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J'ai chang� les noms des protagonistes et lieux de cette histoire car elle vraie.
Je suis gendarme � moto. J'ai r�ussi � regagner ma r�gion natale apr�s plusieurs ann�es pass�es en r�gion parisienne. Le soleil me manquait trop et puis apr�s mon divorce, je n'avais plus rien qui me rattachait � cet endroit.
J'ai donc �t� affect� dans une ville moyenne de ce d�partement qui couvrait un assez grand secteur d'interventions, principalement en zone foresti�re, et aussi sur la c�te, tr�s fr�quent�e l'�t� par des touristes venus de partout en Europe.
J'�tais un peu d�prim� par mon �chec sentimental et je restais souvent seul. Je sublimais le manque de sexe par le sport. De toutes les fa�ons, j'ai toujours fait du sport, j'en ai physiquement besoin. Mais depuis deux ans, j'avais vraiment forc� la dose et j'avais encore gagn� en masse musculaire.
J'ai 35 ans, je suis blond et lisse comme un galet. Je rase le peu de poils que j'ai par souci esth�tique et parce que c'est plus pratique pour les massages apr�s l'entra�nement. Puis mon ex-femme trouvait �a plus beau et hygi�nique, alors j'ai gard� cette habitude.
Je dois dire qu'elle m'a initi� � bien des plaisirs peu courants, y compris l'anulingus, d'o� la notion d'hygi�ne pour elle. La seule pilosit� que je conserve est un petit bouc bien taill� et mes sourcils. Le reste est �pil�. Totalement. Je sais que j'ai un beau corps qui fait retourner les gens sur mon passage et que ma taille m'emp�che de passer inaper�u, 1M90 ce n'est pas si courant dans cette r�gion ni les yeux bleus. On dit que ma grand-m�re aurait faut� avec un Allemand pendant la guerre et que j'en ai les g�nes.
Un jour que j'effectuais des contr�les routiers sur la d�partementale la plus fr�quent�e par les touristes, je stoppais un pick-up rouge, couvert de boue, immatricul� dans le d�partement. Il n'avait pas de plaques de police sur le devant.
Le conducteur �tait un genre de g�ant roux. Mal ras� avec une casquette US qui couvrait un cr�ne presque lisse, moul� dans un tee-shirt blanc qui avait du mal � contenir la masse musculaire de cet homme. Du col, devant et derri�re, sortaient des touffes de poils blonds roux. Je lui disais pourquoi je l'avais arr�t� et il descendit du v�hicule pour constater avec moi l'absence de plaque. Il �tait aussi grand que moi et son jean laissait voir des jambes puissantes. Un vrai colosse � la musculature qui semblait naturelle et puissante. Plus je le voyais, plus sa t�te me disait quelque chose, mais quoi ? Je n'en savais rien. C'est en lisant son permis de conduire que j'ai compris. J'�tais en classe avec lui au lyc�e.
- Je crois que l'on se conna�t
- il me semble aussi, c'est bizarre, non ?
- je suis Daniel D... ;on �tait ensemble au lyc�e M...
- bon sang ! je ne t'avais pas reconnu, tu as tellement chang� !
- et puis �a fait des ann�es aussi.
Vrai que j'avais chang�. Je n'�tais plus le gringalet que l'on emmerdait � la r�cr�. Lui, autant que je m'en souvienne, �tait d�j� un sacr� gaillard, fort en gueule et en muscles. C'�tait le s�ducteur du lyc�e et sa cour f�minine �tait grande.
On a parl� un peu sur le bord de la route. J'ai racont� mon retour dans le coin qu'il n'avait jamais quitt�. Il avait repris l'exploitation foresti�re familiale � la mort de son p�re. Lui aussi avait divorc� il y avait peu.
On a �chang� nos num�ros de t�l�phone et promis de se revoir sous peu.
Deux jours plus tard, il m'appelait. Il faisait chaud ce jour-l�, c'�tait d�j� la canicule de 2004. Il m'invitait � venir boire un verre dans sa maison situ�e dans un petit patelin paum� au milieu des bois. Ce jour-l�, j'avais parfait mon �pilation habituelle, je me sentais en pleine forme malgr� la chaleur �crasante. J'arrivais chez lui en fin d'apr�s-midi et je garais ma voiture dans le parc bois� qui entourait la grande maison en pierres. Sous une grange, le pick-up 4X4 rouge et un cabriolet allemand gris �taient gar�s. Alex est venu m'accueillir en sortant de derri�re la maison. Il avait juste un par�o qui collait � sa peau mouill�e. Ce gars avait vraiment le physique de l'emploi, un vrai b�cheron qu'on aurait pu voir au fin fond du Canada. Il �tait tout en muscle et en poils. Il me serra la main � la broyer et me dispensa d'une bourrade sur l'�paule. Il avait ras� sa barbe et son cr�ne, comme moi. IL m'invita � le suivre. Pendant qu'il marchait devant moi, je regardais !
son pelage roux qui couvrait son dos, un v�ritable ours. Les poils partaient de la nuque, s'�largissaient sur les �paules, puis redescendaient sur les c�t�s pendant que d'autres remontaient sur les reins en sortant de sous le par�o qui moulait un cul puissant. Son dos �tait un mod�le de perfection musculaire. Il me disait qu'il �tait content que je sois venu.
Il venait de prendre un bain dans la grande piscine situ�e derri�re la maison. Il y avait du mobilier de jardin assez luxueux dont un transat king size, en teck, o� 3 personnes pouvaient s'allonger sans se g�ner.
- Une bi�re, �a te dit ?
J'acceptais et il disparut dans la maison pour en revenir avec une glaci�re o� les bouteilles tintaient.
Apr�s deux ou trois bi�res, il me proposait de me baigner.
- Je n'ai pas de maillot.
- Pas grave �a, je me baigne toujours � poil ici.
D'un naturel pudique, j'h�sitais, puis je venais de m'�piler int�gralement et je ne savais pas comment il allait prendre cette habitude.
- Allez, viens, �a va te rafra�chir, mec.
- Ok. L'alcool m'aidait � combattre ma pudeur et me donnait le courage de m'expliquer si n�cessaire. Je quittais mon polo et mon jean. Alex leva un sourcil surpris devant corps lisse comme un caillou.
- H� ben, tue n'es pas comme moi poilu comme un singe, mais bon sang, t'es sacr�ment bien foutu maintenant, t'es plus le grand �chalas tout maigre du lyc�e, �a non.
Je plongeais dans l'eau et faisais quelques brasses. L'eau �tait ti�de mais �a faisait du bien.
Assis sur les larges marches de la piscine on a continu� � boire des bi�res et � parler. Nos solitudes sont venues assez vite sur le tapis. Il m'a propos� de manger chez lui ce que j'acceptais avec plaisir car je me sentais �tonnement bien en sa compagnie. Le repas, barbecue-salades, a �t� arros� de vin et plein de confidences. Alex avait remis son par�o et moi j'avais entour� ma taille d'un qu'il m'avait pr�t�. Il �tait largement plus de minuit quand on a prit un dernier bain. J'�tais un peu ivre.
- Pas question que tu rentres dans cet �tat, tu dors ici.
- Oui, ;t'as raison, je suis fait, et puis je bosse pas demain.
- Bien, on va dormir ensemble car j'ai la flemme de te faire un lit.
- Si tu veux, sauf si tu ronfles ! L�, je pr�f�re dormir sur le transat dehors.
- Je ronfle pas et puis ils annoncent des orages pour cette nuit.
On est mont� se coucher. Sa chambre �tait meubl�e d'un grand lit, tr�s large et d'une armoire ancienne. On s'est couch� nus, pos�s sur le drap. Comme des gosses on a parl� � voix basse. J'ai dit que �a me faisait bizarre de me retrouver au lit avec quelqu'un, que j'avais perdu l'habitude. C'�tait pareil pour lui. On parl� de choses et d'autres quand il me demanda si il pouvait me poser une question indiscr�te.
- Bien s�r, vas-y.
- Pourquoi tu te rases comme �a?
- Ha, je savais que tu allais me le demander. J'expliquais, sans d�tours, cette habitude.
- Sans d�conner, ta femme te bouffait le cul?
- Oui, t'aimes pas �a?
- J'ai jamais fait et mon ex �tait coinc�e du bonbon, alors ce genre de truc, tu vois?
- Pourtant au lyc�e...
- Peuh! Je frimais, j'�tais totalement coinc� en fait et j'�tais puceau quand je me suis mari�.
- Pas possible! Toi? le s�ducteur du lyc�e!
- Oui, je suis pass� � c�t� de plein de choses dans ma jeunesse, puis il y eut la scierie tout �a, puis elle est partie avec mon contrema�tre, la salope.
- Ben moi avec un coll�gue de la brigade.
- On est des cocus quoi!
- C'est le mot qui convient.
- N'emp�che, c'est bizarre, t'as un corps de mec avec une peau de femme. Il s'�tait accoud� en parlant me faisant face maintenant. Puis avec tes gros t�tons sur tes pectoraux, �a � un c�t� f�minin.
- T'es pas mal non plus pour les petches comme on dit ici, t'as des t�tons � donner le sein!
- T'es con. Il riait. Sauf que moi, avec mes poils, Y a pas d'erreurs, j'suis un m�le.
- Pas moi?
- J'ai pas dit �a, non non, t'as vraiment l'air d'un mec mais en plus doux. Pis t'as un gros sexe, dis pas le contraire, j'l'ai vu, donc t'es un mec avec tout ce qu'il faut.
- Quand m�me, tu tailles jamais tout �a? Je frottais du dos de la main son torse. Mes doigts sont entr�s en contact avec un de ses t�tons. Hola, qu'ils sont durs, c'est dingue �a. Je le pin�ais un peu.
- Arr�te, �a m'excite, c'est mon point G!
- T'es con, ton point G il est s�rement ailleurs.
- Nan, je d�conne pas, j'ai les seins sensibles comme tout. Une vraie gonzesse pour �a.
- Une gonzesse de chez les gorilles alors!
- Bah, j'y peux rien, je suis comme �a et puis c'est tout!
- Ca a son charme, c'est assez soyeux en fait. Je caressais � nouveau son torse, passant mes doigts � travers son pelage. Je retouchais un t�ton. Il g�mit en fermant les yeux quand, pour rire, je le pin�ais plus fort entre mes doigts.
- Mais t'es une vraie cochonne pour aimer te faire toucher les nibards comme �a.
- Pour �a oui, faut croire, j'adore �a grave.
Puis tout s'est emball�. J'ai pinc� ses deux seins. Il �tait pench� au-dessus de moi et me regardait droit dans les yeux. J'ai commenc� � promener mes mains sur son dos, il s'est approch� de mon visage, j'ai senti sa queue cogner contre ma cuisse, il bandait. il a pos� sa grosse main sur mon torse et � suivi les contours des muscles, descendu le long du ventre, parcouru la taille et a trouv� mon sexe devenu dur. Il a pos� ses l�vres sur les miennes, j'ai laiss� faire. Sa langue a forc� le passage et trouv� la mienne. Elles se sont enroul�es l'une autour de l'autre, Sa barbe me piquait un peu mais c'�tait un baiser d'une force et d'une puissance que je ne connaissais pas. Sa main tenait mon sexe et je bandais � plein. Et puis, lentement, sa bouche a quitt� la mienne et a commenc� � m'explorer avec la langue. Le cou, le torse, les seins qu'il mordillait, puis il est descendu sur le nombril avec lequel il a jou�. Je le caressais pendant tout ce temps. Il a saisi mon sexe a deux mains en s'agenouillant entre mes jambes. Il le regardait. Le sien battait contre son ventre, une belle bite, large et vein�e, qui laissait des filaments argent�s coll�s dans les poils autour du nombril. Puis il s'est courb� et a ouvert la bouche pour gober ma queue. Maladroitement au d�but, il se perfectionnait tr�s vite ensuite et sa bouche descendait de plus en plus bas. Appuy� sur mes coudes, je regardais ses si larges ;�paules velues et sa t�te qui faisaient un mouvement de va et vient accompagnant ses l�vres. Il m'aspirait maintenant litt�ralement. C'�tait fou, on m'avait jamais suc� de la sorte. Puis il a quitt� son ouvrage, il s'est redress�, on a �chang� un sourire complice et il replong� entre mes cuisses. Il a facilement relev� mes jambes et les a repouss�es sur mon ventre, d�gageant mon cul, dans lequel il a enfonc� sa langue. C'�tait formidable, la langue d'un homme est plus forte et �paisse que celle d'une femme et je la sentais me p�n�trer assez loin. J'enten!
dais ses g�missements de plaisir, �touff�s par mes fesses. Je prenais un pied terrible. Je tenais mes genoux, tir�s vers moi, pour lui faciliter le passage. Sa salive d�goulinait le long de ma raie.
Il a arr�t� pour remonter s'allonger sur moi. Il m'a embrass� � nouveau mais l�, c'est moi qui for�ait le passage de ses l�vres. On s'est roul� un patin interminable. J'�tais au comble de l'excitation, j'en tremblais. J'ai pivot� sous lui et je me suis retrouv� face � sa queue d�calott�e et au gland suintant. J'ai d'abord l�ch� ce liquide sal�, puis j'ai commenc� � la prendre dans ma bouche. Il donnait de petits coups de reins et le galnd venait taper au fond de ma gorge, provoquant un reflexe naus�eux plusieurs fois. Je savais que je ne pourrais pas l'avaler en entier, elle �tait trop grosse, trop longue. Ses couilles velues venaient heurter mon nez, je sentais son odeur m�le et �a m'excitait encore plus. Je me cramponnais a ses fesses que j'�cartais pour y trouver, au milieu d'un buisson de poils sa rondelle vierge. Je le titillais. Je me suis aper�u qu'il mouillait ou alors c'�tait de la transpiration. J'introduisais ce doigt doucement. Les chairs s'�cartaient avec pein!
e mais Alex g�missait de plaisir. Il faisait glisser sa queue dans ma bouche et je pouvais me concentrer sur son cul. J'introduisais un deuxi�me doigt.
Il s'activait de nouveau sur ma queue, plusieurs fois je sentais son nez contre mon pubis. Il avalait mes 18 centim�tres si facilement. Je ne pouvais pas en faire autant, il avait au moins 22 centim�tres de chairs dures comme du b�ton. Ses mouvments sont devenus plus d�sordonn�s et ses r�les plus forts. Il allait jouir. Ses couilles �taient comme du b�ton. Je tentais de me d�gager mais il me bloquait fermement. Son anus se contracta autour de mes doigts et la premi�re salve de sperme vint heurter ma gorge. Il enfon�a sa queue et je ne pouvait pas faire autrement que d'avaler ce flot sal� et chaud. Soudain, j'ai perdu mon contr�le et j'explosais � mon tour dans sa bouche. Nous hurlions presque masi nos voix �taient �touff�s par les queues dans nos bouches et le foutre qui y coulait.
Alex a terminer de jouir. J'avais du sperme plein la bouche. Je n'avais pas r�ussi a tout avaler. Il s'est laiss� tomber sur le c�t�. Je restais, �puis� et gav�, couch� sur le dos. Je me d�cidais � ingurgiter la derni�re gorg�e de sperme.
On est rest�s couch�s t�te-b�che un grand moment. Le temps de reprendre nos esprits et de r�aliser ce que nous venions de faire. Il me caressait machinalement un mollet.
Je me suis retourn� pour me retrouver face � lui. Il a sourit.
- Bon sang, qu'est qu'on a fait ?
- On a bais�, non?
- Oui. Heu...Daniel...
- Quoi?
- Ben c'�tait vraiment super.
- Ouais, c'est vrai. T'avais d�ja fait �a avec un type?
- Non, jamais. Je devais en avoir envie quelque part sinon...
- Pareil pour moi, enfin presque, j'ai fait du touche pipi sous la douche pendant mon incorpo.
- Ouais, moi aussi au rugby, mais �a compte pas. C'�tait pas pareil que tout � l'heure.
- Je pensais pas faire �a ce soir. Pas avec toi en tout cas.
- Confidences pour confidences, quand je t'ai vu nu tout � l'heeure, je sais pas pourquoi, �a m'a excit�, ton corps tout lisse, tes muscles, ton cul...
- Mon cul?
- Oui, ton cul. T'as un super beau cul. J'croyais pas un jour bander pour un cul de mec!
- Ben merci!
- Puis, j'pensais pas aller aussi loin dans la baise quoi, te sucer, p'tain! j'�tais comme un fou! Et quand t'as mis tes doigts dans mon cul, c'�tait dingue.
- Faut croire qu'on en avait envie l'un et l'autre.
- J'avais m�me envie de plus.
- C'est � dire?
- A un moment donn�, j'ai failli te demander de m'enculer.
- Non?
- S�rieux!
- Moi aussi figures-toi!
- La prochaine fois, si tu veux qu'on remette �a...enfin, si t'as envie..
- Et toi? t'as envie mec?
- Ouais, j'ai bien envie d'une prochaine fois.
- Bien.
- Tu fais quoi ce week-end?
- Je crois avoir trouv� une occupation.
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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