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pipe by night

Je vais vous raconter ma premi�re " petite " exp�rience gay. Cette histoire n'est pas romantique mais tr�s excitante.

A 19 ans; je me sentais pr�t � avoir une premi�re exp�rience homosexuelle. Un vendredi soir, mon ami gay, (je l'appellerais D), me propose d'aller � Toulouse. Dans la ville o� j'habite, il n'y avait pas d'�tablissement gay, que des lieux de drague, o�, il n'y a pas de jeune ou si peu. Il �tait difficile pour moi de trouver quelqu'un, de plus, � l'�poque j"�tais hyper coinc� et tr�s timide.

D, connaissait un copain plus �g�, gay lui aussi, qui avait le permis et une voiture. Pouss� par la curiosit� et une envie �trange j'accepte de les accompagn�s.
Donc, nous voil� partit pour Toulouse.
Arriv� l� bas en d�but de soir�e, pour commencer. Direction un lieu de drague. D, m'explique que c'est un parc o� les mecs se retrouvent le soir pour baiser. Il faut dire qu'� l'�poque, je n'avais jamais rien fait avec un mec et je ne connaissais rien au sexe entre hommes, n'y aux habitudes et " coutumes " gay.

On entre dans ce parc sombre avec de grands arbres et un petit lac, et des tables de pique nique (plus pour niquer, me dit D). Il y a beaucoup d'hommes qui marchent un peu partout.
D, m'emm�ne vers une sorte de " grange ". Trois murs et un toit. Il y a des hommes, adoss�s aux murs qui on l'air d'attendre, d'autres en " couple " ou � trois se touchent et s'embrassent. Il y a m�me un petit groupe de cinq ou six mecs qui sont rassembl�s en cercle.
Je suis nerveux, stress�, je me pose la question, qu'est-ce que je fais l� ? D, essaie de me rassurer. Lui, je le trouve tr�s � l'aise dans cet " enfer ", je ne le connaissais pas comme �a.
Puis, tout s'acc�l�re, il me prend par le bras et me tra�ne jusqu'au petit groupe, et me dit :
- regarde et r�gale toi !

Je me rapproche, plus pouss� par mon ami que par ma volont�. Je regarde stup�fait et m�dus� par ce qui se passe. On n'y voit pas tr�s bien, mais je distingue tr�s bien les mecs en train de se branler les uns, les autres, il y en a m�me un qui est � genoux et qui suce deux mecs, en alternant une queue apr�s l'autre. C'est excitant, je dois bien l'avouer, je sens ma bite qui durci rapidement, c'est la premi�re fois que je vois un tel spectacle.

D'un coup, mon ami, toujours bien intentionn�, me prend la main et me la pose sur une bite hyper raide. La sensation est terrible, c'est la premi�re fois que je touche une autre que la mienne. De plus, elle est exag�r�ment grosse et tr�s dure, avec un �norme gland que j'aper�ois tout rouge. Je la prends en main, pouss�e par D et je la masturbe vivement. Cela me rend dingue d'excitation. Je sens des mains me caresser les fesses et rechercher mon sexe sous mon pantalon. Tr�s vite, la peur me prend au ventre. Je l�che cette queue et m'en vais rejoindre notre conducteur, un peu plus loin, qui lui ne fait que observer la sc�ne. D, quand � lui, reste l� bas, et je le vois partir dans un coin sombre avec un jeune mec.

Il revient quelques 15 minutes plus tard, en se vantant de s'�tre fait un " petit bourgeois " comme il dit.
Mais il d�chante vite quand il s'aper�oit que ce dernier lui a macul� la chaussure droite de son sperme. Tout ceci nous fait bien rire, le conducteur et moi.
Apr�s ces p�rip�ties, nous nous rendons dans un bar gay. Que des mecs ! Une nouvelle situation et des sensations inhabituelles assez �tranges, m'envahisses, mais finalement me plaisent.

L�, je me sens bien. Certains mecs me regardent avec insistance, cela me procure un sentiment de contentement (cela fait toujours plaisir).
Une heure apr�s, on se rend tous les trois dans une boite tr�s connue de Toulouse, le S.
Entr�e sans probl�me, on se rend au premier �tage pour d�poser nos vestes au vestiaire. Puis, au rez-de-chauss�e, un bar avec une piste de danse, des mecs et filles boivent, discutent et danses. Ensuite on descend au sous sol, deuxi�me bar et piste de danse avec musique techno � fond o� mecs et filles se d�cha�nent. D et moi nous allons sur la piste pour nous amuser un peu.

D me demande si je veux aller au " cot� mecs ". Curieux, je le suis, on passe une porte o� est marqu�e que ce bar est exclusivement masculin. On longe un autre couloir et on arrive dans une salle o� il y a un petit bar et, que des mecs. D et moi continuons la visite, un passage vers une autre salle. C'est une salle vid�o o� une t�l� passe un film porno gay. Sensation encore nouvelle pour moi, � vrai dire, je n'ose m�me pas regarder, je suis trop g�n�. Puis on commande un verre au bar et on va s'asseoir dans la salle vid�o. D me fait remarquer le fond de cette salle.
Je remarque un passage vers une autre salle, il me dit que c'est la fameuse " Back room ". Je croyais que c'�tait une l�gende. Quand je pense que des mecs font des choses sexuelles l� dedans, j'ai des sentiments d'appr�hension et de curiosit� que j'essaie de cacher.

D me demande si je veux y aller, Je lui r�ponds :
- s�rement pas !
- mais ce n'est pas si terrible que �a, regarde.
Il se l�ve, rentre dans la salle par un cot� et quelques secondes plus tard sort par l'autre.
- tu vois, tu ne risques rien.
Il me prend fermement le bras et m'entra�ne dans cette salle. Je me retrouve dans le noir total, D me l�che le bras, je suis rempli d'un sentiment de terreur et je suis t�tanis�. J'attends, sans bouger, que mes yeux s'habituent � la p�nombre pour pouvoir distinguer la lueur de la sortie. Mais plus de lueur, on n'y voit plus rien (la vid�o qui cr�er la lueur c'est arr�t�e).

Je per�ois devant moi une pr�sence et des mains qui essaient de me toucher. Je sais que ce n'est pas D. Pris de frayeur, je recule et me retrouve dos � un mur. Je ne bouge plus, attendant que la vid�o reparte pour voir la sortie. Mais, alors qu'une lueur appara�t, un mec se jette � mes pieds et en moins de quelques secondes me d�fait ceinture et boutons du jean, puis s'attaque � mon slip. Il sort ma bite, qu'il prend prestement en bouche et commence � me sucer. Je proteste en formulant un tout petit non inaudible.

Ma bouche et ma t�te disent non, mais la sensation de sa de sa bouche et de sa langue sur ma queue me fait chavirer de plaisir. Ma bite me trahit en grossissant rapidement jusqu'� atteindre une taille remarquable. J'entends le suceur faire un " hum " de satisfaction. Cette nouvelle sensation me trouble et me comble d'extase.

Je ne dis plus rien, me laissant aller � cette fellation extr�me. La premi�re copine avec qui j'avais couch� m'avait suc� quelques secondes, j'avais �prouv� un peu de plaisir, mais l�, le mec s'y prend si bien, que c'est le nirvana.
Cela continue, il a l'air de se r�galer et moi je savoure cette pipe.

Je sens bien sa bouche glisser le long de ma verge, ses l�vres sucer et sa langue, l�cher le gland, en m�me temps il me branle d'une main et soup�se et caresse mes couilles de l'autre. C'est carr�ment divin, je ressens le d�sir et le plaisir monter � vitesse grand V.
Je l'averti discr�tement d'une voix �trangl�e :
- je vais jouir !

Mais il redouble d'ardeur en se cramponnant � mes fesses. Dans un r�le dissimul� du mieux que je peux, je jouis dans sa bouche une quantit� de sperme qui me semble cons�quente. Je ressent qu'il se ravi de ma semence qu'il avale avec gourmandise. Il finit par quelques coup de langue en pressent mon sexe fermement, histoire de ne pas en laisser une goutte et de bien me la nettoyer. Puis il s'en va, sans rien dire, ni me demander quoique ce soit.
Perturb�, troubl� et un peu soucieux, je remet ma queue dans mon slip, remonte et ferme mon pantalon. J'entrevois la lueur et me dirige vers a sortie.

Dans la salle vid�o, je retrouve D, qui assis, me regarde avec un large sourire et me demande :
- alors, tu y es rest� longtemps ! Qu'est qui c'est pass� ?
Je lui raconte. Il me dit amus� et un peu jaloux :
- et bien toi, tu ne perds pas ton temps ! C'est la premi�re fois que je t'accompagne ici, et en quelques secondes tu te fais sucer par un mec. Tu en as de la chance !
Je ne r�ponds rien et souris en baissant le t�te d'un air g�n�.
Il ne s'est rien pass� d'autre ce soi l�, mais c'�tait d�j� beaucoup pour moi. A 20 ans j'ai rencontr� un mec dans ma ville qui m'a tout appris. Quand on s'est s�par�, je suis revenu ;� Toulouse et au S, seul ou accompagn�, mais �a c'est bien d'autres histoires...

Seithan

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