Page pr�c�dente

On s'encule ?

Apr�s une ann�e scolaire �reintante (merci Quentin pour ces nuits !!), je prends des vacances avec des potes, dans les Landes. En ce mois de Juillet il faisait beau et chaud (�a c'est la part de fiction). Sur la plage, j'ai eu une faim, je vais au marchand de glace. Il se trouve que le vendeur est un saisonnier, un bel �ph�be de mon �ge (20 ans). Il vend ses glaces torse nu (sans doute pour attirer les minettes ; et les minets). Je vois un corps bien sculpt�, un sourire charmeur, une fa�on de parler � la fois virile et �l�gante. Mais je suis en vacances avec des amis, donc je pense m�me pas � le draguer un peu.
Je commande une glace chocolat menthe, il me la sert (la glace, �videmment) avec un grand sourire, me fait un clin d'oeil. Je comprend pas tout de suite pourquoi. Puis en mangeant ma glace, je d�couvre un papier dans le mouchoir pour s'essuyer les mains :

RDV 22h au caf� de l'Empire

Il me donne rendez-vous, c'est dingue, m�me quand je cherche pas je trouve quand m�me ; d'ailleurs il est plus beau que ceux que je trouve habituellement quand je cherche.
A 22h je me retrouve � la terrasse de ce caf�. Je le vois assis � une table, je vais le rejoindre.
- Salut, je pensais pas que tu allais venir, dit-il
- Tu as des arguments qui ont pu me convaincre.
- Merci, me r�pond t-il, et tu n'as pas tout vu !!
- T'as peur de rien, tu sais pas qui je suis, ni si je suis int�ress�, mais tu me fais des avances et des propositions.
- Mais je parlais de mes jambes, dit-il avec un tr�s grand sourire
- C'est cela oui, de la troisi�me ?
- Oui ma troisi�me jambe, et je sens que tu es int�ress�, me r�pond t-il
- Exact, je suis assez int�ress�, mais on peut boire un coup avant.

Nous buvons un verre, tout en discutant de tout et de rien. Il s'appelle Fabien. Il est bien gay, et il pense avoir un sixi�me sens pour rep�rer les personnes int�ress�. Je suis sceptique, mais faut avouer que sur moi, il ne c'est pas tromp�.
Il me propose un dernier verre � prendre chez lui, je r�pond "ok" na�vement, sans arri�re pens�e.

On arrive chez lui, il a un petit studio, dans le centre-ville. A peine arriv�, et il se met en cale�on de suite, en m'expliquant qu'il faisait chaud. C'est � ce moment que je compris le sens du dernier verre.
- Je viens de comprendre
- De quoi? me demanda t-il
- Le dernier verre, on est pas l� pour ce le boire
- Si, on va le boire, mais on s'arr�tera pas l�, t'es pas une fl�che toi !!
- Oh �a va !!
On prend effectivement un verre, puis il me lance :
- On s'encule ?
- Je suis partant, mais on peut commencer soft.
- Ok.

Sur ces mots, je vois son cale�on se tendre, sugg�rant un bon morceau de viande. Mais alors que j'allais me jeter sur son cale�on, il me prit de vitesse. Il s'est approch� et m'a embrass� goulument. Nous voil� coller l'un � l'autre, en s'embrassant, tout en laissant trainer nos mains sur le corps de l'autre. Pour �galiser, il me d�shabille, je me retrouve en boxer avec lui.
Moi aussi je bande, ma bite est � l'�troit, mais par chance il l� lib�re de sa prison de tissu. Et l� prend en bouche. Il me suce avec sensualit�, me pousse sur son lit, et reprend ma bite dans bouche dans une position plus confortable. C'est un magicien, je prend beaucoup de plaisir, mais sans l'envie d'�jaculer, �a pourrais durer longtemps. D'ailleurs pour varier, ils l�chent langoureusement mes boules, puis le gland, et mon sexe, et il se remet � sucer, plus rapidement, en passant sa langue sur mon gland. C'est vraiment trop bon. Je le sors de ma bouche sinon je vais �jaculer.

- On s'encule ?
- Pas de tout de suite, je lui r�pond
Je le chope et le renverse, il est d�sormais sur le dos, je commence � le sucer � travers son cale�on.
Son cale�on est bien tendu, on dirait un chapiteau. Son cale�on est mouill� par ma bave. Je d�cide de lui retirer son cale�on, et l� je vois son sexe, dur comme le fer, d'une longueur de 22cm et assez �pais.
Je continus � le sucer apr�s avoir admirer son sceptre. Je dois avouer que �a me fais mal � la m�choire, de sucer un morceau pareille, mais quel plaisir aussi. Je continue � le sucer, lui l�cher les boules, le sexe et son gland, d'une fa�on toujours plus coquine et avec un regard gourmand. Il soupir et pousse des grognements masculins roque. Mais il r�siste, au bout de 20 min, je lui demande si �a viens. Il me r�pond :
- On s'encule ?
- Tu l�che pas l'affaire toi
- Ah non, surtout qu'elle me plaise bien tes fesses
- Les tiennes me paraissent bien aussi
- Oui mais tu les auras pas
- T'es pas partageur, je lui r�pond
- T'inqui�te pas, je vais partager autre chose avec toi
- Quoi donc ? je demande intriguais
- Un copain � moi qui est exclusivement passif
- C'�tait pas pr�vu �a
- Mais c'est pas grave �a, et pis je suis sur que t'es ok ?
- Ouais, t'as vraiment un sixi�me sens
- Et oui, bon je l'appelles, il habite dans l'immeuble, on attendant occupe toi de ma bite
- Ok, pas trop quand m�me, faudrait que tu te vide avant
- Oui c'est pas faux.

Il appelle son copain, Henri, puis je lance sur ma bite, pour la sucer.
Une minutes apr�s arrive Henri.
Il ouvre la porte, je vois un joli reubeu, de mon �ge je suppose.
Je me pr�sente, il me rembarre direct :
- On est pas l� pour causer
- Ok, je r�pond surpris.
Il se d�shabille direct, 1m80, 75 kg de muscle, un joli teint hal�, un corps bien muscl�, un sexe qui bande d�j� (25cm sur 6 cm), je crois r�v�.
- T'es passif toi ?
- Oui, mais je dit qu'on causer pas
- T'as pas le physique du passif excuse moi
- C'est terrible les pr�jug�s, me lance t-il, bon on s'encule ? me dit-il.
- Ok beau gosse.

Il se met en position levrette tout de suite, je prend un pr�servatif et un peu de gel, je me lance direct. Aucun probl�me pour passer, je suis certainement pas le premier � �tre pass�. Je commence les vas-et-viens, bien moins d�licatement que d'habitude. Henri pousse quelque cris bien m�le.

C'est au tour de Fabien, il se place derri�re moi et me mets un, puis deux doigt pour pr�parer sa prochaine excursion. Pendant que m'occupe de Henri, Fabien s'occupe de moi avec ces doigts. J'entends Fabien qui met un pr�servatif et sens le froideur du gel sur mon anus. Fabien me dit de me cambrer et de continuer � enculer Henri, difficile exercice. J'�tale Henri sur le lit, tout en laissant ma queue dans son cul, je m'allonge sur lui. Fabien arrive alors et commence � m'enculer, �a rentre difficilement, et me je donne quelque coups de rein pour pouvoir enculer et me faire enculer.

On essaye diverses positions afin de bien s'emmancher correctement. Une fois la position id�ale, on commence � acc�l�rer les mouvements. Je suis bien secou� par cette brute de Fabien, et par ce cochon de Henri, qui trouve que je vais pas assez vite � son go�t.
Au bout de 20 min de sport assez intense, je suis �reint�e mais les deux autres sont toujours en plein forme. Je suis entre deux super-m�le qui poussent des cris virils et moi je cris comme une femme � c�te.

Je leur dit que je m'arr�te l�. Ils veulent pas, on s'arr�te, mais ils m'allongent dos sur le lit, et Henri s'empale sur mon sexe et me dit de ne pas �jaculer tout de suite. Il s'empale enti�rement, et s'allonge sur moi pour m'embrasser. Puis je sens un poids sur moi, c'est Fabien qui arrive derri�re le cul � Henri, il commence � entrer aussi dans son cul. Henri a l'air heureux. Son anus est assez large pour nous deux.

Fabien arrive au bout et commence � lui pilonner le cul, �a fait trop bizarre de sentir d'�tre deux dans un m�me cul. Henri lui commence � crier fort, ses cris roques laissent place des cris plus f�minins et qui m'excite davantage. L� j'en peux plus mais il n'y a pas que moi. Henri �jacule sur moi son sperme chaud bouillant, j'en ais partout sur le corps, �a d�gouline sur le lit. Puis je sens le bite de Fabien se raidir, la mienne aussi, on �jacule en m�me temps. Fabien se retire, Henri se d�sempale, je suis �puis�, je d�gouline du sperme de Henri.

On va se doucher tout de m�me, mais pas ensemble (je peux plus l�). Mais je reste dormir sur place, je me justifierais comme je peux aupr�s de mes amis. Je me couche sur le lit (les draps ont �t� chang�), avec Fabien et Henri, eux aussi visiblement fatigu�.

Dommage que j'aie pas pu me faire les fesses de Fabien et la bite de Henri, il y avait l� des morceaux de choix.

P.S. : Comme je suis Hitchcock de l'histoire X gay, on ne se doute pas que le r�veil de nos jeunes mignons ira au del� de toutes esp�rances.

Nicolas

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :