PLAISIR DINGUE EN BAGNOLEHistoire d'une rencontre en Provence en juillet dernier : Il y a un moment d�j� que je me branle, c'est bon, l� presqu'� poil dans la bagnole. Je roule, j'ai d'abord vir� ma chemise, j'en pouvais plus de me caresser les tits � travers, et puis il fait si chaud. Torsenu, au volant, je me caresse le torse, les poils, je me titille les t�tons, soupirs, plaisir ; j'arrive pourtant � me concentrer sur la conduite ; ma queue, elle, se sent de plus en plus � l'�troit. Je d�grafe mon fute, la braguette descend, je glisse deux doigts, hmm, entre les poils ; pas de slip, ma tige tendue s'extrait ; odeur de sexe, je g�mis hmmm ; maintenant je voudrais un mec � prendre en stop. Mais ma bite s'en fout, fr�missante, je l'aide � sortir de mon futal que je descends ;un peu, lib�rant mes couilles. J'�carte les cuisses, ma queue se tend, je la cale entre mes abdos et la ceinture, et je me remue un peu le cul pour cr�er un l�ger va et vient tellement jouissif. Voil� des ann�es que je me branle au volant, et je connais bien toutes les mani�res de faire monter le plaisir. Mon gland d�calott� commence � mouiller. J'�vite de me toucher, je continue avec une main de me titiller les tits, et je m'abandonne carr�ment au plaisir, g�missant, haletant, � tel point que je dois penser � me garer quelque part, parce que je ne vais pas tarder � ne plus pouvoir du tout me contr�ler. Je fais glisser mon fute le long de mes cuisses, jusqu'aux genoux, le contact de mes fesses nues sur le si�ge renforce mon plaisir. Je mets mon clignotant � droite et vais me garer sur une aire ; au fond, personne, je suis tranquille. J'arr�te le moteur, j'enl�ve mes chaussures, fait glisser le pantalon. Je recule le si�ge, et l� c'est le pied total, nu, en rut, cuisses �cart�es, un doigt dans le cul, je me caresse de partout, je g�mis, ma queue devient gluante de mouille. Quelqu'un frappe au carreau de la vitre de la porti�re. Flag ! Un mec, jeune, brun, il sourit, torsenu ; je suis trop excit� pour avoir honte ou quoi ; je souris ; il ouvre la porti�re, s'assoit � c�t� de moi. La bosse dans son short est une invitation � aller plus loin. Je pose une main dessus.- hmm, oui vas-y, me dit-il dans un souffle. Si�ges recul�s � fond ; j'ai pass� la main sous son short ; comme moi Gabriel n'a pas de slip, j'entre aussit�t en contact avec une bite chaude, douce, dure et qui se raidit sous ma main ; Gab se renverse en arri�re en g�missant ; sa queue ne tient plus dans son ;short, je l'aide � s'en d�barrasser, � se foutre � poil, hmm �a y est, on se serre l'un contre l'autre, chaleur des corps, odeurs de mec, la peau, les poils, queue contre queue, caresses, c'est trop bon, me l�che-t-il, cherchant ma bouche....hmmm nos langues se bouffent �lectrisant tout le reste du corps. Aussi sensible des tits que moi, Gab se tord de plaisir au fur et � mesure que je les lui titille, les lui l�che. Ses hal�tements par saccades me rendent fou ; quand il mordille les miens je me mets � r�ler de plaisir... Hmmm ouais mec, continue, conti...hmm d�licieux, putain tu me fais jouir des tits, ahhhhhhh..... Ma queue mouille entre ses cuisses, je vais l�cher ces traces de jus collant, il les �carte et je d�couvre avec ses couilles, sa raie bord�e de fins poils et qui mouille un peu, sa rondelle fr�missante, j'y pose un doigt, et c'est comme si il allait jouir tout de suite ; j'y reviendrai plus tard ; je remonte sur ses couilles avec ma langue puis le long de sa hampe tendue � mort, je d�pose un baiser sur son gland luisant de plaisir ; Gabriel ferme les yeux, il n'est plus que g�missements doux, sourire craquant, ondulement de tout le corps offert � mes caresses. Oh, ce bonheur de p�n�trer son gland dans ma bouche. Oh, ouiiiii, suce moi, suce moi....J'adore ses encouragements ; je vais et viens sur son sexe en rut, le pompe comme un fou, revient au gland ;lui l�chouille le bout, l'engloutit � nouveau ; on se regarde tendrement ; entre deux profonds soupirs, il se penche sur moi et d'un coup avale ma queue...Hmmm ;ta mouille est trop �paisse, c'est trop bon....Commence un 69 inoubliable qui me fait monter le jus, je suis tellement excit� par ma branle de tout � l'heure et ses caresses... gab....ohhhhhhmmm...je ;vais jouir.... -Oui, vas y vas y mec... Et il acc�l�re ses va et viens que mon sexe qui d�gouline ; c'est trop bon.... Je.... Oh oui je vais.... Ah.....Je juteeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!! explosion de plaisir, je gueule, lui envoie plusieurs jets de foutre chaud sur son visage, son torse, impression que ahhhh encore ouiii encore hmmmm c'est tellement bon..... Il sourit, �tale mon jus sur son visage, son corps, on se frotte l'un contre l'autre, je sens sa queue tellement raide entre le cuisses, il g�mit, cherche ma bite, la nettoie ; il est de plus en plus beau dans son attente d'un plaisir toujours plus grand. Collant de sperme, je l'embrasse longuement, mes doigts s'aventurent sur son corps �lectrique ; il gueule carr�ment quand je glisse sur ses tits ; mais je veux aller plus bas, sa queue mouille abondamment, je l�che tout �a qui descend le long de sa hampe et vient coller douc�tement les poils tout autour. Son precum sort en continu de son gland, je le sens, je m'en frotte le visage, je m'en nourris, ma langue descend de sa bite � la fois si dure et si douce, je me cale entre ses cuisses et commence � l�cher sa rondelle....Ohhhh ouiiii me lance t-il dans une plainte au bord de l'extase ; l'entendre ainsi me fait rebander aussit�t, pendant que j'introduis avec ;langue un doigt dans sa raie. Ce joli cul qui s'ouvre et se ferme au rythme des spasmes de Gabriel me rend dingue. Je rel�ve son bassin, le l�che amoureusement ; je mouille deux doigts dans sa bouche, il me les suce en me murmurant comme il peut ....encore ;;;oh oui encore....Je suis � genoux et ma queue humide et raide � nouveau tape contre son cul pendant qu'il me l�che les doigts ; je me penche pour lui baiser la bouche, nos langues se m�lent tandis que je recommence un doigtage o� mes doits enduits de sa salives glissent encore plus profond. J'en peux plus....prends moiiii... Il a l'air de me supplier ce trop joli qui jouit d�j� de partout. Il me balance ses jambes sur mes �paules, offrant � ma bite raide une entr�e vers de nouveaux plaisirs. A peine le temps de me mettre un pr�so, je ;le p�n�tre en poussant un long g�missement de plaisir absolu tellement ma queue se r�gale � prendre doucement sa place dans ce cul chaud, qu'on dirait fait pour moi. Travaill� par mes doigts d�j�, Gabriel m'accueille avec une joie sans retenue ; en l'espace de quelques secondes nous sommes deux corps en rut � l'unisson dans un va et vient qui nous fait r�ler de bonheur. On se regarde dans le yeux comme pour donner encore � l'autre ce qui pourrait l'�tre. Il malaxe mes t�tons � me rendre encore plus fou que fou, j'ai l'impression que ma queue me pr�pare une explosion incroyable, et je la veux cette jouissance. Gabriel n'en peut plus, il se l�che le bras, se le mord, il hurle, il gueule que c'est trop bon, qu'il va mourir de plaisir. Je le tourne sur le c�t�, je l'encule � nouveau, coll� � son corps chaud, il aime, il aime trop �a... Entre deux hal�tements il me dit juste dans un souffle qu'il est trop accro � la bite.... On est deux je crois, Gab ; et je prends sa queue tremp�e et raide � mort dans mes mains ; ma branle l'ach�ve... Finis moi dans la bouche.... Ahhhhhh.... Ta bouche mec....comment h�siter une minute, je d�cule et avale son manche hypersensible, son corps se tend, il me sort des sons rauques de mec pr�t � juter, je veux son jus l� sur moi, je veux qu'il m'explose � la gueule mon Gab, je le suce, je le doigte, je me branle entre ses cuisses...ahhhh c'est trop bon, je vais,je vais ah AHHHHHHHHHOUIIIIIIIIII..... � peine le temps de retirer sa queue,, ;il �jacule de grands jets de sperme sur moi, j'en ai partout, �a me fit monter le jus d'un coup et je gicle � mon tour en hurlant...l'un sur l'autre, bruyamment on se jouit dessus, dans des spasmes infinis, ahhhh...hmmmouiiii....Epuis�s, on s'enlace, nos jus chauds collent � la peau, se m�langent, il me l�che le visage, nos langues embrass�es restent un bon moment � prolonger ;ce plaisir jusqu'� ce que nos queues gluantes de sperme commencent � d�bander. Je les prends l'une l'autre dans la main pour un calin de bites qui finit d'extraire nos jus. Gabriel finit par me ;dire qu'il m'avait vu arriver ici, qu'il avait devin� et avait compris que je cherchais � me branler dans ma bagnole ; il avait eu la m�me envie, et n'�tait pas pr�s d'oublier cette rencontre. On s'est �chang� nos coordonn�es. Puis apr�s un moment, quelques caresses encore, j'ai d� partir. J'ai repris le volant sans me ressaper tout de suite. La derni�re image que j'ai eu de Gabriel c'est dans le r�troviseur, il s'enfon�ait nu dans le bois, hmmm son joli cul. Je ;sentais d�j� comme une excitation au bout du gland. VladR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |