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M�moires d'un Ptit breton 4

Philippe s'�tait endormi dans mon lit, il avait voulu rester ! . Dimanche, 10 heures, je me l�ve avec la gaule pour le petit d�j, je le regarde, allong� dans les draps sur le ventre Il a vraiment un beau cul mon petit Harry Potter. Trop mignon le mec ! Je lui caresse les fesses en passant et descends sur ses jambes Ses poils bruns sont doux ! du velours ! je le laisse dormir ! Je suis certain qu'il a la bite aussi raide que la mienne. Je pr�pare le caf� et porte un plateau sur la terrasse. (Il fait beau ce matin). Cool ! Je profite du moment, T-shirt de coton et slip coordonn�, j'aime regarder la mer, le chemin douanier qui longe la maison (souvent, l'�t�, un beau minet qui passe) . Je grignote mes biscottes.

Des mains autour de mon cou! Philippe, debout derri�re moi, me sourit, m'embrasse et vient s'asseoir sur mes genoux . Il a mis l'un de mes cale�ons :

" Bien dormit ? - Oui !.et.toi ? - Super, je retournerais bien au lit !..tu viens ?? "
Il me roule un patin et s'assied sur mes genoux. Il remue son petit cul sur ma queue au garde � vous :
" T'as l'air en forme, ce matin ! - Toi aussi on dirait !. T'en as pas pris assez hier ? " Il ne r�pond pas, il me roule un patin. Ouh l� ! c'est reparti. De la main gauche, je lui caresse le dos sous le T-shirt. La droite a plong� directe dans l'ouverture du cale�on. Je lui caresse la bite, son gland est d�j� humide, je descends sous les couilles, c'est super : deux belles boules bien rondes, l�g�rement poilues, douces au toucher. Ma caresse lui plait, je le sens � ses g�missements et son baiser qui se fait plus insistant. sous l'excitation.

Il �carte machinalement les cuisses ; ma main en profite pour explorer plus loin. J'arrive au bord de sa rondelle et deux doigts n'ont aucun mal � entrer pour lui branler le trou (il faut dire qu'hier, il n'a pas h�sit� � se prendre deux queues en m�me temps dans le fion et qu'il en redemandait) . D�cid�ment "toujours pr�t" mon petit scout. Je lui dis d'arr�ter parce qu'on est dehors et qu'un promeneur pourrait passer (Je l'allume ;et je lui demande de se calmer. Je suis vraiment un faux jeton ; d'autant plus que, moi aussi, je suis excit�. Je suis bon pour changer de slip tellement il me fait mouiller le ptit salaud !)

" -Viens dans la salle de bain. Il faut que tu me la mettes !.. " Il ne se le fait pas dire deux fois. A peine arriv�s, � poil tous les deux, j'�tale un drap de bain sur le carrelage et me mets � quatre pattes en tendant le cul : " Vas-y.Encules-moi, je veux te sentir bien profond ! " Il se met � genoux entre mes jambes �cart�es et s'enfile une capote. Dans la glace, je le vois pointer son dard sur ma pastille. C'est trop bandant. Je n'avais jamais vu sa queue aussi gonfl�e. Il enfonce son gland. Il est dur comme du b�ton. Je g�mis: " Vas doucement. t'es vraiment gros ce matin ".

" Tu la voulais. tu vas la sentir, je vais te d�foncer ! " Et, d'un coup sec, il me la plante jusqu'aux couilles. Je pousse un cri. Il arr�te (de toutes fa�ons il ne peut pas aller plus loin) Je le sens vraiment en moi. Il est pench� et me serre le torse avec les bras. Nos deux corps sont coll�s ; il commence � bouger le bassin. C'est trop bon, je me contracte le trou, je desserre " Oui ! vas-y branle-moi la queue avec ta rondelle. C'est bon, hein ? " Oh oui, c'est bon. Dans le miroir, je le vois me sourire.

" Vas-y Philippe. D�fonce-moi, j'ai trop envie ! " Il accentue son va-et-vient dans mon cul. C'est g�nial, je le vois prendre son pied. Il rigole : " T'es aussi salope que moi ! T'aimes �a, hein ?..
Une grosse bite qui te remplit. Je vais t'exploser la rondelle ! " Il va de plus en plus vite , ses couilles frappent contre les miennes. " Oui ! Vas-y, plus fort. Oui j'te sens bien !! Vas-y, plus profond..Ah ! c'est trop bon !. continue, ouais. Remplit moi le cul ! " Dans la glace, je regarde sa pine, il la rentre, la ressort compl�tement, me la replante d'un coup, en poussant un petit cri � chaque fois. Il me regarde lui aussi, le visage en sueur, il s'active davantage. J'ai commenc� � me branler, je tends mon cul pour mieux le sentir ! Le spectacle m'excite. Cambr� comme une vraie salope, je m�te sa queue rentrer et sortir avec un plaisir �vident. Il d�gente, en vingt secondes il jouit le ptit mec, je continue ma branle et sens son excitation. Je jouis sur la serviette, il m'�clabousse le dos. Deux jets superbes ! Un baiser sur la bouche, je suis allong� sur le carrelage, il m'�crase !

Philippe prend une douche, je bois un caf� sur la terrasse, il fait beau! Peinard!
;Le t�l�phone sonne :
" Salut ! C'est J�r�me. Ca t'ennuies de faire le barbecue chez moi ? J'ai tout pr�par� et j'ai invit� un copain !
-On se pr�pare et on arrive. Midi ? pour l'ap�ro.. �a te vas ? J'apporte le dessert.
-Si c'est Philippe!. en entr�e ou au dessert, j'suis partant! "
Je raccroche et vais prendre une douche. Le week-end a �t� bien chaud et � mon avis �a va continuer.

Philippe s'essuie, je lui t�te les fesses au passage, il a vraiment un beau cul le branleur : deux belles boules bien rondes, l�g�rement poilues, douces � toucher. On n'a pas le temps de remettre �a. A son regard, je sens qu'il ne serait pas contre ! Mais soyons s�rieux pour le moment.. Tout en me lavant, je lui dis de regarder dans mon placard et de prendre des fringues propres. " Choisis ce qui te plais!" J'entre dans la chambre. Il a mis un polo bleu marine et un bermuda gris. Avec ses lunettes, il a un ptit look de coll�gien. On s'embrasse, il enl�ve la serviette que j'avais autour de la taille et me caresse les couilles.

" Arr�tes ! on ne vas pas remettre �a ?
-Pourquoi pas ? T'as pas aim� ?
-C'est pas la question, mais J�r�me nous attend � midi. Vas plut�t nous servir un caf� le temps de m'habiller! " Philippe va � la cuisine, je mets un short, sans slip, et une chemisette de coton. Face � la mer, on l�zarde tous les deux une petite heure. Midi: il est temps d'y aller. J�r�me va nous attendre. On passe par le chemin du bord de c�te. J�r�me est affair� au barbecue.
Le salaud : il ne m'avait pas dit qui il avait invit� Manu !. l'apr�s midi s'annonce bien !

On se boit un ap�ritif tranquille, grillades, un ptit vin blanc et l'ambiance devient tel qu'on le souhaitait tous les quatre sans nous le dire.
J�r�me �tait parti cherch� le caf�. Manu vient s'asseoir sur mes genoux et me roule une pelle. Le salaud se frotte le cul contre mon short qui commence � gonfler grave. Il me caresse le dos et passe l'autre main entre ses jambes pour me caresser les couilles ; il me tripote par l'ouverture du short et regarde Philippe: ; ; ; " Viens voir mec, je suis s�r qu'il est plus raide que quand tu le su�ais dans mon bar ! " Philippe ne se le fait pas dire deux fois, il passe la main entre les jambes de Manu, il nous caresse tous les deux. Il rigole en appuyant son index sur ma pastille.

" Tu sais Manu, Je connais bien son cul, mais je peux te dire que sa queue est super bonne aussi ! Par contre, j'ai pas encore go�t� � la tienne ! " Il baisse le slip de bain de Manu qui se l�ve pour se le faire enlever compl�tement et viens se remettre sur moi. Philippe s'est mis � genoux et commence � le pomper. Il a d�boutonn� son bermuda et s'astique la bite. Assis sur moi, Manu frotte d'avantage son petit cul poilu contre mon dard (S'il continue, je l'enfile !). Tout en t�tant Manu, Philippe me jette un coup d'oil, il comprend mon excitation et me balance une capote. (Ah le ptit con ! il a fait une razzia de pr�servatifs dans ma chambre ! il en mis tout un stock dans la poche de mon bermuda gris !) Manu n'a pas l'air contre de s'en prendre une dans le cul ! Il se rel�ve. Le temps pour moi d'�ter mon short et de m'habiller la queue, et il s'empale d'un coup :

" Ouais ! ouais les mecs, c'est trop bon !. " Je le tiens par les hanches pour qu'il continue de se frotter, j'ai trop envi de le sentir contre moi, je l'embrasse dans le cou, je lui mords l'oreille, mes mains sont sur sa poitrine, ses t�tons durcissent sous mes doigts, il acc�l�re, il en veut plus, il commence � g�mir En le voyant comme �a, Philippe pompe plus fort, d'une main il acc�l�re sa branle, et de l'autre caresse nos couilles qui se frottent les unes contre les autres au rythme des mouvements de cul de Manu sur ma bite qui grossit dans son trou (IL sait s'en servir le salaud, il me la serre fort avec son anneau ! j'aime!"

" -H� !!!. les gars ?. (J�r�me avec son plateau nous apporte le caf�.) .Ca va pas, les mecs !. Sur la terrasse ? N'importe qui peut passer !. Allez Hop l Au salon!.les p'tits vicieux Non.mais !. " Vite fait bien fait, chacun enfile son short, son slip ou son fute et on suit J�r�me � l'int�rieur, Il pose son plateau sur la table basse et nous sert le kawa. Je m'affale sur le canap�. Manu � c�t� de moi. Philippe s'assoit dans le fauteuil � sa droite et J�r�me se pose les fesses face � lui, dans un fauteuil � ma gauche. J�r�me nous dit :
" Mollo les ptites p�dales, on a tout l'apr�s midi ! sirotez tranquille, apr�s on se fera un film pour se calmer ! " On discute une dizaine de minutes, J�r�me branche la t�l�.L'enfoir�, Il nous a mis une K7 de partouzes ! (tu parles que �a va nous calmer) " Le premier qui touche � son voisin avant un quart d'heure, passe � la casserole. OK ? .Eh. Les mecs ? OK ? " Tous les trois en chour, mais d�j� scotch�s � l'�cran on lui r�pond : " Pas de probl�mes ! " Chacun esp�rant sans doute y passer.

Cinq minutes de film et �a gonfle dans les calbutes. Un ptit blond s'enfile un gode �norme devant ses quatre copains. Assit sur le sol, il dispara�t compl�tement dans le cul du minet. Un des mecs s'est allong� le cul au bord d'une table, un autre, debout lui d�fonce la rondelle. Le troisi�me, est mont� � quatre pattes sur la table et s'est mis en 69 sur son pote. Le cul bien en l'air et le trou r�clamant une queue! Il n'attends pas longtemps. Le 4�me l'enfile d'un coup et commence � pistonner ! C'est trop ; on ne va pas tenir les dix minutes qui restent � ce train l� ! D'ailleurs : Manu a d�j� les deux mains dans son slip de bain et s'astique le noud pendant que je me branle la bite qui est sortie de la jambe de mon short depuis le d�but, bien raide et gonfl�e. Philippe a d�j� retir� son bermuda. Affal� � poil dans son fauteuil, les pieds remont�s sur le si�ge et les jambes bien �cart�es, une main pass�e sous la cuisse il se doigte la pastille en se malaxant les couilles (il ;nous lance des regards vicieux comme pour demander " Il vous plait mon ptit cul ?.. " )

Absorb� par le film et trop occup� � me palucher, je n'avais pas remarqu� J�r�me qui avait eu le temps de d�barrass� la table basse. Il avait pos� son paquet de clopes dessous avec un cendrier et apport� des canettes de bi�re. Assit dans son fauteuil, il tirait sur sa cigarette une main dans son slip. Son gland bien gonfl� pointait au-dessus de l'�lastique. Quand je tourne la t�te vers lui, il me fait un clin d'oil. Il a compl�tement sorti sa trique et se la branle doucement ; il a l'air de dire " Tu la veux hein ?.. " Je fais oui de la t�te et je lui montre l'�cran pour lui demander d'�teindre le t�l�viseur. Il stoppe sa branle et d'un signe de la main me fait signe qu'il faut encore tenir cinq bonnes minutes (Salaud, va !). Il se marre comme une baleine !
Chacun est fix� sur la t�l� et se tripote. Ca commence � chauffer dans le salon. Philippe a d�j� trois doigts dans le cul et je vois des petites gouttes de sueur couler sur les tempes de Manu ; ses couilles sont sorties du slip de bain sa queue �paisse monte bien au-dessus du nombril, elle me plait trop. Cet apr�s midi, je veux �tre le premier � me la prendre dans le cul, le premier coup sera le meilleur, le plus raide et le plus profond (quoique j'ai souvent vu Manu � l'ouvre et je sais que plusieurs baises d'affil�e ne lui font pas peur !).

J�r�me a pris la t�l�commande, et, sans pr�venir arr�te le film :
" Alors.. petites salopes ! vous �tes calm�es?" (Tu parles !) " Ca vous dirait d'en faire autant ? "

Manu se l�ve: " Oui les mecs, j'ai trop envie d'en sentir une tout de suite ! "
J�r�me: " Calmos! Philippe, j'ai un autre sc�nario. Ta queue me plait bien et j'voudrais que tu me d�fonces la rondelle. J'ai vu Fran�ois reluquer celle de Manu , alors on sera les premiers � se faire sauter. " (Merci J�r�me !) " Fran�ois et moi on va se faire un bon 69, je veux boire son jus, et je sais qu'il aime bien mon sirop lui aussi et pendant que tu m'enculeras, Manu s'occupera du cul de mon copain ! "
" T'es pas sympa, j'peux pas attendre.regarde ! " Philippe se retourne et se plie en deux. Il �carte ses fesses et nous montre son trou qu'il fait palpiter pour nous faire comprendre l'urgence.

" T'inqui�tes mec, tout est pr�vu ! " J�r�me prend le drap de bain qu'il avait amen� pendant notre masturb t�l�visuelle et le d�roule sur la table basse, � l'int�rieur, une bonne dizaine de capotes et un gros gode � se faire p�ter la pastille. Je dis � J�r�me : " Je n'savais pas que tu avais ton jouet, je t'aurais demand� de me le pr�ter " " J'en ai trois autres, je t'en filerai un tout � l'heure ! "
" Pourquoi tout � l'heure? Y'a pas de raisons que je reste le seul avec le cul vide!" r�torque Manu.

" Ok ! j'vais t'en chercher un. " Pendant que J�r�me va � sa chambre chercher le matos, j'enlace Manu pour lui rouler une pelle. Nos bites raides se frottent l'une contre l'autre, ma main se glisse entre nous et je lui branle doucement la queue. Je lui glisse � l'oreille: " Tu m'fais �a bien.Hein bonhomme, je veux la sentir comme celle d'un �ne, il faut que tu m'exploses le fion ! " " t'inqui�tes mec. Je le connais bien ton cul et je sais ce qui te plais! Je vais te faire �a comme jamais. Tu vas croire que tu te fais d�puceler. " J�r�me revient avec les trois godes et un tube de gel.

" Et les mecs . regardez ! " D'un signe du menton il nous montre Philippe. Pendant que Manu et moi on se pelotait, Philippe avait pos� le gode sur la table et s'�tait empal� dessus ; si profond qu'on ne voyait plus que les couilles d�passer. J�r�me lui dit d'arr�ter avant de balancer la pur�e, il a trop envie de sentir la liqueur dans son cul. " Ne t'en fais, regarde la forme, crois-moi tu vas la sentir. " son pieu est �norme. Je suis s�r que le petit 'Harry' est aussi bon par devant que par derri�re. " Tiens Manu prends celui qui te plait ; Y-en a un gros, un long, et un gros et long. C'est comme tu le sens. " Manu choisit le plus gros et demande � Philippe de le lui enfoncer.

J�r�me leur dit:
" Allez les mecs pr�parez vous bien et enfilez une capote pendant qu'on se graisse le trou. Fran�ois, mets toi � genoux sur le fauteuil et tends moi ton cul. " J�r�me me passe la langue sur la rondelle il me titille. Crache et replonge sa langue. Je me d�contracte, il en profite pour entrer un doigt. Je sens le froid du gel couler le long de ma raie. Quelques allers et retours dans mon cul et J�r�me peux y rentrer trois doigts, il tourne avec son poignet, je m'ouvre, je me dilate. C'est trop bon. Je lui demande d'arr�ter et de se mettre en position pour le lubrifier. Je lui rends la pareille. Il appr�cie autant que moi. Il tortille ses fesses pour mieux me sentir. Je stoppe l� mon graissage sinon je l'encule.

Pendant ce temps, nos deux tourtereaux se roulent une gamelle en s'astiquant la bite pour les durcir d'avantage(si c'est possible) ils sont mignons avec leur gode dans l'anus. J�r�me m'allonge sur le dos, les fesses au bord de la table. Manu se met � genoux la pine en face de ma pastille et pose mes chevilles sur ses �paules (Je lui fait un sourire, il sourit lui aussi, je sens que �a va �tre bon). T�te b�che, J�r�me se met � quatre pattes au-dessus de moi. Philippe s'approche de son cul. J'ai sous les yeux un spectacle d'enfer. Les couilles de J�r�me � 5cm de mon front, sa queue qui goutte d�j� au bord de mes l�vres. Et Philippe, le gland violac�, gros comme un abricot emball� dans le latex qui se frotte � la pastille de mon pote, une longue tige �paisse (il va s'en prendre un max le J�r�me!) deux belles couilles poilues, grosses et lourdes, le gode bien enfonc� dans le derri�re. J�r�me aime bien la mise en sc�ne, �a l'excite ! on attends son signal de d�part.

" Allez les gars, on tient la distance. C'est parti pour une bonne bourre les mecs. " Manu m'avait promis un d�pucelage. Il rentre toute la bite d'un coup. Il ne peut pas aller plus loin. J'ai senti ses couilles frapper contre mes fesses. Heureusement que J�r�me m'avait bien graiss� et ouvert comme une salope. Je pousse un petit cri. La matraque (C'est vraiment une matraque) de Philippe rentre dans le cul de mon copain, tout doucement, centim�tre par centim�tre, c'est une autre technique, mais J�r�me doit aimer car il remue comme pour acc�l�rer la p�n�tration. Philippe a mis au moins une minute avant que les deux paires de couilles ne se rejoignent. Je commence � pomper J�r�me pendant qu'il me branle lentement la tige. Il serre bien ma queue pour m'emp�cher de d�calotter. Sa langue vient chercher le gland sous le pr�puce. Son petit jeu dure au moins deux minutes puis il me d�couvre totalement le noud pour m'ouvrir le m�at du bout de la langue.

Moi j'ai l�ch� ma sucette pour lui l�cher le frein. Sa pine fait des soubresauts ; il aime, je descends la langue jusqu� ses couilles et je les gobes. Celles de Philippe me frappent le nez quand son dard est au fond de J�r�me. La vision du gode dans le cul du pistonneur m'�chauffe. Ma main passe entre les quatre cuisses et je commence � branler le trou avec le gourdin de latex en cadence avec les mouvements de Philippe dans le cul de J�r�me.. J'ai repris ma t�t�e, malaxant, caressant et triturant tout ce qui est � port�e de ma main libre. J�r�me aussi s'excite sur ma tige. J'ai l'impression qu'il a envie de mon jus rapidement. Je suis partant. Moi aussi j'ai h�te d'avoir sa cr�me au fond de la gorge.
Pendant ce temps, Manu me laboure les tripes comme un malade. J'ai vraiment le feu au cul. Un vrai marteau piqueur. Je lui en ai demand�, il m'en donne. Je sens la sueur de sa poitrine descendre le long de mes cuisses et couler dans ma raie. Ca fait des grands 'flops' � chaque fois que le pubis de Manu me claque les miches.

Ca mouille aussi au-dessus de ma t�te. Je sens les mecs en rut, une bonne odeur de ptits vicieux qui se donnent � fond !
On se besogne depuis plus de dix minutes et, vu l'acc�l�ration des �v�nements, je sens qu'on va tous exploser avant longtemps. Manu accentue le rythme dans mon fion et gueule qu'il ne va pas tarder � jouir. Philippe d�fonce litt�ralement la rondelle de J�r�me. Ce dernier me presse les couilles pour me dire vas-y : l�che moi ta pur�e dans la bouche, je n'en peux plus, je lui l�che tout. Il me gicle de gros jets de sperme sur la langue quand Manu m'inonde l'int�rieur. Je sens la chaleur de son foutre dans la capote. Il a du m'en injecter une sacr�e dose. A entendre le cri que pousse Philippe et aux derniers coups de reins qu'il donne, je suis s�r que J�r�me se fait remplir autant que moi. Pendant quelques secondes plus personne ne bouge, puis je passe ma langue sur le gland de mon copain pour ne pas perdre une goutte de nectar. Il fait la m�me chose avec ma tige et va chercher avec la langue ce qui aurait pu rester dans mon m�at. Je sens manu sortir de mon trou. Autant il allait � fond tout � l'heure autant il va doucement pour d�culer. Philippe sort sa pine du fion de J�r�me, je suis �tonn� de la quantit� de sperme dans la capote. J�r�me descend de la table, il s'agenouille sur le tapis, et comme d'habitude on se roule un patin pour m�ler nos deux foutres avant de boire le m�lange.

Tous les quatre en sueurs et compl�tement 'Vid�s' on s'effondre sur le canap� et dans les fauteuils pour boire une bi�re et fumer notre clope ! Ensuite J�r�me et Philippe partent prendre une douche ensemble. Manu et moi nous irons tout � l'heure. On a le temps de se faire de petits c�lins en commentant nos performances. De toutes les fa�ons, il n'est que 17 heures. Il peut encore s'en passer des choses avant de terminer la journ�e. Mais ce sera peut-�tre ma prochaine histoire.

Ptit breton

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