Le petit boulangerJ'avais crois� le chemin de Romain sur Internet, un petit mec de 24 ans qui cherchait un plan suivi. Plut�t timide au d�but, nous avions �chang� un grand nombre de mails et de photos avant de pouvoir convenir d'un rendez-vous. Heureusement que je suis patient et que je le trouvais vraiment craquant car sinon je pense que j'aurais tr�s vite laiss� tomber. En plus Romain vivait avec son copain et il fallait � tout prix que notre rencontre et notre �ventuelle future relation se d�roule en cachette pour ne pas perturber sa petite vie de couple d�j� bien rang�e. Romain n'avait pas connu d'autre gar�on que son actuel copain avec qui il �tait pacs� depuis 4 ans. Mais la curiosit� commen�ait tr�s franchement � le titiller. Il fallait qu'il aille voir ailleurs pour savoir si c'�tait diff�rent, mieux ou moins bien ! L'id�e de faire l'amour � un gar�on si peu exp�riment� rajoutait � mon excitation et avait contribu� grandement � ma motivation. Il avait fallu trois semaines de drague pour arriver � chopper enfin un rendez-vous. Bien s�r il fallait que cela se passe en dehors de chez lui et de chez moi ce qui ne simplifiait pas les choses. Et pour ne rien arranger, Romain qui �tait boulanger en banlieue, avait des horaires de travail d�cal�s et peu pratiques. Devant mon insistance, il me donna rendez-vous � 3 heures du matin directement � la boulangerie o� il travaillait m'assurant que l'on serait seul et que l'on pourrait en profiter pendant une petite heure avant qu'il ne doive imp�rativement se remettre � bosser pour rattraper le retard qu'il prendrait dans les fourn�es. Quelle aventure, il fallait que je sois vraiment chaud pour accepter un rendez-vous pareil. A deux heures et demie je pris donc un taxi Place de Clichy direction la banlieue ! Une demi-heure plus tard le taxi me d�posait � l'adresse indiqu�e par Romain juste devant une boulangerie bien s�r ferm�e � cette heure particuli�rement matinale. Je rentrais dans le hall de l'immeuble attenant � la boulangerie et en suivant les indications pr�cises de Romain je n'eus pas trop de difficult�s � acc�der � la cours et enfin � l'entr�e de service de la boulangerie. Je frappais � la porte du laboratoire et le gar�on que je d�sirais tant vint m'ouvrir en tenue de petit mitron les mains pleines de farines. " - Bonsoir Romain, Encore plus mignon que sur ses photos, je trouvais Romain totalement � mon go�t. L�g�rement plus petit que moi, plut�t fin, une petite crevette, il avait des yeux bleus magnifiques, des cheveux ch�tains clairs coup�s courts et un petit nez tout simplement adorable. Je lisais dans son regard un m�lange d'anxi�t� et d'excitation. Je devais prendre les choses en main calmement et sans pr�cipitation pour ne pas le brusquer. Sans un mot, je le pris alors tendrement dans mes bras et je d�posais un baiser sur sa joue avant de le regarder dans les yeux. Un rapide petit tour du propri�taire me permit de d�poser mon manteau dans un petit couloir faisant office de vestiaire. De retour dans le laboratoire, j'eus le droit � une petite explication sur le p�trin, le four de boulanger et le marbre qui servait pour �taler les pr�parations notamment en p�tisserie. Un bref �clair me traversa l'esprit o� je me voyais debout en train de prendre Romain couch� sur le dos sur cette table de travail pleine de farine, les jambes en l'air... La visite me semblait suffisante, je d�cidais d'y couper court et de commencer les choses s�rieuses en prenant Romain par la taille et en l'attirant vers moi pour cette fois si l'embrasser sur la bouche. Il se laissa faire et ne tarda pas � me donner sa langue. Son haleine parfum�e au Cheew-gum � la menthe �tait d�licieuse, me rappelant un amant tr�s chaud comme pour Proust sa madeleine. Je collais mon corps contre le sien et, malgr� les v�tements, sa chaleur et son �rection �taient tr�s perceptibles. Je lui retirais sa blouse blanche macul�e de farine pour d�couvrir son torse l�g�rement poilu. Je me penchais pour lui mordiller les t�tons et les embrasser. Son parfum, Givenchy pour homme, m'�tait �galement tr�s familier et me rappelait le propri�taire de l'haleine menthol� � jamais grav� dans ma m�moire. Je descendais pour lui embrasser le ventre tout en caressant la bosse sur son pantalon de travail. Ne tenant que pas un �lastique je n'eus aucun mal � le lui retirer et � constater qu'il ne portait rien en dessous. Son sexe circoncis m'apparu bien dress� n'attendant plus que je le prenne en bouche...ce que je fis aussit�t lui arrachant un g�missement de plaisir. Sa queue avait bon go�t, un go�t de petit m�le excit�, et je la pris enti�rement en bouche tout en lui titillant les couilles. Je le su�ais pendant un bon moment non sans cacher mon bonheur et ma passion � lui r�aliser ce traitement. Mes mains en profit�rent pour explorer l'int�rieur de ses cuisses, ses petites fesses muscl�es, et bien s�r l'entr�e de sa chaude intimit� que je r�vais d'explorer davantage. D'ailleurs n'�coutant que mon d�sir, je lui demandais de se retourner et alors qu'il �tait toujours debout prenant appui sur le marbre, j'entrepris de lui bouffer le cul tout en faisant glisser sa queue humide de salive dans la main. Je glissais ma langue le plus profond possible...Il g�mit encore plus qu'avec la fellation. Je me relevais alors, quittais mes v�tements et m'assis les fesses sur le marbre. C'�tait froid mais pas suffisamment pour calmer mon ardeur. J'attirais Romain � moi pour l'embrasser goulument. Debout devant moi j'attrapais sa queue et la branlais en m�me temps que la mienne dans mes mains d�j� pleines de farine. Sans ce faire prier il quitta ma bouche pour m'embrasser le gland et commencer � me sucer avec un soin et une attention toute particuli�re. C'est qu'il su�ait � merveille ce petit con ! Et qu'il prenait tout dans sa bouche sans difficult�. Je passais mes mains dans ces cheveux et je le regardais faire avec beaucoup de plaisir. Apr�s un bon quart d'heure d'un tel traitement j'en �tais arriv� au point o� il fallait que je la lui mette...cela ne pouvait en �tre autrement. Je retirais avec douceur ma queue de sa bouche. Je descendais de la table de travail. Je passais derri�re lui pour me frotter � lui. Ma bouche sur sa nuque, mes mains sur son torse et ma queue glissant entre ses fesses. L'excitation �tait � son comble et je n'avais pas besoin qu'il me dise qu'il voulait que je le prenne, c'�tait �vident ! J'enfilais une capote lubrifi�e, crachait dans ma main pour enduire son petit cul de salive et je positionnais ma queue � l'entr�e de son intimit�. Je n'eus pas de mal � y rentrer, il �tait bien ouvert apr�s autant de pr�liminaires. Et puis je l'avais vu se mettre un ou deux doigts par moment pendant qu'il me su�ait ! Quelle cochonne ! Je glissais donc ma queue � fond dans son cul avant de commencer � le ramoner d'abord tout doucement puis de plus en plus fort. Ma main droite avait gliss� de son torse pour attraper sa bitte et le branler avec douceur. Je l'embrassais dans le cou et par moment sur la bouche quand il tournait la t�te pour attraper la mienne. Je variais les plaisirs en alternant des mouvements amples et lents, ceux que je pr�f�re, et des mouvements plus rapides, plus brutaux et moins profonds. Son petit cul �tait merveilleux et � voir la force de son �rection et � entendre ses g�missements et ses r�les je n'avais pas de doute sur l'efficacit� de mon traitement pour lui donner un maximum de plaisir... Apr�s un moment dans cette position, je sortais de son cul et lui fit signe pour lui indiquer de s'allonger sur le marbre. Je le reprenais ainsi de face, moi debout et lui allong� sur le dos les jambes en l'air reposant sur mes �paules. J'avais ainsi les deux mains libres pour lui caresser le ventre, l'int�rieur des cuisses, la queue et les couilles. Il n'�tait pas tr�s loin de la jouissance. Je tentais de lui sucer le pied, apparemment il aimait bien �a... Je m'amusais donc � glisser ma langue entre ses doigts de pied tout en continuant � le pilonner et � le branler... Il ne tarda pas � cracher et � en foutre partout sur son torse et m�me au-del� sur le marbre dans la farine...Je sortais d�licatement de son cul, retirais la capote que je jetais � terre, et en me touchant � peine j'�jaculais abondamment sur lui. Il en prit sur la queue, le ventre et jusque dans le cou et sur la joue. Hyperion R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |