Cyrillo

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Moi et mon "h�t�ro !"

Al,

Tu oublies peut �tre, moi pas

Alexandre �tait un ami de Micha�l, et �tait venu quelques fois chez moi. Puis un soir il �tait rest� d�ner, mais n'avait pas os� me demander de passer la nuit, sa m�re l'ayant mis dehors. J'ai su par la suite qu'il avait dormit dans les escaliers de la R�sidence.

Bien s�r, le lendemain, je me suis empress� de lui dire que si cela se renouvelait, qu'il n'h�site pas � me demander, que je pouvais l'h�berger pour 1 ou 2 nuits, surtout qu'avec Micha�l tout allait au plus mal, il quittait le domicile " conjugal ".
Quelques jours plus tard, l'occasion se produisit, il me demanda de l'h�berger quelques temps en �change d'un loyer (dont je me moquais), le temps qu'il trouve un appartement.
Bien s�r, je ne voulais pas refuser une telle offre, j'avais besoin de compagnie et je pourrais admirer cet �talon de 18 ans � loisir !

***
1�re Nuit magique :

La premi�re soir�e venue, il �tait d�j� � son aise, et il s'�tait mis torse nu. De temps en temps je lan�ais des regards furtifs vers lui et particuli�rement vers son entre-jambe pensant qu'il ne s'en apercevait pas.

Il avait un long torse o� se dessinait une jolie musculature avec une infime trace de pilosit�. Je d�couvrais une poitrine lisse finement muscl�e et h�l�e.
Plus bas sur le ventre s'esquissait ce qui pourrait �tre de d�licieuses tablettes de chocolat avec un peu de travail. ..
Il me demanda pour prendre une douche. Je m'�tais allong� sur mon lit pour regarder la t�l�. Quelle ne fut pas ma surprise de le voir arriver � la porte avec comme seul v�tement mon cale�on que je lui avais pass� et qui lui allait � ravir ! Des gouttelettes d'eau perlaient encore sur ce corps superbe, le rendant encore plus attrayant.
Je n'en croyais pas mes yeux. Depuis les jours pr�c�dents, j'avais beaucoup fantasm� sur cette rencontre, mais j'avais maintenant peine � croire que �a pouvait �tre vraiment possible, qu'Alex puisse �tre l�, � la porte. Je le regardais intens�ment ; je m'effor�ais de dissimuler mon trouble profond ; je m'effor�ais de regarder Alex dans les yeux, alors que je mourrais d'envie de d�vorer du regard ce corps splendide qui me faisait face !
Ses jambes l�g�rement arqu�es, son torse muscl�, son visage d'ange provoquait cependant des d�charges �lectriques dans tous mes membres � sa seule pens�e. Il avait vraiment un beau corps et semblait plut�t bien mont�, je devinais son sexe qui pendait.

Et que dire de ses fesses, si bien mises en valeur par mon cale�on.
Au niveau du nombril prenait naissance un tr�s mince filet de poils noirs, puis repartait plus dense en s'enfouissant vers le pubis.
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Quelle beaut�, il �tait muscl� et lui fit remarquer mon admiration pour son corps. Il ne parut pas g�n�, bien au contraire, il m'avoua qu'il aimait son corps mais qu'il trouvait qu'il avait les jambes un peu trop poilues. Moi, ses jambes de couleur sables me faisaient craquer : des petits poils (pas trop ni pas assez) un peu plus fonc�s que ses cheveux grimpaient tout leur long. Ses mollets assez fins sont aussi muscl�s que ses cuisses et laissent deviner de nombreuses heures de v�lo... Je lui r�pondis du tac au tac que cela cr�ait une certaine harmonie et que moi cela ne me d�plaisait pas !
J'ai eu peur de le choquer mais je vis alors un large sourire �clairer son visage ang�lique, et un �clair appara�tre dans ses yeux bleus. Ses yeux... Je ne pouvais pas d�tourner mon regard de ses yeux... Non, il ne faut pas regarder ses yeux avec insistance... Non, il ne faut pas... Mais je ne peux pas r�sister. Ca y est, j'ai flash� !
Vu de dos, on remarque aussi qu'il est magnifique, je mourus d'envie de caresser sa nuque parfaitement d�gag�e et ras�e jusqu'� mi-hauteur et de toucher son beau cul ferme et muscl�.
Je lui proposais de dormir sur le canap�, � moins qu'il ne pr�f�re le lit pour regarder la t�l� avec moi. Quelle ne fut pas ma joie lorsqu'il me r�pondit qu'il pr�f�rait le lit et qu'il s'allongea � mes c�t�s !
Je pouvais voir de profil le galbe d�licieux de ses petites fesses rondes. Sur le devant en bas du ventre, je distinguais la naissance d'une touffe de poils ch�tain clair.
;Il leva les genoux sur le lit pour mieux appr�cier ce moment de d�tente. Et en me penchant en avant, entre ses cuisses, je pouvais apercevoir ses couilles �paisses et lourdes.

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Apr�s avoir regard� la t�l� assez tard et que plus rien dans le programme ne l'int�ressait, Alex me fit ;une proposition qui m'int�ressa au plus haut point. Il me demanda si je n'avais pas de cassettes vid�os pornos. Bien s�r j'avais toute une collection de cassettes homos et 3 ou 4 h�t�ros. Aussi, je me suis empress� de mettre une de ces derni�res, ne voulant pas voir mon �talon s'�chapper � toutes jambes !
La vue de ces grosses bites bandantes m'excita rapidement. Alex bandait lui aussi, comme l'attestait la bosse qui se formait � son entrejambe, mais lui par la pr�sence de ces femmes qui se faisaient prendre et qui su�aient toutes ces bites.
Mon �tat d'excitation s'amplifiait au fur et � mesure que nous visionnions les cassettes, mais je n'osais pas bouger le petit doigt !
Mais pourquoi voulait-il voir ce genre de cassettes, pourquoi plusieurs et pas une seule pensais-je ? Apr�s avoir regard� ma collection de cassettes h�t�ros, la fatigue commen�ait � faire effet et nous avons d�cid� d'�teindre.

Dans le noir, il �tait rest� allong� sur le dos, moi sur le ventre. Durant la nuit ne trouvant pas le sommeil, j'�cartais le bras et le bout de mes doigts est venu fr�ler sa hanche avec pr�caution. Pas de r�action. Sa respiration �tait lente et r�guli�re : il dort ! Son sexe n'est pas loin, il dort toujours.
Je continue donc mon investigation. Alors, je me lance, j'avance un bras et commence � caresser son torse doux et muscl�, sa respiration reste r�guli�re. Je descends jusqu'� son ventre et touche ses poils pubiens.
Et qu'elle surprise lorsque je me rends compte qu'il avait baiss� son cale�on laissant au dehors sa queue et ses testicules.

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Je fr�le maintenant sa queue, elle est incroyablement douce, elle ne bande pas mais moi je suis au bord de l'explosion. Ma main glissa lentement vers son entrejambe pour atteindre les autres fruits convoit�s de cette belle plante.
J'enroule ma cuisse autour de la sienne et je sens son sexe se gonfler doucement. Il donne des petits coups de reins et je sens bien sa pine gonfler contre ma jambe. Il r�ve ? Je ne sais pas et je perds toute notion.
J'ai pos� ma main sur sa cuisse, puis je suis remont� lentement, soupesant ses couilles, les massant gentiment. J'accentue mes caresses et sa queue est en semi �rection maintenant. Sa respiration s'interrompt un moment puis reprend. Il dort ? Il ne dort plus ? Dans ce cas, il me laisse faire, c'est gagn�, je suis fou de joie et d'excitation.
Sa queue est dure, pas tr�s �paisse mais longue et douce. Je le branle doucement un moment, il pousse un petit r�le aigu �touff�. J'arr�te un moment puis recommence mes caresses. Sa peau �tait douce et chaude. En m�me temps mon autre main part � la d�couverte de son corps, son visage, ses l�vres, le contour de ses yeux, ses sourcils, son cou, sa poitrine puis son nombril puis son ventre, tout me para�t parfait, d�licieux.

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Puis je soul�ve le drap : regardez le petit cochon comme il commence � bander et que sa pine commence � mouiller. !
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J'enl�ve le drap, je frotte mes joues contre ses jambes velues, embrassais ses genoux. Il ne bougeait pas. Ma bouche arrive � hauteur de sa hanche, je sens son odeur de male viril. Il sent bon. C'est sucr�, sal�, am�re, .ind�finissable. Je ne pensais pas qu'un corps pouvait sentir aussi bon naturellement. Puis je monte mon visage sur son ventre.

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Enfin, je lui embrasse ses couilles, mes mains plac�es sur sa taille dans un geste d'appropriation de son corps par le mien.

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A ma grande stupeur sa main gauche se l�ve, se pose sur son bas-ventre, caresse ses abdos et vient se poser sur son sein droit. Ouf, j'ai eu tr�s chaud !
Puis je retirai ma bouche pour remonter de nouveau ma langue tout autour de son nombril. Je sentais clairement les parfums de son corps, venus s�rement d'outre monde, enivrer mes pens�es encore troubles de sa pr�sence maintenant d�sir�e.
Puis lentement, ma langue allait caresser son sexe progressivement excit�, tandis que je sentais avec certitude la v�g�tation de son corps sublimer mes perceptions tactiles.
Et je pose mes l�vres jusqu'� son gland, je l'embrasse, la l�che, l'avale, je le suce.

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Je passe sa queue sur mes joues, sur mes l�vres, l'embrasse doucement, et l'ingurgite au fond de ma gorge, en la su�ant lentement mais profond�ment. Je vais doucement, agite bien ma langue autour de ce vit, le sort de ma bouche, pour mieux le sucer � nouveau. Puis j'acc�l�re le mouvement, j'entends une s�rie de souffles saccad�s mais retenus. Quel bonheur ! Cette bite longue et fine glissant entre mes l�vres, Je le pompai avec d�lice, jouant avec ma langue sur son gland, titillant son m�at, l�chant sa queue sur tout son long, la t�tant comme pour en faire sortir du lait !

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Je me d�cidai � retirer non sans mal son sexe de ma bouche et de tenter le tout pour le tout. J'en voulais plus.
Je vins me mettre � califourchon sur lui. Je pouvais d�j� sentir son sexe band� frotter contre mes fesses, tout mon corps tremblait.
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Sa queue dress�e �tait de plus en plus longue et fine et venait fr�ler mon anus l�, rose, offert, mais presque ferm�. J'ai pos� mes mains sur son torse muscl�, puis sur son cou, ses joues, sa nuque. Je l'embrasse doucement, il ne disait rien ! Je pris son sexe dans la main pour l'amener � p�n�trer mon corps offert. En douceur, je guide son sexe dans l'orifice de mon anus. Il s'enfonce lentement.
Ah ! Gueule d'Amour, sens-tu ton sexe ? Ton sexe me p�n�tre doucement, sans douleur...
Je sens mes " l�vres ", mes parois s'entrouvrir sur le passage de son sexe. Il est en moi, tout entier, je suis en extase et lui � son tour me r�ponds en "bandant" son sexe, en faisant monter l�g�rement son bassin pour mieux me p�n�trer.
Je commence des monter et des descentes d'abord lentes puis de plus en plus acc�l�r�es. Je reste ainsi quelques minutes, soulevant puis abaissant l�g�rement mon corps, mes reins, afin de m'adapter � son sexe. Je reste immobile, son sexe plant� dans mes entrailles. Puis, pour l'exciter, je me mets � "travailler" le muscle des fessiers : je masturbe son sexe avec mon anus, tel un cow-boy sur sa monture.

Mon sexe quant � lui se frottait � son ventre et je fini par jouir en une longue �jaculation sur son corps ce qui provoqua en moi un long soupir alors qu'Alex de son cot� �tait en pleine action, faisant bouger lentement et timidement son bassin pour accompagner mes mouvements. Je me retirai pour essuyer mon sperme afin de ne pas l'offusquer.

Je fondis de nouveau sur sa queue. Je sentais qu'il r�agissait, qu'il se raidissait se rapprochant probablement de l'orgasme. Je sens le frisson qui le parcourt. Je le voyais serrer la couette de sa main :

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Il se contracta puis d�chargea une quantit� impressionnante de liquide laiteux au fond de ma gorge. Je sens sa semence se r�pandre dans ma bouche, et je me d�lectais goul�ment de cette semence tellement j'�tais enivr� par cette sensation de bien-�tre...
Il jouit, son liquide chaud continu d'envahir ma bouche, je l'avale. Je trouvais son foutre d�licieux, amer et sucr� � la fois. Son jet semblait br�lant, puissant. Une, puis deux, trois et ensuite je ne sais plus, j'ai cru que cela ne s'arr�terais jamais. J'avais de la peine � tout avaler. Il en coulait le long de ma bouche, mes l�vres, mes joues et ma langue en furent asperg�es. Je touche un peu ma queue et �jacule � nouveau avec encore sa queue dans ma bouche. Je lapais goul�ment une goutte de sperme oubli�e. Je le maintiens dans ma bouche jusqu'� ce qu'il perde son �rection. Je le prends alors entre trois doigts. Doucement je tire le pr�puce vers l'arri�re lib�rant encore quelques gouttes de sperme que je m'empresse de recueillir. Petit � petit, d�licatement, je d�couvre le gland et ma langue y nettoie les derni�res traces de la jouissance. Je garde la bite dans ma bouche, continuant � la l�cher et la nettoyer, jusqu'� ce qu'elle ramollisse. Puis je mets ses poils pubiens dans ma bouche pour r�colter les filets de sperme qui s'y �taient enfuies, comme la ros�e du matin dans l'herbe.
Je m'endormi enfin heureux, passant mon bras autour de sa taille, ma main sur son �paule robuste et mon visage sur sa poitrine en redoutant quand m�me le r�veil !
Le lendemain, Alex paressait tranquille, me dit juste l'air heureux qu'il avait fait un r�ve de " ouf ", mais que c'�tait bien et que ce r�ve lui avait rendu bien du plaisir.
Je lui r�pondis juste que j'�tais content s'il avait pass� une bonne nuit et que ses r�ves furent agr�ables, en souhaitant qu'il en fasse plein d'autres ! Il partit la journ�e, pour revenir le soir ...

***
2�me nuit, tout aussi magique :

Le lendemain soir, et les soirs qui ont suivi, Alex �tait � l'aise, se mettait torse nu. Il savait que cela ne mettait pas indiff�rent et il devait le faire un peu volontairement !

Il prit une douche et acceptait de dormir dans mon lit. La soir�e se passa comme la veille, t�l�, cassettes et extinction des feux.
;Alex �tait cette fois-ci couch� sur le ventre. Je pose la main sur l'�paule de mon ami qui n'a aucune r�action... je m'enhardis, et laisse glisser ma main dans ses cheveux, puis je suis ensuite descendu dans son dos muscl�, terminant ma course � la naissance de ses fesses : pas de r�action.
Tout en fermant les yeux je me mis doucement � caresser la jambe d'Alex, cela a commenc� par de petit va et viens entre ses deux jambes jusqu'au d�but de ses fesses. J'�tais excit� comme un fou et mon sexe �tait gonfl� � bloc. J'entrepris alors de mesurer son excitation en remontant ma main sur ses couilles pos�es sur les draps.
Je recommen�ais � caresser ses fesses tout en l'embrassant, puis les �cartant, je me suis mis � l�cher pos�ment son trou-bonbon si mignon.
Alex se mis sur le c�t�, dos � moi, et je me mis � caresser son sexe de la paume pour enfin l'attraper � pleine main et faire de long va et vient, il �tait dress� dans toute sa splendeur, tandis que ma langue commen�ait � entrer dans sa rosette. Puis enfin ma langue fit place � un doigt que je commen�ais � aller et venir mais tout doucement, et sans rentrer.
Alex se glisse alors sur le dos dans un abandon total. Il a ferm� les yeux, sa respiration s'est acc�l�r�e, sa verge tendue � son maximum tressaute au rythme de son coeur. J'entrepris de reprendre mes baisers le long de son torse pour enfin finir sur sa longue queue que je me mis � l�cher tout d'abord de va et vient sur la longueur pour enfin l'engloutir dans ma bouche :
" Que ton sexe est beau, Gueule d'Amour, quand il se dresse ainsi !
Plein d'envie de toi, pleine d'envie de ton sexe, ma bouche glisse sur ton sexe.
Ton sexe qui, sans difficult�, s'introduit dans ma bouche.
Ton sexe, que ma bouche, que mes l�vres, sucent � plaisir. "
Ma langue effr�n�e de plaisir, d'envie aussi, l'entoure, l�che son gland maintenant d�calott�. Ma langue su�ant d�licatement le "frein".
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Alex bougeait de plus en plus les reins, " et pendant que tu vas, pendant que tu viens, Gueule d'Amour, mes mains, mes doigts f�briles courent sur tes cuisses en mouvement, sur tes hanches. "
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Puis je me mis � le sucer doucement pendant une minute ou deux, ses mains, elles, accompagnaient le mouvement de ma t�te avec une extr�me douceur... Apr�s quelques derniers coups de langues, il ne tarda pas � l�cher la pur�e. Loin de recracher son sperme, il me maintint la t�te pour que j'avale bien son foutre �pais, qu'il l�cha dans un cri rauque et �touff�.
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;Un autre jet de sperme triomphant gicle dans ma bouche, sans fin, encore, et encore, et sa bite se cabre dans un dernier soubresaut, je g�mis, et je laisse couler dans ma gorge le nectar doux amer qui inonde tout mon corps.

***
Son p'tit cul !
Voil� d�j� quelques temps qu'Alex est � la maison, et il ne se passait pas un jour sans qu'il se passe quelque chose d'�rotique, voir de plus torride !
Par un apr�s-midi d'�t�, il d�cida de se coucher tant il faisait chaud.
Je me suis assis � ses c�t�, commen�ant par envahir mon regard de la beaut� de son corps.
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Fascin� par Alex, je regardais son corps et sa queue au repos masqu� par le tissu de son surv�tement. Puis il me dit l'air moiti� endormi, qu'il voulait essayer que je m'occupe de son petit trou du cul encore vierge. Puis il ferma les yeux et se laissa emporter par le sommeil. Du moins il me le laissait croire !
Je m'allongeai sur mon grand lit en commen�ant � l'embrasser et a faire baisser son pantalon doucement le long de ses jambes.
Je mis ma main dans son cale�on pour le baisser �galement. Quel plaisir de faire glisser son cale�on le long de ses jambes, de lever ses pieds l'un apr�s l'autre pour le lib�rer compl�tement de ce morceau de tissus. Je touchais ses fesses qui �taient muscl�es, dures et douces sous mes doigts. Voyant qu'il ne disait rien et qu'il ne semblait aucunement apeur�, je continuai de le caresser, et d'enlever compl�tement ;ses v�tements. Sa bite jusqu'alors endormie, commen�ait � prendre du volume et � se redresser.
Je le mis sur le c�t� puis je pla�a ses jambes de fa�on � pouvoir me mettre entre, ma t�te pr�s de son beau cul. En �cartant franchement les cuisses, il offrait d�lib�r�ment son anus � ma vue : J'en restais estomaqu�, je n'en avais jamais vu d'aussi beau de ma vie.
Je commen�ais par frotter mon visage sur ses belles fesses poilues, � les sentir, � les embrasser. Je d�couvrais sa raie, avec en son milieu son bouton rose palpitant d'impatience ! Je d�posais dessus mes l�vres qui en voulaient encore et encore plus ! Je l�chais son anus qui s'ouvrait sous mes caresses mouill�es et je pus y introduire le bout de la langue. Avec mes doigts, j'�cartais ses deux lobes avec d�licatesse et dessina d'irr�sistibles cercles mouill�s autour de sa rondelle. Mes caresses devenaient de plus en plus pr�cises et il sentait ma langue s'immiscer de plus en plus. Il sentit ma langue p�n�trer dans sa raie, fouiller sa rondelle, et il avait l'air d'appr�cier. Je lui �cartais bien les fesses et poussais bien en avant ma t�te afin que je puisse le p�n�trer le plus profond�ment possible avec ma langue. Mon nez rempla�a ma langue pour sentir son odeur enivrante. C'est �tonnant comme ce gar�on �tait tr�s propre de sa personne. M�me son cul sentait adorablement bon ! Il devait prendre beaucoup de plaisir � en voire la satisfaction qui se dessinait sur son visage. Il se tourna mieux sur le c�t�, toujours endormi, pliant une jambe, laissant plus de place pour mon investigation.
Une fois bien humect�e de salive sa rose se dilata, alors j'ai insinu� ma main entre ses fesses et commenc� � faire tournoyer mon doigt autour de sa rosette, puis mon ;doigt le p�n�tra lentement. Ce doigt inquisiteur entama un mouvement circulaire. Le doigt s'enfon�ait de plus en plus profond. Je faisais entrer et sortir mon doigt dans son trou et son anus commen�a � mouiller.
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Lorsque j'ai senti qu'il �tait bien d�contract�, j'ai ins�r� un deuxi�me doigt pour le fouiller encore plus largement. Son anus �tait bien dilat�. Je suis litt�ralement au paradis !!!. Il poussait des petits g�missements � peine perceptible. J'�tais stup�fait.
En caressant le trou d'Alex et en �carquillant bien les yeux pour voir enfin comment il �tait fait, j'ai ressenti une chaleur dans mon bas-ventre. J'avais l'envie irr�sistible de glisser mon sexe dans son trou, surtout qu'il �tait offert et visiblement n'attendait que �a. Je commen�ais � coller mon sexe contre son petit trou et lui a fait sentir la masse chaude de mon gland, gonfl� de d�sir prendre position. J'essayais de l'enfoncer, mais �a ne marchait pas. J'ai essay� en �cartant ses fesses avec mes mains, mais �a ne marchait pas. J'�tais obnubil� par la vision de mon gland mauve qui s'�crasait contre sa chair rose, et je perdais tous mes moyens.
;J'aurais du mouiller mon gland. Aussi n'avais-je pour aide qu'une petite goutte de pr�-sperme qui pointait hors de mon m�at. Je crois qu'on a souffert autant l'un que l'autre. Alex sans doute plus physiquement, moi moralement, j'�tais en charge de l'op�ration et visiblement elle ne se passait pas trop bien.
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;Lorsque enfin je suis arriv� � rentrer tout le gland, il m'a sembl� que le reste allait suivre tout doucement un peu comme un lent tapis roulant. Mais ma bite ne passe pas le point de r�sistance. Il se contracte. Je ne bouge plus, j'attends qu'il se d�tende. Je me penche et lui donne un baiser. Mais je ne sens pas son trou se dilater, son anus, vierge se resserrait, sans doute par la peur, et mon sexe ne disparu pas compl�tement dans le corps d'Alex. L�, � bout de souffle, je me suis arr�t�.
Alex s'est alors " r�veill�", on s'est regard� et il y avait quelque chose dans ce regard. Il y avait un quelque chose de trouble, comme une honte mais aussi comme une d�ception. Il y avait trop d'�motion, j'ai du baisser les yeux et comme je ne savais pas quoi faire, j'ai frott� mon visage contre l'une de ses jambes. J'�tais g�n� parce que Alex �tait dans une position que j'aurais jug� ridicule quelques jours auparavant et l� je le trouvais tr�s beau. Malheureusement j'avais du le d�cevoir, lui qui voulait tenter l'exp�rience. Et depuis ce jour, il n'a plus jamais voulu que je m'occupe de son merveilleux anus, � mon grand regret.
Alors il s'endormi, et je n'avais plus que mes yeux pour admirer le jeune homme que j'aimais.

***
Le bain :
Alexandre aimait prendre des bains. C'est toujours moi qui lui pr�parais et que je remplissais d'un liquide parfum�. La premi�re fois, et les fois suivantes, � peine une minute plus tard, je rentrais dans la salle de bains sous pr�texte de ramener une serviette, ou un gant de toilette, ou un cale�on, rien que pour le regarder se d�shabiller et rentrer dans l'eau. Au d�but il �tait honteux et se cachait.

A chaque fois, l'eau �tait chaude, et une fois habitu� � sa bienveillante chaleur, Alex se d�contractait, s'�tendait sur le dos pour contempler le plafond. Alors l'eau apparaissait d�licieusement rafra�chissante et vivifiante.
Elle ondulait sur son corps � chacun de ses mouvements.
Et ensuite, je restai l� � ses c�t�s, � discuter de choses et d'autres. Les premi�res fois cela le g�nait, puis �a devenait une habitude. Ce rituel aiguisait mes sens, titillait les fibres du d�sir qui prenait d'assaut mon ventre, et je ne pouvais pas m'emp�cher de le contempler. Sous l'excitation qui m'envahissait progressivement, je laissais libre cours � l'examen savoureux et des plus excitants de son anatomie :
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Mes yeux se portaient sur la ligne d�licate de ses pieds, au bout desquels ses orteils longs se tortillaient. Ses jambes splendides dont la nature l'avait si g�n�reusement par�e, me plaisaient bien, autant pour leur longueur que pour leurs formes athl�tiques. Mon regard se posa ensuite sur sa toison brune que l'eau avait frisott�e. Je pouvais contempler ses deux couilles mouill�es et sa queue de 16 cm, bien qu'au repos, faisait bonne figure flottant au dessus de ses couilles. J'examinai le creux de son ventre. �tant que moiti� allong� dans la baignoire, l'eau se frayait un chemin entre ses seins et aboutissait dans l'adorable cavit� de son nombril. Mon regard aboutissait alors sur son torse muscl�, dont le milieu �tait couvert d'une toison brune presque transparente et j'admirais ses mamelons qui fr�missaient d�licieusement sous les clapotis qui s'y fr�ler. Je tendis ma main et par pur plaisir, je roulais les bouts de ses seins qui se durcissaient davantage sous mes caresses !

Cet adorable contact accroissait l'�veil de mes sens. Je sentis une douce chaleur envahir mon ventre et descendre vers mon sexe dans une vague qui se faisait de plus en plus ardente. Des soupirs d'aise naquirent sur mes l�vres. Mes doigts d�laiss�rent son torse pour entamer une descente empreinte de cajoleries. Ils �taient frais et cr�aient sur leur passage une f�brile chair de poule sur sa peau.
L'aventure de mes mains se poursuivait vers l'int�rieur de ses jambes. Elles tremblaient sous les caresses que je leur prodiguais. Je retardais le moment o� j'allais toucher son sexe, mais bient�t le d�sir de la chair se fit plus criant que ma volont�. Il ;fermait les yeux et s'abandonnait � ce d�licieux instant, o� le d�sir de la chair est ma�tre des gestes. Mes doigts, qui prenaient possession de sa queue qui durcissait, �taient � la recherche du plaisir supr�me. Alors qu'une main caressait doucement son sexe band� par l'excitation, l'autre main se fraya un chemin sous ses fesses pour fr�ler son anus. Un doigt frotta l'entr�e de sa caverne surexcit�e d'impatience. D�s les premi�res pressions, mes doigts ne voulurent plus quitter ce foyer. Je me suis mi lentement ;� caresser sa fente qui ne cependant s'ouvrait pas. Il devenait le g�missement de mon d�lire et la vibration de tous mes sens � l'unisson. Doucement, je le frotte, je le lave. Je suis sur qu'il aime sentir mes mains se balader sur son corps nu.
Enfin je commen�ais � le laver. C'�tait toujours dans le m�me ordre. D'abord je lui savonnais ses cheveux �pais avec du shampooing, lui massant la t�te, le cou. Puis le visage, prenant soin de bien contourner les yeux, de frotter ses sourcils, son front, ses tempes, ses oreilles, de caresser ses joues et son menton sur lesquels poussaient quelques poils d�sordonn�s. De temps en temps mes l�vres venaient remplacer mes doigts. L'eau coulait abondamment, chaude et massait sa peau dor�e de myriades de bulles. Puis je savonnais abondamment le ch�rubin d'une mousse blanche et onctueuse des fois avec le gant de toilette des fois avec mes mains nues. Je commen�ais par les bras, puis ses mains, avec ses longs doigts fins mais pleins de puissances. Les avants bras dont les biceps �taient gonfl�s � merveille. Les �paules larges et r�confortantes et enfin les aisselles. J'adorais m'occuper de ses aisselles, ni trop ni pas assez poilues. D'ailleurs, j'adorer y approcher mon nez pour sentir son odeur, et m�me y glisser des bisous.
Ensuite sa poitrine, son torse bronz� avec ses pectoraux bien form�s. Le petit filet de poils entre ses deux seins. Son dos, large, sans aucun d�faut, et ses flans doux et dur � la fois. Ensuite c'�tait le tour de ses pieds fins. L� j'�tais rapide, car le moindre contact le chatouillait, et il gesticulait dans tous les sens. Mais parfois il voulait bien que je les embrasse. J'aimais ses pieds longs (43), fins et d�licats.

Et ne dit-on pas que le pied donne un aper�u du sexe ? J'aimais son sexe, donc j'aimais ses pieds ! Je savonnais vigoureusement ses mollets et ses cuisses poilus mais combien app�tissants.
Pendant ce temps ses deux grosses boules repos�es vers le fond de la baignoire et son p�nis �tait en l'air, flottant, ballott� par les remous flous de l'eau savonneuse.
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Enfin arrivait le moment privil�gi�. Il se mettait debout dans la baignoire et apparaissait enti�rement nu devant moi. Son sexe �tait un peu plus fonc� que le reste de son corps ce qui donnait une merveilleuse couleur brun clair. Je m'occupais de son ventre, puis le faisant se retourner,
Je savonnais d�licatement et consciencieusement le bas du dos, sa belle paire de fesses muscl�es, dures, arrondies et douces avec les quelques poils qui se trouvaient l�, et l'entrecuisse, plus poilue elle. Et il se retournait de nouveau.
A chaque fois je ne touchais pas son sexe, le gardant pour la fin ! Enfin c'�tait son tour. Je commen�ais par bien savonner le bas du ventre, du nombril jusqu'� la racine de sa bite. Ses poils pubiens. Je tenais sa bite droite par son petit bout de peau afin de la savonner dans toute sa longueur. Par moment je n'avais m�me plus besoin de la maintenir, elle restait toute seule � la perpendiculaire ! Ensuite je prenais ses couilles imposantes � pleine main et jouais avec, les faisant rouler entre mes doigts, pour mieux les savonner !
Apr�s le lavage, je terminais par le rin�age, l'essorage et le s�chage ! Il sortait de l'eau, frissonnant, grelottant. Avec une serviette bien chaude je commen�ais � le masser. J'essuyais chaque recoin de son corps que je venais de savonner et de rincer. Et je m'occupais de son corps comme un esclave l'aurait fait � son Dieu �ph�be.
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;Et toujours je parsemais son corps de bisous jusqu'� ce qu'il enfile un cale�on propre, cachant ainsi l'objet de mes d�sirs.

***

A 4 pattes 1 :

De plus en plus amoureux d'Alex, je voulais qu'il me sodomise. Lui bien s�r ne voulait pas, disant qu'il �tait h�t�ro, qu'il n'�tait pas PD. M�me si d�sormais il �tait plut�t Bi !
Je ne pouvais pas supporter qu'il ne me fasse pas r�ellement l'amour. Apr�s tout ce n'est pas moi qui avait �t� le chercher, ce n'est pas moi qui avait baisser son cale�on le premier soir, et ce n'est pas moi qui le for�ait de rester !
De plus je savais qu'il en avait envie, qu'il voulait essayer, mais je sais aussi maintenant que la peur �tait trop forte et que physiquement je n'�tais pas aussi s�duisant que ses minettes de 18 ans !
Alors on se faisait la gueule, on se causait pas, et il jouait les gros dur macho d'h�t�ro :

Mais de coup de gueules en bouderies, de disputes en chantages, un soir enfin il accepta.
Comme d'habitude je lui disais que j'avais envie de lui, que je voudrais qu'il me fasse l'amour. A chaque fois je lui disait d'essayer au moins une fois, que j'�tais s�r que �a lui plairait !
Je mettais un bras autour de son �paule et le serrais contre moi. Il r�sista un peu puis se laissa aller. Je lui caressais un moment l'�paule puis le bras. J'ai mis ma main sur son torse sans bouger.
Il jetait un regard d�sapprobateur, mais il se laissait faire. Puis j'attirais son visage vers moi et je l'embrassais sur les joues. Je commen�ais � lui caresser son torse, m'attardant sur les t�tons. Je descendais sur son ventre. Puis j'allais caresser ses cuisses.
Nous sommes pass�s dans la chambre regarder la t�l�. Je reposa ma main sur son ventre et la fait glisser sous l'�lastique de son cale�on. Il se laissait faire, compl�tement offert et sans bouger. Elle bute contre le sexe raidi, le contourne, atteint la toison, glisse entre les jambes et se saisissent des deux soeurs, bien grosses, bien pleines. Si pleines qu'elles ne demandaient qu'� se vider ! Puis la main remonte le long de sa verge qui est toujours aussi fine mais toujours aussi longue. Et je la prends en pleine main et la serre. Et soudain d'un ton ferme il me dit : mets moi un pr�servatif (que j'avais achet� depuis belle lurette !), enl�ve ton cale�on et met toi � quatre pattes !
Je me suis retrouv� nu, assis au bord du lit, lui debout devant moi, le cale�on baiss� sur les cuisses. Je tenais � pleines mains son sexe dur, chaud... Je retirai le pr�servatif de la pochette pour le d�rouler sur son long sexe. Ce fut magique...
Mais la sensation du plastique sur sa chaire lui fit perdre toute sa rigidit�. " Fais moi bander " ordonna-t-il. Alors je m'ex�cutais en faisant aller et venir ma langue, puis en le prenant � pleine bouche. Le go�t du pr�servatif n'�tait pas pour me d�plaire, et je sentais son bout de chaire s'�tendre sous le plastique.
" Aller, hop retourne toi ! Sur le lit a 4 pattes ! "
Tel le Ma�tre, il voulait me prendre. Quand cela lui plaisait ! Quand il le voulait ;seulement !
Ex�cutant ses ordres, je me suis retrouv� donc dans la position souhait�e. Je lui pr�sente mon cul laiteux. Deux belles fesses bien blanches dont l'une � un tatouage, et au milieu, une petite rosette sans poils.
;Il se positionna derri�re moi, se branla un peu pour se faire bien durcir, mit un doigt pour prendre ses rep�res et soudain posa son gland chaud contre mon " petit " trou et poussa de fa�on certaine.
;J'�tais contract� : il arrivait ce que j'avais esp�r� depuis un moment, mais je me demandais si c'�tait par vengeance, par lassitude de m'entendre me plaindre ou par envie. Toujours est-il que j'avais l'impression qu'une chose �norme me rentrait dans le cul. Il ne me laissa pas m'habituer puis s'enfon�a dans mon trou d'un coup, brutal, encore et encore, comme s'il avait fait �a toute sa vie ! Puis il commen�a un va et vient d�clenchant en moi des sensations pourtant pas nouvelles mais vraiment tr�s agr�ables. Comment sa bite si fine, certes longue mais si fine pouvait me rendre dans un tel �tat ?
Il me saisi les hanches et � partir de ce moment-l� j'ai d�gust�. Il m'a litt�ralement �clat� le cul ! Sa bite me d�fon�ait et je sentais ses couilles taper contre les miennes. Il entreprit alors de litt�ralement me labourer le cul sans aucun m�nagement. Il baisait avec sauvagerie, du genre mec qui t'en veut de l'exciter autant sur des choses qui lui font peur. Alors il me bourre en se disant que l� je serais peut-�tre calm� et que j'arr�terais de m'acharner contre lui quand j'aurais eu ce que je voulais.

J'aimais �a et j'accentuais telle la pire des salopes le mouvement de mes hanches afin de me sentir sodomis� bien profond�ment. Je reculais pour m'empaler encore plus. Je me vit ainsi m'offrir � lui par de long va et vient tout en sentant sa respiration le long de mon cou... Je m'accrochais � sa nuque en caressant ses cheveux. Parfois une main passait sous mes jambes �cart�es pour aller caresser ses couilles qui butaient contre mes fesses. Alex s'accrocha � moi violemment. Il avait alors sa bite enti�rement dans mon cul. Il entamait ses va et vient en me tenant par les hanches. Tant�t, il allait vite, parfois il s'enfon�ait lentement, pour reprendre son souffle. " Pendant que tu vas, pendant que tu viens, Gueule d'Amour, mes mains, mes doigts f�briles serrent au plus fort ton bassin vers moi. Je g�mis, Gueule d'Amour, Je jouis de plaisir. Continue. " Mon corps est "comme sous la torture"... La torture du plaisir... " Ton sexe est en moi. Toi, Gueule d'Amour, tu g�mis de plaisir, accompagnant tes cris de souffle chaud dans le creux de ma nuque. "
" T'en veux hein ! " Dit-il d'une voie rauque. Il retire son sexe d�licatement et, d'un seul coup de rein, celui-ci p�n�tre tout entier de nouveau.
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Et d'un seul coup entre dans mes " l�vres ". Il aimait voir son sexe me p�n�trer brutalement, sortir, entrer, ressortir et rentrer dans toute sa longueur. Son sexe jaillissait de moi pour y p�n�trer encore plus profond�ment... " Oui, oui continues, bourre-moi � fond ! "
Il ne se fit pas prier et se mit � me ramoner avec encore plus de vigueur. � chaque coup de butoir je sentais ses couilles venir battre contre mes cuisses, et mes genoux avan�aient plus en avant sur le lit. Mon anus �tait remplie par son membre qui me paraissait �norme et je sentais monter la jouissance � chaque coup de rein.
Je me mis � caresser ses fesses. Il se remit � me ramoner, doucement au d�but commen�ant � s'essouffler, puis encore de plus en plus vite, sa bite entrait de plus en plus profond il me remplissait compl�tement et j'aimais �a. Brutalement sa queue allait et venait jusqu'au fond de mon cul lubrifi� par une mouille abondante. Il me p�n�tra enti�rement. Il se mit � donner de grands coups de reins, si fort que sa queue ressortait parfois enti�rement, mais ma rosette �tait tellement dilat�e par son engin qu'il n'avait aucun mal � me la remettre et � recommencer. Il poussait sa queue contre ma prostate et j'aimais �a ! Il baisait super bien et je ne pensais plus qu'� sa queue qui m'avait sembl� petite tout � l'heure. Il savait s'en servir. Je soufflais et g�missais. " Oh oui ! Oh oui ! Oh oui ! Encore, Alex, encore, c'est trop fort ". Il m'avait agripp� par les �paules et enfon�ait toute sa queue en moi. Ses couilles faisaient du bruit � chaque fois qu'elles tapaient mes fesses.

J'�cartais les jambes afin qu'il entre mieux. Il ne s'en privait pas et m'explosait l'anus. " Putain ! C'est trop bon ! Encore, encore ! ". Je criais presque. ..
" Tu as ce que tu voulais hein ? " Me dit-il. Et il avait raison, ce salaud. Je n'en pouvais plus. Et il bougeait ses reins de mani�re � trouver la meilleure position. Je ne savais plus o� j'�tais. J'avais beau crier de jouissance, seul des bruits �touff�s s'�chappaient de ma bouche. Et il acc�l�rait, comme si mon cul n'�tait qu'une chatte pour lui. Ca glissait si bien dedans que je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Je sentais le plaisir monter en moi comme une fus�e.
Son visage crisp� au d�but est maintenant souriant, il me dit que c'est bon de sentir sa queue dans mon cul. Je sens des ondes de chaleur partir de ma queue descendre dans mes couilles, envahir mon bas-ventre.
Il ne se fatiguait pas et moi je sentais que j'allais faire exploser ma bite. Je ne pus retenir le sperme qui atterrit sur les draps. Et je l�chais un cri si puissant que je n'avais pas souvenir d'en avoir pouss� un pareil un jour.
Je sens des contractions de son cul sa jouissance est imminente, ses contractions se r�percutent dans ma queue, je sens le foutre monter. Il s'est arc bout�, je le sens se raidir, ses fesses se serrent, ses muscles des jambes se bandent, il tient plus fermement mes hanches, son sexe se gonfle puis enfin il explose dans mon cul, en poussant un r�le, en de longs et puissants jets qui vont s'�craser dans le r�servoir du pr�servatif. Il a souffl� de joie quand il a senti son foutre se r�pandre. Moi aussi je laisse �chapper de petits "r�les" de plaisir...

Quel pied ! Je ne pouvais plus rien faire, ni dire. Il sortit sa bite raide d'un coup, aussi brusquement qu'il �tait entr�. Cela provoqua un vide tr�s net en moi. Il m'ordonna d'enlever la capote pleine et me pr�senta sa queue.
" Suce-moi, maintenant, laves la ! ". Avec plaisir, pensais-je. Je l�chais son sperme, lui debout, moi assis au bord du lit.
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Quand elle fut bien nettoy�e, il s'assit sur le bord du lit. " Alors ? ". Je le regardais, les yeux brillants. L� il m'avoua qu'il avait �prouv� du plaisir, et que �a lui avait fait du bien ! Et c'est vrai car une bite qui n'a connu que des chattes avant est en g�n�ral tr�s contente de se retrouver � l'�troit contre une paroi qui semble branler le membre durci sur toute sa surface.
J'avais gagn� ! Et je gardais le pr�servatrice en souvenir, comme un troph�e :
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***

10 fois : ;

Un soir Alex semblait excitait. Je commen�ais � bien le conna�tre, et � chaque fois il faisait tout pour me le faire comprendre !

Il avait effectivement d�cid� de regarder un film de cul (h�t�ro bien s�r !). A peine install�s dans le lit et � peine le film commen�ait, il baissa son cale�on et malaxa sa bite et ses couilles.

" Allez suce ! " me dit-il. Pas de doute il y prenait go�t !

1)
Je baisse la t�te et place ma bouche sur son gourdin. Je salive et l�che le tout petit bout de gland qui appara�t.


Je fais p�n�trer ma langue entre le pr�puce et le gland et lib�re ma salive. Ma main droite vient se placer � la base de son p�nis, et je le d�calotte, laissant appara�tre son gland turgescent. Il est rose fonc�. J'avale son petit gland, et le parcours de ma langue. J'essaye de lui faire la meilleure pipe de sa vie. Son pr�-sperme est abondant et a un go�t merveilleux. Avec ma main droite je fais des va et vient avec son manche d'acier, et ma main gauche et remplie par ses testicules. De petites veines parcourent sa hampe. Sa bite est parfaite, elle a dut faire jouir des milliers de filles. Quel g�chis ! ! !
J'acc�l�re le rythme de mes branlements sur sa queue et je touche un peu ma queue. Il se raidi, pouce ma t�te et un puissant jet m'envahi la gorge alors qu'il g�mit de plaisir et � mon tour, je l�che un peu de mon sperme dans mon cale�on. Un second jet jaillit de son gland et me d�gouline sur la joue.

Je veux tout pour moi et aspire son gland. Il n'en finit pas de l�cher sa liqueur virile. J'ai d�j� aval� 1 gorg�e enti�re et il continue. J'ai du sperme sur la moiti� du visage quand il l�che sa derni�re gicl�e. J'ai aval� 2 pleines gorg�s de son suc masculin. Je me jure de ne boire plus que �a. Sa jute a un go�t terriblement bon. Il bouffait son poing pour s'emp�cher de crier et apr�s avoir joui en lui il me regarda et me dit : " allez hop suce, encore ! "

2)
Je m'ex�cute et m'acharne � l�cher, sucer et aspirer sa bite, pendant que ma main droite d�calottait et recalottait son gland humide avec une fr�n�sie juv�nile. Je lui bouffais la bite et je salivais �norm�ment au point que ma salive coulait de chaque c�t� de ma bouche. Je le su�ais de tout son long et dieu sait qu'elle �tait longue.
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Il ne tarde pas � jouir et � m'asperger de son sperme chaud pendant que je lui malaxe les couilles. Il me force � l'avaler en m'appuyant sur la nuque. Il me laissait le go�ter pendant quelques minutes, puis me dit " allez hop au boulot ! "

3)
Je reposai mes l�vres sur son gland et l'ench�ssai entre mes l�vres. Il go�tait bon et r�pondait bien � mes caresses, relevant instinctivement son bassin pour plonger dans ma bouche. Je le gobai enti�rement, commen�ant un lent va-et-vient sur sa colonne tressaillant de plaisir. J'enserrai d�licatement ses testicules dans ma main, lui arrachant de nouveaux soupirs. Je le su�ais merveilleusement bien et l'amenais tout doucement sur les ailes du plaisir. Mes l�vres gonfl�es parcouraient sa queue sur toute la longueur.

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Je l�che son extr�mit�. Ma langue tourne autour, elle joue avec son m�at, s'insinue dans le sillon entre la t�te et le corps, titille le frein. Je le prends entre mes l�vres et commence un mouvement alternatif, doubl� de succions r�p�titives. Puis ma main avait pris le rythme de ses allers et venus pour mon plus grand bonheur. Il appliquait d�licatement des pressions sur ma nuque pour m'encourager � aller plus loin et apr�s quelques minutes il projette son bassin en avant, ce qui le fait p�n�trer enti�rement dans ma bouche. Il ne se retire pas, mais me serre la t�te.
Je hurle mon plaisir pendant que je pompe tout son jus. Je le garde en bouche et recueille toute sa semence. Je le suce jusqu'� ce qu'il ait extrait toute sa substance, tout en reprenant sa main pour me la poser sur ma nuque afin qu'il me guide.


4)
Ma langue se posa sur sa verge. Mes l�vres s'ouvrirent peu a peu pour laisser p�n�trer son sexe dans ma bouche chaude et humide de ma salive. Il �tait sucr� et visqueux d�gageant une odeur l�g�re et, � mon go�t, agr�able. Je d�crivais alors de grand cercle autour de son gland avec le bout de ma langue. Sa main m'appuya alors la t�te plus fortement contre lui, me demandant de le pousser plus profond dans ma bouche. J'avais l'impression de d�couvrir l'amour et le plaisir que l'on pouvait donner. Sa satisfaction ne tarda pas � revenir et son sperme vint alors sur ma langue et sur mes l�vres : je le go�tais, je le buvais. Ma langue chaude et mouill�e enveloppait � chaque va et vient le gland charnu et gonfl� par le plaisir, l'abandonnait un instant pour aller honorer les balles de chair qui dansaient de haut en bas, puis remontait � nouveau � l'assaut du b�ton des plaisirs qui attendait en palpitant qu'on vienne � nouveau le titiller. Il savoura ces sensations un bon moment, � tel point que je commen�ais � manquer un peu d'air sous la couette. Alex, les mains repli�es sous sa t�te, se laisse faire en ronronnant, accentuant les meilleurs moments.
Je prends son sexe ramolli entre trois doigts et commence doucement � faire bouger la peau. Tr�s pr�cautionneusement, j'amplifie le mouvement et fractions de millim�tres par fractions de millim�tres, et d�couvre le gland. Petit � petit le bout rougeoyant appara�t. Son sexe se redresse droit vers le ciel est maintenant aussi dur que le reste de son corps. Non Encore ! Je suce avec volupt� ce gland qui est bien lubrifi�. Alex r�siste de plus en plus fort, plus rapidement. Il hal�te et en quelques mouvements de reins, il �jacule dans un cri retenu, une quantit� �tonnante de sperme.

Au total j'ai du le sucer 10 ou 12 fois. Et je connaissait le fonctionnement par cour, m'imaginant son sexe entrant dans ma bouche et radiographi� par des rayon X :

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Ext�nu� je pose mon visage sur son ventre, les l�vres contre sa peau, pour mieux la sentir... Je voulais garder des heures durant mon visage sur son ventre, et entourer mes bras autour de ses hanches ou de ses fesses dures et muscl�es.

***

Allong�

Un soir couch� tous les deux comme d'habitude, il devait me faire l'amour. Mais je voulais changer de position. Je voulais rester coucher et non pas me mettre � quatre pattes, trouvant cela trop bestial, alors que j'avais envie de plus de tendresse et d'amour. Nous �tions sur le c�t� droit tous les deux et j'avais bien remont� mes genoux, mes fesses �tant proche de son ventre. Au d�but il ne voulait pas, mais tendant mon bras au niveau de son ventre, je sentis quelque chose de grand sous son cale�on. Il bandait et bien ! J'avais baiss� mon cale�on et ayant gliss� ma main sous le sien, je tenais sa longue bite raide. Doucement je m'�carte et fais glisser son cale�on tendu. Sa queue emprisonn�e par l'�lastique est tir�e vers le bas, jusqu'au moment o� elle se lib�re et vient frapper son ventre. Maintenant sortie du bout de tissu je la frottais contre mes fesses, entre mes fesses. Quel plaisir de sentir cette tige de peau sans capote fr�ler mon fessier et �a n'avait pas l'air de lui d�plaire ! Puis je pressai son gland contre mon trou. Il disait qu'il ne voulait pas, mais pourtant il ne bougeait pas et se laisser faire. Puis je le pla�ais contre ma rosette. J'�tais au paroxysme du d�sir et je voulais le sentir plonger en moi. Enfin il prit l'initiative de pr�senter sa bite face � ;mon trou et d'entrer doucement.
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J'�cartais bien les fesses et j'ai senti son gland me p�n�trer, m'arrachant des frissons. Alex �tait pr�venant et m'encula lentement. C'�tait un peu plus dur que d'entrer dans une chatte, mais cela lui �tait plaisant. Il resta ensuite sans bouger pendant quelques instants, laissant la dilatation se faire.
Il entreprit alors de commencer ses va-et-vient. Il me tenait. " Han ! Han ! ", Faisait-il tout en commen�ant � ressentir du plaisir.
Il me fit mettre sur le ventre tout en restant plant� en moi et tressaillant de tout son �tre, il commen�ait � s'activer plus �nergiquement. Je contractais mes muscles autour, sentant sa bite se gonfler encore plus.

;Bient�t sur le point d'exploser, il se redressa, m'imprimant un rythme de plus en plus infernal. Il me p�n�tra ainsi, et assez s�v�rement. Je ne pus retenir un cri, suivi de g�missements de plaisir. Il y allait � grands coups de boutoir, se retirant presque pour se renfoncer jusqu'� la garde. Mon ventre allait exploser, mais de plaisir !
Alex me levait un peu le bassin sortait et re-faisait entrer son gland dans mon cul.
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Une fois en place il se laissait descendre dans mon trou et il entrait sans probl�me. Maintenant qu'Alex est install� entre mes cuisses, je sens sa queue bien plant�e dans mon cul. Ses couilles pleines pendent. Il commence � me limer doucement. C'est fascinant de sentir une queue rentrer et sortir d'un cul. Puis il sort et m'embrocha d'un seul coup. Le co�t devient long et violent. Jamais il ne m'avait ramon� comme �a. Alex passe un bras sous mes �paules. Je lui tiens les mains, puis nos doigts se croisent. Plus il s'enfonce, plus je lui sers les doigts. Mon Dieu que c'est bon ! Nous haletons en cadence. D�s fois je passais ma main sur ses cheveux, sur son front en sueur, puis je lui caressais le lobe de l'oreille.

Je lui maintenais la nuque pour sentir son visage contre le mien et entendre sa respiration acc�l�r�e. Je l'entendais souffler, pousser de petits cris. Je n'�tais plus qu'une chose entre ses mains, un trou � bourrer. Alex va bient�t jouir. Je sens en effet que les contractions de son cul se font de plus en plus rapides. Sa queue commence � palpiter. Du coup, je sens une chaleur l'envahir. Alex a maintenant des spasmes dans sa queue. Une, puis deux, puis trois contractions, il l�che son foutre dans mon cul. Je sens les jets qui traversent sa queue, et un liquide chaud qui vient envahir mon cul et il semble ne plus vouloir s'arr�ter. Puis il s'effondre sur moi et reste sans bouger en attendant que ses couilles se vident. Mon cul se contracte violemment pour sentir encore sa bite. Nous sommes hors d'haleine.
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Les spasmes se calment. Doucement Alex se retire de mon cul dilat� et roule sur le drap tandis que j'entreprends de nettoyer sa queue baveuse.
Une autre fois, je faisais semblant de faire la gueule, et ne voulais pas faire l'amour alors que lui en avait envie ! Il s'�tait mis derri�re moi, nous �tions toujours dans la m�me position. Impatient il s'�tait d�j� mis nu.
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Pour la premi�re fois ses mains parcouraient mon bassin, � me caresser les fesses s'attardant avec douceur sur la raie. Je sentis un doigt s'aventurer dans mon entre jambe, et venir titiller mon anus � travers mon cale�on. Il tourne autour de ma rosace en petit cercle, se rapprochant en insistant en douceur toutefois, sur mon trou. J'�cartai les jambes pour laisser le champ libre � son exploration. Il glisse deux doigts et les fait tourner. Quel d�lice de sentir ses caresses. Enfin il baisse mon cale�on doucement, sentant la chaleur de sa main sur mes fesses. Je protestais, disant que je ne voulais pas, mais il s'allongea plus pr�t de moi calant sa belle queue dans la raie et commen�a un mouvement de va et vient. Il descendit un peu et son gland vint buter contre mon trou. Il accentua l�g�rement la pression sans toutefois vouloir rentrer. La sensation l� encore �tait ahurissante. Ah d�lice des pr�mices !
Puis de nouveau pose son gland contre mon trou (je ne r�siste plus) et le fait rentrer d'un seul coup. Je le retiens. Sa queue est � fond, je sens la douleur et lui dis. Il ne bouge pas et me r�pond : " j'aime bien faire mal ! "
Il commence son va-et-vient, son gland vient buter contre ma prostate d�clenchant des ondes de plaisir. La douleur a disparu. Sa main tant�t me presse l'�paule, tant�t me presse la hanche, pour mieux m'enfoncer.
Il me dit " branle toi ! ". Je lui r�pondis " non vas-y toi ! " Alors, il a pris ma queue dans sa main et me branle doucement. Je sens la chaleur gagner mes couilles, je vais jouir. Il acc�l�re ses mouvements, ma queue vibre. Mais il s'arr�ta net, certainement prit par le remord. Il ne voulait pas �tre PD m�me si cet instant lui avait procur� du plaisir. Il voulait bien se faire sucer, me p�n�trer, mais ne voulait pas �tre plus actif dans les plaisirs de l'homosexualit�. � mon grand regret.
Puis sans sortir de mon cul, il me met sur le ventre, �carte mes fesses et viens se positionner sur mon dos. Allong� j'ai sur moi les 66 kilos de muscles de mon partenaire. Ce poids est d�licieux.
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;Il acc�l�re ses mouvements, sa queue vibre. Il sort mais mon sphincter ravale sa queue sans difficult� en n'�prouvant aucune douleur. Mais non, il rentre extr�mement facilement dans mon cul, comme dans un sexe de femme bien lubrifi� par sa mouille. Il continu son mouvement de va et vient. Je sens son sexe dans mes entrailles. Cette sensation m'envahit comme une drogue... Sa pine est en totalit� dans mon cul, je le sers fortement contre moi, comme pour l'int�grer � mon propre corps. Il se plaque contre moi, peau contre peau, il d�gage un parfum d'homme enivrant. Mes mains courent sur son dos. Je le presse contre moi.
Alors il sort sa queue, la contemple, la prend dans sa main, pose son gland contre mon trou et le fait rentrer. Il aimait regarder sa queue me p�n�trer, sortir, entrer. ; ; ; ; Il la ressort, attend un peu, puis pris d'une envie furieuse il plonge sa queue d'un seul coup. Je pousse un cri, mais un cri de plaisir.

La longue queue d'Alex atteignit vite mon point sensible. " Tu aimes hein ? " c'�tait la premi�re fois qu'il pronon�ait une parole en me faisant l'amour ! " Oui, oui, plus profond encore, Alex !!!". Ces paroles lui redonn�rent des forces, et il prenait son pied aussi bien que moi. Mais il trouvait que cela ne venait pas assez vite. Il d�cida alors de bouger sa croupe pour s'enfoncer encore plus, en se redressant sur ses bras.
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;Je me rendit compte qu'il pouvait effectivement aller plus profond, ses couilles touchaient mes fesses. Cet enculage en r�gle dura un bon bout de temps. Tant�t je lui caressais la nuque, le visage, tant�t je lui maintenais le dos, les fesses, le pressant contre moi pour qu'il reste le plus profond�ment possible.
Puis il se contracta soudainement, et �jacula en force dans mon cul. Je sentis la chaleur de son sperme qui me remplissait. " Ahhhhhhh ". Il resta une minute comme �a, allong� sur moi, et je sentais son souffle rapide sur mon cou. Mais j'en voulais encore, je n'avais pas assez joui. Alors, lorsque Alex fut sorti, je saisi sa bite dans ma bouche et je me branla devant lui.
Enfin, �puis�, nous nous sommes endormi

Et le matin j'aimais le regarder dans les bras de Morph�e ...
***
C�lin :
C'�tait souvent toujours le m�me rituel :
En allant se coucher, Alex s'�talait de tout son long sur le lit, tout habill�. Il aimait que je le d�shabille. Je lui d�faisais ses lacets, enlevais ses chaussures et ses chaussettes. De temps en temps, il me pr�sentait son pied pour que j'y laisse un petit bisou.
Je commen�ais d'abord par caresser sa bite � travers son surv�tement. Je le regardais dans les yeux puis je pass� ma bouche sur la bosses de plus en plus volumineuse du surv�t'. Mes doigts se sont porter vers sa ceinture-lacet que j'ai d�faite.


;J'ai ensuite descendu son surv�t', il se laissait faire. Il levait m�me le bassin doucement afin que je puisse mieux faire coulisser le tissu le long de ses belles cuisses couvertes de poils. Je ne pouvais m'emp�cher de les caresser. J'avais en face de moi son cale�on soulev� par son sexe que je voyais de tr�s belle taille. De nouveau je l'ai caress� � travers le tissu, tr�s fin cette fois-ci. Puis n'en pouvant plus, je l'ai enlev�, descendais l'�lastique. Le gland non circoncis d'Alex en �mergeait. Je descendais encore le cale�on et la queue d'Alex apparaissait dans toute sa splendeur. Belle et longue. D�couvrant � hauteur de mon visage un magnifique sexe.
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Je pouvais ainsi voir entre les cuisses ballotter la plus incroyable paire de boules qu'il m'ait �t� donn� de voir : lourdes, imposantes et pendantes.



J'ai pos� ma main droite dessus et j'ai commenc� � le branler doucement. Je me mis � le caresser, puis avec deux doigts le d�calotter et le recalotter. C'�tait �trange parce que ce n'�tait pas si facile que �a, la peau n'arrivait pas vraiment � glisser. Alex �tait toujours allong�, la t�te pos�e sur l'oreiller et quoi que je fasse, il me semblait que �a lui faisait plaisir. Il ne disait rien, ne faisait rien. Je me sentais donc libre de faire ce que je voulais. Je tirais la peau vers le bas, pour voir comment son sexe r�agissait. La petite peau tirait le gland vers le bas le d�formant. Je remontais le pr�puce, tirant le col serr� dans mes doigts pour faire remonter la peau. Je partais dans une v�ritable inspection de chaque millim�tre carr� de son sexe. Je crois que je ne me suis jamais autant int�ress� � mon propre sexe. La r�action ne se faisait pas attendre. Alex se mettait � bander doucement. Je caressais ses boules, sa toison. Alex ne d�bandait pas. Mieux, sa bite durcissait encore plus.

Je remontais son T-shirt pour d�couvrir son torse. Pas un poil de graisse.
Je le masturbais doucement. Il soupirait. Il y avait aussi cette odeur de sexe, mon nez � du vouloir s'en approcher et ma bouche a pris le relais. J'approchais ma langue et mouillais sa queue dans toute sa longueur. Je m'allongeais dans le lit et me pla�ais � c�t� de lui. Je commen�ais par lui caresser le torse, doux, sans poils. J'insistais sur les t�tons, passais des coups de langue dessus. Mais il n'aimait pas, il voulait juste que je m'occupe de sa queue ! Mes mains descendaient au niveau du bassin, fouillaient la toison pubienne d'Alex et caressaient la queue rest�e raide. Sa bite �tait longue, mais fine. Alex soupirait doucement. Je passais mes mains sur ses cuisses poilues, sur ses hanches et je restais l�, � contempler son corps ...
Souvent Alex se tournait vers moi et restait ainsi allong� pr�s de moi, son visage accol� au mien, oreille contre oreille, sans bouger si ce n'est respirer calmement.
Il passait son bras autour de mon coup, sa jambe sur mes hanches et je sentais se gonfler doucement son sexe coll� contre ma cuisse. Le mien en faisait tout autant, mais moins discr�tement car il �tait � l'air. Je ne savais pas comment r�agir parce que Alex me bloquait � moiti�. Il savait que je savais qu'il bandait, parce que �a ne pouvait pas ne pas se sentir. Mais dans le noir, il ne me voyait pas dans le m�me �tat. On ne bougeait pas, on restait l�.
Dans cette attente nous respirions tout doucement et je me mettais � sentir son odeur. Je continuais � sentir son sexe gonfl� sur ma cuisse.
;
Pour cette raison, mon sexe ne voulait pas reprendre sa place habituelle.
Alex me prenait dans ses bras et j'�tais aux anges, je me sentais prot�g� contre son torse dur et chaud. On restait donc encore l�, � c�liner, et je profitais de ce d�lice, l'un � c�t� de l'autre, la main dans celle de l'autre. Puis il s'endormait, et je passais des heures � le contempler ...
Et � r�ver...
Oh ! Gueule d'Amour, quelle d�licatesse ! Je sens ton bras glisser autour de mes �paules.
Continues, Gueule d'Amour, je sens le d�sir monter en moi !
� mon tour, mes doigts caressent ta nuque.
Sous nos caresses, je sens les vibrations de ton corps.
Avec douceur, avec force aussi, tes bras, tes mains se tendent vers moi.
Ton corps, ton bassin se dandinent de joie. D'envie aussi.
C'est l'invitation au plaisir. Je suis ton soumis, Gueule d'Amour !
Tes bras, tes mains m'attirent vers toi.
D'une main aussi �l�gante qu'adroite, je d�boucle la ceinture de ton pantalon.
Avec douceur toujours, mes mains fr�lent le tissu moelleux de ton pantalon.
Ton sexe toujours cach� hoquette de plaisir. Je le sens, tu le sens durcir � chacun des passages de mes mains.
Mon torse colle � ton torse. Je glisse. Je me caresse de ton corps.
Oh ! Gueule d'Amour, de tes yeux p�tillants, de tes doigts agiles et souples, tu fais glisser mon cale�on.
� chacun de tes allers, � chacun de tes retours, mon d�sir monte.
Mais que fais-tu, Gueule d'Amour, tu m'as d�nud� !
D�nud� � tel point que nos sexes se caressent ensemble.
Tu m'excites, Gueule d'Amour.
De mes mains, mes doigts d�j� f�briles prennent connaissance de ton visage, de ton corps, de ton sexe aussi.
Mes doigts filent l�g�rement sur ton visage. Ils effleurent tes l�vres.
Mes doigts filent sur ton nez, tes yeux, ton cou. Je veux tout conna�tre de toi.
Ma bouche veut embrasser ta bouche.
Tu g�mis, Gueule d'Amour. Tu aimes donc ?
Je sens ton sexe contre mon ventre.
Laisses-le parler, Gueule d'Amour ! Ton sexe est plein de v�rit� ! Lui aussi g�mit de plaisir Mes doigts filent sur ton torse. Leur caresse, l�g�re, fait dresser le bout de tes t�tons.
Oh ! Gueule d'Amour, c'est moi qui g�mis � pr�sent. Prends-moi Gueule d'Amour, je te veux. Je te veux en moi. Je te veux au plus profond de mon ventre.
Avec fougue, Gueule d'Amour, tu me retournes et tu me domines.
Tu es plein de fougue, Gueule d'Amour. Tu avais raison. Je ne le regretterais pas.
Montes-moi, Gueule d'Amour ! Je t'aime comme cela.
C'est ton torse nu que je peux contempler. C'est ta poitrine l�g�rement poilue que tu me donnes.
C'est ton ventre l�g�rement velu que tu m'offres.
Tu me retournes Gueule d'Amour. Tu me retournes sur le ventre.
Et. Et, Gueule d'Amour, de mes doigts d�licats, j'entreprends doucement un massage de ta nuque, de tes �paules aussi.
Une caresse. Deux caresses. Des caresses qui font tomber ton stress et qui pr�parent � l'amour.
Mon doigt toujours aussi expert, descend le long de ta colonne vert�brale.
Ma main passe voluptueusement sous ton ventre, pendant que l'autre te p�trit les �paules.
Continue, Gueule d'Amour, ah ! Gueule d'Amour, mes l�vres s'entrouvrent d'envie. D'envie de toi. De ton sexe aussi.
Une petite goutte de plaisir perle sur le gland de ton sexe.
D'un doigt inquisiteur, j'entreprends de te caresser entre la ceinture et ton ventre.
� chacune de mes caresses, Gueule d'Amour, ton corps se cambre de plaisir.
Ma main, folle amoureuse, va plus bas. Toujours plus bas. Elle va. Elle vient. De l'avant vers l'arri�re. De l'arri�re vers l'avant.
Ma main, mes mains caressent tes cuisses. De l'avant vers l'arri�re. De l'arri�re vers l'avant.
Ah ! Gueule d'Amour, mes l�vres laissent pousser de petits cris.
De ma bouche, de mes l�vres, s �chappent des g�missements.
Continues Gueule d'Amour, continues, c'est si bon.
Mes mains, mes doigts courent � l'int�rieur de tes cuisses.
De mes mains, avec un doigt, je caresse une de tes rondeurs.
Rondeur dont le passage est br�lant de d�sir. Ardent de plaisir.
Toujours aussi ma�tre de lui, ton majeur se dirige vers le couloir du plaisir.
� son passage souverain, Gueule d'Amour, mes petits g�missements se muent en petits r�les.
Ton majeur refait le tour du couloir avant de venir caresser d'abord les poils courts de l'anus, puis l'anus lui-m�me sans le p�n�trer.
Mon bassin comme pour l'attirer encore plus avant, donne des coups de hanche comme s'il voulait que tu me p�n�tres.
Ta main au toucher f�brile entreprend alors de faire le tour entre paroi et chair.
Je sens ton sexe. Ton sexe impatient.
La partie de ton gland qui est maintenant l�g�rement d�calott�e laisse passer le liquide annonciateur de jouissance.
C'est doux, Gueule d'Amour, c'est visqueux. C'est bon !
Tu me retournes alors, tu m'attires � toi.
Tu me baises l�g�rement tout en d�gageant � proximit� et en douceur, un souffle chaud qui se descend vers le creux de tes �paules pour atteindre le bas de tes reins.
Ma bouche prend le relais et embrasse les parties de ton corps sur son passage.
Ma bouche vole, Gueule d'Amour, elle court le long de ta nuque...
Elle descend jusqu'au bas de tes reins... pour atteindre ton sexe qu'elle mouille avec fureur.
Elle va et vient avec une tr�s grande rapidit�, g�n�rant, tu t'en doutes bien, de petits g�missements de plaisir en ta personne.
C'est ta t�te qui se soul�ve... C'est ton corps qui se projette...
De plaisir en plaisir... Tu marques ton plaisir par de petits cris haletants...
Plus tu g�mis, plus je te mouille... Plus je te veux...
Plus mon mouvement de langue s'acc�l�re, plus tes g�missements s'intensifient...
C'est bon Gueule d'Amour ! Continue ! Prends le relais, Gueule d'Amour ! Prends-moi !
C'est toi que je veux ! Je te veux "entier" ! Entier en moi ! Donnes-moi ton sexe, Gueule d'Amour !
Je te veux ! Je le veux ! Je veux que, une fois de plus, tu me d�pucelles !
Que ton sexe est beau, Gueule d'Amour, quand il se dresse ainsi !
Plein d'envie de toi, pleine d'envie de ton sexe, ma bouche glisse sur ton sexe.
Ton sexe qui, sans difficult�, s'introduit dans ma bouche.
Ton sexe, que ma bouche, que mes l�vres, sucent � plaisir.

Ma langue effr�n�e de plaisir, d'envie aussi, l'entoure, l�che ton gland maintenant d�calott�. Ma langue su�ant d�licatement le "frein".
Ne te laisses pas aller, Gueule d'Amour, nous avons encore le temps !
Mi interrogateurs, mi-confiants, mes yeux te regardent longuement. Profond�ment.
Gueule d'Amour, c'est moi qui n'en peux plus.
Prends-moi, Gueule d'Amour ! Regardes, la pointe de mes t�tons, rebelle, se dresse de bonheur.
Mon bassin, mes hanches, fous de douleur et d'envie, ne cessent de se soulever.
Prends-moi, Gueule d'Amour, donnes moi la s�ve de ta vie !
Prends-moi, Gueule d'Amour, pr�pares-moi. Pr�pares-moi � l'amour.
C'est bon, Gueule d'Amour, je sens ton sexe chaud glisser. Je sens ton sexe br�lant de plaisir �carter mes parois lubrifi�es.
Ne regarde pas mes grimaces, Gueule d'Amour, laisses aller ton sexe au plus profond de moi.
Ah ! Gueule d'Amour, je le sens. Ton sexe est en moi.
Pendant que tu vas, pendant que tu viens, Gueule d'Amour, mes mains, mes doigts f�briles courent sur tes cuisses en mouvement.
Pendant que tu vas, pendant que tu viens, Gueule d'Amour, mes mains, mes doigts f�briles serrent au plus fort ton bassin vers moi.
Je g�mis, Gueule d'Amour, Je jouis de plaisir. Continue.
Mon corps est "comme sous la torture"... La torture du plaisir...
Comme pour prendre plus d'�lan, ton sexe s'�jecte.
En guise de r�ponse, je l�ve en douceur mon "cul" et j'entrouvre l�g�rement mes "l�vres" comme pour faire un appel � ton sexe...
Je glisse sur le drap pour laisser passage � ton sexe.
Pour accro�tre ton excitation, je ferme, j'entrouvre, en mesure, mes " l�vres " autour de ton sexe pris comme dans un �tau...
Tu te penches � pr�sent vers moi, Gueule d'Amour, et ma t�te se tourne vers toi....
Moment de d�lices, moment de plaisir. D�pucelle-moi une fois de plus !
Ô temps, suspend ton vol. Gueule d'Amour, tu es l�.
Voil� que le sang embrase toute ma t�te, tout mon corps.
Gueule d'Amour ! Continue ! Tu te redresses ensuite puis tu penches tout ton corps sur le mien.
Tu m'entoures avec toute la chaleur de ton corps, frottant maintenant ton sexe contre mes fesses.
Avec la sueur d�gag�e par nos corps, ta verge glisse maintenant entre mes jambes.
Parfois, tu se redresses et tu t'assois � genoux entre mes jambes.
En douceur, je guide ton sexe dans l'orifice de mon anus
Ah ! Gueule d'Amour, sens-tu ton sexe ? Ton sexe me p�n�tre sans douleur...
Je sens mes " l�vres ", mes parois s'entrouvrir sur le passage de ton sexe.
Pour t'exciter, pour l'exciter, je me mets � "travailler" le muscle des fessiers.
A ton tour, Gueule d'Amour, tu me r�ponds en "bandant" ton sexe...
Je reste ainsi quelques minutes, soulevant puis abaissant l�g�rement mon corps, mes reins, afin de m'adapter � ton sexe : je masturbe ton sexe.
Plaisirs divins, plaisirs intenses... Gueule d'Amour, d�pucelles-moi une fois de plus !
Tu le sais, Gueule d'Amour, quand tu me p�n�tres, c'est toujours une premi�re fois !
Tu plonges tout ton corps dans les m�andres du mien.
En douceur toujours, tu me p�n�tres de ton sexe band� au maximum.
De temps � autre, ton sexe s'�jecte puis replonge en douceur entre mes " l�vres ".
Ton gland d'abord, ton sexe tout entier ensuite, tr�ne au plus profond de moi-m�me...
Tu retires ton sexe d�licatement et, d'un seul coup de rein, celui-ci p�n�tre tout entier de nouveau. Et d'un seul coup entre mes " l�vres ".
Ton sexe est en moi.
Je suis en toi...
Avec d�licatesse et avec douceur, tu amorces des allers, des retours avec tes reins.
Plaisirs intenses...
Mon corps se met au rythme de ton corps pour accompagner le rythme de ta mesure.
Nos corps lov�s battent "ensemble" la mesure.
Toi, Gueule d'Amour, tu g�mis de plaisir, accompagnant tes cris de souffle chaud dans le creux de ma nuque.
Moi aussi, sentant ta s�ve monter, je laisse �chapper de petits "r�les" de plaisir...
De temps � autre, ton sexe jaillit de moi pour y p�n�trer encore plus profond�ment...
Puis dans un grand r�le, tu �jacules en moi.
Plaisir intense... Plaisir Ivre...
Je suis pr�t, Gueule d'Amour !
Je suis pr�t � te recevoir !
� bient�t, Gueule d'Amour...
Baisers � toi, Gueule d'Amour, partout, je te couvre.
Je t'embrasse tendrement.


***
Le matin :
Il suffit d'arriver � faire bander un mec et le chemin est pratiquement parcouru, mais l�, s'il est normalement constitu�, ce m�le devait avoir la trique du matin. Je d�cidai alors de partir en exp�dition, option sp�l�ologie sous la couette, et d�cidai d'envoyer une main en �claireur : en effet, tout y �tait, et il bandait comme un cerf. L'option sp�l�o se changea en plong�e en apn�e, je mis un coude de chaque c�t� de son bassin et passai toute la largeur de ma langue sur son gland encore sucr� de la petite f�te nocturne. La b�te r�agit, se cabra comme un serpent pr�t � cracher, je mouillai mes l�vres et fis glisser le gland au plus profond que je pouvais, provoquant un soupir de satisfaction chez le dormeur qui ne devait pas trop avoir l'habitude qu'on le r�veille de cette fa�on. Je commen�ai de lents va et vient mais il les acc�l�ra, ouvrant les cuisses et par des mouvements de bassins de plus en plus rapides. Je n'avais plus rien � faire qu'� tenir la bouche ouverte, comme une poup�e gonflable, mais �a ne me d�rangeait pas : malgr� les apparences, c'est moi qui menais le jeu, m�me si c'�tait lui qui semblait me baiser, je prenais autant sinon plus de plaisir que lui ! Bizarrement le lit ne grin�ait plus, nous devions �tre sur un ressort bien lubrifi�. Voil� que je me mettais � penser au m�canisme de la literie, la situation ne s'y pr�tait gu�re pourtant. J'allais rapidement en reprendre conscience : il acc�l�ra encore et crispa ses mains sur ma nuque et je sentis le serpent se raidir en grossissant : un flot de liquide �pais et sucr� �tait en train de me remplir la bouche. Je pouvais soit le recracher soit tout avaler. Je choisis la deuxi�me solution, et dus d�glutir deux ou trois gorg�es de petit lait sucr� et un peu amer. Mais j'adorais �a. Lui �tait aux anges, il s'�tait compl�tement rel�ch�, sa lourde main maintenant encore ma nuque

;***

Rasage :

Souvent Alex d�sirait que je le rase, barbe et moustache. Il adorait que je m'occupe de son corps. Je m'ex�cutais, allais dans la salle de bains et en ressortais avec une serviette, un tube de mousse, un rasoir et une bassine d'eau chaude.
Il restait allong� sur le lit, en simple cale�on enveloppant ses organes g�nitaux imprim�s en reliefs. Et je m'asseyais � c�t� de lui, ma cuisse coll�e contre son flan.
D�s fois, son bras venait se poser sur ma jambe afin de faciliter mes mouvements d'esth�ticien.
Je commen�ais � humidifier son doux visage, � caresser ses poils des joues et du menton qui �tait de plus en plus fournis au fil des mois. Puis je passais la mousse sur chaque joue, son menton, le cou, le tour de ses l�vres. Il fermait les yeux de plaisir et ce jeu sensuel me mettait dans tous mes �tats. D�licatement je passais le rasoir, deux fois afin que sa peau devienne vraiment lisse est douce.
Alors je le contemplais, lui caressais le visage et d�s fois lui faisais des petits bisous !

A la suite d'un pari avec une de ses copines (ce qui me rendait jaloux !), Alex devait se raser la poitrine et le sexe. Et bien s�r c'est tout naturellement qu'il me demanda de pratiquer l'op�ration, � ma grande satisfaction !
;
Je commen�ais par contempler sa poitrine que j'allais ras�e. Il n'y avait qu'un petit filet de poils clairs :


Comme pour son visage, j'humidifie son torse tout en profitant pour le caresser, l'enduit de mousse et le rase d�licatement, prenant bien soin de ne pas �gratigner ce torse muscl� et dur.
Et voil� il se retrouvait avec un torse juv�nile, brillant. Et comme pour son visage, je le contemplais, le caressais et d�s fois lui faisais des petits bisous !

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Enfin, j'allais passer au ventre et � son intimit� !
Tout naturellement je baisse son cale�on et l'enl�ve compl�tement et bien s�r je suis tout de suite int�ress� � fouiller son intimit� des yeux. Je commen�ais par inspecter son beau ventre o� au niveau du nombril prenait naissance un filet de poils noirs qui repartait plus dense en s'enfouissant vers le pubis.
;

Je commence par couper � l'aide d'une paire de ciseaux ses poils du ventre qui me paraissent si doux au toucher et si bon � l'odeur. Je ne touche pas son sexe pour le moment, je le garde pour la fin.
Puis comme pour son visage et son torse, j'humidifie son ventre tout en profitant pour le caresser, l'enduit de mousse et le rase d�licatement.
Puis c'est le tour du pubis, bien fourni, mais si beau et si all�chant.
Alors je partais encore dans une v�ritable inspection de chaque millim�tre carr� de son sexe que je connaissais pourtant par cour.



Je passais les lames des ciseaux au dessus, en dessous, sur les c�t�s, tout en tenant son sexe d'une main. Je commen�ais � savonner son pubis, puis avec une douceur rare je me mis consciencieusement � le raser. Je maintenais son sexe vers le bas, pour atteindre le pubis, les aines. A chaque fois je prenais sa queue et ses belles boules a pleine main pour les diriger dans le sens oppos� au rasoir, et � force de le ballotter son Zob gonflait peu a peu sans �tre band� compl�tement. Alors ce fut son tour. Ayant pris du volume et de la longueur le rasage en sera encore plus efficace.
;Je remontais le pr�puce, tirant le col serr� dans mes doigts pour faire remonter la peau, et je passais le rasoir du haut de sa tige jusqu'� la racine. Plusieurs fois pour que cette longue tige soit bien lisse.
Puis c'est le tour de ses testicules. Je les couvres de mousses et commence � les raser doucement. Je tirais sur le scrotum afin de rallonger l'espace � raser, et que la lame puisse glisser convenablement.
Je lui dis de rester allong� et d'�carter les jambes pendant que je m'occupe de la partie intime qui se trouve sous les couilles jusqu'� l'anus. Je l'enduit de mousse et commence � raser.
Quand j'eut fini, je le regarde et vois pour la premi�re fois son corps sans un poil, mettant en valeur sa queue d'habitude dissimul�e. Je trouve cette vision excitante et le lui dis. Son sexe ras� para�t encore plus long et plus fin. mais toujours aussi app�tissant !
Et comme pour le reste, je le contemplais, le caressais et d�s fois lui faisais des petits bisous tout autour de sa bite, sur sa bite, ses couilles. Et comme tout cela �tait doux !
La encore je pr�serve un �chantillon de poils pubiens comme un troph�e !

;


***

Ordinateur :

Souvent devant l'ordinateur, Alex aimait regarder des sites pornographiques, notamment de lesbiennes.

La vue de ses filles l'excitait et � chaque fois il voulait que je le suce, � mon grand plaisir.
Alex d�bouclait sa ceinture, baissait sa fermeture-�clair et enlevait son jean. Il ne portait plus que son cale�on, exhibant fi�rement une �rection parfaitement achev�e. Alex s'�tait un peu plus allong�, les �paules pos�es sur le dos de la chaise et quoi que je fasse, il me semblait que �a lui faisait plaisir. Il ne disait rien, ne faisait rien. Je me sentais donc libre de faire ce que je voulais. Tout en regardant Alex, je me mis � caresser son sexe par-dessus le tissu. Je saisis doucement sa queue � travers le tissu. Le b�ton d�j� gonfl� se durcit comme de la pierre et il ne put s'emp�cher un soupir d'excitation. Il n'avait jamais �t� excit� � ce point, et je baissais finalement son cale�on, offrant son sexe nu et vibrant de d�sir � mes yeux ravis.
;


Il prit ma main et l'amena vers son bas-ventre.
Je puis constater que son gland commen�ait � sortir spontan�ment. Ce devait �tre le r�sultat de tous mes ;traitements. Sous mes doigts, en un �clair le sexe d'Alex s'est mis � se gonfler encore plus. Non, il n'�tait pas �norme, mais toute en longueur, le gland rose venait pointer sur son ventre. Puis avec deux doigts je le d�calottais et le recalottais. C'�tait �trange parce que ce n'�tait pas si facile que �a, la peau n'arrivait pas vraiment � glisser. Je tirais la peau vers le bas, pour voir comment son sexe r�agissait. La petite peau tirait le gland vers le bas le d�formant. Je commen�ai par doucement effleurer ses couilles, que je vis rouler et se durcir alors qu'il fermait les yeux et mit sa t�te en arri�re. Puis je descendis doucement, toujours en effleurant les poils, � l'intersection des cuisses, il mit alors son bassin plus en avant comme s'il avait compris que c'�tait le d�but d'un tr�s bon moment. Il passa sa main sur ma nuque et me guida doucement vers sa queue qu'il mettait en l'air au cas o� je l'oublierais. Je fis avec la langue ce que j'avais fait avec la main : d'abord, juste les poils, il soupirait comme pris de frissons � chaque fois qu'il sentait la chaleur humide sur ses couilles, sa queue secou�e de soubresauts d'excitation. D�j� du liquide lubrifiant perlait au bout de son gland et mouillait son ventre ; lentement, progressivement, mes coups de langue se firent plus intenses, jusqu'� ce qu'elle vienne au contact de la peau des bourses, puis les l�cha avec plus d'ardeur pour faire rouler les boules dans leur sac. Alex �tait au 7e ciel et avait grand ouvert les cuisses comme pour me dire de surtout ne pas arr�ter. Apr�s avoir bien lubrifi� son sac, je remontai peu � peu � la base, � la moiti� de sa queue, redescendais et remontais, jusqu'� arriver � la base du gland que je titillai du bout de la langue.
;
Il �tait comme fou, g�missait et me lan�a un regard supplicateur, pour que je lui donne le plaisir qu'il attendait depuis trop longtemps maintenant. " Allez suce " me dit-il et il poussa un r�le de plaisir quand il la glissa enti�rement entre mes l�vres, poussa doucement avec le bassin pour la glisser le plus loin possible. Le froc en accord�on sur ses pieds, il me faisait face, aidant de petits coups de reins le rythme de la p�n�tration. Elle avait un go�t un peu sucr� et sa peau �tait d'une finesse extr�me. Il regardait toujours les photos, se d�lectait apparemment du spectacle qu'il semblait appr�cier. Je ne voulais que son plaisir, parce que le mien �tait d�j� complet par l'offrande qu'il me mettait � disposition sans contrepartie. Sa respiration �court�e par le plaisir �tait pour moi la r�compense de ma sollicitude si particuli�re, que seul un mec peut donner � un autre parce qu'il sait comment il fonctionne, et ce mec plut�t brutal, h�t�ro bon teint coureur de jupons �tait en train de se faire piper par un p�d�, et il aimait �a en plus.
Pour le finir, il adorait que je le branle en mettant ma langue sur son pr�puce. Tant�t je le su�ais tant�t je le branlais.

;


;Et il adorait �a, � voir son poing ferm� pr�t du clavier de l'ordinateur, ou sa main serr�e sur le bord de la chaise. La p�nombre de la chambre augmentait l'excitation et nous transpirions abondamment. Des gouttes de sueur tombaient sur son ventre l�g�rement poilu.

;Lorsqu'il �tait sur le point de jouir, il agitait le bassin pour acc�l�rer la cadence, il appuyait sur ma t�te � deux mains comme pour l'immobiliser.
;

Il avait un g�missement plus accentu�, et je sentais sa queue se raidir, je serrais alors la base et il jouissait en envoyant une gicl�e dans ma bouche. Alors il me l�chait la t�te pour tenir la sienne, se mettant la main dans la bouche pour ne pas crier. Alors je le pompais � fond pour recevoir plusieurs jets de sperme �pais tandis qu'il gesticulait dans tous les sens, refermant ses jambes comme pour enserrer ses testicules. Il bougeait son bassin et plus il acc�l�rait et plus je salivais et plus �a glissait et plus je buvais.
Enfin Il respirait profond�ment, et je restais l� immobile le serrant dans mes bras, sa queue encore raide dans ma bouche.
J'attendais de la voir se reposer, le gland toujours apparent :

;



Et ce man�ge de l'ordinateur arrivait tous les jours ou presque.

******
ALEXANDRE :

Cela faisait un moment qu'Alex �tait � la maison. Chez moi, chez lui, car c'�tait CHEZ LUI maintenant !
Plus le temps passait, plus j'�prouvais une r�elle affection pour ce gamin. Oui ce gamin, car il l'�tait encore.

Il respirait la joie de vivre, le bonheur. Et il m'en donnait beaucoup. M�me si d�s fois tout n'�tait pas simple !
Et plus le temps passait, plus il devenait ma joie de vivre, mon unique raison de vivre !
Je pouvais rester des heures � le contempler

et je succombais � son charme.
Mais plus le temps passait, plus nos " rapports " devenaient incestueux : je m'occupais de lui comme d'un fils, le consid�rais comme mon fils et avais m�me fait une proc�dure d'adoption. Lui, je crois aussi qu'il me consid�rait comme un p�re.
Mais j'avais des envies, et lui aussi, des envies de tendresses, qui souvent se transformaient en sexe.
Mais je crois que nous aimions tous les deux les tendres rapports que nous avions (car une seule fois il m'a avou� qu'il se sentait bi avec moi, et il disait cela d'un air joyeux !) m�me si tout cela n'�tait pas simple dans ma t�te et encore moins dans la sienne !
Il aimait les filles, moi les mecs ! Mais il �tait MON ALEX et je l'aimais tout simplement, comme lui je pense et j'esp�re m'aimait (un petit peu).
Et l� aujourd'hui j'attends son retour, je l'attends comme la premi�re fois qu'il �tait venu chez moi !
Je me sens perdu sans lui, sans sa pr�sence, sans entendre sa fa�on de parler, sans entendre ses rires, sans le voir bouger dans la maison, sans sa musique, sans m'endormir � ses c�t�s et le prendre dans mes bras, sans le toucher, sans le r�veiller le matin, sans lui pr�parer son caf�, sans lui faire prendre son bain, sans le raser, et sans gueuler. Et sans avoir jeter ses CD...

*****

Fin de la premi�re partie.

totof51

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