Mon violeur.

C'�tait il y a d�j� quelques jours, et pourtant je le sens encore en moi.

Je replace le contexte : toute la journ�e je n'ai pas cess� de marcher et de courir � droite et � gauche.
Je suis un peu fatigu� et je sors du bus pour bient�t rentrer chez moi.
Une personne me suit, elle marche � mon rythme. J'essaie de rep�rer un reflet, et dans une vitrine j'aper�ois un jeune aux cheveux tr�s courts et aux v�tements us�s.
Je ne me retourne pas car �a ne changerait rien. Et puis de toutes fa�ons il est seul.
Pour rentrer chez moi en gagnant du temps, je suis oblig� de passer par une ruelle assez sombre (sinon il faut faire un d�tour de plusieurs minutes). Je m'y engage et un bref instant apr�s j'entends que le jeune y entre � son tour. A la fois �a m'effraie, mais �a m'excite aussi beaucoup. Je le laisse se rapprocher comme de si ne rien n'�tait. Il mord � l'hame�on et me rattrape. Il est juste derri�re moi. J'ai envie de me retourner, lui foutre mon poing dans sa gueule et partir. Mais quelque chose me dit d'attendre pour voir (peut-�tre l'adr�naline ?).

C'est la ruelle typique, des poubelles et des cartons, pas de lumi�res et un sol en pav�s. Il ne manque que l'a�ration d'un b�timent provoquant un nuage de brume.
Il s'arr�te et j'entends le bruit de sa braguette qui se d�fait. Zut si j'avais su j'aurais pisser aussi. Puis des pas de courses et je me retrouve plaqu� contre le mur. Mon sac � dos tomber par terre, une main agrippe mes parties g�nitales et commence � les masser tandis qu'une autre est entr�e dans mon pantalon et me caresse le cul.
" J'ai envie de ton cul alors on va passer un deal. Tu me laisses te baiser et je repars de mon c�t�.
Tu pr�f�res r�sister et je t'assomme pour te tra�ner dans un b�timent abandonn� ou moi et mon groupe on te violera sans cesse durant des jours et des jours ".
Bien que l'id�e du groupe me ravisse de plaisir, je me dis quand m�me qu'il vaut mieux ne pas prendre de risques, et comme simple r�ponse j'agrippe sa bitte d�j� sortie et je commence � la branler.
Sa main qui me broyait les parties g�nitales remonte vers la fermeture de mon pantalon et s'arrange pour que je me retrouve cul nu en moins de deux. Son doigt passe dans ma raie avant d'entrer en mon cul. Vite rejoint de ses deux fr�res.
" Il m'a l'air bien habitu� ton cul ! ! ! T'aimerais certainement que je te pr�sente mes amis africains ! ! ! Mais il n'y a que moi pour te violer. Et tu ne toucheras pas � mon cul. "

Je ne dis rien, je me contente de me mettre � genoux et d'avaler la bite que je branle depuis peu. Elle est de taille normale. Mais elle est tatou�e d'un " tu vas me sentir ". En effet elle sent fort l'urine, mais je me d�cide � la nettoyer. J'avale sa bite jusqu'� la base et tr�s vite elle se dresse � son maximum. Il ne prend pas la peine de me sucer, tout ce qui l'int�resse c'est de me violer. Je lui tends quand m�me une capote qu'il rechigne � mettre, mais finalement il l'enfile et p�n�tre sauvagement en moi.
Je m'appuie contre un des murs de la ruelle et je lui tends mon cul qu'il encule par de grands coups puissants. Tr�s vite il se met � acc�l�rer et � chaque fois il sort enti�rement de mon trou pour pouvoir le remplir � nouveau. Il me baise pendant cinq minutes � toutes vitesse, puis remplit la capote de son foutre, g�mit, sort de mon cul, �te la capote et la jette sur moi avant de me faire avaler sa bitte, la rentr�e dans son froc et repartir comme si de rien n'�tait.
Je reste l�, comme un con, sans m�me avoir �jaculer. Aussi je m'assied sur un carton, m'adosse au mur et commence � me secouer le dard fr�n�tiquement. Je ne tarde pas � venir. Apr�s quelques instants pour profiter du bonheur de mon �jaculation, je me rhabille sans essuyer le sperme et reprends ma route.

Quasiment devant chez moi, je croise une voisine qui me voit la braguette ouverte, le calbar tendu qui en d�passe, et mon t-shirt qui est tremp� de sperme gluant. Elle ne dit rien mais n'en pense pas moins ; quant � moi je rentre m'allonger sur le lit et rester l� � humer ce t-shirt qui contient de sa semence...

Je me rends compte seulement maintenant que je n'ai presque pas vu son visage, quelques secondes en tout. J'esp�re le revoir dans la vie courante et � mon tour l'emmener dans un coin o� je pourrai lui rappeler ce qu'il m'a fait.

Si tu te reconnais, violeur, �cris moi car je pense que ton id�e de groupes m'int�resse finalement.

BJ