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le muscl� de service.

Les beaux jours sont revenus et je me balade toujours dans les rues de paris pour exciter les gar�ons.

;Hier j'entre au m�tro r�publique. Je suis en jogging. Le haut se ferme avec une fermeture �claire. Je l'ai donc ouverte de fa�on � ce que les gar�ons puissent voir mes pecs globuleux, bien dessin�s et volumineux.

Pour ce qui est du bas, c'est plut�t large. Mais je ne ;porte pas de slpi. Rien en dessous ce qui fait que quand je suis en �rection... �a se voit. Je rentre dans un wagon, il y a du monde. Je suis serr� contre un jeune noir. Il a une allure de racaille comme dirait un certain homme politique. Il me toise droit dans les yeux. Sa main est contre le tube d'acier au milieu. Le m�tro s'arr�te, d'autres personnes montent. Je suis coll� contre le tube d'acier. Sa main est un peu plus haut, je le sais. Mais quelle n'est pas ma surprise quand je sens que sa main vient se placer juste � la hauteur de mon sexe et il frotte bien. Ma queue se tend et il l'empoigne sans m�nagement. Il regarde mon torse largement d�couvert. Je souris. Lui pas. Il masse ma tige dure. Je laisse faire, il l�che ma pine et je sens qu'il cherche � entrer dans mon bas de surv�t. sa main prend ma pine bien au chaud dans le jogg. Il me soup�se les burnes. Putain je ne ;sais pas si je vais tenir comme �a longtemps. Il se penche vers mon oreille et dit d'une mani�re autoritaire:

"Je descends � la prochaine, viens"

le m�tro s'arr�te, du monde descend, le mec aussi. Je suis l� avec la queue raide , je sais que tout le monde peut voir la bosse que �a fait sous mon jogg. Je sors derri�re le mec. Il marche vite, je le suis. On arrive dans la rue. Je bande toujours, �a m'excite de savoir que des gar�ons me voient dans cet �tat. Il entre dans un immeuble, j'entre aussi. On monte 6 �tages. Il ouvre une porte, on entre dans une chambre merdique au possible. �a sent la jute s�ch�e, au mur y a des photos de culturistes � poils. Sur le plancher y a des taches de sperme, des vieilles capotes et de je ne sais pas trop quoi.

Il me regarde et ordonne:

"� poil salope !"

j'ob�is. Il regarde mon corps nu. Il dit :

"eh ben mon salop t'es vachement muscl� toi. Je me suis jamais fait un mec comme toi.

Je suis flatt�. Il se fout � poils et l� j'ai un choc ! Il a une queue d'au moins 30 cm de long. Elle pend le long de ses cuisses. Elle ressemble � un bras d'ados.
Il rigole de toutes ses dents blanches :

"tu vas te la prendre dans le cul !"

Je me baisse et je la prends, elle est chaude et molle, j'ouvre ma bouche et je l'enfile dedans avec peine car elle est �norme. Je la sens qui fr�mit et au bout de 30 secondes elle est raide comme pas possible. D'un coup il me prend la t�te et m'enfonce son chibre au fond de la gorge, je crois que je vais �touffer ou vomir. Il pousse de toutes ses forces et il me pine la tronche. Il va et vient sans s'occuper si j'aime �a ou pas. J'aime �a. J'aime �tre violent�. Il me retourne et dit:

"donne ton fion salope de pute de fiote"

je m'appuie sur une table pleine de salet� et de revues gays. j'�carte mes fesses tout en surveillant bien qu'il enfile une capote. Il se pointe vers mon trou et m'encule sauvagement, je sens que mon cul est cass�, ca fait hyper mal, mais je suis maso, je dis:

"plus fort mauviette "

il m'encule,il m'encule, il m'encule !!!

il m'insulte aussi:

"pd de mes deux, t'es qu'une sale pute qui se fait bourrer ! tiens prends ma pine dans ton cul de raclure. ca te fait du bien hein? t'aime �a hein ? tu en reveux ?"

;il redouble d'effort se d�cha�ne sur mon trou du cul d�sourl�. �a fait un bruit pas possible. S'il y a des voisins ils vont r�ler.

Soudain il sort son dard de mon trou, �te la capote et se branle furieusement il grogne des insanit�s. Il jouit par terre. Je me branle aussi et je crache ma jute par terre. Il s'affale sur un canap� pourri sur lequel il y a de tout, m�me des bo�tes de raviolis vides. Il sourit.

"Excuse moi mec, j'y ai �t� un peu fort, non ?

Il est devenu comme un gamin, doux, gentil, pr�venant. On ne dirait plus le m�me homme. Il se l�ve et m'embrase tendrement sur la joue et dit :

"si tu as aim�, tu reviens quand tu veux. Tu es magnifique, j'osais m�me pas croire que tu me suivrais tout � l'heure dans le m�tro"

une heure a pr�s on �tait au resto, on a fait connaissance. Puis on est all� au bois de Vincennes et on a bais� toute la nuit avec des mecs inconnus qui ont bien profit�s de nous.

Pascal le muscl�

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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