Page pr�c�dente

C'�tait pas mon type. mais...

Il �tait myst�rieux, plein de secret, mais il y en avait un, que je partageais avec lui, et celui-l�, lui en co�tait plus que tout les autres r�unis.
Il travaillait dans mon service, il �tait int�rimaire, ce n'�tait pas mon type de mec, mais il avait ce petit plus qui le faisait devenir irr�sistible. de carrure muscl�e, mais pas trop, il venait de Turquie. je n'�tais pas trop attir� par ce type de mec, mais il me fit changer d'avis ce jour l�.
Je me trouvais � la photocopieuse, en train d'attendre, mes copies, quand il entra dans la pi�ce, il �tait sympa, plein d'humour, m�me sarcastique, tout ce que j'aime. On �changea quelques mots, et avant de sortir de la pi�ce. Nos regards se sont crois�s, ses yeux noirs, me fix�rent intens�ment, je ne pouvais plus m'en d�faire, nos corps se sont effleur�s, me faisant frissonner, et je me suis retrouv� dans mon bureau. Mais mes pens�es �taient rest�es dans cette pi�ce, son visage, avec une barbe de quelques jours, sa chemise, laissant entrevoir sa pilosit� abondante. rien que d'y avoir pens�, je me surpris � avoir une trique naissante.
Ce jour l� nous ne nous sommes pas revue, mais j'en avais tr�s envie, rien que pour ressentir les m�mes sensations.

Mais pour �a, ma nuit fut pour le moins tr�s agit�.
Le lendemain, je le revis, toujours une plaisanterie ou deux � dire. au cours de cette journ�e la situation du photocopieur se reproduisit. Mais l� je suis rest� fig� plus longtemps sur son visage, lui fit de m�me, nos mains se sont prises mutuellement et avant que je ne commette l'irr�parable, je lui demandais de venir avec moi aux toilettes. aussit�t dis, aussit�t fait.
Une fois aux toilettes, je me suis litt�ralement jeter sur lui, je lui ai roul� un de ces patins, il cherchait aussi � me bouffer ma langue, je le l�chais de la t�te au coup, sur sa poitrine, ce corps poilu, je ne voulais plus le laisser partir. il me dirigea la t�te, vers son pantalon, ou une bosse commen�ait � se voir. je lui ouvris le pantalon, et j'ai commenc� � lui bouffer la queue � travers son slip. Elle devenait de plus en plus grosse, son pr�puce pointait hors du slip, elle devait �tre au moins de 21 cm. j'entrepris de le branler, et en m�me temps, lui l�cher les couilles. il l�cha des r�les de bien-�tre, ce qui me confortait dans mon travail sur son pieux, il me fit revenir vers son visage et me roula un patin, il descendit vers mes t�tons et je l'entra�nais vers ma queue, il eu alors un moment de recul et me dit, " je n'ai jamais suc� un mec et je suis pas gay ! . " Je lui r�pondis " je m'en doutais, mais �a ne me d�range pas, �a met du piment. " et il avala ma queue, jusqu'� la garde, n'�tant pas trop expert, je lui trouvais beaucoup de sensibilit�, � un tel point que pour sa premi�re pipe, il faillit me faire jouir. " ben mon salaud c'est pas ta premi�re ?? " Lui dis-je " si je te le jure " me r�pondit-il ! Alors comme pour ne pas rester sur ma fin et la sienne, je me remis au travail sur son engin, pour lui faire ressentir les m�mes sensations.

Comme ma langue qui remontait de ces couilles vers son gland, le long de son chibre vein�, jusqu'� son pr�puce d�licieux, et son gland ros�, mouill� par ma langue, tout en effleurant ces contours, le faisant tressaillir. Je sentais ses mains sur ma t�te, qui m'attiraient et me repoussaient, lorsque sa jouissance devait de plus en plus intense.
" Tu vas jouir ? " " Oui, arr�te, arr�te. huuummm ouiii " son jus gicla de sa bite sur mon visage, ce fut l'apoth�ose. A ce m�me moment, du bruit, venant du couloir, se fit entendre, et nous nous sommes vite rhabill�s, en se donnant rendez-vous chez moi le soir m�me.
De retour dans mon bureau, je n'ai pas arr�t� de repenser � cette sc�ne aux toilettes, et je n'avais qu'une envie, le revoir plus longuement, et lui faire d�couvrir tout les plaisirs interdits, dont il venait d'avoir un avant-go�t.

Il arriva, vers 19h, nous avons discut� sans trop savoir de quoi, il se rapprocha de moi et entrepris de m'embrasser, l� je ressentis, les sensations, qui me faisait devenir fou. Fou de son corps, de sa bite ! Nous nous sommes d�shabill�s mutuellement, nous trouvant nu sur le sofa, son corps, ses formes, tout me donnait envie de le toucher, l�cher, sucer, des fesses fermes, il n'�tait pas mon type, mais � le voir ainsi, fallait �tre fou pour le laisser partir. je lui pris la queue et lui la mienne, pour un 69 des plus sensuel, il joua de ses doigts dans mon fion, il m'excitait, et son petit jeu, me dilata, il continua avec deux doigts. ces fesses, rondes, poilu, je ne voulait plus qu'une chose, le lui bouffer, le faire mouiller. Il se coucha sur le c�t�, et je continuais � le sucer, il appr�ciait de minutes en minutes. puis en un geste il me fit basculer croupe en position, me mouill�t le fion et y fit p�n�trer, sa bite, lentement, pour que chaque morceau me fasse fondre dans des bruits rauques. " ha, hum. oui. " je me mordais les l�vres, tellement cette p�n�tration �tait d�licieuse. Il entreprit alors son va et vient tout aussi lentement, pour le faire monter en puissance. Cette bite, belle, grosse, ces couilles, qui me touchaient les fesses : l'extase quoi.
Il en profitait aussi, je le sentais, ses mouvements, cette fa�on de me labourer le cul, la douceur et la brutalit� de ces va et vient, ces mains sur mon corps. je me redressais, pour l'embrasser, nos corps ne formant plus qu'une �treinte.

Je me mis alors � cheval sur sa bite pour m'empaler dessus, il bandait encore plus, �a queue devait avoir grandit, et me procurait encore plus de plaisir en me p�n�trant. " h, ben mon salaud, tu baise bien pour quelqu'un qui n'a jamais fait �a avec un mec ! " lui dis-je, " tu sais, je pense que c'est toi qui me fait cette effet, ton cul est si. bon. "
Il avait devin�, mon cul est bon. C'�tait pas le premier qui me le disait, mais venant de lui, je n'avais qu'une envie, ne rien lui faire regretter.

Ces r�les devenant de plus en plus pressant, il me pr�senta sa bite et je le finissais en su�ant, ce chibre luisant, ce pr�puce, je l�chais avec envie jusqu'� ce qu'il juta en de long jet de semence, sur mon visage " huuumm, vide-toi " dis-je, " tu aime, ce jus ? " et pour le lui prouver, je remis sa bite en bouche et le su�a � en r�cup�rer toutes les gouttes restantes.
Il �tait surpris, et me pris la t�te entre les mains pour m'embrasser, nos langues se touch�rent, il me bouffa la bouche litt�ralement, et n'en d�mordait pas, et l� il me surprit � son tour. Il prit ma bite et commen�a � me branler, puis la l�cher, et enfin la sucer, cette derni�re attention, il y mis beaucoup d'ardeur, en y m�lant succion et jeu de langue. " merde, tu suce. je vais jouir. " rien que le fait de le penser, de le dire, je l�chais mon sperme. dans sa bouche. je ne voulais pas, mais ces mains plaqu�es sur mes fesses, ne me laissaient pas d'autres choix.
Le sourire sur mon visage, et ses yeux tourn�s vers moi, je ne voulais plus qu'une chose le remercier, et je l'embrassais, nos bouches se touch�rent, nos l�vres se mouill�rent, mon sperme se confondant avec mon langues, hum se fut bon.

Je n'�tais pas fou de ce type de mec, mais �a fa�on de faire, me donna envie de ne pas le laisser partir, et de nous revoir. Ce qui fut fais pas plus tard que le lendemain, ou nous avions encore le meilleur sexe, que je ne pouvais imaginer. nos chemin sont encore les m�mes aujourd'hui. lui ayant trouv� une fille � satisfaire, et si une envie de mec se fait sentir, il m'appel.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :