Cyrillo

Page pr�c�dente

Je suis un p'tit branleur

Quand mon reup a d�couvert que j'�tais un p'tit branleur, il a d�cid� de me couper les vivres jusqu'� ce que je r�ussisse enfin cette putain de premi�re ann�e de droit, ou que je fasse preuve d'un minimum de s�rieux et d'assiduit� dans mes �tudes! L'embrouille qui en a d�coul� m'a �loign� de ma famille, mais j'ai vite regrett� mon sale caract�re et ses cons�quences f�cheuses, habitu� que j'�tais � l'argent facile qui �tait mon lot privil�gi� jusqu'alors.

Trois mois de loyers impay�s : Il est devenu plus qu'urgent que je me fasse de la thune, si je voulais pas me faire virer de mon studio parisien et me retrouver sous les ponts, ou contraint de rentrer � la maison familiale, la queue entre les jambes..

C'est le jour o� le distributeur m'a bouff� la visa que mon p�re n'approvisionnait plus, que j'ai r�ellement d�cid� de taffer : comme je ne sais rien faire de mes dix doigts, et que je suis carr�ment cossard sur les bords, je n'ai pas vu de meilleur plan que de proposer mes charmes physiques - r�els - sur internet pour me sauver rapidement et sans trop d'efforts, et pouvoir poursuivre ma vie tr�pidante de glandeur f�tard....

;

J'ai vite trouv� les sites de rencontre adapt�s, je me suis rendu compte qu'il y avait un " vrai march� "! Ayant p�cho un mec qui me semblait clean, je me suis amus� dans des n�gociations sur les ;limites de la prestation et son prix. Certains les auraient trouv�es sordides: J'y pris un r�el plaisir et conclus finalement positivement ; ;rendez vous fix� le soir m�me � son h�tel avec Harry!

C'est donc mon premier client, New Yorkais, il est beau et encore jeune mais simplement me dit-il, assez riche et trop press� pour ne pas pr�f�rer s'offrir un beau p'tit PD pas farouche � son service plut�t que de perdre du temps � draguer ici ou l�.

;

Dans sa chambre d'h�tel luxueuse, il est vautr� dans un grand fauteuil, pieds nus, la chemise d�braill�e et la cravate d�faite, une bi�re fra�che � la main, l'autre n�gligemment pos�e ente ses cuisses ouvertes, que je devine puissantes � travers l'�toffe l�g�re de son pantalon d'�t�.

Il se frotte n�gligemment la braguette du bout des doigts.... Il m'observe sans sourire, d'un regard appuy� � la fois noir, vicieux et un peu pervers me semble t-il : inqui�tant, pour tout dire !

Je flippe � mort, mais je suis all� trop loin pour reculer - de toutes fa�on la chambre est ferm�e � clef et la clef dans sa poche : je ne peux plus me barrer en courant ! - et puis y'a 150 euros mini � se faire pour le job, peut �tre plus si il est content de moi m'a- t-il dit au t�l�phone : alors je cr�ne, et le fixe � mon tour, le beau businessman tout frais, d'un regard arrogant, un sourire ironique et provocateur sur mes l�vres que je caresse doucement du bout de la langue.

;

Il me fait peur et il m'attire en m�me temps.

;

A sa demande br�ve et autoritaire, je me dessape lentement devant le grand miroir de sa chambre.

Mes skets valsent � travers la pi�ce, puis mon teeshirt glisse facilement sur mon torse dor� que je lui laisse admirer... mon jeans descend enfin plus difficilement sur mes cuisses, pour finir en tire-bouchon sur mes chevilles que je d�gage l'une apr�s l'autre.

Mes fringues sont maintenant en tat � mes pieds et je suis en boxer, je ne sais plus trop comment continuer... je vois que la bosse de son fut commence � enfler, et devine sa queue qui se dessine, se raidit et qu'il caresse maintenant � travers sa poche, sans faire mine de se d�shabiller, ni de me rejoindre.

Son �rection provoque un d�but d'excitation chez moi, facilement rep�rable � travers mon calbut qui ne cache plus grand chose de mon �tat intime..

;

Alors je commence � m'approcher de lui: il me repousse violemment ;

Surpris, je tr�buche en arri�re et tombe sur un gu�ridon qui se renverse dans un bruit de craquement : je le regarde, je panique...

" Don't touch me, mon petite pute. Caresse toi, fais ;jouir toi devant le glace, je occuperai moi de toi apr�s que tu seras vid� ton petites couilles "..

;

J'essaie de calmer les battements de mon coeur, retrouve ma respiration et mon calme : " assure, mon pote " me dis je en moi m�me ! "Pas d'affolement, ;tout est sous contr�le ! "

;

Je me retourne alors vers le miroir sans m'int�resser plus � lui, et me regarde, presque nu, satisfait de ce que je vois..

;

Sous mon front bas, mes sourcils en accent circonflexe, dont l'un est l�g�rement d�form� par une cicatrice ancienne, ;soulignent mes yeux au regard moqueur, une l�g�re convergence leur conf�rant une intensit� troublante et toute sensuelle,

Mon corps de sportif, aux reliefs affirm�s met en valeur mon ventre plat et ferme partag� en deux par une ombre de duvet blond qui s'�tire jusqu'� disparaitre en dessous de mon nombril. Mes pectoraux imberbes dessin�s et la cambrure de mes reins au dessus de mon cul ;dur et rebondi attirent infailliblement l'oeil, faisant ainsi oublier ma relative petite taille,

Mon visage d'ange au regard de d�mon me sourit dans la glace, ma bouche charnue et ouverte laisse appara�tre mes dents blanches, brillantes et r�guli�res que je caresse de ma langue humide,

Mes cheveux coup�s courts depuis cet �t�, encore blondis par le soleil et la mer, devenus presque jaune, ;flattent l'ovale de mon crane,

Mes oreilles, petites et l�g�rement d�coll�es et mon nez court et fr�missant ;donnent � mon visage une impression ;sauvage et animale...

;

Je me caresse doucement le torse avec d�lice, puis saisis brusquement � deux doigts mon t�ton gauche, le malaxant et le pin�ant jusqu'� le faire durcir et raidir, point� en avant. cette petite " cruaut� " me fait �mettre un premier g�missement sourd de plaisir..

Ma main descend jusqu'� mon sexe que je caresse � travers le tissu tendu de mon cale�on. Il est d�j� gonfl� et fr�missant. Il ;d�forme le boxer que je fais glisser � son tour lentement sur mes cuisses, et qui tombe finalement au sol.

J'attrape fermement ma queue maintenant tendue comme un arc, �trangement pro�minente, mes deux ;boules gonfl�es et bien fermes coll�es � ma bite courb�e relev�e vers le ciel. Mon gros gland circoncis et palpitant est d�j� brillant de mouille humide. Je le caresse du bout du pouce, m'envoyant ainsi des d�charges successives de plaisir intense � chaque pression, et un frisson d�licieux qui me parcourt..

De l'autre main, je fr�le mon ventre lisse dont l'excitation montante fait se dresser le duvet, comme sous l'effet d'un flux �lectrique. Je descend vers mon pubis aux poils bruns cr�pus et coup�s courts, caresse mes fesses rondes puis, �cartant plus mes jambes aux mollets fermes, muscl�s et poilus, je glisse mes doigts entre mes cuisses, cherchant mon trou sans poil, et jouant enfin avec ma rondelle intime et secr�te qui se contracte, supplice d�licieux, quand je dois la forcer pour y glisser un, puis deux doigts au plus profond de moi. Une onde de chaleur provoque � chaque mouvement un cri de plaisir rauque que je ne ma�trise pas..

Oubliant mon spectateur, je continue ainsi � me donner du plaisir solitaire devant et derri�re jusqu'� ce que, dans un r�le sauvage, je tombe � genoux devant le miroir. Cuisses �cart�es, le bouillon chaud et gluant de mon sperme jaillit finalement ;g�n�reusement par spasme, puissant, provoquant � chaque gicl�e une mont�e d'adr�naline et de plaisir indompt� qui me fait perdre tout contr�le, explose dans mon ventre parcouru de d�charges de plaisir ..

Je me cambre, m'�carte et m'ouvre encore plus � chaque �jaculation palpitante. Mon jus vient s'�craser sur la glace et �clabousser mon torse et coule sur mon ventre pour venir se perdre dans les poils de mon pubis, collants, autour de ma queue encore fr�missante de l'orgasme..

Il coule aussi doucement sur le miroir jusqu'� ce que je me rapproche et frotte mon visage sur le liquide encore ti�de, l�chant le lait �pais qui d�gouline sur le verre et le gobant goulument, nectar savoureux et troublant..

Rassasi� et fourbu de plaisir, je me couche sur le tapis moelleux, transpirant, abandonn�, bras �cart�s, jambes repli�es, ouvertes et offertes sur mon sexe encore gonfl� reposant sur mon ventre humide, des traces de spermes s�chant sur mon torse et mon visage ; ma peau craqu�le.. J'aime �a. ..

Je ferme les yeux et fait mine de m'endormir, comme un animal satisfait et repu...

;

Je ne savais pas encore ce que l'avenir me r�servait....

Pol

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'information :

ob.ob5.ru site gay gratuit. Textes et histoires gay.



"recit cocu""histoires inceste gay""histoire bondage""histoire gay internat""couilles pendantes""vide couille gay""photo de cul de mec""cyrillo dial""scato gay""histoire x gay""première sodomie gay""sauna odessa""cyrillo dial""porno gay pere et fils"cyrillo"histoire erotique gay""images porno gay""cyrillo biz"cyrillo.comcyrillobiz"premiere felation""gay mec""histoire cyrillo""histoire sex gay""histoire gay cyrillo""gay cyrillo""histoires travestis"cyrillogay"cyrillo dial""recits gays""je suis une salope""gay lope""histoire de gay""recit cyrillo""branle netre pote""gay zoophile""gay beur""histoire de sex gay""baise dans un sauna""les histoires de cyrillo""cyrillo pcul""cyrillo gay""histoire hard gay""il lui pisse dans le cul""histoire gay internat"gayeros"mon frere me baise""histoire travesti soumis"cyrillo.com"histoire gay entre frere""cyrillo histoires""histoire gay salope""histoire erotique gay""erog blog gay""recit cyrillo""videos gays gratuites""gay jus""histoires scato""recit erotique gay""strip tease gay""histoire gay entre frere""photo de minet gay""photo gay nu""mon cul gay""histoire gays""histoires travesti""histoire gay gratuites""histoire gay bdsm""histoire gay entre frere""histoire gay pute""histoire cyrillo"cyrillo"cap d'agde gay""blog histoires gay""cinema porno"cyrillogaycyrillo"jockstrap gay""gay cyrilo""blog histoire gay""histoires hards""bdsm histoire""les histoires de cyrillo"cyrillo.com"je suce mon pere"cyeillo"idm sauna paris"