de cou, tour de poitrine, tour de taille, tour de hanche et longueur de l'entrejambes, longueur des bras et pointure. Il ne se privait pas pour pincer les t�tons, tater les couilles ou mettre un doigt dans le cul des minous qui lui semblaient � son go�t.
Un quatri�me infirmier devait nous mesurer la bite en �rection. Pour cela il faisait s'agenouiller le candidat qu'il venait d'examiner et l'obligeait � sucer son copain qui suivait dans la file. En g�n�ral le spectacle offert aux autres qu'y attendaient suffisait � se faire se dresser les queues et la pipe ne venait que parfaire le travail pour que l'infirmier puisse mesurer longueur et circonf�rence des engins dans les meilleures conditions. L'infirmier finissait le suc� en le branlant pour recueillir sa semence afin de mesurer le volume et d'en analyser la qualit�. Il le faisait ensuite s'agenouiller pour sucer le suivant dans la file.
Une fois ces op�rations r�alis�es, les minous �taient dirig�s dans une salle d'attente o� �chauff�s par la derni�re �tape les mecs s'embrassaient, se caressaient, se branlaient et se sucaient all�grement dans une jolie partouze. Un pompier surveillait que les mecs ne s'enculent pas � cette �tape de la s�lection comme l'indiquait plusieurs panneaux dans la pi�ce. Je me retrouvais avec un mec qui me sucait la bite, pendant qu'un autre me bouffait le cul et que je me penchais pour sucer un quatri�me. Tous les mecs finissaient par jouir sans retenue et une forte odeur de foutre dominait dans la pi�ce.

Un pompier qui avait ramass� toutes les fiches des participants avait ouvert un placard o� �taient stock� les uniformes. Pour porter pendant la dur�e de la s�lection, il ne fut remis aux candidats qu'un short bleu marine bien �chancr� et bien moulant, un jock strap, un tee-shirt et une paire de basket. Apr�s avoir s�lectionn� les bonnes tailles en fonction des mensurations il appelait chaque minou pour lui remettre son paquetage. Il les aidait � essayer, non sans leur caresser le cul ou le torse ou leur peloter la bite. Plus d'un eu droit � un doigt bien enfoncer dans le cul. Alors qu'il venait juste d'enfiler son jock-strap, un petit blondinet se fit caresser le cul � deux mains, le pompier le plaqua contre lui et lui roula une pelle magistrale avant de l'obliger � s'agenouiller pour qu'il lui fasse une bonne pipe. Le blondinet aux l�vres �paisses avala la bite sortie de la braguette sans se faire prier et le fit jouir rapidement dans sa bouche en avalant tout son foutre sans en perdre une goutte.

Habill�s, on nous demanda de nous mettre en rang par deux en choisissant le partenaire avec lequel on avait envie de baiser. Il y eu un peu de confusion car � ce stade tous les mecs en avaient d�j� essay� trois ou quatre et beaucoup ne savaient pas lequel choisir. Moi m�me blond aux yeux marrons, 1m75 62kg, imberbe du torse, circoncis, j'avais choisi Fr�d�ric, brun aux yeux bleus de ma taille, qui avait r�ussi � me faire jouir en me faisant une gorge profonde et qui m'avait mass� le gland de ma bite de 22cm jusqu'� ce que je jute au fond de sa gorge. Il avait accept� mon invitation car je pense qu'il avait appr�ci� mon travail de ses t�tons et mon bouffage de son petit trou. Nous nous dirige�mes vers le r�fectoire ou un d�ner copieux et de bonne qualit� nous f�t servi.

Apr�s le d�ner on nous projeta une vid�o sur la vie des pompiers d'�lites. Un reportage tr�s int�ressant nous montra une grande vari�t� d'interventions qui toutes se passaient dans des conditions difficiles qui imposaient la plus totale discipline. A l'issue de chaque intervention un debriefing permettait de f�liciter les pompiers qui avaient �t� exemplaires mais aussi de sanctionner les erreurs commises. Les sanctions �taient aussi montr�es en d�tails : pompier nu fouett� bras et jambes attach�s en croix, abattage par toute la chambr�e qui enfilait une capote avec des petits picots qui ramonaient bien le trou du cul du puni, vidage total des couilles par s�rie de branles faites par des coll�gues (5 ou 6) puis gr�ce � un plug m�talique reli� � une �lectrode...
Une deuxi�me partie �tait consacr�e � l'entra�nement. La natation se pratiquait sans maillot que ce soit pour encha�ner des longueurs ou pour pratiquer des courses. Durant les courses, les nageurs qui attendaient leur tour ou qui avaient termin� n'h�sitaient pas � se tenir par le cou avec un copain, � s'embrasser, � se caresser o� m�me � sucer ou � enculer un coll�gue sur le bord de la piscine pour se d�lasser. La lutte faisait partie des entra�nements quotidiens obligatoires. Il se d�roulait en trois combat. Pour le premier combat chaque pompier �tait v�tu d'un maillot de bain rouge ou bleu. Le fait de retirer le maillot de son adversaire d�s lors qu'on le ma�trisait faisait gagner des points de m�me que le fait de maintenir une �rection durant le combat. Bien s�r, le but de la lutte est d'immobiliser l'adversaire au moins trois secondes. Le deuxi�me combat se d�roule dans les m�mes conditions mais en jock-strap : l� le fait de mettre un doigt dans le cul de l'autre permet aussi de gagner. Enfin le dernier combat se d�roule compl�tement nu. Si on immobilise l'autre combattant et qu'on r�ussi � lui mettre sa bite sur la bouche on gagne encore des points. Le vainqueur (celui qui a le plus de points) dispose alors du vaincu et peut lui imposer toutes ses volont�s jusqu'au lendemain matin. La video nous montre la fin d'un combat o� le vainqueur se fait sucer et encule le vaincu bien � fond. Pour un autre combat le vainqueur emm�ne le vaincu dans le donjon de la caserne et lui fait subir pendant toute la nuit les pires supplices. Un dernier reportage nous montre l'entra�nement � cheval : les pompiers montent � cru nus ou en jock-strap. Les g�missements de plaisir ne peuvent pas venir du simple plaisir de l'�quitation. La cam�ra se fait plus pr�cise et nous montre le moniteur enfoncant un plug dans le cul du cavalier avant qu'il soit juch�s sur sa monture. En g�n�ral 5 � 10 mn de trot suffisent au pompier pour l�cher sa semence.
La troisi�me partie d�crit en d�tails et sans aucune censure la vie de la caserne et de ses pompiers. La camera nous emm�ne dans une chambr�e o� deux minous s'enculent vaillament apr�s un 69 torride. Un chahut dans les douches nous montre un jeune pompier qui vient de s'engager qui se fait bizuter: enculage � la cha�ne par 12 pompiers avec double p�n�tration. Entre deux interventions un petit groupe de 4 fait une partie de cartes qui se termine par des gages coquins pour les perdants.
La fin du film est tr�s applaudie par les minous qui s'imaginent d�j� avec une ou plusieurs bites dans le cul plusieurs fois par jour pour les 5 ans � venir.

Nous sommes ensuite conduits au dortoir meubl� de lit superpos�s. Chaque lit est accol� � un autre lit de fa�on � former un lit � deux places. Les lits nous sont assign�s de telle fa�on qu'on se retrouve avec le partenaire que l'on avait s�lectionn� lorsque l'on s'�tait mis en rang. Un pompier vient �teindre les lumi�res en nous expliquant une nouvelle fois que l'on peut tout faire avec notre partenaire sans s'enculer. Il explique qu'une cam�ra infrarouge nous surveille et que ceux qui seraient pris conna�traient une punition encore plus s�v�re que celles que nous avions vu dans la vid�o.

Fin de la premi�re journ�e.

Pinpon

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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