Nos premi�res fois ;avec mon Amour !Tout d'abord, une rapide pr�sentation de nous lors de notre rencontre. Moi, 23 ans, relativement grand, svelte. On ne peut pas dire que j'�tais quelqu'un de canon mais il para�t que je d�gage un petit quelque chose d'inexplicable. Lui, 23 ans �galement, grand, sportif. Lors de la premi�re vision l'un de l'autre, nous sommes regard�s longtemps. Et pourtant, aucun de nous ne connaissait l'homosexualit� de l'autre. Et pour cause, aucun de nous n'avait d�j� fait notre coming out. Nous avons vite sympathis� et sommes vites devenus ins�parables jusqu'au jour fatidique o� je d�cidais de lui dire que j'�tais homo ! Et quelle ne fut pas ma surprise quand il me r�pond que lui aussi et qu'il �tait fou amoureux de moi. Du jour au lendemain, nous d�cid�mes de faire notre coming out � nos familles et amis respectifs. Certes, ce ne fut pas toujours chose facile mais avec le recul, il est clair que cela s'est bien pass�. Le premier mois, nous nous voyons presque en cachette, autour d'un verre, dans sa voiture ou dans la mienne... Nous apprenions � nous conna�tre bien que l'un comme l'autre, nous nous connaissions d�j� tr�s bien vu notre amiti� pass�e. Et puis, au fur et � mesure des rendez-vous, nos mains se balad�rent de plus en plus. Notre premi�re masturbation... Un mois apr�s le d�but de notre relation, nous nous �tions donn�s rendez-vous un soir apr�s un souper chacun de notre c�t�. Rendez-vous dans sa voiture, dans un parking de la ville. Nous �tions tous les deux tr�s excit�s par cette rencontre... Nous n'avions pas envie de parler mais juste de s'embrasser. Et de bisous en bisous, les mains ne tiennent plus en place. Je me d�cide, je d�tache le bouton de son pantalon pour pouvoir m'aventurer � l'int�rieur. Il me laisse faire. Je le caresse et sens une barre bien dure. Je n'ose pas aller plus loin lorsque j'entends le son de sa voix qui me dit " descend encore une couche ". Je suis surpris car nous sommes tout de m�me dans un parking. - ; ; Tu n'as pas peur que les patients nous voient, lui dis-je. - ; ; A trois heures du mat', il n'y a personne Je me lance, je touche directement son sexe turgescent. Le contact de la chaire me fait bander plus dure que jamais. Ce n'est pourtant pas ma premi�re bitte mais l�, il y a de l'amour en plus. Je le masturbe doucement, tout doucement quand je m'arr�te. Je suis fou de lui et j'ai l'impression qu'on est seul sur terre. Rien ne peut nous arriver. Il me regarde, se demande pourquoi j'ai arr�t�. On s'embrasse et puis je d�cide de lib�rer ma ; ; ; queue. A son tour, il me masturbe. C'est bon, j'ai pas envie qu'il s'arr�te. On se masturbe tous les deux jusqu'au point de non-retour. Il est 4h30, grand temps de rentrer car on travaille tous les deux le lendemain... Notre premi�re fellation... Une semaine plus tard, nous d�cidons de se faire une petite soir�e ensemble. L'existence de l'autre est de mieux en mieux accept�e autour de nous et nous nous voyons de plus en plus au grand jour. Ce resto est notre premi�re soir�e officielle. On sait que nous serons ensemble toute notre vie. On parle d�j� appart. Et on n'oublie pas que dans 3 semaines, nous partons ensembles en vacances... avec des amis d'ailleurs. C'�tait pr�vu de longue date... Il y a juste eu une redistribution des chambres ! Mais revenons � notre resto. Nous choisissons une ville estudiantine car deux gar�ons ensemble dans un restaurant ne para�tront pas d'office comme un couple. C'est le d�but de notre relation et nous craignions encore le regard des autres. ;Ce n'est plus le cas actuellement ! Petit resto sympa, nous discutons beaucoup et le temps passe tr�s vite. A la sortie du resto, il fait chaud. Nous sommes en �t� et d�cidons une petite promenade autour du lac. Nous trouvons un petit coin discret. On se met dans les bras l'un de l'autre. Nous nous caressons. Il fait noir et pas grand monde autour de nous. Nos mains se faufilent partout et l�, je lui dis : Ok, j'ai trop envie de le sucer. Cela fait une semaine que j'y pense sans cesse. Le contact de sa queue avec ma main ne me suffit plus... Je veux lui procurer le plaisir en le su�ant. L'un comme l'autre n'a jamais connu le grand amour. Juste des coups d'un soir. Jamais de relations anales ni pour l'un ni pour l'autre. Nous arrivons � la voiture et il nous emm�ne dans un parking tr�s calme. Pas une seule voiture � l'horizon. Une bonne visibilit� sur l'entr�e du parking... Le moteur s'arr�te. On s'embrasse, on d�grafe assez vite nos pantalons, les baissons mais pas trop quand m�me. Faut qu'on puisse vite le remonter au cas o� ! Je lui demande l'autorisation de le sucer, il m'embrasse et me dit : - ; ; je t'aime, je n'ai jamais �t� aussi heureux, elle est � toi pour la vie... Je suis heureux parce que moi aussi, je suis fou amoureux de lui. Alors je m'abaisse. La position n'est pas des plus confortables mais sa queue est divine. Il sent bon, un l�ger liquide sort de son m�at. Je le lape doucement, il g�mit. Je suce doucement son gland que je fais appara�tre en tirant l�g�rement sur sa peau. Je le l�che. Je veux le faire patienter. Il me supplie de le gober compl�tement mais j'attends. Je le masturbe tout en lui donnant quelques coups de langues. Je ne le fais pas attendre plus longtemps et je le gobe compl�tement. J'entends un soupir qui en dit long. Vraisemblablement, il aime. Je ne le suce pas trop longtemps car comme toute premi�re fois, l'excitation entra�nerait une �jaculation un peu trop rapide... Je me rel�ve, on s'embrasse et � son tour, il s'abaisse. Il me lape doucement, tr�s doucement... Il a d�cid� de se venger de l'avoir fait patienter... Tr�s lentement, il refait ce que je lui ai fait. Je le supplie de me sucer, de me gober compl�tement mais il sait se faire d�sirer... Jusqu'au moment o� il d�cide ENFIN d'engouffrer compl�tement ma queue... C'est divin jusqu'au moment o� je lui dis - Vite rhabille-toi Eh oui, arrivait une voiture dans le parking. Aussi forte soit l'excitation, la queue redevient vite molle dans de tels moments... Une bande de jeunes qui venait sur le parking pour faire on ne sait quoi ! Bref, cela ne sera pas cette fois-ci qu'on ira jusqu'au point de non-retour mais ce fut tout de m�me un tr�s bon moment. Les jours suivants pass�rent normalement. On se voyait au moins tous les deux jours mais rarement tard le soir. Jusqu'au samedi suivant o� il vint souper chez moi... Ce fut le jour des pr�sentations � ma famille. Etape r�ussie avec brio. Apr�s le repas, afin d'avoir tout de m�me un moment de libert� � nous, je proposais une petite promenade... Il fallait qu'on termine ce qu'on avait commenc� quelques jours plus t�t... Etant d'un naturel quelque peu naturiste, je connaissais des coins parfaitement tranquilles aux alentours de chez moi... Et quand je dis parfaitement, c'est parfaitement ! Une petite rivi�re passe � c�t� de chez moi et il y a des coins isol�s pour la p�che. Et hors saison (ou bien le soir), il n'y a personne parce que l'acc�s n'est pas des plus �vidents. Je ne lui dis rien sur notre destination. Tout en marchant, nous discutons pas mal de la soir�e qui vient de passer. Nous sommes contents de la fa�on dont elle s'est d�roul�e. Nous savons que la p�riode difficile du coming out est pass�e. On arrive pr�s de roseaux, je veux m'aventurer dedans. Il comprend mon but mais il est sceptique. C'est vrai que notre dernier �pisode nous a un peu refroidi. Je lui dis de me faire confiance et que je suis s�r qu'on ne sera pas d�rang�... Je m'enfonce entre les roseaux jusqu'au moment o� on arrive � ce petit coin cach�. Un v�ritable paradis o� j'ai d�j� pass� bien de bons moments. Je sens qu'il est stress�. J'ai difficile � forcer l'ouverture de sa bouche quand je veux l'embrasser. Pour le mettre en confiance, je lui raconte que c'est l'endroit o� j'ai d�couvert que j'�tais homo lors de masturbations mutuelles avec deux copains alors qu'on venait se baigner. Son visage commence � s'illuminer de son sourire. Il commence � �tre confiant. Je sens la partie gagn�e. Je ne crains nullement qu'on ne soit d�rang�. Et je compte bien lui prouver. Il fait chaud. C'est une nuit d'�t� o� on n'a pas l'impression qu'il fait moins chaud que pendant la journ�e. Je porte seulement un bermuda, une chemise large et des docksides. Lui, il est habill� plus chic... Il s'�tait fait tr�s chic pour le souper. Il a un pantalon en toile l�g�re habill� mais tr�s � la mode. Et une chemise. Il doit avoir chaud le pauvre... Je lui d�fais un peu sa chemise en lui demandant s'il n'�touffe pas. Il me fait remarquer qu'il pr�f�rerait �tre habill� comme moi ! L� dessus, j'enl�ve bermuda et chemise tout en lui disant : Je portais un boxer tr�s moulant. Il y a trois ans, c'�tait le d�but de la lingerie pour homme et je m'�tais laiss� tenter par ce boxer tr�s sexy. J'ai marqu� 10 points d'un coup � voir la bosse qui vient de se former sur le devant de son pantalon. - J'avais aussi rep�r� ce boxer mais j'avais peur que tu trouves �a trop provocant, me dit-il. Il enleva ensuite sa chemise. Je l'avais d�j� vu nu (on allait en salle de sport ensemble) mais la luminosit� de la nuit le rendait encore plus beau. Il �ta ensuite son pantalon... Woaw, j'adorais la vue. Il portait un boxer blanc ou un string blanc... Difficile � dire au premier regard. C'est en fait un boxer transparent sauf la forme du string qui est opaque... Magnifique. L�, c'est lui qui venait de marquer 20 points. Et il me le fit remarquer en touchant la bosse de mon boxer... Je re�us une d�charge �lectrique qui provoqua une onde de plaisir dans tout le corps. Il ne sembla plus craindre qu'on soit d�rang�... Il m'embrassa. C'est la premi�re fois qu'on se serra ainsi dans le bras aussi nu. Il me suce les t�tons et cette fois-ci, ne se fit pas attendre en arrivant � hauteur de mon sexe... Il souleva l'�lastique du boxer et me su�a d'une traite. Ce fut encore meilleur que la fois pass�e. Je l'arr�ta assez vite et alla direct le sucer. D'abord un peu � travers son boxer / string. Il bougeait dans tous les sens. Ca semblait agr�able. Je soulevais � mon tour l'�lastique pour le gober compl�tement. Je le su�ais jusqu'au point de non-retour. Heureusement qu'il n'y avait personne aux alentours sinon ils seraient accourus tellement il a hurl� son bonheur ! Le temps qu'il reprenne ses esprits et il vint me sucer jusqu'au bout. Ce fut divin ! Je crus me vider de tout mon corps. Nous nous rhabill�mes et nous rentr�mes. La premi�re o� il vint en moi... Le temps de nos premi�res vacances ensemble est arriv�. Pas des vacances en amoureux vu que nous sommes 5 mais les amis avec qui nous partons acceptent totalement notre relation. Ils sont m�me tr�s ouverts � ce sujet-l�. Destination : L'Espagne, la plage et le soleil. Petit appart cosy o� il y a piscine et tennis. Nous avons d�cid� de faire la route de nuit. Ce sont les grandes vacances, p�riode des grands d�parts et donc, nous pr�f�rons �viter les bouchons. Route nickel et arriv�e � midi � l'appart. On le d�couvre et il correspond aux photos. Parfait appart pour 5. 2 chambres (dont une avec un grand lit pour nous) - cuisine - grande terrasse (accessible notamment � partir de notre chambre). Premi�re apr�s-midi de plage et surtout de repos pour nous deux qui avons roul� pendant toute la nuit. Ce soir, cela sera la premi�re fois que nous dormirons ensemble. C'est m�me la premi�re que chacun de nous dort avec quelqu'un. Nous sommes claqu�s vu la nuit blanche pr�c�dente et donc, � peine au lit, dodo ! Nous voulons que notre premi�re soit magnifique. Nous savons l'un comme l'autre qu'au niveau relation anale, nous sommes puceaux. Et donc, nous devons tout d�couvrir. Intuitivement, nous savons que cela se passera durant ces 15 jours mais nous ne voulons rien brusquer. Deuxi�me soir : Nous sommes tous en forme et apr�s un bon repas un peu arros�, nous d�cidons d'aller d�couvrir le centre ville. Pas grand chose dans le coin mais ne voulant pas prendre la voiture ce soir, tout le groupe d�cidons de rentrer. Demain, nous devons aller chercher le 5eme qui arrive en car et nous devons se lever t�t. Arriv�e � l'appart, chacun regagne sa chambre. Nous sommes plus mal � l'aise ce soir qu'hier... Nous savons ce que nous voulons chacun mais ne savons pas comment l'exprimer � l'autre. C'est mon copain qui fait le premier pas en se couchant avec son boxer / string avec lequel il a le t-shirt moulant assorti. Il est tr�s sexe ainsi. L'invitation � faire l'amour est assez claire... Je dois encore passer par la salle de bain et ce soir, je veux qu'il vienne en moi. On verra bien mais je pr�pare toujours pour �viter toute surprise. Je mets aussi mon boxer " provocant " mais reste torse nu. Quand je rentre dans la chambre, la lumi�re est �teinte, juste la luminosit� de l'ext�rieur illumine la chambre. Il ne fait donc pas noir ! Je m'approche de lui, le caresse tout doucement. Je sais qu'il adore �tre caress� dans le dos. Il se laisse faire. Nous nous embrassons. - C'est la premi�re fois que nous sommes dans un lit, lui fis-je remarquer comme s'il ne le savait pas. Cela provoque un petit �clat de rire et surtout nous lib�re d'une certaine tension. Il vient me caresser les t�tons, j'ai la chaire de poule sur tout le corps. Et il me caresse de plus belle, passe sa main d�licatement sur mon sexe qui gonfle encore un peu plus. Ma main quant � elle s'imitie sous son t-shirt. Redescend dans son dos et va palper ses fesses. Elles sont fermes. Je le mets torse nu et commence � lui mordiller les seins. Il se tortille de plaisir. Je descends et vais lui gober les couilles � travers son sous-v�tement. Vas-y, me dit-il, d�shabille-moi. J'enl�ve donc le bas. Et lui enl�ve le mien. C'est notre premi�re nudit� dans un lit. Je me blottis contre lui, nos queues les unes contre les autres. Je glisse ma main entre nos deux corps nus, attrape nos queues et les masturbe ensemble. Sensation nouvelle bien agr�able. Je le suce ensuite, parcoure tout son corps, le couvre de bisous. On bascule. C'est lui au-dessus de moi maintenant. Il me l�che partout, me suce, me mordille, me masturbe. Un doigt inquisiteur se glisse vers mon anus, remonte. Il malaxe mes couilles, va les sucer, les mordiller, les gober. Je n'arr�te pas de g�mir, � tel point qu'il vient mettre sa main sur ma bouche en me disant de faire moins de bruit. Il recommence � me sucer. Je le fais s'arr�ter mais il me suce jusqu'au bout. C'est bon, je g�mis, il continue, je n'ai jamais autant �jacul�. Trois secondes pour me retaper et je le bascule, le suce direct en le mouillant bien. En m�me temps, je me masse l'anus en le mouillant aussi. Je remonte dans le lit, l'embrasse. Il fait mine de m'enculer en plaquant sa queue dans ma raie. Je le laisse faire un peu. Je sens que ca m'excite, que mon trou s'ouvre. Et puis, sans crier gare, je le fais me p�n�trer. Il ne s'y attendait pas. Je m'�tais bien pr�par�. Ca est rentr� tout seul. Tout en m'enculant la premi�re fois, il a l�ch� un " Oh oui ! ". Il m'a regard� intrigu� ensuite. Je lui dis : - Je t'aime... J'avais trop envie de t'offrir mon cul. C'est toi qui m'as d�pucel� de ce c�t�-l�. - Moi aussi je t'aime m'a-t-il r�torqu�. Apr�s deux trois allers-retours, il ne sait plus se retenir et vient en moi. Cela me provoque un deuxi�me orgasme. Nos parcours sexuels respectifs nous permettaient de ne pas utiliser la capote ! L'un comme l'autre, nous �tions s�rs � 200 % l'un de l'autre. Je l'embrasse, il me masturbe avec vigueur et je vins une seconde fois sur lui son torse. On s'endort, nus, heureux, blottis l'un contre l'autre. Le lendemain matin, nos amis nous demandent avec un grand sourire si nous avons bien dormi. Apr�s leur avoir r�pondu oui et demand� si eux avaient bien dormis, ils ont r�pondu en coeur : " Oui, enfin apr�s 2h30 du mat ;" ! "... Ma premi�re fois en lui... Apr�s avoir �t� cherch� le 5eme luron de la troupe et profit� d'une journ�e de plage, le soir arriva tr�s vite. Comme convenu le jour avant, nous d�cidions de sortir dans la ville � c�t�. A notre grande surprise, cette ville �tait relativement gay friendly vu le nombre de couples homos que nous croisions. Nos amis nous invit�rent m�me � ce que nous en profitions pour se prendre la main... Ce fut une excellente soir�e o� nous nous d�cha�nions sur les pistes corps � corps. Durant une danse endiabl�e, mon copain vint me susurrer � l'oreille qu'il avait envie de moi ce soir... Qu'il voulait aussi conna�tre la jouissance anale telle que je l'avais d�couverte le jour pr�c�dent. La soir�e fut assez excitante et une fois rentr�, nous nous retrouv�mes vite fait � poil au lit. C'est moi qui le pr�parais doucement � mon passage. Je lui rentrais un doigt, puis deux, puis trois. Mon copain hurla de plaisir et essaya d'�touffer ces cris. Nous ne voulions plus d�ranger nos amis. Il vint ensuite me sucer, tout en me mouillant bien afin que sa salive serve de lubrifiant. Il se pla�a sur le dos, et lentement, je pr�senta ma queue � l'entr�e de son cul. Il �tait bien ouvert et tr�s d�tendu si bien que c'est lui qui m'agrippa par les fesses pour que je m'enfonce en lui plus rapidement. J'�tais enfin dans cet antre chaud et moelleux. Je lisais le bonheur sur son visage. Lentement je fis des allers et retours, sortais ma queue, la rentrais et ainsi de suite. Je sortis pour le sucer un peu quand il me dit qu'il voulait que je vienne jouir en lui et qu'on jouisse ensemble. C'est ainsi que je le p�n�trais � nouveau avec vigueur et rapidit�. Tout en le masturbant, je l'enculais comme un sauvage. On g�missait de plaisir, il ondulait dans tous les sens, il se crispait et puis un, deux, trois jets atterrirent sur son torse. La contraction de ses fesses me fit venir en m�me temps en lui. Nous nous �croul�mes ainsi et nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre. Le lendemain, au r�veil, nous n'avions pas boug� et �tions toujours blottis l'un contre l'autre, ma queue entre ses fesses. On frappa � la porte pour nous r�veiller... Le temps de se faire un bisou, de s'habiller et on alla d�jeuner. Le s�jour passa relativement vite o� pas un soir nous ne faisions pas l'amour... Et parfois le matin aussi quand on se r�veilla avant les autres. Notre premi�re un peu exhib... Le dernier jour arriva tr�s vite... Ce soir nous rendait morose, pas seulement parce que c'�tait la fin des vacances mais parce qu'on savait qu'on ne dormirait plus ensemble avant un petit temps... Ce soir, on voulait en profiter. Faire l'amour toute la nuit ! Une fois dans la chambre, nous nous d�shabill�mes mutuellement tr�s lentement. On se mit en 69 sur le lit pour nous sucer jusqu'� jouissance. Et puis il me dit : - J'ai envie de toi de fa�on particuli�re - Dis-moi, n'aies pas peur de me dire tes fantasmes les plus fous - C'est notre dernier soir et ... - Vas-y, oses me le dire, lui r�torques-je - Je veux que tu viennes en moi sur la terrasse ! Je fus stup�fait car il me semblait tellement pudique. Mais j'�tais tellement content de sa demande, ;moi naturiste dans l'�me. Je me lance alors : Ok mais alors on est fou jusqu'au bout et apr�s tu viens en moi dans la piscine. T'es fou ? Oui, fou de toi ! C'est ainsi qu'on ouvra la fen�tre de la chambre et que nous allions nus sur la terrasse. Il s'appuya le dos sur la balustrade. Nous nous embrassions. Nos queues reprenaient leur vigueur et lentement je descendis le sucer. L�, il n'eut pas peur de laisser crier sa jouissance, il g�missait et n'essayait pas d'�touffer ses bruits. Trois doigts le p�n�traient. Il me su�a et ensuite, il se retourna en se cambrant pour me pr�senter son petit trou... Quelle invitation ! Je ne me fis pas attendre, pris ma queue en main et la pointait vers ce joli cul. Sans mal, je rentrais en lui. J'�tais debout derri�re lui, ma queue en lui, ma main sur sa queue en train de le masturber. Je faisais des allers et retours incessants. Cette position debout semblait lui faire bien plus d'effets... Il avait des frissons sur tout le corps puis se cambra encore plus et je sentais des contractions qui indiquaient qu'il �tait en train d'�jaculer du haut du 5eme �tage. Ses contractions provoqu�rent ma jouissance. Je crus perdre l'�quilibre, d�faillir tellement ce f�t bon. Cette deuxi�me �jaculation avait �t� plus forte, plus intense ! On se regardait, se souriait, s'embrassait. On ne disait rien mais tous les deux, on se dirigeait vers notre short pour l'enfiler � m�me la peau. On sortait de l'appart discr�tement et se dirigeait vers la piscine. Cette piscine �tait bien con�ues car tr�s bien isol�e. D'une part, on savait qu'on ne nous verrait pas � moins que quelqu'un vienne � la piscine et d'autre part, on ne r�veillerait personne car les panneaux autour de la piscine forment un �cran contre le bruit. D�j� dans l'ascenseur, nous �tions tr�s excit�s � l'id�e de ce que nous allions faire. Bien s�r, nos queues �taient encore toute molle vu nos �changes charnels sur la terrasse. Mais dans ce vieil ascenseur tr�s lent, je d�cidais de le sucer. J'enlevais d'abord mon short pour exciter son regard et ensuite, je baissais le sien. Nous �tions nus � 2h du mat' dans l'ascenseur. Il pouvait s'arr�ter � tout moment mais la passion fait faire des folies. On ne r�fl�chit pas dans de tels moments. Nos queues reprenaient du volume tout doucement lorsque nous arrivions en bas. Je pris son short et courus cul nu vers la piscine. Mon copain n'eut pas d'autre choix que de faire pareil. On plonge�t ainsi dans la piscine et on se roulait une pelle d'enfer. L�, nos queues �taient au garde � vous ! Pr�te � l'emploi :-) L'excitation �tait � son comble. Mon copain vint se coller derri�re, sa queue dans ma raie. La sensation �tait agr�able. Je me dirigeais vers le bord et m'assit dessus. Il me su�a, sa langue descendit sur mes couilles et descendit encore. Elle �tait au bord de mon trou et tenta de le p�n�trer. Ca me chatouilla tr�s fort mais c'�tait tr�s excitant. Apr�s quelques minutes de ce d�licieux traitement, il me tira dans l'eau. Et face � face, je m'assis sur sa queue. Les mouvements de va et vient n'�taient pas facile dans une telle position mais �tre ainsi dans ses bras, sa queue en moi et pouvoir l'embrasser, c'�tait magique. Apr�s quelques minutes ainsi, mon copain attrapait un matelas pneumatique tra�nant dans la piscine et me dit : - Couche toi sur le dos dessus. Ce que je fis. Il monta sur le matelas aussi et apr�s quelques mouvements h�sitants r�ussis � se maintenir dessus. Il me p�n�tra ainsi, ses jambes pendant dans l'eau, assis sur le matelas alors que moi j'�tais couch� dessus avec mes jambes sur ses �paules. C'�tait un peu de l'�quilibrisme mais nous avons r�ussi � maintenir la position plusieurs minutes avant de tomber dans l'eau. Nous �clat�mes de rire, nos queues toujours tendues � leur maximum. Nous nous sommes dirig�s vers la petite profondeur o� je me suis tout simplement assis dessus jusqu'� ce que nous jouissions ensemble. C'�tait notre 3eme fois sur la soir�e, enfin la nuit car il �tait pass� 3h du mat'. Le lendemain, le r�veil fut difficile et la route p�nible. Un mois plus tard, nous avions trouv� un appart et depuis nous vivons ensemble ;et avons beaucoup exp�riment� les diverses positions et les diff�rents endroits possibles. Je l'ai rendu adepte du naturisme et du sexe ! R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |