Cyrillo

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Le neveu de ma femme

J'ai un neveu qui me fait fantasmer depuis plusieurs ann�es. Aujourd'hui, il est �g� de 24 ans. En fait, c'est le neveu de ma femme, le fils de ma belle-soeur.

Les al�as de la vie ont fait que nous nous sommes par la suite vus peu souvent. Ses parents ont divorc� et d�m�nag�. Je l'ai vu rapidement, il y a quatre ans, lorsqu'une de mes belles-soeurs est d�c�d�e. Il avait fait de l'auto-stop vers Montr�al et j'�tais all� le chercher dans un bar o� il s'�tait arr�t�. Les autres membres de la famille disaient qu'il menait une "mauvaise vie". Je ne savais pas exactement ce qu'ils appelaient mauvais. Moi, en tout cas, le jeune homme que j'ai vu � ce moment-l� m'a sembl� toujours aussi s�duisant, avec cette aura de sensualit� qui avait continu� de se d�velopper autour de lui et qui cr�ait un genre de pont magn�tique entre nous deux.

Un de mes beaux-fr�res r�sidant � Qu�bec, probablement aussi entich� que moi par le jeune homme, mais qui semble lutter contre cela en lui trouvant des d�fauts, me dit un jour qu'il �tait danseur nu dans un bar renomm� de la ville. Non, je n'y suis pas all�. J'ai donc pass� plusieurs ann�es, au moins trois ou quatre, sans revoir mon neveu. Tout ce que j'en entendais, c'�tait les propos d'une critique feutr�e, presque silencieuse, des femmes de la famille et ceux plus grivois de mon beau-fr�re qui ne cessait de r�p�ter qu'il avait d�fendu � sa propre fille de fr�quenter son cousin, que celui-ci ne pouvait que l'entra�ner vers le vice. Mais mon exp�rience de la vie m'a souvent d�montr� que ce qu'on critique, c'est ce que l'on d�sire sans pouvoir l'obtenir.

Voil� donc la situation jusqu'� l'�t� dernier. Nous �tions au tout d�but du mois de juillet lorsque ma femme m'annon�a que ma belle-soeur viendrait la semaine suivante � Montr�al. J'appris dans les jours qui pr�c�d�rent sa visite qu'elle viendrait accompagn�e de mon beau-fr�re grognon, puisque c'est lui qui assurait le transport automobile, et de mon neveu. J'�prouvais une appr�hension qui grandissait au fur et � mesure que le moment de leur arriv�e approchait. En fait, pour �tre pleinement honn�te, j'avais recommenc� � fantasmer un peu sur lui, � esp�rer que quelque chose se produise entre nous. Mais tout cela �tait au strict plan du fantasme et, de fa�on r�aliste, je ne pouvais trop esp�rer que quelque chose se produise ainsi en plein dans ma demeure, au centre d'activit�s familiales o� je serais assur�ment fort entour�. Mais, avant de m'endormir le soir, j'aimais bien laisser vaquer mon imagination, comme une barque dont on aurait momentan�ment rompu les amarres pour permettre au sang de limiter sa pression sur mon membre en �rection.

Le jour de l'arriv�e du trio, soit mon beau-fr�re, ma belle-soeur et mon neveu, je me trouvai plut�t terne dans mes relations avec lui. Il faut bien avouer que les circonstances ne se pr�taient pas � trop de familiarit�. Je m'informai de choses banales, me sentant un peu d�class� dans ce qui devait �tre l'ordre de ses priorit�s au niveau de l'attirance physique chez un homme. En fait, je consacrai beaucoup plus de temps � sa m�re et aux autres membres de la famille, remplissant mon devoir d'h�te du mieux que je pouvais. Bon, rien d'exceptionnel ne se d�roula lors de cette premi�re journ�e, d'ailleurs d�j� tr�s avanc�e lorsqu'ils arriv�rent � Montr�al.

Le lendemain �tait une journ�e magnifique, ensoleill�e, chaude, agr�able. Une de ces journ�es o� l'on a l'impression de profiter au maximum de ce que la vie a � nous offrir. Nous relaxions et moi et mon beau-fr�re �changions � l'occasion quelques blagues ou propos sans importance. J'en profitais pour regarder mon neveu, �tendu sur la chaise longue, habill� seulement d'un mini costume de bain. J'admirais sa peau cuivr�e, luisante de la cr�me solaire dont il s'�tait enduit et surtout de l'�norme bosse qu'il avait dans son slip de bain. Pendant que je l'observais, il se reposait sous l'effet relaxant des rayons du soleil. Je profitais du peu d'importance que j'accordais � ma conversation avec mon beau-fr�re pour laisser de douces vagues de d�sir envahir mon corps.

Je me concentrais sur le corps magnifique de mon neveu, Cela suffit � faire gonfler le membre que recouvrait malhabilement un maillot qui commen�ait � se d�former s�rieusement. Heureusement que cette moiti� de mon corps �tait cach�e par une table de jardin. La forme de son sexe suscitait particuli�rement des pens�es auxquelles je m'abandonnais langoureusement. Je tournais ma langue dans ma bouche comme j'aurais fait tourner son gland bien dur entre mes l�vres. J'apportai mon verre � la bouche pour boire et sucer une glace comme si cela avait �t� sa queue. Le meilleur de l'apr�s-midi se passa dans cet �tat presque comateux, s�rement heureux. Les femmes se pr�par�rent � nous quitter pour aller passer la soir�e au Casino. Mon beau-fr�re irait les conduire et attendrait leur appel pour aller les rechercher. Du moins, c'est ainsi qu'il en fut convenu.

De mon c�t�, apr�s leur d�part, je me pr�parai � prendre une bonne douche pour faire dispara�tre toute trace de chlore ou de sueur. Mon neveu lisait un livre sur la terrasse arri�re pendant que je me pr�parai � prendre ma douche. J'�tais rendu � appliquer un shampoing sur mes cheveux lorsque je sursautai l�g�rement. Le rideau de ma douche bougeait, et une main le ramenait lentement. Mon coeur battait la chamade, car je ne fus pas long � comprendre qui pouvait ainsi faire glisser le rideau de la douche. Apr�s tout, mon neveu et moi �tions � ce moment seuls dans la maison. Je vis son sourire ing�nu, ses yeux int�ress�s et son magnifique corps �lanc�...

- Y a-t-il une petite place pour moi?

Je cherchai mes mots avant de sortir b�tement un "bien s�r" que je me surpris � prononcer avec une apparente assurance alors que mon corps ressentait tout le contraire. Mon p�nis se redressant avec une rapidit� presque embarrassante. En fait, les id�es se bousculaient dans ma t�te et je ne savais plus exactement quoi dire et comment agir. Non, je le savais, mais j'h�sitais encore � le faire et � le dire. J'avais tellement souvent fantasm� sur lui, mais je n'aurais jamais cru que mon fantasme pourrait se concr�tiser � ce point. Son corps tout entier s'engouffra avec moi sous la douche. L'eau commen�a � perler sur sa peau. Encore sous le coup de la confusion, je laissai �chapper:

- Que fais-tu l� Bob?

- Tu ne veux pas que je vienne sous la douche avec toi?

- Non, non, ce n'est pas �a, au contraire, tu le sais bien...

- Mon oncle, j'ai tellement le go�t de me sentir pr�s de toi...

Je m'approchai de lui et l'entourai de mes bras. Quelle sensation indescriptible que sa peau toute jeune contre mon corps nu. Quel dard du d�sir me piquait avec autant d'intensit�, je sentais la pression d�licieuse de son sexe aussi dur que le mien. Je touchai � ses fesses galb�es avec mes mains ouvertes qui cherchaient � les masser, � les couvrir compl�tement pour ensuite mieux les comprimer. Ce faisant, c'�tait comme si j'accentuais la pression interne qui �tirait mon p�nis. Comme pour mieux �pancher notre passion, nos l�vres se joignirent et nos langues se m�lang�rent, glissant sur l'autre et la fouillant avec avidit�. Que m'arrivait-il?

- Tu sais mon oncle, dit-il j'ai le go�t de me faire caresser, mais j'ai le go�t de te caresser aussi...

- Bob, pourquoi fais-tu cela?

- Laisse-moi faire, mon oncle.

Et il saisit mon p�nis tout band� dans sa main, en faisant passer le gland le long de sa cuisse, avant de s'agenouiller et de l'approcher de sa bouche. Il sort la langue et, appuyant mon membre raide contre mon ventre, il passe celle-ci sur toute la longueur de mon p�nis avant de prendre le gland dans sa bouche. Je le jure: jamais de ma vie je n'avais �prouv� un tel plaisir. Je baissai mes yeux vers son visage. Passant � nouveau sa langue sur toute la longueur du p�nis avant d'en gober et d'en sucer le gland, il levait un regard empli � la fois d'innocence et de perversit� vers moi. Je le regardais exercer son art, fascin�. Mes doigts �taient enfil�s entre ses cheveux mouill�s. Je m'arquai quelque peu pour faire descendre mes mains vers ses �paules, puis vers son torse que je caressai du mieux que je pouvais, roulant et pin�ant les jolis mamelons entre mes doigts.

Il continuait d'appliquer � mon p�nis les prodiges que seules sa langue et sa bouche pouvaient prodiguer. Il avalait maintenant mon manche en entier dans sa bouche, le mordant l�g�rement et l'enrobant de sa salive qu'il aspirait ensuite dans un chuintement des plus sensuels. Je ne pouvais pas �tre plus raide que cela. Je sentais les premi�res traces de ma semence couler dans les canaux du plaisir. Mon gland �tait devenu un bouchon qui retardait avec de plus en plus de difficult� l'explosion de mon plaisir. Passant mes mains sous ses �paules, je le fis se lever, non sans qu'il engouffre encore � plusieurs reprises mon membre �rectile dans la douceur de sa bouche. Une chaleur imp�rieuse avait envahi tout mon corps. Tout vestige de raison avait c�d� la place aux �lans de ma passion et de mes pulsions

- Bob, tout ce que tu me fais, c'est si bon. J'ai r�v� � ce moment depuis si longtemps. Je veux te d�foncer... Je veux que ta chair soit meurtrie par ma queue.

Me regardant en plein visage, semblant lui aussi satur�e par la passion, il m'ordonna presque:

- Fais le! Je le veux... Vas-y, d�fonce-moi avec ta grosse queue.

�tait-ce r�ellement mon neveu que j'entendais parler avec un langage si cr�? Cela n'�tait pas sans me plaire et m'exciter encore plus. Je le retournai, toujours fouett� par les jets d'eau de la douche.

- Vas-y mon oncle, enfonce-moi, m'invectiva-t-il de nouveau.

Je n'avais pas besoin de me faire prier pour cela. Je savonnai l�g�rement l'abord de son anus et je commen�ai � en forcer l'entr�e. Mon gland me sembla honn�tement trop �norme pour enfoncer ce petit trou qui semblait malheureusement plus se contracter que se dilater. Je poussai mon p�nis pour qu'il d�fonce la barri�re de son anus. Il geignait. Je semblais lui procurer tout autant de douleur que de plaisir, mais ce dernier semblait lui rendre la douleur non seulement tol�rable, mais aussi bienvenue.

- Ah oui, c'est bon... Continue... vas-y, d�fonce-moi! Ahhh!

Puis je sentis la barri�re de chair c�der et s'entrouvrir, avalant lentement mon gland. Il l�cha alors un cri, suivi d'un g�missement plus long. Ce g�missement, un long "aghhhh" qui semblait provenir de ses entrailles, me semblait une invitation � pousser mon sexe encore plus avant entre ses fesses. J'allais lentement, car la chair int�rieure semblait encore contract�e. J'avais r�ellement l'impression de le d�foncer. Mais son g�missement devenant de plus en plus fr�n�tique ne me portait pas � cesser ma p�n�tration, bien au contraire!

- Ah oui, c'est boonnnn, enfonce-la toute, je la veux toute en moi! ghhh!

Je donnai quelques coups de butoir encore plus vers l'avant et mon membre avait �t� presque totalement englouti Il bougeait maintenant, se d�hanchant. Pendant ce temps, je le masturbais avec une de mes mains qui n'avait jamais �prouv� autant de plaisir � explorer le sexe d'un autre homme. Mon autre main me permettait de me maintenir en �quilibre, puisque j'avais commenc� � lui faire sentir les mouvements d'un va-et-vient d�lirant dans son trou de cul. En le p�n�trant ainsi par l'arri�re, je le voyais soulever son bassin, comme s'il cherchait � m'aider � longer plus facilement le conduit menant au bout de son fondement. Et il accompagnait mon avanc�e � l'int�rieur de celui-ci par des g�missements de plaisir. � l'occasion, ma main quittait son appui sur le mur pour venir lui masser les mamelons. Je le p�n�trais ainsi depuis une dur�e que je m'avoue incapable d'estimer mais le plaisir �tait pour moi tellement intense que je ne pouvais me retenir plus longtemps. Je me retirai brusquement pour �jaculer entre ses fesses, Ah! que j'aimais cela. Son anus �tait devenu tout dilat� et semblait respirer de contentement. Ma semence coulait tout autour.

- Tiens, ma ni�ce qui se paie du bon temps avec l'oncle Jean. Et l'oncle Pierre, lui, qu'est-ce qu'il a pour lui?

Je sursautai. Et Bob �galement. J'aurais d� y penser, mon beau-fr�re n'avait fait que reconduire les femmes. Il devait bien revenir d'un moment � l'autre. Mais j'�tais compl�tement d�boussol� par ce qui m'arrivait. M�me dans cette situation embarrassante, je l�chai encore un g�missement de contentement lorsqu'un dernier jet de semence vint se projeter sur les reins de mon neveu.

Lorsque je vis mon beau-fr�re se pointer ainsi dans l'embrasure de la porte de la chambre de bain, je dus faire un faci�s bien �trange, un m�lange de p�leur et de rougeur. P�leur de me trouver ainsi surpris, rougeur de savoir dans quelle position il me surprenait. Mon coeur venait d'atteindre le paroxysme de l'orgasme, il commen�ait � peine de go�ter le repos d'une douce et somptueuse �jaculation, qu'il se mettait � nouveau � pomper devant ce qui ne pouvait me sembler qu'une embarrassante situation.

- Ton oncle Jean doit avoir �t� bien gentil avec toi pour que tu lui donnes ce que tu as si souvent refus� � ton oncle Pierre...

J'entendis Bob lui dire d'une voix presque lascive, dans laquelle on ne sentait aucune crainte et presque aucune surprise:

- Il a le tour de se faire d�sirer, lui. Mais si tu le veux, il te reste de la place... Il m'a si bien pr�par�.

Je dus avoir l'air un peu niais, en acquies�ant, comprenant rapidement que c'�tait pour moi presque l'unique porte de sortie � la situation embarrassante dans laquelle je me trouvais. Mon beau-fr�re abusant � son tour du m�me neveu, c'�tait pour moi la meilleure garantie que son silence scellerait d'une lourde chape l'aventure qui m'arrivait. Et puisque cette situation avait d�j� une allure plut�t scabreuse, le fait que deux oncles assaillent leur neveu consentant ne pouvait que rajouter du piquant � la situation.

- Viens ici que je te go�te un peu! entendis-je mon neveu glisser en regardant dans la direction de mon beau-fr�re.

Celui-ci ne se fit pas prier. Je ne me souvenais pas avec quelle rapidit� un m�le en chaleur peut se trouver compl�tement nu! En une fraction de seconde, la ceinture �tait d�tach�e, les pantalons se retrouvaient par terre et son slip aussi. Je ne sais pas s'il avait eu le temps de nous observer longuement auparavant, mais son �rection semblait pencher en faveur de cette th�se, bien qu'ici "pencher" semble �tre un terme mal choisi. Je dirais plut�t qu'elle soulevait bien des soup�ons.

Bob semblait �tre envahi par une envie fi�vreuse de laquelle tout tabou �tait absent. Bob ouvrit la bouche pour engloutir, en partie du moins, le long manche de mon beau-fr�re. Ses fesses, entre lesquelles reposait mon p�nis, continuaient de se balancer. Je ne trouvai mieux � faire que de continuer � attiser ses d�sirs et sa passion. Je lui massais l'anus tout humide d'une main en caressant ses seins de mon autre main. J'entendais les bruits qu'il faisait avec sa bouche en su�ant mon beau-fr�re, et cela suffit � faire rena�tre une �rection chez moi. En pompant son membre, il faisait circuler tout autour une salive qu'il faisait mousser dans son savant mouvement de succion.

Je regardai le visage de mon beau-fr�re, bien que par discr�tion et manque d'habitude, j'h�sitais � le faire. Celui-ci grima�ait de plaisir.

- C'est bon, mon petit salaud! l'entendais-je dire. Continue � me pomper, mon petit vicieux...

- Empale-moi, mon oncle, j'en meurs. Mets-moi ton pieu dans le cul!

Je laissai la place arri�re � mon beau-fr�re et me retrouvai devant le joli visage de mon neveu, qui avait perdu toute son innocence mais en conservant l'expression extatique qui l'accompagne � l'occasion.

Mon beau-fr�re s'assit sur le couvercle du cabinet d'aisances, ramenant Bob sur lui. Mon p�nis, � nouveau band�, se retrouva donc � ma grande joie � une hauteur parfaite pour conna�tre � nouveau sa d�licieuse bouche. Mon beau-fr�re lui soulevait le cul pour mieux l'empaler par en arri�re, alors que sa bouche glissait autour de mon gland. Sa langue se balan�ait autour de mon gland et de mon p�nis, humidifi�s par sa salive. Il devait y trouver bien du plaisir, et moi aussi, puisqu'en m�me temps, mon beau-fr�re le ramenait vers lui pour mieux lui empaler le cul autour de son p�nis. Je me fermai les yeux devant la sc�ne hallucinante. Et m�me � cet instant, j'avais l'impression de tout voir. Je pris la t�te de Bob, ses cheveux mouill�s par l'humidit� et la sueur entre mes doigts, et je tentais d'imprimer un rythme au mouvement de sa bouche. J'�tais sur le bord d'une nouvelle �jaculation, et je crois que je n'�tais pas le seul car j'entendis mon beau-fr�re, qui manquait malheureusement d'un certain "vernis", g�mir et crier:

- Allez, enfonce-toi mon salaud, je vais venir... aahhh! C'est bon ahhh!

Tout cela avait un effet fort excitant, et je sentis mon foutre commencer � gicler au moment m�me o� les r�les de jouissance de mon neveu accompagn�rent les mouvements de plus en plus saccad�s que mon beau-fr�re imprimait � son bassin. Nous nous retrouv�mes ainsi tous les trois � jouir et � r�ler en m�me temps. En h�te des lieux, je commen�ais quasiment � me sentir g�n� et je craignais qu'un visiteur survienne et nous surprenne � l'improviste. Mais Bob semblait vouloir continuer ce qu'il avait si bien commenc�. Nous nous sommes ainsi retrouv�s tous les trois dans la chambre pour continuer nos �bats. C'est la premi�re fois, et j'avoue que je me faisais sucer par un homme pendant qu'un autre homme l'empalait. Ce soir-l�, tout ce sur quoi j'avais fantasm� depuis des ann�es � propos de mon neveu, et m�me plus, se r�alisa. J'appris que mon beau-fr�re avait d�j� fr�quent� le club o� Bob dansait. Il lui avait fait � quelques reprises des avances qu'il avait refus�es. Ce qui expliquait � mes yeux les propos malveillants qu'il avait si souvent tenus � son endroit. La frustration, plus que les principes moraux, en avait �t� la source.

La sonnerie du t�l�phone tinta bien apr�s minuit, bien apr�s que nous ayons r�alis� aupr�s de Bob les actes dont nous d�tournions nos pens�es m�me dans nos r�veries les plus folles. Ma belle-soeur demandait � son mari d'aller les chercher, elle et mon �pouse, pour les ramener � la maison. Moi et Bob nous d�p�ch�mes alors de remettre de l'ordre dans la maison et d'effacer toute trace de nos moments de plaisirs. Ni ma femme, ni ma belle soeur ne surent ce qui s'�tait pass� en leur absence mais pour ma part, je garde un tr�s bon souvenir de ce tendre neveu.

Mark12

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