Le p�re de mon poteCette histoire m'est arriv�e vers mes 18 ans. Je m'�tais fait d�puceler par mon oncle et ses copains quelques mois plus t�t (voir histoire pr�c�dente). Ce dimanche l�, je vais chez mon copain Franck. Il a le m�me �ge que moi. Nous nous entendons bien mais il ne sait pas que je suis gay. De plus ce n'est pas mon genre donc il n'y a pas de malaise Je vais souvent chez lui, ses parents sont sympa et sa soeur, souvent absente et tr�s belle. Son p�re, 42 ans, bien b�tit, blagueur, travail � ses heures perdues dans le garage sur un vieux moteur et des m�caniques irr�cup�rables. Christian, c'est son pr�nom, nous sert souvent de chauffeur. Il aime la compagnie des jeunes m�me si lui n'est pas vieux. Donc ce dimanche apr�s midi Franck m'invite chez lui pour notre expos�. Nous avons bien avanc� la semaine et il ne nous reste plus que quelques mises au point. Lorsque j'arrive, j'apprend que sa m�re n'est pas l� de la journ�e, que sa soeur rentre demain soir et que son p�re travail dans le garage. Je vais saluer le " father " qui bosse en " bleu de travail ". On parle un peu puis je retourne au salon avec Franck. Au bout de vingt minutes environs Franck re�oit un coup de t�l�phone de sa grand-m�re. Elle a un probl�me. Franck en parle � son p�re qui lui demande d'y aller � sa place. Le gendre n'aime pas beaucoup sa belle-m�re. Aussi le petit-fils s'excuse mais il doit partir. Il me demande de rester et de poursuivre sans lui. Il esp�re revenir vite mais on ne sait jamais avec les vieilles ! Je travail un peu quand j'entend que le papa de Franck s'acharne sur sa machine. Je d�laisse les bouquins et marque une pause en allant surveiller le patriarche. Il se bat avec un �crou dans une machine tout noire de graisse. Lorsqu'il me voit il se calme et se marre en me disant que " ce putain de truc le fait chier ". Ca me fait rire et lui aussi. Il me dit de faire attention aux taches mais quand je m'approche un jet puissant d'un liquide visqueux vient m'asperger. J'en ai plein sur mon tee-shirt et sur mon jean. Je ne r�le pas vraiment mais le p�re ne sait plus quoi faire pour s'excuser. Il m'ordonne de me d�shabiller car il veut tout mettre dans la machine � laver qui se trouve au fond du garage. Je refuse mais il insiste. Je me retrouve en slip et en chaussettes dans ce grand box. Il se fond en excuse et lorsqu'il me voit en petite tenue il d�cide de me pr�ter sa combinaison. Il descend la fermeture �claire de sa combinaison bleue et l'enl�ve pour me la donner. Il est en slip blanc bien moulant. Son corps bien dessin� m'appara�t comme une r�v�lation. Les poils de son torse se propagent sur son ventre et se noient dans son slip. Il est superbe et � mon go�t. Imm�diatement une �rection me prend. Il la remarque mais ne dit rien. Il reste en sous v�tement sans m�me aller se changer. Tandis que j'enfile " la bleu ", il reprend son travail en slip. Je le regarde se d�battre avant qu'il me demande de l'aide vu que je ne crains plus les t�ches. Il me demande de m'agenouiller devant lui et d'attraper le petit tuyau en dessous. Je suis � hauteur de son pubis. Je ne vois que son slip qui moule un paquet prometteur. Il m'explique qu'il doit maintenir je ne sais quoi avec les deux mains et que moi je doit tirer sur ce tube. Il me dit que c'est comme de la graisse � l'int�rieur. Ca sert � faciliter la p�n�tration du piston. Il emploi des termes ambigus que je re�ois parfaitement. Son slip commence � gonfler un peu et je comprends le message. Je lui r�pond par : - C'est tr�s important de bien pr�parer la p�n�tration ! Il me prend la t�te et me la colle contre son slip. Mon visage se noie dans le coton blanc. Il se frotte contre moi, je sens son sexe grossir et durcir contre ma joue. Il me maintient la t�te mais je me d�gage. Je lui descend le slip et lib�re sa bite qui se d�veloppe. Il ne bande pas compl�tement mais elle est d�j� tr�s grosse. Je la suce avec fascination et envie. Christian souffle de plaisir, il bande dur tr�s rapidement. Son pr�puce d�gage son gland rougissant et luisant. Je prend mon pied et pomper ce p�re mari� qui ne cesse de me donner des coups de reins pour que je prenne sa bite enti�rement. Mais elle est tr�s grosse et elle cogne sur ma glotte ce qui me donne la naus�e. Il s'en aper�oit et s'excuse. Il me dit que je suce super bien. Je suis flatt� et je continue " mon travail ". Mon nez se perd souvent au milieu de la touffe sombre de son pubis. D'une main je lui caresse le torse et mes doigts se baladent dans cette �tendue douce et velout�e de poils. Je l�che abondamment sa verge sur toute la longueur puis m'attarde sur son gland que je t�te avidement. Lorsque je reprends mon souffle, il prend sa bite en main et me pr�sente ses burnes. Il me dit : Je les gobe sans h�siter. Elles sont grosses et velue aussi mais j'arrive � les prendre en bouche. Christian n'arr�te pas de m'encourager. Il est vrai qu'avec mon tonton et ses copains je commence � savoir bien sucer les bites et les couilles. Je prends un r�el plaisir � sucer cet homme. Il me dit dans un souffle : Il hal�te comme un petit chien. Ma langue ose s'engouffrer vers son cul. Il se raidit : Il s'assoit sur une table pliante et s'allonge sur le dos en relevant les jambes. Je me jette aussit�t sur son fion. Une odeur de mal s'en d�gage mais c'est n'est pas �coeurant. Ses fesses sont velues et sa raie est poilue aussi. Je lui l�che le cul avec une langue baveuse et curieuse. Je crois qu'il d�couvre une nouvelle sensation car il g�mit. Ses poils de cul se collent � ma salive et dessinent un halo qui entoure son trou. Je lui l�che toute la raie et revient aussi sur ses couilles et sa bite. Christian ne cesse de g�mir de plaisir. Mais il m'arr�te un peu apr�s. Il se l�ve, sa bite pointe au ciel. Son gland brille de pr�-foutre. Je m'allonge sur la table et il commence � me sucer comme si sa vie en d�pendait. Il suce tr�s bien le papa de mon pote. Il me l�che les couilles aussi. Lui qui transpire l'homme, il ressemble � une b�te en rut. Apr�s m'avoir bien pomper et sucer, il s'attaque � mon cul. Il me le bouffe avec empressement. Il m'enfonce un doigt puis deux dans le fion sans pr�caution. Je le regarde s'exciter sur moi. Il est comme en manque de sexe. De sa bite coule un peu de liquide s�minal. Mais son visage se fige de peur. Il me regarde et me demande :
Il ressemble brusquement � un enfant a qui on vient de reprendre son jouet. Il me fixe et son regard s'adoucit. Il redevient lumineux et sans attendre, il me pr�sente sa grosse bite. Il enfonce d'abord son gland qui ouvre le chemin. Ensuite il pousse lentement pour m'enculer de toute la longueur de sa queue. Il se rend compte d'avoir un sexe �norme et prend tout son temps pour me la mettre au fond du cul. Il attend un peu avant de se reculer puis de s'enfoncer de nouveau. Il fait �a quelques instant avant de commencer � me sodomiser dans les r�gles. Il se d�cha�ne sur moi en me regardant. Il me parle pendant ses coups de reins : Mais la douleur persiste malgr� tout. Lorsque je ressens le plaisir, je m'aper�ois qu'il est sur le point de jouir. Il se retire brusquement et �jacule sur mes couilles sans m�me toucher � sa bite. Il souffle comme un boeuf mais de d�bande pas. Un peu d��us, je commence � me branler mais brusquement, il m'encule de nouveau. Il m'encule encore une fois. L� le plaisir est au rendez-vous. Je perds conscience de la r�alit�. Il me baise si bien que le temps n'a plus d'importance. Je ne m'inqui�te m�me pas du retour de son fils. Cette seconde sodomie, longue et d�licieuse se termine par ma jouissance. Pour la premi�re fois j'�jacule sans me toucher. Mon sperme m'inonde le ventre. Le p�re de mon pote se retire et se branle un instant pour me jouir une deuxi�me fois dessus. Sa semence ti�de rejoint la mienne. Epuis� il s'effondre sur moi. C'est la premi�re fois que je vois quelqu'un jouir de fois de suite. Nos bites l'une contre l'autre d�bandent petit � petit. Mais je lui fais vite comprendre qu'il faut qu'on se reprenne car Franck peut revenir. Il s'active et se rhabille avec sa combinaison. Il va me chercher un surv�tement que j'enfile et je retourne � mon travail. Nous nous mettons d'accord de ne parler � personne de notre s�ance intime. Je me remets � peine sur l'expos� que Franck rentre. Il �tait temps. Il me questionne sur ma tenue et son p�re vient � mon secours, il raconte l'histoire du tuyaux et le pr�t du v�tement. Franck me dit que je n'ai rien fait sur notre boulot. Encore une fois son p�re me sauve la mise. Le fils d�cide d'aller jeter un coup d'oeil sur cette fameuse machine. Quand il la voit, il ne s'�tonne pas, vu la pauvret� et la qualit� du truc. Mais il informe son p�re qu'il serait sympa d'ouvrir le garage car �a sent " le fauve ". Son p�re sourit et moi aussi. Nous avons boss�s comme des malades sur notre expos� ensuite. Mais je suis rest� debout tout le temps (trop mal au cul) malgr� les demandes de Franck de m'asseoir. Ils m'ont gard�s � d�ner et je suis reparti en surv�tement avec mes v�tements propres sous le bras. Le p�re de Franck m'a raccompagn� en voiture. Il m'a invit� � revenir quand je le veux en me mettant la main au panier. Je lui ai promis de passer tr�s souvent... R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |