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PARTIE 1 - PARTIE 2

M�moires d'un ptit breton 3

Philippe m'a bien excit� pendant le trajet, je sais que cet apr�s-midi pluvieux sera chaud !
A peine arriv� au salon, il est d�j� en slip sur le canap�. J'ai envie de faire durer les choses et je lui propose un verre ! Tout en sirotant nos ap�ros, on se roule de bonnes gamelles, on se tripote, �a gonfle dans les slips, on se frotte l'un contre l'autre, j'ai le jeans et le slip aux chevilles, lui, il est d�j� � poil, bite contre bite ; il n'arr�te pas de dire : " ouais, c'est bon. vas-y, encules moi, viens me la mettre bien profond ! -je lui r�ponds d'attendre : t'inqui�tes, tu vas l'avoir, et m�me deux, trois. quatre fois !..
J'ai vraiment la barre, j'ai soulev� une v�ritable petite salope. On se met en 69 sur le canap� ; il a une bonne queue, bien �paisse (le genre que j'aime me rentrer dans le cul ! dommage, Philippe semble plut�t jouir du fion !.mais je n'ai pas dit mon dernier mot : j'aime trop la bite : celle-l�, il faut qu'elle m'explose la rondelle !) On est en pleine action, Philippe, au-dessus de moi me pompe comme un dieu, il passe la langue sur mes couilles, ses deux mains me soul�ve les fesses pour me l�cher la pastille, sa langue m'ouvre le cul, je me dilate pour la faire rentrer plus profond, putain ! c'est trop bon. Pendant ce temps je m'active sur sa queue, j'en ai plein la bouche, je suce comme un affam�, il tortille du cul au-dessus de moi. Il faut dire que je lui mets 3 doigts bien profond et que je lui farfouille le trou ; il aime �a le branleur, je sens son sphincter se serrer et se rel�cher, il aspire, j'enfonce d'avantage, il tend son cul, il en veut encore plus ! si on con!
tinue, on gicle dans trente secondes !
Coups de sonnette � l'entr�e, Merde !.On arr�te l� nos cochonneries, j'enfile vite fait le jeans et vais ouvrir, torse nu, pendant que Philippe se ressape en catastrophe. C'est J�r�me :
" -J'te d�ranges ?
-Non .Rentres. Enfin, ouais.un peu !.. " Je lui fais signe que je ne suis pas tout seul, il comprend tout de suite et me sourit, on se fait un gros bisous, il me t�te la bite bien raide dans le pantalon
-Oui ! je vois ce que c'est ! Tu sautes sur tout ce qui bouge ! " On entre au salon :
" Philippe, je te pr�sente mon copain J�r�me.J�r�me : Philippe.tu prends l'ap�ro avec nous ? "
Il s'assoit dans le fauteuil face au canap� o� Philippe est assit (Il n'a eu que le temps d'enfiler son cale�on et sa chemisette). Je les vois se jauger tous les deux. Ca gaze !.
-Qu'est-ce que tu bois ? -Comme vous, un pastis ! " -Tu en reprends un Philippe ?-Oui, merci.. "
Je pars � la cuisine remplir les verres. Je reviens avec mon plateau charg� de cacahu�tes, g�teaux sal�s, la carafe, les verres, le pastis et les gla�ons. J�r�me et Philippe sont en pleine conversation.
En posant mon plateau sur la table basse, je m'aper�ois que le courant passe entre eux, et m�me plut�t bien. Philippe a les jambes �cart�es, il a une trique d'enfer qui sort � moiti� par la jambe du cale�on. Tout en parlant, J�r�me se rince l'oil et, vu la bosse dans le surv�tement, �a lui plait !
Je sers les ap�ros et m'assoit � c�t� de Philippe. J�r�me bande tellement que j'attends le moment o� on va voir son dard pointer au-dessus de l'�lastique.
On boit nos verres, on parle de choses et d'autres, l'ambiance est bonne. J�r�me boit son verre, une main dans la culotte et se malaxe l'air de rien. La bite de Philippe est carr�ment sortie du short et pointe � la verticale, le gland compl�tement d�calott�, la mienne commence � se sentir � l'�troit dans le jeans. Philippe demande : " J'esp�re que je n'ai pas interrompu votre conversation.. de quoi vous parliez ? " Philippe: " On pouvait pas trop parler, vu notre position ! " " -Ah ouais.Ben faites comme si je n'�tais pas l�, reprenez o� vous en �tiez ! " Philippe n'attendait que �a, il est � poil en 3 secondes, il m'enl�ve le fute et m'allonge sur le canap�, la bite au garde-�-vous, on reprend notre 69, tous les deux excit�s d'�tre mat� par J�r�me qui a maintenant le survet aux chevilles, la pine bien en main et se caresse les couilles, jambes �cart�es. J'ai recommenc� mon doigtage dans le trou de Philippe, il remue son cul, plus salope que tout � l'heure ! Etre mat� par J�r�me lui fait de l'effet. (Manu avait raison : c'est s�rement un sacr� partouzeur, Je l'invite sans probl�mes � mon anniversaire).
J�r�me est chaud lui aussi ! il ne lui reste plus que le T-shirt, il se l�ve et s'approche du canap�. Il met la main directe au cul de Philippe et plonge deux doigts. Avec les miens, le minet s'en prend quatre ensemble, mais il en redemande ! on s'amuse avec J�r�me, on lui �carte le fion, lui ouvre la pastille.

Philippe sort ma queue de sa bouche pour g�mir : " Oui, les gars.encore.plus fort.. " J�r�me y va de trois puis quatre doigts, j'enfonce les miens, c'est chaud, c'est humide, il mouille du cul, il est pr�t pour l'assaut. D'ailleurs c'est lui qui en demande : " Enculez moi les mecs, j'en peux plus " Philippe lui r�pond : " pas de probl�me ! on va te faire ta f�te ! " Il part vers ma chambre. Il sait ou je range mon attirail. Quand il revient il balance une poign�e de capotes sur la table. Il s'en est d�j� enfil� une au bout du noud et se lubrifie la queue avec le gel qu'il a rapport�. Je lui dis : " N'en mets pas trop, regarde, �a rentre comme dans du beurre ! " J'ai maintenant quatre doigts dans le trou du ptit vicieux.
J�r�me s'agenouille sur le canap�, sa grosse tige bien dure se pointe � l'entr�e . J'enl�ve mes doigts .

Je lui dis : " Vas-y, � toi, d�fonce -le ! " Il rentre d'un coup. Philippe pousse un petit cri de plaisir : " Oui ! plus fort, vas-y, explose moi. " J�r�me s'excite. Il s'accroche aux hanches du branleur et le p�n�tre par �-coups. Moi je suis aux premi�res loges. Juste au dessus de moi, je vois les couilles de J�r�me claquer contre les fesses de Philippe et sa queue entrer et sortir. J�r�me est pourtant super mont� (Mon cul en sait quelque chose !) mais Philippe n'a pas l'air rassasi�. Mes deux index dans le trou du minet, je sens le va-et-vient de J�r�me. Je mets deux doigts de chaque c�t�, et je lui ouvre encore davantage le fion. J�r�me sort sa bite compl�tement et la rentre avec des grands coups de reins. J'ai jamais vu son pieu aussi en forme (va falloir qu'il me le mette avant ce soir. Mais pour l'instant, on s'occupe de notre nouveau copain).

" -H� !. Les mecs : j'en prendrais bien deux en m�me temps ! "
J�r�me dit : " OK ! Fran�ois, tu restes allong� sur le canap� ; Philippe tu lui enfiles une capote et tu t'assois sur sa pine ! " Philippe ne se fait pas prier, il se met � genoux en me faisant face, il me sourit et vient se placer sur ma bite encapuchonn�e. Il me l'a prend en main et la dirige vers sa pastille, �a rentre vraiment tout seul ! Il est aux anges ! et moi aussi ! Il se frotte les fesses contre mon bas-ventre pour mieux sentir le pieu lui rentrer dans le cul. J�r�me s'est plac� derri�re lui, � genoux entre mes jambes �cart�es la bite bien raide � la main, il lui demande de se pencher vers moi. Philippe en profite pour me rouler une pelle. Nos langues se trouvent, nos salives se m�langent. J�r�me pelote les fesses de Philippe, il lui entre l'index et vient me titiller la bite plant�e dans le trou du minet, au passage il me pelote les couilles. Il a bien lubrifi� sa trique encapot�e et la rentre doucement dans le trou ouvert. Je la sens glisser contre la mienne, c'est g�nial ! Philippe g�mit de plaisir : " Oui ! les mecs, c'est vraiment trop bon, allez-y, branlez moi la rondelle avec vos pieux, oui, �clatez moi l'anus, d�chirez moi la pastille! " Avec J�r�me, on a trouv� le bon rythme, nos couilles se frottent les unes contre les autres, il nous pelote avec sa main pleine de gel pendant qu'on continue nos va et vient dans l'anus de Philippe.

Ca commence � �tre chaud, Philippe et moi on continue notre baiser bien baveux, torse contre torse, tremp�s par la sueur. Je vois J�r�me, le visage en sueur aussi, il prend son pied et me fait un grand sourire, je sens sa bite qui gonfle contre la mienne dans le cul de Philippe, la mienne aussi se durcit d'avantage, Philippe le sent bien et se contracte la rondelle. On est tous les trois sur la m�me longueur d'ondes. C'est extra ! Cinq minutes � ce r�gime et je gueule: "Je vais gicler les mecs" J�r�me me dit : " Attends moi, j'arrive, on va lui graisser l'int�rieur en m�me temps.Allez . maintenant ! " Et on balance notre foutre chaud au m�me moment dans le cul de Philippe. " Oui les gars, allez-y, remplissez-moi ! Ah oui, encore, allez-y remplissez-moi ! " Pendant ce temps, il s'astique le noud de plus en plus vite et il balance la pur�e. J'en ai plein sur le torse et la figure. Il vient l�cher son sperme sur moi. Doucement J�r�me et moi on a d�cul�, il m'enl�ve la capote et suce le sperme qui reste sur ma queue, Il vient vers moi et retire son pr�servatif pour me donner � boire le jus sur sa bite. Je la prend bien en main comme pour lui dire que je ne le l�cherai pas tant qu'il ne m'aura pas tout d�charg� dans la bouche. Ma langue lui entre dans le m�at , et je le t�te comme un fou pour pouvoir boire son foutre jusqu'� la derni�re goutte.

Crev�s mais super heureux on se rhabille tranquillement. On se sert un dernier ap�ro, J�r�me s'en va en nous roulant un patin � tous les deux. " On se revoit demain, les Gars ? " " Viens d�jeuner !.. "

" -OK ! J'apporte l'entr�e ! " Philippe et moi, on finit l'apr�s midi devant un film � la t�l�. Relaxe, en se tripotant quelques fois. Pendant une pub, je me suis assis sur sa queue, je la voulais depuis trop longtemps. Quand il ma bien remplit le fion on s'est un peu calm�. On a pass� une soir�e c�line et sexe. Vivement demain qu'on remette �a avec J�r�me !

ptitbreton56

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R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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