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PATRICE

Patrice, Patrice, Patrice.

Cela fait longtemps que j'en entends parler de celui-l�. L'ex d'Arnaud, mon copain depuis 18 mois. J'ai tout entendu sur ce gar�on, j'ai sait tout ce qu'il y a � savoir, en tout cas du point de vue d'Arnaud. J'ai vu ses photos, habill�es et un peu moins habill�es ! Je connais la taille de sa queue, ses habitudes, ses chansons pr�f�r�es, la beaut� de ses yeux azur, la finesse de ses mains.

Alors, le jour ou par hasard il a eu mon num�ro de portable et moi le sien, on a commenc� � s'envoyer des textos, de plus en plus chauds. Jeu tr�s agr�able qui m'a amen� � en vouloir davantage. Et puis j'ai craqu�, j'ai d�cid� qu'il fallait que l'on se rencontre. Au d�part je ne souhaitais qu'une rencontre amicale, autour d'un verre pour parler d'Arnaud, notre point commun. Mais lui, cela ne l'a pas branch�, c'�tait en dessous de la ceinture sinon rien !
J'ai tergivers�, r�fl�chi, tourn� l'id�e cinquante fois dans ma t�te et j'ai finir par dire oui.
On s'est donn� rendez vous un mercredi, � 16H30 � la sortie du m�tro Trinit�. Mon excitation �tait � son paroxysme depuis plusieurs jours, et cela ne s'est pas arrang�.

Je suis sortie du boulot � 16H25, pr�textant une visite chez le dentiste, j'�tais au m�tro � 16H28. Il est sorti de la bouche de m�tro � 16H35 et c'est l� que tout a bascul�.
Il a crois� mon regard, c'est approch�, je l'ai embrass� sur la joue, d'abord deux fois, puis j'ai vu qu'il attendait encore deux autres bises que je me suis empress� de lui donner. J'ai senti son eau de toilette que j'appr�cierai encore mieux lors de nos �bats. Il �tait beau, encore plus beau que sur les photos. Arnaud m'avait pourtant dit qu'il se laissait aller ! Et bien m�me si c'est le cas, ce qui me reste est suffisant.

Je lui ai propos� une petite marche � pied jusqu'� la maison, histoire de faire connaissance. Nous avons commenc� � discuter timidement puis de plus en plus normalement. A mis chemin de la Rue de Clichy, il a pass� sa main tendrement sur ma nuque. C'est un ange. Tout m'a plu imm�diatement chez lui, sa voix, tr�s l�g�rement eff�min�e, sa gr�ce, ses mains, ses yeux, ses cheveux ch�tains clair savamment structur�s par du gel coiffant.
Dans l'ascenseur, je lui est vol� un premier bais� sur la bouche puis d'autres. Son haleine �tait fra�che et l�g�rement menthol�e.

Arriv�e � la maison, il m'a paru tr�s � l'aise. J'ai retir� mon costume pour me mettre en jean et en tee-shirt, pr�textant que je ne trouvais pas ma tenue professionnelle tr�s sexy ! Il m'a accompagn� dans la chambre pour me regarder faire. Puis nous nous sommes assis sur le canap�. Caresses et tendres bais�s. Plaisir du flirt originel, de la premi�re fois, je me retrouve jeune adolescent. Je vois d�j� qu'il est tr�s sensuel et c�lin, tout ce que j'aime chez un gar�on. Je joue avec ses petites mains, je les lui serre entre les miennes. Je ressens en m�lange d'exaltation et de retenue devant l'�tranger qu'il est encore pour moi. On ne se conna�t physiquement que depuis une demi heure m�me si j'ai l'impression de le conna�tre depuis toujours. Sentiment �trange.

Finalement il me prend par la main et m'emm�ne jusque sur le lit. L� va commencer le moment le plus sensuel et le plus c�lin qu'il m'est �t� donn�es de vivre � ce jour. Tant�t je me laisse faire, tant�t c'est lui. Nous proc�dons � un effeuillage mutuel et tr�s lent. Il a de nombreuses �paisseurs : gilet � fermeture �clair, chemises et tee-shirt. Je caresse son ventre et son torse, je d�couvre son piercing au t�ton gauche, tr�s mignon, il est peu poilu. Il a la peau d'une douceur incomparable. Ses v�tements sentent bon la lessive, sa peau l'eau de toilette, si envo�tante.
Son corps r�agit � mes caresses magnifiquement, il se cambre, g�mit, ferme les yeux. Tant�t compl�tement passif, tant�t tr�s actif se frottant � moi et m'�crasant les couilles contre les siennes.
Le moment que j'attends le plus enfin, je lui retire son boxer Dim. Sa queue est une merveille de perfection. Je regrette que nous soyons dans la p�nombre (il a �teint la lumi�re), son corps est tellement beau que j'aimerais en jouir aussi par le regard. Sa bitte est dure, �paisse, je ne r�siste pas il faut que je la lui bouffe. Il ne se rase pas les poils mais il est peu poilu et cela ne me d�range pas pour lui gober les couilles. Son gland est lisse, satin�, sous ma langue chaude. Je le branle en m�me temps que je le suce, il adore, g�mis, se cambre encore plus. J'essaye de mettre le plus possible sa queue au fond de ma gorge, je sais qu'il aime �a, Arnaud me la dit. Il m'arr�te, et vient s'occuper de moi. Sa main sur ma queue, puis sa langue me comble de bonheur, il est gourmant et je lui pilonne la bouche comme un fou.

Nos �treintes sont de plus en plus torrides, je prends un plaisir infini o� la sensualit� et l'incommensurable tendresse de nos caresses sont une merveille pour moi. Il se met � quatre pattes, je commence � lui bouffer le cul, il n'a pas de poil � ce niveau, c'est tr�s agr�able... Il mouille du cul comme ce n'est pas permis, c'est tr�s agr�able. Je passe ma main entre ses cuisses pour lui tripoter les couilles et le branler l�g�rement, il bande dure.

J'en peux plus, il faut que la lui mette, c'est une question de vie ou de mort. Je me redresse, me rapproche de lui, toujours en levrette. Je prends ma queue et positionne le gland au niveau de sa rondelle humide de salive et d'excitation. Je me frotte aux plis de son anus, j'en peux plus. Je pousse alors ma bitte d'un seul coup dans son cul, elle glisse sans peine, c'est chaud humide, serr�. Il g�mit de plaisir. Je commence alors � le limer, d'abord doucement, puis de plus en plus vite en augmentant l'amplitude de mes mouvements. Mes couilles viennent taper contre les siennes. Je le ramone furieusement. Mes mains se balade sur ses hanches. De temps en temps j'attrape sa queue pour le branler, elle est dure et chaude dans ma main, son gland est tout humide d'excitation. Je crache dans ma main, et lui mouille davantage le gland. Mes doigts glissent sur son membre de bas en haut.

Je d�cide alors de changer de position, pour pouvoir �tre face � face et l'embrasser. Je sors ma queue humide de son fondement. Il se met sur le dos, je l�ve ses jambes et je le p�n�tre aussit�t dans cette nouvelle position. Je peux l'embrasser maintenant, ma langue joue avec la sienne alors m�me que ma queue va et vient dans son petit cul �troit. Je continue de le branler. Je suis au bord de l'explosion, lui aussi. Je me contracte pour �viter de jouir trop t�t, je veux l'attendre ce sera encore plus fort.

Soudain, il g�mit plus bruyamment, je sens sa queue se contracter sous la caresse appuy�e de mes doigts, il va jouir. Alors je cesse de me retenir, j'acc�l�re mon mouvement de piston. Il jouit dans ma main une premi�re gicl�e de sperme, j'�clate � mon tour dans son cul. Il continue de me remplir la main, tandis que je lui inonde le trou du cul, c'est divin. Je m'arr�te alors, je nettoie avec ma langue le creux de ma main rempli de son sperme. Puis je lui roule une pelle pour que nous gouttions ensemble � son plaisir. Ma queue d�bande doucement, je glisse lentement hors de son cul, un peu frustr� de devoir quitter cet antre magique.

Je me blottis contre lui, nous nous embrassons, il continue de me caresser avec tendresse. Je retourne petit � petit � la r�alit�.

Je n'ai jamais pris autant de plaisir avec un partenaire masculin ou f�minin. Il est l'amant parfait.

Rabbit17

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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