Page pr�c�dente

PARIS BREST

Il posa la t�te sur la vitre, et se laissa bercer par le train.
Il faisait chaud en ce lundi de juillet, les voyageurs du PARIS BREST ne semblaient pas porter attention � ce beau et jeune m�decin qui se rendait pour son incorporation dans l'aust�re caserne de Brest.

Il avait longtemps r�fl�chi, et craignait ce premier emploi, il redoutait le regard des autres, des hommes sur son orientation sexuelle. Un tel vivier de beaux jeunes hommes, bien b�tis, muscl�s dans la force de leur virilit� ne risquait il pas de le faire craquer.
Il se r�veilla en sursaut � l'arr�t brusque du train, tout ensommeill� il descendit du wagon et se dirigea d'un pas malgr� tout alerte vers le hall de gare. ses yeux se porta directement vers un militaire blond qui tenait une pancarte "docteur RAMBAUD Bastien".
L'homme assez grand avait du mal � tenir dans un treillis assez serr�. Bastien sourit car le jeune homme le salua et lui dit du voix rauque: votre voiture et l� docteur. Il lui tourna le dos et sorti de la gare, ses larges �paules et ses fesses fascinant le regard de notre jeune docteur.
La barri�re de la caserne se leva p�niblement et Bastien fut conduit dans le bureau du g�n�ral.
- Bienvenue � la caserne Bacquet, lieutenant Rambaud
- Merci mon g�n�ral
- C'est votre premier poste je crois
- Oui et il est vrai que j'appr�hende un peu
- Ne vous inqui�tez pas, le personnel ici est sympathique et la population est tr�s jeune.

Bastien parcouru des yeux le bureau, pas de photos de femme mais celles de 4 enfants d'une dizaine d'ann�e, des masques en bois, une �p�e au mur, des dipl�mes, la photo du pr�sident de la r�publique, une belle maquette d'avion de chasse, et � c�t� de la porte un planton, au garde � vous le regard fixe. Bastien observa les poils qui d�passaient de sa chemise et ses bras tr�s velus, mais il revint � la conversation qu'il avait perdu de vue
- . votre famille est bien parisenne je crois
- euh oui pardon, mes parents sont de Tours, mais nous vivions depuis une vingtaine d'ann�e � Paris dans le 8�me .
- beau quartier, bon dites moi, le sergent Marius va vus montrer vos quartiers et votre cabinet, un liste de militaire sont � consulter, et puis jeudi matin, un premier contingent de jeunes recrues sera � voir �galement. Bonne installation lieutenant et si vous avez un probl�me n'h�sitez pas, venez me voir.
- Merci mon g�n�ral.

Ce haut grad� lui avait fait bonne impression, accueil chaleureux et simple.
Bastien suiva le planton dans les nombreux couloirs de la caserne, au dehors les hommes en formation courraient torse nus en short blanc, cette vision le troubla, et il r�alisa � l'instant la complexit� de la situation. Un d�but d'�rection lui rappela sa pr�f�rence pour les hommes, son guide ouvra �nergiquement la porte du cabinet m�dical. La pi�ce �tait claire, de grandes vitres montaient jusqu'au plafond, un lit d'auscultation, deux paravents, une toise, deux balances, quatre fauteuil, deux armoires vitr�es assez bien fournies, un ordinateur.
- Votre pr�d�cesseur est parti en Afrique.
- Ah?
- Oui un chagrin amoureux, il avait 32 ans et le gar�on qu'il aimait est mort au combat en Irak.

Le sang de Bastien se gla�a dans ses veines, pourquoi lui parlait il comme cela aussi ouvertement? Avait il d�j� senti � qui il avait � faire ?
- C'est bien dommage de mourir si jeune, je vous remercie, je ferai appel � vous en cas de besoin
- Mon lieutenant.

Le troufion sorti rapidement de la pi�ce et Bastien prit possession du fauteuil, il n'eut pas le temps de r�ver que d�j� on frappa �nergiquement � la porte. Deux militaires portaient par les �paules un jeune blond apparemment souffrant.
- Il a re�u un coup dans le ventre il a du mal � respirer
- Ok couchez le l� et retirez son treillis et sa veste, et laissez nous.

Les deux militaires ob�irent et sortirent prestement.
Effectivement le jeune avait du mal � respirer, Bastien remarqua qu'il �tait assez poilu, ses jambes �taient puissantes et la blondeur de sa chevelure �veilla en lui un copain d'universit� qu'il avait aim� en secret. Il palpa son ventre, appr�cia la souplesse des abdos, le jeune soupira et semblait se d�tendre, Bastien remarqua que le slip semblait �tre comme barr� par une �norme bosse mais l'ignora en bon professionnel.
- Je vais vous faire une piqure qui va vous d�tendre et vous vous reposerez ici un quart d'heure
- Merci mon lieutenant

Bastien remarqua quand il pr�parait la solution injectable, que le jeune avait du mal � cacher une magnifique �rection dans un slip si �troit, et qu'il essayait tant bien que mal de repositionner son sexe.

- Vous �tes en pleine forme quand m�me jeune homme
- Je suis d�sol� mais c'est quand ils m'ont d�shabill�, un des gars a touch� mon sexe volontairement en souriant, et l� j'ai du mal � d�bander.
- C'est normal vous �tes jeune, bien viril
- Retournez vous je vais vous piquer, baissez votre slip

Le jeune se retourna et offra � la vue du m�decin un paire de fesses magnifiques, bien poilues, bien fermes et rebondies.
Bastien ferma les yeux, tapa sur la fesse et enfon�a l'aiguille. Le bout du sexe du jeune d�passait sur le c�t� son corps et le bout �tait brillant, Bastien fit l'erreur de l'effleurer, recueillir la mouille et le porta � ses l�vres.
Le jeune toussota et lui dit avec arrogance :
- Je vous plait hein
- Non non jeune homme, je ne mange pas de ce pain l�.
- Mais mon lieutenant, nous n'arr�ter pas de m'envisager, je le sens.
- Je constate que vous allez mieux,
- Oui votre piq�re m'a soulag�
- Retournez vous,

Quand il se retourna son sexe fit un bond et lib�r� du slip se dressa en l'air.
- Je vais en profiter pour examiner vos organes sexuels.
- Mais je vais bien doc
Bastien soupesa les testicules du jeune homme, celle de droite lui sembla plus importante que sa voisine, le jeune commen�a � souffler plus fort, puis il d�calotta le gland plusieurs fois pour tester la souplesse du pr�puce. Le sexe du jeune �tait tr�s large, et le gland faisait songer � un bel abricot, il poussa un soupir et un jet de sperme atteignit Bastien juste sur les l�vres, le deuxi�me jet s'�crasa sur le mur et les trois autres tach�rent la blouse du docteur.
- Bon ben de ce c�t�-l� tout va bien, dit il en se l�chant les l�vres
- Excusez moi doc, j'ai pas pu
- Cela n'est rien on est entre hommes, comment va votre ventre
- J'ai plus mal et je me sens comme vid�
- Je comprend rhabillez vous

L'�rection de Bastien cach� par sa blouse lui faisait un mal de chien, mais il essayait de ne rien faire transpara�tre. Le militaire sorti rapidement. Il se passa de l'eau froide sur le visage et les avant bras.
Un grand brun frappa � la porte et entra.
- Mon lieutenant
- Bonjour asseyez vous, que se passe t'il
- Ben voil� j'ai un peu mal aux testicules
- D'accord approchez vous et baissez votre pantalon

L'homme fit appara�tre un slip bourr� � craquer avec un �norme sexe qui tomba lourdement sur ses couilles. L'engin faisait bien 15cm au repos, avec un gland �norme.
Bastien ravala sa salive et manipula avec virilit� l'engin, soupesa ses �normes bourses, il sentit un tressaillement sur la verge et elle commen�a � se redresser.
- Je pense que cela doit �tre une petite infection, on va r�gler ��.
La verge avait atteint sa taille maximum, au moins 25 cm, l'homme se branla ostensiblement face au toubib.
Une erreur de ma�trise et Bastien posa ses l�vres sur le gland, l'homme saisit les oreilles de Bastien commen�a � bourrer la bouche du docteur. Il poussait des soupirs puissants, ses biceps se gonflaient et ses abdos jouaient. Il �jacula puissamment dans la bouche de Bastien celui-ci toussa, et le beau brun lui dit :
- Merci doc, en fait tout va bien et bienvenue � la caserne, maintenant que je sais que vous �tre p�d�, �a va �tre votre f�te, vous allez morfler.

Bastien se r�veilla brusquement, le Paris Brest venait d'arriver � son terminus, tout cela n'avait �t� qu'un r�ve, un militaire l'attendait dans le hall.

Le Sept

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :