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PARTIE 1 ICI
M�moires d'un ptit breton 2
J'avais pass� une super soir�e avec Erwan, un mec sympa rencontr� dans les toilettes publiques d'une bourgade � 25 kms de chez moi.
La nuit avait �t� bonne ( et mes r�ves " humides ").
;Ce matin, je sors du lit avec une p�che d'enfer, le m�t dress�, cap au nord. J'enfile un d�bardeur et un slip de coton et je me pr�pare un petit d�j : j'ai faim! Caf�, jus d'orange, biscottes et confiture. Radio en sourdine (m�t�o :vent et averses : c'est pas grave ! ils se trompent trop souvent quand ils parlent du temps en Bretagne). Assis � la table de la cuisine, je bois mon caf� en feuilletant un magazine, je me tripote machinalement le paquet au travers du coton, ma bite �merge au-dessus de l'�lastique ; je regarde ma queue band�e, une petite goutte d'excitation pointe au bout du gland ! Il va falloir me calmer; ce samedi va �tre long et le planning charg�. Allez hop, sous la douche!
Je prends le gel de bain et me frotte de la t�te aux pieds; pass�es les deux minutes je ne frotte plus, je caresse plut�t, en insistant sur les couilles et mon dard qui vise le plafond. Mes mains descendent vers l'int�rieur des cuisses, remontent par derri�re jusqu'aux fesses, suivent la raie. Un doigt au bord de la rondelle ! je plie l�g�rement les jambes, je tends mon cul en arri�re : le doigt plein de mousse rentre sans probl�me, je commence � me branler le trou. Ma main libre ne le reste pas longtemps, je m'astique le noud, l'eau chaude qui coule sur ma peau augmente le plaisir et il me faut moins de trois minutes pour l�cher la sauce que je r�cup�re dans la main. Je la porte � ma bouche et suce mon jus : C'est trop bon ! je le garde un moment sur la langue, j'adore le go�t du sperme, l�g�rement amer et sucr�! (Dommage qu'avec le hiv je ne puisse plus le comparer avec celui de mes partenaires. Je ne bois que celui de J�r�me, mon meilleur ami d'enfance qui habite la !
maison voisine. Il m'a initi� au 69 et au jus dans la bouche � quatorze ans. On ne prends jamais de risques avec les autres ; malgr� �a, on fait r�guli�rement un test, et tout naturellement on va chercher les r�sultats ensemble. Le toubib nous croit en couple, on en rigole, et bien s�r en sortant, chez l'un ou chez l'autre, on se met � poil pour un 69 d�brid�, on ne cherche pas � faire durer le plaisir, il faut vite d�charger et en m�me temps. Ca monte, �a monte, J�r�me m'enfonce la queue jusqu'au fond de la bouche, il se cramponne � mes fesses, �a c'est le signal : il va gicler dans trois secondes, pour lui faire comprendre que moi aussi, je lui enfonce direct les deux doigts qui s'amusaient avec sa rondelle, bien profond dans le trou du cul !
Il me balance une bonne dose dans la bouche (Hmmm, c'est bon) Je sens aussit�t mon jus m'�clater la pine pour lui remplir la bouche. Fin du 69, on se met � genoux sur le lit et on se roule un patin bien cr�meux en se caressant, les langues s'activent pour bien brasser nos foutres, on reste coll� le plus longtemps possible, nos spermes m�lang�s passent d'une bouche � l'autre et on boit avec d�lice).
Je retourne � la chambre pour m'habiller d'un T-shirt et d' un slip de coton vert pomme.
J'enfile un jeans bleu ciel, un pull marin piqu� � mon frangin. En sortant, comme il brouillasse un peu, je mets mon bonnet ' bateau ' d�lav� par le sel et l'air de la c�te, un coupe-vent avec les �cussons de la marque cousus sur la manche gauche (des drapeaux de marine, auxquels j'ai ajout� un logo un peu plus 'Gay' mais discret. Quelquefois j'ai le droit au sourire d'un mec qui, des yeux, me montre les insignes. Un clin d'oil complice; on s'est compris, on est du m�me bord: 'Another Country'.
J'aime bien ce petit look de Voileux, je ne sais pas pourquoi ?.Oh, si, je sais !. �a branche pas mal de gar�ons. Certains n'h�sitent pas � se retourner; c'est toujours agr�able, et parfois il y a un bon plan cul � la clef.
En voiture : direction Vannes ; encombr�e comme tous les samedis. Je connais la ville par cour et je me gare sans probl�mes, derri�re l'h�tel de ville. (Sous l'h�tel de ville..petit parking discret). Une impasse peu connue,.Tant mieux ! Un Hic, les escaliers : l'�quivalent de 3 �tages � me coltiner ; mais sans regrets : en haut je suis en plein centre !
Je tra�ne un peu les magasins, j'acc�l�re pour les courses du week-end. Il pleut, il est midi, je fonce � la voiture, quatre � quatre dans les escaliers. Tous les achats dans le coffre !
Merde ! j'ai oubli� la maison de la presse .. Je m'�tais promis un bouquin !
Demi tour, escalier huit � huit sous la pluie, je traverse la rue pi�tonne et m'abrite chez le libraire ! je prends mon livre. Je pars � la caisse. Ca va �tre coton, une file de 15 personnes. Tant pis, je fais la queue (pas de m�prises les mecs !.je fais la queue. Point !) Machinalement je regarde autour de moi. (histoire de..) La librairie se vide. J'ai tout mon temps (bien oblig�) alors je m�te. J'ai un beau mec juste devant moi dans la file : pas mal, la trentaine, beau cul (arr�tes Fran�ois, tu vas te prendre une baffe !) un peu grande gueule quand m�me l'enfoir� : pour lui �a ne va pas assez vite ! et il s'�nerve sur le petit caissier (mignon d'ailleurs) Il s'�nerve: �a, m'�nerve ! Il faut que je me calme, il est trop con. Je lui tourne le dos. Je regarde les all�es qui se vident. C'est l'heure de fermeture, il n'y a plus grand monde. Au fond sur la gauche (rayon 'gastronomie ') une chieuse emp�che une charmante petite vendeuse de faire sa pause et d'aller manger s!
on sandwich. A droite, rayon 'Arts & Peinture' Un mec feuillette un livre. D'o� je suis, je ne vois pas bien de quoi il a l'air. Il reste au minimum 10 mn d'attente � la caisse, j'ai le temps, je vais vers lui. Je me poste � deux m�tres pour le jauger :25 ans, peut-�tre26 jeune homme de bonne famille, un air timide; pantalon de velours c�tel� couleur vert bouteille, une gabardine marron ! (je l'ai d�j� rencontr�, j'en suis s�r, mais o� ?) Il doit sentir mon regard. Ses yeux quittent le bouquin : il se tourne un peu g�n�. Un regard sublime, des yeux verts d'eau, magnifiques derri�re ses lunettes de gar�on sage (Harry Potter � 25 ans) Je suis certain qu'il est myope ! J'adore les gar�ons � lunettes ! Avec eux, je craque. (Tu les dragues un soir, tu as envie de baise ou de caresses, tu triques comme un malade parce qu'ils sont beaux, le plan devient tr�s tr�s sexe, tu t'allonges sur eux, � poil tous les deux avec l'envie de baiser, tu les regardes avec un petit sourire et tu!
;te moques amicalement d'eux:
" He, bonhomme, t'es pas � poil toi ??
-. ???
-Et tes lunettes ?. " Alors l�. bien s�r. tu les lui enl�ves, tu termines le d�shabillage en quelque sorte, il ne te voit plus, toi non plus d'ailleurs mais tu ne le sais pas encore, son regard te transperce comme un sourire que tu ne reverras plus jamais. Tu te noies dans ses yeux verts, tu t'envoles quand ils deviennent bleus ! Et je te le dis : d�s qu'ils sont couleur de la mer : t'es foutu, il t'a eu. laisse toi faire, c'est trop tard !! les yeux d'un myope � 30 cm des miens, je chavire, je coule, je me noie "
Mais revenons � nos moutons. Au petit mouton bien sage qui me regarde. Je jette un coup d'oil sur son bouquin. Il me l'avance. Page de droite : une photo panoramique de Florence, Page de gauche : le David de Michel-Ange. " Tu aimes ?.. " " Michel-Ange ? Florence ou. David? . Disons les trois. "
;Il me r�pond : " Tu as raison.. moi aussi ! "
-Messieurs, s'il vous plait, je vais fermer !
Je me retourne ; c'est le petit caissier qui nous interpelle pour pouvoir partir d�jeuner
Mon nouveau copain � lunettes pose le livre, s'engage vers la sortie, se retourne vers moi :
" Salut ! � bient�t, �a m'a fait plaisir de t'avoir rencontr�. je suis s�r qu'on va se revoir ! "
Je lui r�ponds :" Salut ! Ouais, �a me ferait plaisir ! " Quand il sort je demande au caissier si j'ai le temps de prendre une revue ? -Oui bien s�r, allez-y, Pendant ce temps-l� je vais fermer, on sortira
par la r�serve " J'embarque mon magazine et me dirige vers la sortie pour payer, Le mec viens vers moi et me fait faire demi tour en me prenant par le bras : " allez viens vite, je n'ai qu'une heure pour d�jeuner " " Mais, je ne t'ai pas payer !.. " " Pas grave, allez viens ! "
A l'int�rieur de la r�serve, il y avait une bonne odeur d'encre et de papier. Par contre pas de lumi�re.
Le gars se moque de moi : " T'as peur dans le noir ?..- Pauvre naze ! je ne sais pas o� est la sortie, c'est tout ! " " Viens, c'est par ici! " Il me prend la main, on est dans le noir complet mais j'aime bien la situation ! si je m'�coutais !.. (non, non ne t'�coutes pas Fran�ois !)
" On tourne � droite, fait attention il y a des cartons ! " Il n'a pas fini sa phrase que je suis d�j� �tal�
sur une caisse, j'essaye de me rattraper � lui, mais je tombe le cul.
" Tu t'es fait mal ? .attends ne bouge pas, je vais arranger �a ! " Il me rel�ve et me pelote les fesses illico : " C'est l� que tu as mal ? (fait gaffe bonhomme, on est dans le noir, ne joue pas trop � �a, �a pourrais m'exciter), �a m'excite d'ailleurs, il me fait gonfler niveau braguette le mignon.
" Oui. mais �a va mieux, merci ! "
" Et l�, comment �a va ? " Il vient de me mettre la main aux couilles et remonte sur ma bite tendue sous le jeans. " Ouais !.. �a � l'air d'aller de ce c�t�, hein ?. "
Il me cherche, il me trouve : excit� comme une puce, je plaque ma main sur son ventre et je la plonge dans le calbute sans ouvrir le pantalon, je lui malaxe les couilles, je descends entre ses jambes pour sentir la tension sur son p�rin�e.
Lui, il m'a ouvert la braguette, sa main a vite trouver ma bite et mes couilles, il me branle le noud � travers le slip .Dans le noir je lui plaque la main sur la nuque et je lui roule un patin bien appuy�, jeux de langues : �a salive !! �a chauffe, la tension monte, nos mains s'activent dans les pantalons. Il me remet la main au cul et me doigte la pastille � travers le jeans, j'�carte, il insiste encore, je plie les jambes ; � cette allure , je gicle dans dix secondes, lui aussi, je sens qu'il part, j'acc�l�re mon vas-et-viens sur son pieu, il commence � me souffler dans la bouche, �a y est, il arrive le minou, allez vas-y, vas-y l�che toi. !.
Il m'envoie la pur�e dans la main pendant que je mouille le coton de mon slip entre ses doigts.
;Il boit son sperme au creux de ma main, plonge la sienne dans mon slip pour r�cup�rer le peu de foutre qui n'a pas �t� absorb� par le coton ; je l�che ses doigts avec plaisir
;Le tout n'a pas dur� plus de cinq minutes dans le noir, sans se d�saper ni m�me sortir nos queues,
;La sortie de secours est � un m�tre ; Il m'ouvre et me fait un grand sourire, " quand tu auras un besoin express, tu sauras o� venir ! Ciao !
; J'ai faim ! Je descends la rue, � deux cents m�tres, j'entre Aux Armes de la Ville, une brasserie sympa. J'aime bien le patron (Robert) la quarantaine, bien foutu. Il bosse avec son fils Manu, 18 balais, un beau brun fris�, une gueule de b�b�, homo comme moi Je le rencontre parfois dans un des rares bars gay de Vannes. Son p�re conna�t ses go�ts, mais il s'en fiche. Au contraire, faudrait pas toucher au fiston, ni l'insulter parce qu'il en est.
;Je vais m'asseoir au fonds de la salle en saluant Robert au passage, je serai peinard, j'ai besoin de calme apr�s ma performance sur les chapeaux de roues. En plus, ma table est en face des toilettes et je peux mater ce qui rentre et sort.
" Alors ptit mignon, comment �a va ?.(Robert me fait la bise).. "
" Tr�s bien, tu pourras me servir un plat du jour ? "
" Sans probl�me, mais il va falloir attendre 10 minutes J'te sers l'ap�ro pour patienter, Tourn�e du patron. Qu'est-ce que tu bois ?. Un martini, s'il te plait..- Ca marche, et apr�s je te sers le plat du jour, tu verras Extra, j'peux pas mieux dire : Extra ! " Je feuillette mon magazine et m'allume une cigarette. " Salut Fran�ois ! " Manu viens me servir mon martini (Double dose, cacahu�tes, et ptit bisou sur la bouche de la part du fils du patron en prime !)
" Salut Manu !, Merci.. Dis ? tu es libre samedi prochain ?. je fais une f�te � la maison pour mes 23 ans ! " " Pas de probl�mes, �a m'ennuie un peu de me retrouver avec des vieux de ton �ge, mais je viendrai quand m�me, parce que c'est toi. " Il se penche vers moi, et me glisse � l'oreille : "Comme je serai s�rement le plus jeune, tu auras un cadeau tout frais. " Il me sourit, re bisous sur la bouche (il y met la langue ce coup-ci), et il repart � son bar. Je l'aime bien Manu, toujours souriant et blagueur.et pour s'envoyer en l'air, il n'est pas le dernier ! Je sirote mon martini et je me replonge dans ma lecture,
Une 1/2 heure plus tard j'en suis au caf�, concentr� sur une page de pub de mon magazine :Eau Sauvage de Dior (mon eau de toilette). C'est un dessin avec un mec nu de dos dans une salle de bain.
Tu ne vois que la moiti� des fesses, mais vu la position de son bras droit, tu l'imagines la main sur la queue, j'adore cette pub. Je tire une bouff�e sur ma cigarette, et me caresse la braguette (Je suis vraiment obs�d�, j'ai gicl� il n'y a pas une heure, et j'ai encore la trique !).
;Quelqu'un entre aux toilettes, machinalement je l�ve les yeux, je ne vois la personne que trois secondes, de dos. Trois minutes plus tard le gars ressort : " Tiens, mais c'est le petit Harry Potter que je matais � la librairie ! " Il vient vers moi : " Je peux m'asseoir � ta table, j'ai rat� mon bus et il pleut des cordes, j'ai envie de me boire un caf� ! - Bien s�r " Il aurait pu se mettre en face, mais il s'assoit � c�t� de moi. Il tire � lui mon magazine rest� ouvert et dit, Il est canon le mec, t'as vu son p'tit cul, il est bandant, non ? " il se tourne vers moi, je ne sais pas quoi dire ! " Avoue, qu'il est bandant ? " dans la foul�e son regard se pose sur la bosse de mon Jeans. " Ouais je vois bien qu'il est bandant. "
Sans me demander mon avis il me prend la main et la plaque sur sa braguette. Putain sa bosse est aussi grosse que la mienne, et pour comparer, il pose sa main sur ma gaule qui commence vraiment
A raidir dans le falzar.
Je lui dit : " T'as pas eu peur que j'te mettes un pain ? - Pas du tout, je suis s�r que tu es PD ! "
" -Ah oui ?. " " Evident : je te regardais mater les mecs dans la librairie, apr�s quand tu es venu vers moi, j'ai vu l'�cusson sur ta manche, mais le mieux c'est quand je t'ai vu sortir par l'arri�re de la boutique, dix minutes apr�s la fermeture. Je m'suis dit : " L� le mec, il vient de se faire vider les couilles par Jos� ! "
" -Jos� ? "
" Oui, le caissier de la librairie, un sacr� vicieux le mec. Je vais l�-bas deux � trois fois par semaine � la fermeture de midi. Il se fait un mec pratiquement tous les jours, et quand il n'a personne � se mettre sous la dent, ou plut�t au bout de la queue, on s'encule dans la r�serve. Mais aujourd'hui, c'�tait ton tour. C'�tait bon au moins ? Oui mais un peu trop rapide ! " Ca te branche de remettre le couvert avec moi ? -Je ne dis pas non, je t'am�nes chez moi. " Ok mais attends deux minutes. " Tout en parlant on avait continuer � se triturer la gaule, le salaud m'avait m�me ouvert la braguette et avait carr�ment sorti ma bite du slip pour la branler sous la table. Il fait tomb� mon briquet, il se penche comme pour le ramasser et me pompe le dard comme un affam� ! je lui pose la main sur la t�te et je jettes un oil vers la salle au cas o�. Il pompe tellement bien l'enfoir� qu'au bout de 5 minutes je sens que je vais
l�cher la pur�e, je lui appuie sur la nuque pour le pr�venir, il se rel�ve et continue de m'astiquer la pine.
Quand je d�charge, il prend ma tasse et la remplit de mon foutre.
Il me dit : " tient mec, avale ton cr�me " Je le regarde en souriant et je bois le premier caf�-sperme de ma vie. Il m'embrasse pour r�cup�rer une goutte au bord de mes l�vres. Il se l�ve et me dit :
" Allez viens, j'ai trop envie que tu m'encules ! "
En sortant, je paye mon addition � Manu qui me dit " C'�tait bon ? "
;je le regarde, et je lui demande " Qu'est-ce qui �tait bon ? " " Ne fait pas l'innocent, Fran�ois !! " Et il me montre un �cran vid�o derri�re son bar " Il y a une cam�ra de surveillance juste � l'entr�e des toilettes, vous �tiez en plein dans le mille, j'�tais au premi�re loge, tiens regarde la gaule que vous m'avez refil�e, je pars aux chiottes me branler d�s que vous �tes partis . Il se penche et me dit � l'oreille, invite-le � ton anniversaire, crois-moi : c�t� cul il a l'air encore plus vicieux que toi, tout ce qu'on risque avec lui, c'est une bonne partouze de deux jours sans d�bander ! Bon, allez, salut, je vous quittes, je dois aller remettre du savon dans les toilettes.
Philippe (c'est le pr�nom de mon Harry Potter) n'a rien vu de la route de retour. Pendant tout le trajet, j'avais le jeans et le slip � mi-cuisse, d�s qu'on est sorti de Vannes il s'est carr�ment mis � poils et m'a pomp� jusqu'� la maison, il avait pass� une main sous mes fesses et pendant qu'il me branle la rondelle avec deux doigts il s'encule de l'autre main ! Quatre doigts dans l'anus. Il a raison manu, je vais l'inviter � mon anniversaire mais avant, je me le garde pour moi seul, tout le Week-end !
Je vous raconterai �a plus tard car on sonne � la porte. Tiens ! c'est J�r�me !
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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