Cyrillo

Page pr�c�dente

Mon meilleur ami

Je me pr�sente ARJUN , je suis un jeune black de 20ans, grand, mince, yeux marron ,dr�le, gentil, et gay .Et l'histoire que je vais vous faire partager c'est celle de ma plus merveilleuse histoire jusqu'� aujourd'hui.

C'�tait en Terminal, il �tait nouveau, il s'appelait Rodrick et il �tait venu s'asseoir sur le m�me banc que moi et d�s le jour m�me on a sympathis� qu'on est repartie ensemble. Au fil du temps on se voyait et on �tait devenu les meilleurs amis mais pour moi les sentiments avaient bien chang� et �voluer mais je n'osais le lui dire et ne pouvant plus le supporter je l'�vitais sans lui donner d'explication et lui il cherchait toujours � discuter avec moi. Chaque nuit je r�vais de son corps sur moi, de ses l�vres, et j'essayais d'imaginer son sex et qu'il me p�n�trait avec, mais pour moi je ne voyais qu'on �a un r�ve qui ne se r�aliserais jamais jusqu'au jour ou.

Oui, ce jour-l� le prof d'histoire avait donn� un sujet � faire et l'on devait le traiter par groupe de deux et �tant amis le prof avait d�cid� qu'on le fera ensemble, ce qui me mit sur tous mes sens. On d�cida de travailler chez lui un dimanche.

Ce dimanche-l�, je pris mes documents et me rendis chez lui dans le but de travailler. En arrivant il me re�ut, et il me fit comprendre que ses parents et sa soeur �tait partit passer la journ�e chez ses grands-parents.

On se rendit dans chambre pour travailler et j'en �tais tellement g�n� que je n'arrivais pas � travailler surtout que je sentais son regard � chaque fois sur moi. On bossait quand i me pose la question que je ne voulais pas entendre

- dis-moi qu'est ce que je t'ai fait
-de quoi tu parles
-tu m'�vites, tu ne t'assois plus avec moi en classe, quand je t'appelle tu fais la sourd-oreille, je ne sais pas moi
-rien c'est faut, je n'entends pas quand tu m'appeles
-menteur tu sais toi tu ne peux pas me mentir
-ah bon tu crois �a
-oui je te connais jusqu'au bout de tes doigts (l� je me dis s'il pouvait me conna�tre jusqu'au bout de mon derri�re ce serait mieux).
On n'a recommenc� � travailler puis, je ne sais plus comment mais on s'est mis � s'amuser et � se battre comme des enfants et comme il est plus fort et mieux battit, il prit le dessus, l� je sentis pour la premi�re fois son entre-jambe contre mon bas-ventre et l� je peux vous dire que la r�action fut imm�diate et il le sentit.
-tu bandes !

J'�tais g�n� � un point ou que je sentis mon t-shirt coller � mon dos, je m'attendais � une r�action des plus mauvaises, le rejet ou quoi, mais pas du tout, l� il m'embrassait se mit � m'embrasser avec fougue, il me mordait carr�ment.

Sous le coup de la surprise je l'ai repouss� et il s'est excus�. Je n'arrivais � rien comprendre, j'avais l'impression de voir fou, on s'est regarder et il s'est encore approch� et s'est remis � m'embrasser, il m'entourait de ses bras et je me suis laiss� faire et profit� de la situation, mon r�ve se r�alisait.

Nous �tions l� assis sur le lit mes jambes autour de ses reins, on s'embrassait, se caressait, c'�tait un moment magique, je n'�tais au 7�me ciel. Il m'enleva mon t-shirt et j'enlevais le sien, pour la premi�re fois, je pu sentir son corps contre le mien, il �tait velus sur le torse, de jolis poils lisse, un beau torse, le sentir press� contre le mien c'�tait inimaginable ce que je pouvais ressentir l�.

Il se l�ve et je le vis enlever son jean et son slip, et l� boum je le vis nu, m�me dans mes r�ves, je n'avais jamais esp�r� le voir de cette mani�re, c'�tait un ange devant moi, un ange noir, un �tre parfait.

Il �tait grand, et velus sur tout le corps, je le voyais l� avec son sourire si craquant et tendre, je redescendis sur son torse, bien battit, des t�tons qui pointaient entour�s par de magnifiques poils bien soyeux, puis son ventre avec de jolies tablettes de chocolat et l� l'objet des fantasmes "la bite".

C'�tait le plus beau membre que je ne pus voir, elle �tait l�, longue, grosse, et j'apercevais d�j� les veines, elle �tait l� debout c'�tait incroyable mon coeur battait � vive allure. Il s'approche de moi et me tire du coup, je tombe sur le lit, il monte, sur moi, d�boutonne ma ceinture, tire mon jean vers le bas et apr�s c'est mon slip qui se retrouve � terre. J'�tais l� nu, couch� sur le lit de mon meilleur ami et l'objet de mes fantasmes, on ne peut demander mieux pour vivre.

Il monte sur moi et l'on remit � s'embrasser, au m�me moment que nos langues se m�langeaient, nos bites se frottaient, l'excitation augmentait � moindre mouvement, il frottait de plus en plus se bitte contre la mienne, je la sentais buter contre la mienne, on s'embrassait ainsi pendant au moins 5 min quand je d�cidais de prendre les choses en main.

Je me rel�ve et pris le dessus, je me remis � l'embrasser, je descendis sur son cou, ses �paules, t�tons que je su�ais comme un enfant se faisant allaiter, je l'ai m�me mordu, je redescendis sur son ventre, ses abdos et j'arrivais � l'endroit qui ne demandait que de l'attention.

Je pris sa bite entre mes mains et je me suis mis � le caresser, je le regardais avec une certaine douceur et un amour, ce n'�tait pas qu une bite comme les autres celle-l� �tait sp�ciale, pendant que je lui faisais une petite branlette je le sentais haleter et transpirer, quand il me dit
-vas-y pipe moi s'il te pla�t, fait vite.

Je me fis pas attendre, je pris sa bite et l'engloutis dans ma bouche, de la longueur de ses 20cm je m'effor�ais de l'engloutir toute enti�re, mais ce n'�tait pas chose facile, je le su�ais dans toute sa longueur, passant ma langue du bas en haut, prenait le gland que je su�ais avidement. J'avais trouv� son point faible, c'�tait son gland, il suffisait que je passe ma langue dessus que je l'entendais g�mir, et cela me procurait encore plus de plaisir.

Il mit sa main sur ma nuque et se mit � me baiser la gueule, sa bite butait dans ma bouche, j'avais presque l'envie de vomir, mais lui prenait son pied .Il se l�ve et reprit � me baiser ainsi, mes mains parcouraient son corps, je le caressais la poitrine, le ventre, le pin�ait les tetons, c'�tait le comble du bonheur. Il se mit contre mur et je continuais � le piper de plus en plus fort et plus vite.
Il criait de plus en plus, heureusement que les voisins �taient �loign�s s�par�s du jardin, et de la haie. J'�tais fier de mon travail � l'entendre g�mir, c'�tait une r�compense que j'attendais, il se caressait, passait ses mains sur son visage, jamais une fille ne l'avait pip� ainsi me dit-il.

Il me fit arr�ter, et me dit de me coucher sur le lit, ce que je fis. Il vint s'agenouiller au niveau de ma bite et l'engloutit dans sa bouche. C'�tait g�nial, je voyais le paradis, je ne pouvais m'arr�ter de crier, de g�mir, il la faisait tellement bien, il me mordait m�me le gland.

Je sentais tout mon coeur tremblait � moindre sensation de sa langue sur mon gland. Il me pipait ainsi pendant 5 � 6 min et l� je sentis de ma t�te au pied un frisson me parcourir le corps, d�bouler de mes couilles, remonter ma queue et l� jaillit ma semence qu'il avalait � moindre goutte, pendant que je me d�chargeais en lui il n'arr�tait pas sa manoeuvre et aucune goutte ne sortait, il avalait tout, c'�tait incroyable. Fatigu� de ce je venais de vivre je me sentis tout fragile, l�ger.

-t'as aim� me demande-t-il ?
-tu veux rire c'�tait ouah

Il sourit et me dit � mon tour. Je compris de quoi il voulait parler et je me retourne et me mis � quatre pattes. Je le vis faire sortit un sachet de pr�servatif et le poser sur sa bite et le d�rouler.

L� il s'approche et je sens son gland contre ma rondelle et je sentais sa bite me p�n�trer cm par cm en toute douceur jusqu'� arriver � la garde et je sentis ses poils pubiens contre mon derri�re. Il posa sa main sur mon dos et me demande :"t'es pr�t" je lui r�pondis par un oui exaltant.

Il se mit � faire des doux mouvements, sa queue glissait tout doucement, mon cul s'ouvrait en toute douceur, j'avais mal, mais avec le m�lange de douceur je ne ressentais pas trop la douleur.IL coulissait ainsi doucement pendant un bon, moment, mon cul se dilatait doucement jusqu'au moment o� je n'avais plus mal, au contraire, mon cul chatouillait, je sentais des d�mangeaisons de plaisir, tout mon �tre en demandait plus.

Je le fis fit comprendre en m'enfon�ant et il comprit mon message. Il posa ses mains sur mes hanches et se mit � me labourer avec une force et douceur, il savait si bien utiliser ses corps et sa queue. Il allait de plus en plus fort, son pubis battait contre mes fesses violement, il me labourait ainsi, il me pin�ait les t�tons. On se couche moi de ventre, mes pieds allong�s et il se coucha sur moi, toute sa bite me p�n�tra dans toute sa longueur.

IL suffisait d'un mouvement que je sentais sa queue ressortir et d'un mouvement me rep�n�trer et je la sentais bien profonde. Son corps butait contre le mien, il me mordait l'oreille, le plaisir �tait au rendez-vous, pour la premi�re fois de ma vie je criais ainsi, et il me disait de crier plus fort. On change de position, il se couche et je vins m'asseoir sur sa bite.

Elle entra toute enti�re, mon cul s'�tait grandement ouverte, j'�tais devenu plus qu'une femme en chaleur, il me tenait les fesses � pleine main parfois il me giflait les fesses, �a m'excitait grave, j'avais mes mains pos�es sur son torse, j'en profitais pour caresser la toison de son torse et le pincer les t�tons.

Parfois je mettais mes doigts dans sa bouche qu'il l�chait.
Il me demande de me relever et de me coucher de dos. Il souleva mes jambes et me p�n�tra, et je posai mes jambes sur ses �paules. L� ce qui connaisse la pose de la broche doive savoir qu'avec cette pose c'est la p�n�tration totale et le plaisir garantit.

Il se remit � me pilonner ainsi avec toute sa force, je voyais ses muscles durcir, son torse prendre encore du volume, il me labourait de plus en plus vite quand d'un coup il se couche sur moi et apr�s deux ou trois mouvements doux, sa queue se contracte en moi et d'un crie je le sentis que se par les contractions de sa queue.

On resta ainsi pendant un moment et il rel�ve, enl�ve le pr�servatif et repend sa semence sur mon cul et il se remit � me pilonner sa queue pas tout � fait d�bander qui ne se tardait pas � reprendre sa forme grandiose et � me procurer encore du plaisir. Avec le sperme, sa queue glissait mieux et un bruit du genre 'splash, splash' se faisait entendre. Il me baisait ainsi une fois de plus et ressortit et s'�croula sur le lit la t�te contre son coussin.

Je suis rest� ainsi � le regarder, on se regardait souriait se tenait les mains.IL me fit signe de m'approcher et de me lever, il ouvrit sa bouche et je compris ce qu'il voulait dire. Je remis ma queue de sa bouche qu'il se mit � pomper, au bout de quelques minutes, j'�jaculais une fois de plus dans sa bouche.

Je ressors ma queue et m'assois sur le lui et un fit un baiser langoureux et tendre, ma semence qui passait de bouche en bouche.

Apr�s �a nous primes une douche ensemble et il �tait pr�s de 19 heures quand on se remit � travailler, sans s'emp�cher de s'embrasser et sa caresser.
Il fut pris encore de plaisir et il me demanda d'enlever son jean et il ouvrit juste sa braguette quand je vis sa queue en �rection qui ne demandait qu'un trou. Je baissais mon jean et me rassis sur cette bite qui me laboura pendant au moins 15min dans la m�me position, parfois on s'arr�tait et on recommen�ait et il d�versa une fois de plus en moi .Quand il finit il me regarda et me dit :<je t'aime<.

Je pris sa d'abord sur le coup de l'�jaculation, et l� il me regarda s�rieusement et je compris qu il y avait une certaine v�rit�.

-sinc�rement ce que tu dis
-je suis sinc�re, je ne blague jamais avec l'amour
-et depuis quand
-disons 2 mois que je l'ai reconnu et tu ne peux savoir comment �a me blessait quand tu m'�vitais et me faisait invisible. Et toi tu m'aimes ?
-� la folie lui r�pondis-je
-alors on sort ensemble,
-je suis � toi.

On s'embrassait encore, sa bite se ramollissait toujours en moi quand on a entendu le garage s'ouvrir.
Je me suis relev� en toute vitesse et on essayait de ranger la chambre et juste au moment o� a m�re ouvrit la chambre nous primes nos cahiers.

Depuis nous sommes ensemble voil� maintenant 6mois.

ARJUN

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :

ob.ob5.ru site gay gratuit. Textes et histoires gay.



"histoire gay piscine""histoire gay mature""histoires cyrillo"cyrilllo"histoire de petite salope""blog de cyrillo""blog histoires gay""dial ma queue""baisée à la chaine""cyrillo gay""cyrillo biz""jouir du cul""beurteletchat 01 80""gloryhole gay""histoire gay routier""histoire gay routier""recit gay hard""histoire erotic""cyrillo free""histoire beur gay""histoire hard gay""gay chaud""histoire gay plage""histoire gay bareback""histoire gay grosse bite""premier sodomie""cul magnifique""sex shop dijon""sling lille""histoire erotique gay""histoires cyrillo"gayerog"gay sexe histoire""bizutage nu""ma mère me suce""la premiere sodomie""recit gay eros"cyrillo.com"gay ero""vider les couilles""histoire gay routier""action ou verite chaud""elle suce dans le train""histoire anal""les histoires de cyrillo"cyrillo.com"tournante gay""gay en string""branlette entre pote""photo gay gratuit""histoire gay soumis""premiere sodo""histoire routier gay""bbk gay""histoire gay erotique""soumise offerte""blog histoire gay""gay wc""histoire erotic""recit erotique gay""cul homme amateur""histoire gay internat""histoire x gay"cyrillo.com"gay gloryhole""blog histoire gay""cyrillo blog""histoire gay hot""histoire sex gay""histoire ado gay""j'aime me faire enculer""cyrillo gay""histoire gay bareback""zoophile gay""histoire gay college""recit sissy""zoophilie cheval gay""minet travesti""branle entre mecs""blog histoire gay""recits gays gratuits""cyrillo gay"gayerog