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Nu � Palm Springs.

Ma semaine de travail � LA s'est termin�e plut�t que pr�vu. Au lieu de rentrer en France, j'ai d�cid� de profiter d'un week-end de quatre jours pour passer un week-end de baise entre mecs.

A dix heures du matin, je suis en route pour Palm Springs � bord d'une Pontiac d�capotable de location. J'avais fait un peu de recherches sur Internet et j'�tais tomb� sur une flop�e de sites gays concernant la ville californienne de Palm Springs. Ce que j'avais lu m'avait bien excit�. Dans cette ville du d�sert, quelque part entre LA et Las Vegas, les gays am�ricains semblent se donner rendez-vous dans des h�tels r�serv�s aux hommes et qualifi�s sur Internet de 'clothing optional' - en clair, avec v�tements facultatifs -. J'ai donc r�serv� un petit s�jour � poil au 'Cannyon Boys Club'. Je les ai choisi parce que sur leur site, il y a des photos de plans � plusieurs et qu'ils avaient encore quelques chambres disponibles.

L'autoroute traverse des zones d�sertiques. Des panneaux font de la publicit� pour les casinos de Vegas. Apr�s que j'ai travers� des champs d'�oliennes, la ville de Palm Springs est annonc�e sur la droite, au pied du mont San Jacinto. Sans aucun probl�me, je trouve mon h�tel, qui est en fait un ancien motel d'une quarantaine de chambres transform� en lieu de vacances pour les gays. Du parking, on ne voit rien de l'int�rieur. Je sonne. La porte s'ouvre. Bob, le r�ceptionniste est ravi de voir d�barquer un Fran�ais. Il me drague gentiment et me conduit � ma chambre. Premier �tage avec vue sur la piscine.

En le suivant dans l'escalier ext�rieur, j'ai le temps d'entrevoir la piscine. Elle est tr�s belle, entour�e de transats, sur lesquels bronzent des mecs pour la plupart enti�rement nus. Bob m'abandonne dans ma chambre en me donnant une tape sur les fesses :
- "Nice ass ! (Joli cul !). Tu ne vas pas t'ennuyer ici".

Une fois seul, je m'empresse de me mettre � poil. Je sors ma tondeuse �lectrique de la trousse de toilette et m'assure qu'il ne me reste aucun poil sur le corps. Je peaufine la zone pubique avec de la mousse � raser et un rasoir. Comme d'habitude, cette op�ration me fait un peu bander. Je mets mes Ray-Ban, prends mon huile solaire et une serviette de bains. Avant de sortir sur la terrasse d'acc�s face � la chambre, je glisse mon gland hors de mon pr�puce. C'est divin : je me sens vraiment nu et mon plaisir est d�cupl� par l'id�e de me trouver ainsi en public. La serviette volontairement sur l'�paule, je descends l'escalier. Mon corps lisse et d�j� bronz�, ma queue d�calott�e en semi-�rection sont offerts au regard des mecs de la piscine. J'ai beau avoir trente-cinq ans, j'ai encore un peu d'allure avec mon m�tre quatre-vingt cinq. M�me en Californie, les Am�ricains ont parfois tendance � avoir du ventre, ce qui n'est pas mon cas, heureusement. Je sens que certains mecs de la piscine me matent.

Je choisis un transat bien orient�, r�ponds aux salutations de mes voisins. Un couple de mecs la quarantaine est allong� � ma droite. Visiblement, je suis � leur go�t. Un des deux a une petite moustache et des poils un peu partout, l'autre un piercing au sein. Ce dernier se touche la bite de mani�re ostentatoire. Son copain a pos� son bouquin et s'agite dans l'espoir d'engager la conversation.

Il fait tr�s chaud. Des petits tuyaux dans les arbres diffusent une brume d'eau fra�che sur la t�te des nudistes. Je rep�re un sauna d'un c�t� de la piscine et un hammam de l'autre. Bob, le r�ceptionniste, se prom�ne le long du balcon de l'�tage et me mate tant qu'il peut. Selon le site web, il y a aussi une salle de gym mais je ne sais pas encore o� elle est. Pour le moment, les choses sont plut�t calmes, si on exclut les mecs qui jouent avec leur organe pour l'�tirer. Mon organe � moi est en manque et me pousse � provoquer un peu d'action. Les mecs sont � poil mais n'ont pas l'air tr�s aventureux. Beaucoup ont le cul rose, ce qui prouve que ce ne sont pas des habitu�s ou que le puritanisme ailleurs aux US ne leur donne pas beaucoup la possibilit� de laisser tomber le maillot.

Je me l�ve du transat et longe le bord du bassin avec ma queue un peu raide. J'entre dans l'eau et agrippe un matelas flottant sur lequel je m'allonge. Je suis sur le ventre, les cuisses �cart�es et c'est mon anus parfaitement lisse que j'offre aux spectateurs. Je suis bien. Un mec, blond, trente ans environ, se l�ve de son si�ge. Il baisse son Speedo, le jette derri�re lui et entre dans l'eau. Son sexe est tr�s �pais et circoncis. Son mec dort sur le transat � c�t� du sien.

In�vitablement, le blond et moi nous retrouvons face � face dans la piscine. Je glisse du matelas et m'y accroche avec les bras. Je l'engage � faire de m�me. Nous �changeons les banalit�s d'usage. Il a de superbes yeux bleus, s'appelle Don et vient du New Jersey. Nos pieds se trouvent dans l'eau sous le matelas. Nos cuisses se touchent. J'approche ma bouche de la sienne et nous nous roulons une pelle, alors que son amant est toujours endormi au soleil. Mes voisins de transat se sont assis pour mieux profiter du show. Leurs bites sont dress�es et ils se caressent en matant.

Mon camarade me propose d'aller au hammam. Il sort de l'eau en premier. La main sur le sexe ; je le suis, la bite dress�e. Dans le hammam, nous nous embrassons comme des b�tes. Il g�mit des trucs en anglais. J'ai sa queue en main, lui tient la mienne. Un mec assis au fond se branle. La porte s'ouvre et se ferme � plusieurs reprises. Je sens des mains sur mon cul, puis un doigt inconnu dans mon cul cette fois. Don me pince le sein droit avec les dents. Je suis au bord de l'�jaculation. Je serre les dents et les fesses et je jouis de grosses gouttes de sperme, tandis que mon poignet r�cup�re le sperme de Don. Je me fraye un passage vers la sortie et la douche ext�rieure. Le hammam se vide. Mon blond sort � son tour, se douche, me fait un clin d'oeil et retourne vers son boyfriend.

Je retourne sur mon transat un long moment. Je regarde les mecs qui se baignent et rep�re deux ou trois sp�cimens avec qui je ferais volontiers plus ample connaissance. Les Am�ricains semblent vraiment excit�s par le nu int�gral. Mes voisins de transat ont visiblement d�cider de jouir � leur tour. Le poilu est allong� sur le dos sur sa chaise longue ; son copain avec le piercing s'accroupit sur sa queue dress�e en faisant face � la piscine. Il entame une s�rie de mouvements ascendants. Autour d'eux, les plaisanteries fusent, quelques mecs se branlent � nouveau. Je bande. Le sperme jaillit sur le sol. Quelques applaudissements se font entendre. Les deux n'ont pas l'air le moins du monde g�n�s.

Il fait vraiment tr�s chaud et je veux �viter un coup de soleil. Je d�cide alors d'aller faire un peu de sport dans la salle de gym. J'entre compl�tement nu dans la salle avec une serviette (exig�e pour des questions d'hygi�ne). Un type tr�s muscl�, bronz� et le corps ras�, v�tu seulement d'un string rouge s'entra�ne avec des halt�res. Je m'�chauffe. Il me mate. Il dit que je dois �tre le Fran�ais qui est arriv� aujourd'hui. Je nie en plaisantant. Il me propose de s'entra�ner ensemble. J'accepte. Le voil� sur un banc en train de pousser des halt�res et moi en surplomb de son visage pour retenir la barre. Ma bite pend au dessus de son nez. Je trouve la situation tr�s int�ressante. Maintenant il fait des commentaires sur mon organe. Manifestement, il conna�t peu de queues non circoncises. Je lui propose de toucher pour voir. Et c'est reparti ! Finie la gym : nous sommes en pleine branlette dans une salle de sport vide. Il se baisse pour me sucer puis glisse sa langue dans mon anus. Me suce � nouveau. On nous mate depuis l'ext�rieur. Je jouis sans retenue. Mon sperme coule sur ses gros pectoraux bronz�s. Il l'�tale avec la main gauche et finit par jouir � son tour sur son pubis glabre. Il s'essuie avec le string rouge.

Apr�s cette s�ance, je d�cide d'aller faire quelques courses � Arenas street, le centre gay de Palm Springs. Les v�tements que j'ai dans ma valise sont tr�s bien pour une journ�e de r�unions aux studios mais trop sages et trop habill�s pour Palm Springs. Je trouve une boutique avec le 'rainbow flag' au dessus de la porte. Je s�lectionne un mini-short et un d�bardeur microscopique. La cabine d'essayage n'a pas de porte. Je sens les regards du vendeur et d'un jeune client sur mon cul nu. Je ne me presse pas pour autant et essaye d'abord le haut... Je me retourne m�me pour enfiler la suite. Le short est tr�s petit. Ma bite est compl�tement moul�e et la moiti� de mes globes fessiers est expos�e aux regards. Ce genre de tenue ne peut pas �tre port�e en dehors de Palm Springs... Tr�s content, je paye et garde short et d�bardeur sur moi.

Apr�s d�ner, je me rends � Hunters, le grand bar gay de Palm Springs. La nuit est tomb�e et on ne voit que des mecs, des couples de mecs qui se tiennent la main. J'aime �tre l� dans ce bar en train de montrer la moiti� de mon cul. Je suis loin d'�tre le seul. Beaucoup de body-builders huil�s et torses nus, les t�tons travaill�s. Dans la cohue, un mec est m�me compl�tement � poil. Ceux qui le souhaitent lui massent la bite sans probl�me ; il ne semble m�me pas r�agir. Un mec joue avec mes t�tons sous mon d�bardeur mais je ne souhaite pas aller plus loin avec lui. J'ai envie de rentrer � l'h�tel, soup�onnant que la temp�rature sexuelle doit y �tre �lev�e.

Je gare la voiture sur le parking du Cannyon's Club. Pris d'une inspiration subite, je d�cide de quitter mes fringues et de rentrer � poil au bercail. Vu le niveau de d�bauche ambiant, je sais bien que je ne crains rien. Je sors donc de la Pontiac � poil. Sensation tr�s excitante car � quelques m�tres il y a une file de voitures arr�t�es � un feu. Je sonne pour entrer. Bob est toujours fid�le au poste. Il �met un sifflement en me voyant arriver en tenue d'Adam.

Je converse un peu avec Bob qui essaie de m'attraper la bite en jouant. Il doit regretter de devoir travailler l� et d'�tre prisonnier derri�re un comptoir alors qu'� deux pas de beaux mecs � poil s'amusent entre eux.

Sous l'�clairage de l'all�e, je retourne vers ma chambre. Je ne vois pas qui est autour de la piscine et du jacuzzi. Je devine seulement les ombres, qui elles me voient parfaitement et ne peuvent ignorer que je suis arriv� dans les lieux en tenue d'Adam. Dans certaines chambres du rez-de-chauss�e, les stores ont �t� inclin�s et je peux voir des gros am�ricains en train de se branler sur le lit devant un porno gay. Mes voisins de piscine de l'apr�s-midi sont allong�s nus avec une canette de coca et semblent attendre un amateur...

Une fois une serviette en main, je me rends au jacuzzi. Six ou sept mecs trempent dans les bulles ; tous sont nus. Don, le mec de l'apr�s-midi est assis � c�t� de moi. Je sens bient�t sa main qui cherche mon sexe dans l'eau. Je le laisse faire. Une autre main se glisse vers mon cul. Le mec de Don, plac� lui � ma gauche, - je viens seulement de le reconna�tre - essaie de me glisser son index dans l'anus. Avant qu'il ne puisse r�agir, je lui mords la l�vre inf�rieure et lui roule une pelle. Puis j'arr�te et embrasse goul�ment son copain. Je sens ma queue qui se dresse dans les doigts de Don. Son mec se d�place dans l'eau chaude et nous nous roulons un patin � trois. La sensation est divine, surtout en cette fin de journ�e o� les barbes sont devenues un peu dures et piquantes.

Nos voisins de bain se disent que s'il y a de la place pour trois, il y en a pour quatre, cinq, etc... Des mains s'acharnent sur ma queue mais je ne veux pas jouir comme �� dans l'eau alors que Don et son mec me laissent esp�rer un peu plus qu'une branlette... Nous sortons de l'eau. Sans qu'aucune parole ne soit �chang�e, je les suis dans leur chambre. Nous nous s�chons mutuellement. Je prends en bouche le sexe de Don. Apr�s une s�rie de succions, je prends en plus celui de Jim, son mec. J'�touffe un peu mais en levant les yeux, je les vois en train de s'embrasser en sortant la langue - ils font tous �� ici, peut-�tre parce qu'ils veulent imiter les films X ? -. J'essaie d'introduire un doigt dans le cul de Don. Pas de r�sistance. Je me rel�ve pour profiter d'un 'French kiss'. Jim me descend une capote sur le sexe. Don se tartine le trou avec du KY. Il se penche et s'appuie sur la table. J'entre dans son cul comme dans du beurre. Il crie un peu sous mes pouss�es. J'adore !
�� ! Et ce n'est pas fini : je sens du froid autour de mon anus. Jim me glisse du gel dans la fente. Il a une capote sur la queue ; ses intentions sont claires. M�me si je n'ai pas beaucoup d'exp�rience en sodomie passive, il entre sans trop de mal. Je m'accroche aux pectoraux de Don. Pris en sandwich, j'ai envie d'hurler de bonheur. Je me retiens de jouir. Jim gueule des trucs en anglais que je n'essaye m�me pas de comprendre. B�tement ou nerveusement, je sens des larmes qui coulent sur mon visage. Don se tourne un peu ; je l'embrasse dans le cou. Jim me mordille l'�paule. Je ne peux plus me retenir. J'�jacule la bouche ouverte et au m�me moment je sens le jet du sperme de Jim !

Je suis bris� ; nous nous allongeons sur le lit. Moi, entre les deux Am�ricains. Maintenant, ils sont tr�s doux et m'embrassent gentiment. Ma premi�re journ�e � Palm Springs s'ach�ve. Je m'endors entre deux corps nus, lisses et bronz�s.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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