Je me fais un minet en pantalon blanc.J'en ai trente-six et je travaille dans un cirque. Je conduis les camions et je monte le chapiteau. Les travaux de force m'ont toujours convenu. Je suis brun, j'ai le physique qu'il faut (1,80m pour 82 kg) et je n'ai pas besoin d'aller faire de la " gonflette " dans une salle de muscu pour avoir de solides pectoraux et des biceps qui forcent le respect. A Djibouti, quand j'�tais dans la L�gion, les copains me surnommaient " Fred le Ramoneur " � cause des vingt-trois centim�tres que je pouvais tenir au garde-�-vous pendant plus d'une heure, les soirs o� tombait la solde. C'est surtout parmi les auto-stoppeurs que je me fournis en viande fra�che. Entre Digne et Gap, j'ai mont�, il y a quelques mois, un petit minet tout blond et tout propre, habill� tout de blanc avec pantalon en toile et joli tee-shirt. A voir comme son froc lui moulait bien le cul, j'ai compris � qui j'avais affaire. Chez moi, c'est jamais compliqu�. Un mec qui me pla�t et je bande. Ce petit minet aux allures de bon fils de famille me donnait envie de lui en mettre plein le cul. Je t�tais mon paquet tout en conduisant et d'un coup, j'ai plaqu� ma main entre ses cuisses, en appuyant bien pour laisser les traces de mes doigts sur son futal. Il bandait le salopard mais il n'appr�cia pas de se retrouver avec l'entrecuisse noir de graisse. Il esquissa le d�but d'un reproche mais je le fis taire en lui �crasant bien les couilles. Il avait beau grimacer, sa queue restait bien dure. Je lui ai pourri son froc. Le type �tait rouge de honte et je me suis arr�t� sur le premier parking. J'ai enfonc� deux doigts dans son trou du cul. La rondelle, bien qu'�troite, ne r�sista pas. Apr�s quelques va-et-vient dans son trou br�lant, je me suis mis � genoux derri�re lui pour l'enculer... J'aime le faire � sec. Moi, les lubrifiants, �a me coupe l'envie ! J'ai donc plant� ma pine jusqu'� ce que mon ventre vienne s'�craser sur ses fesses. Je l'enfourne, je le tronche profond�ment, ressortant ma queue jusqu'� l'extr�mit� du gland et la replantant jusqu'aux couilles � chaque aller-retour. Le minet tient bon. Il g�mit et je sens que pour rien au monde, il ne voudrait que je me retire. J'ai la bite en feu � force de la faire glisser dans cet �tau de chair. Je sue � grosses gouttes. En le tenant bien par les hanches tout en lui ouvrant les fesses, je regarde mon pieu qui coulisse dans son joli trou imberbe. Mes grosses paluches l'ont noirci de partout et �a m'excite encore plus de voir dans quel �tat je l'ai mis. Ma queue lui travaille le cul sans m�nagement. Il commence � m'accompagner dans mes coups de reins, reculant, avan�ant, se tortillant de droite � gauche pour mieux me sentir en lui. Je me suis arr�t� de bouger : " Encule-toi seul... Montre-nous que tu aimes ma belle bite tendue... " Il s'est d�fonc� sur mon manche, hurlant comme une chienne en rut. Il d�lirait : L'excitation est revenue. Je me suis arrach�e et j'ai pris le minet par les cheveux pour approcher sa bouche de ma tige gluante de sperme : " Allez, chienne ! Bouffe-moi le noeud ! " La couchette est �troite mais pendant qu'il me pompe, j'arrive � empoigner sa queue et ses couilles dans une seule main. Je presse fort en agitant le tout s�chement. Avec mon autre main, je pince son t�ton gauche et je le fais rouler dans mes doigts. �a le rend encore plus vorace. Ma violence le met dans tous ses �tats, il sort ma queue de sa bouche juste pour me dire : " Oui, encore ! Plus fort ! ", puis il reprend ses mouvements de succion en serrant bien ma bite entre ses l�vres. Quand mon foutre part, il retire un peu sa t�te pour le recevoir sur son visage et sur sa langue qu'il a sortie expr�s. Il presse ma queue et la branle en m�me temps pour extraire tout mon jus. Quand il a fini, je me fais nettoyer par sa langue. Puis il doit l�cher son sperme qui a arros� mon bras et ma couchette. Quelques kilom�tres plus loin, je l'ai laiss� � un carrefour. Il est sorti de mon camion encore plus sale que moi ! Son pantalon blanc et son tee-shirt gardaient les marques de mes doigts. Quant � son parfum nouveau, je vous laisse l'imaginer... etienne02R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |