M�me fantasmeJe vous parle d'une aventure qui s'est pass�e l'automne dernier, avec un mec qui a premi�re vue correspondait pas tellement a ce que je recherche du point de vue physique mais qui du c�t� fantasme comportait �norm�ment de similitudes avec les miens. Il est bi et mari�, mais pas sans exp�riences avec les mecs donc �a va. Vu son emploi du temps, il me faisait bien patienter depuis un moment tout en me remettant le feu au cul � chaque fois que l'on se voyait sur le net. Le jour est venu o� il m'a dit qu'il allait profiter d'un long week-end et envoyer sa petite famille pour passer a l'action avec moi. Suis plut�t actif, mais �a ne m'emp�che pas de faire le passif et d'y prendre mon pied aussi de temps en temps. Avec son mail il m'avait envoy� un sacr� cahier des charges avec toute la programmation des festivit�s. Premi�re partie je devais le rejoindre a son bureau, habill� comme pour un entretien d'embauche, lui serait bien habill�, mais �a restait une surprise pour moi. Il me re�oit dans le lobby, me serre la main tr�s courtoisement et m'invite � le suivre dans l'ascenseur... A peine les portes referm�es, qu'il d�boutonne le bouton de sa veste de costume et met ses mains dans les poches de son pantalon, il semble � l'aise en tout cas et plus zen que moi. Juste le temps d'apercevoir la fa�on dont la cravate ray�e brun et bleu se termine au m�me niveau de sa ceinture. Elle semble �tre en cuir retourn� brun fonc�, le H argent� de sa boucle Herm�s, la tr�s jolie bosse qui se dessine sous la braguette, la doublure en soie bleue ciel de sa veste. Il se penche et vient m'attraper les l�vres pour me rouler un palot bien profond qui me met la trique direct. D'un coup, il me retourne, me fait l�cher mon sac, me plaque face contre la paroi. Me prend les hanches avec ses deux mains. Il me fait rentrer dans son bureau, me dit de m'asseoir. Il vient se mettre juste devant moi, s'assoit sur le bureau, les jambes l�g�rement �cart�es et me sourit. J'ai � peine le temps de marmonner un oui, tellement absorb� par tous les d�tails de se mec tellement bandant devant moi, qu'il se met la main au paquet et se le prend de telle fa�on que je peux voir la forme et la taille de son mastard. Il n'a pas menti, j'esp�re seulement que ce n'est pas dis fois mieux la aussi que les pics, j'ai envie de me faire niquer mais pas de me faire refaire la rondelle. Il est tant de prendre le taureau par les cornes ou plut�t par la queue, je me mets � genou devant lui et me retrouve la face juste devant cette superbe bosse allong�e. Je caresse mon visage sur son pantalon brun fonc� ray� d'une tr�s fine ligne bleue, descend mes mains sur ses cuisses, ses mollets bien form�s, ses Churchs lac�es en nubuck marrons. Je veux lui prendre la queue, lui baisser la braguette mais il semble qu'en plus d'�tre bien viril, le mec est bien dominateur : Je pense qu'il va d�cider quand je vais pouvoir le t�ter. Il me met son pied entre les jambes, me masse le paquet avec le dessus de sa chaussure Je ne me le fais pas dire deux fois, je me redresse et me frotte le long de sa jambe, sent le bout de sa chaussure presque au niveau de ma rondelle ce qui a le don de me chauffer encore plus. Le mec baisse sa braguette, glisse sa main dedans et ressort laborieusement de son cale�on son �norme queue. Elle est super �paisse et le gland d�calott� goutte d�j�. Il l'a prend � la base pour me la montrer fi�rement dans toute son ampleur. Il me prend par le noeud de cravate je m'approche alors pour la gober mais il me maintient. J'ouvre la bouche, je fais ce qu'il me dit et je re�ois des bons coups de queue sur la langue. C'est du gros calibre. Je ferme mes l�vres sur son gland et le sent soupirer de plaisir. Il me prend la t�te, se redresse et commence � me limer la bouche doucement. Je ne me le fais pas dire, deux fois, mes l�vres montent et descendent sur ce long cylindre chaud, je lui caresse les cuisses, remonte sent le cuir de sa ceinture, le H froid de sa ceinture, glisse ma main sur sa chemise bleue ciel, le contact avec le bout de sa cravate en soie me rend encore plus actif sur sa queue, je l'entends soupirer, marmonner, ... La aussi, je fais le toutou docile, a quatre pattes je me mets � lui t�ter le gland et a avaler le plus possible de sa queue. Il s'avachit dans son fauteuil, �carte bien les jambes. Il me chauffe � me parler comme �a, moi je continue � m'activer sur son manche, de temps en temps je go�te � ses pouss�es de mouilles, �a me donne d'autant plus envie de continuer. Il se penche l�g�rement et sent ses mains descendre de ma nuque sur mon dos, vers mes fesses, il soul�ve le bas de ma veste et commence � bien me les malaxer. "'T'es bien bandant, comme �a, je vais d'autant mieux te baiser que t'as tenu tes promesses, fais gaffe la prochaine fois t'es presque aussi bien habill� que ton boss. Ne t'arr�te pas de pomper ! Tu ne sais pas faire deux choses � la fois ? Oui vas-y occupes toi bien de ma queue... Il allie la parole a l'acte, il me retourne, me fait me plaquer contre son bureau, il me redresse, me maintient et me glisse a l'oreille qu'il va me planter son gros chibre dans le cul. Il rel�ve mon bas de veste, il a a peine rentr� tout son dard qu'il commence � le ressortir puis le renfiler. Ca y est commence pour moi une super s�ance de limage. Ca m'excite tellement de le savoir derri�re moi, tout habill�, fier comme un Etalon, son membre entrain de coulisser en moi. Il se chauffe tout seul, il me met des �normes coups de reins maintenant qui me p�tent litt�ralement le cul, ses couilles viennent battre les miennes, un m�lange de chaleur, de chatouille qui me font d�lirer. Il me redresse me plaque contre lui, me prend par le col et me roule une pelle. Sa langue me d�fonce la bouche comme le fait sa queue, il me domine. Il me soul�ve presque pour mieux me p�n�trer. J'ai du mal � me branler tellement il me bouge comme une marionnette ! A peine en position qu'il m'�carte les jambes m'exhibe fi�rement cette �norme queue gonfl�e, je n'arrive pas a r�aliser comment j'ai pu l'avaler ... : Il est magnifique comme �a, le gros noeud de cravate, la chemise bleu ciel uni, le col italien, sa veste de costume marron, les �paules bien carr�es, l�g�rement cintr�es a la taille les deux premiers boutons des manches d�boutonnes, les manches de sa chemise d�passant juste ce qu'il faut pour me faire d�couvrir ses boutons de manchettes argentes. Et cette queue qui sort de son pantalon, la boucle de sa ceinture Herm�s derri�re, je me redresse juste pour lui attraper son gros p�nis. "' Vas-y fourre moi encore, j'ai trop envie de te voir prendre ton pied en me glissant ta queue bien profond'' Il ne se fait pas prier et me la rentre dans mon petit cul qui n'est plus du tout serre maintenant. Il me baise trop bien, c'est tellement excitant de le regarder me piner. Je me redresse lui d�boutonne un bouton de sa chemise a la base de la ceinture et y glisse ma main, ... sentir la peau, les pectoraux virils de ce mec en pleine action, il se baisse sur moi et m�lange ses coups de reins virils a des palots langoureux qui me font l'�treindre a la taille pour l'emp�cher qu'il se redresse. Je veux rester comme �a, sa bite coulissant en moi, son lourd torse sur moi et sa langue entrain de m'envahir la bouche. "' Tu vas faire le bon chien,..., je vais te baiser comme un bon b�tard, vas-y tend moi ton petit cul de salope,... t'as envie de faire saillir comme une bonne chienne ? Hein ! T'es en chaleur la ? Tu veux trouver ton �talon qui va bien te chevaucher ? Oui c'est �a remue bien du cul... Que je te mette un manche bien dur dans ton petit trou de pute...'' Je me retourne et le vois se positionner derri�re moi, fl�chir ses jambes muscl�es pour que son v�rin soit pile en face de ma rondelle. Il me glisse sa queue tout doucement et peut lui caresser le dessus de ses richelieu en nübück marron fonc�, ses lacets, soulever l�g�rement son pantalon : Le mec me baise de plus en plus brutalement, sa d�licatesse du d�but fait place a un burinage en r�gle qui me fait avancer a chaque enculage profond. Il me prend par les �paules apr�s m'avoir tenu fermement par la taille puis il m'attrape le col appui fermement avec l'autre main sur le bas de mon dos pour me faire cambrer. Il manque de m'�trangler, me soul�ve et m'oblige � me redresser. Je mets les genoux sur le canap�, il me met le bras autour du cou. Me maintient contre lui et tout cela sans jamais avoir sorti son pilon de mon cul qui commence � �tre s�rieusement d�fonc�. Il ressort de nouveau sa bite, se redresse et va s'asseoir comme un beau patron sur le fauteuil d'� cot�. Il s'avachit, �carte les jambes et se maintient le pieu droit vers le ciel avec son pouce. J'ai l'impression que je me suis fait tabass�, mon cul est un vrai courant d'air. Ca n'emp�che qu'avec ce pur de fantasme devant moi je ne fais pas le difficile et d�cide de repousser mes limites. Je me rel�ve, me met � quatre pattes et m'approche de lui tout en le regardant. Il n'a pas fini de me faire des encouragements, arrive a son niveau, je lui �carte les jambes un peu plus, puis viens lui laper ses grosses burnes poilues : I appr�cie puisqu'il me met sa main sur la nuque et je l'entends soupirer de plaisir. C'est m�me pas des noix qu'il a mais deux bons abricots qui doivent �tre bien juteux : je les avale chacun leurs tours, lui met des bons coups de langues puis me redresse un peu et d�cide de lui pomper le gland a travers le preso. C'est la premi�re fois que je pompe un mec qui vient de me baiser, le contact du preso, le go�t du gel, une vague odeur musqu�e mais supportable, Je l'ingurgite litt�ralement son zob, � m'en faire des hauts le coeur. Il grogne, respire profond�ment, le mec... C'est moi qui le domine maintenant, � lui procurer autant de plaisir. Je lui laisse la bite bien lubrifie de ma bave, me redresse et me positionne devant lui pr�t a m'empaler de nouveau. Ma queue est a la hauteur de son visage et je m'appr�te � me rebaisser quand il me la prend, la caresse tout en la regardant puis il commence � me pomper. J'appr�cie qu'il ne soit pas totalement �go�ste dans le plan, d'autant plus qu'il me pompe superbement bien. Il aime �a aussi. Je d�cide malgr� tout de lui sortir ma bite de la bouche et je m'accroupis en positionnant ma pauvre rondelle juste au dessus de ce qui n'a pas d�band� d'un iota. Je le tiens par les �paules, on se regarde dans les yeux, caresse le tissus de son costume, glisse ma main sur son col, son noeud de cravate, son cou, son menton, ses joues, puis tout en sentant sa queue p�n�trer je lui pose mes l�vres sur les siennes : Il m'embrasse comme un fou, glisse ses mains sous mes fesses pour mieux me soulever et pour mieux me r� enculer, glisse sa main derri�re ma nuque pour m'obliger a continuer a lui rouler des pelles puissantes. Je caresse ses cheveux, le maintient aussi par la nuque pour encore mieux me donner. Il est tellement excit� qu'il se branle litt�ralement avec moi, il me soul�ve comme si je ne pesais rien puis me renfonce de la m�me fa�on sur son pieu � un rythme soutenu. Sa respiration devient puissante, je sens que mon bel �talon n'est pas loin d'exploser. Ca ne rate pas il me fait d�culer, me soul�ve, me repousse sur le fauteuil d'en face, se l�ve du sien, se prend la queue par la base, enl�ve le pr�servatif. Juste le temps de me redresser d'approcher mon visage et d'ouvrir la bouche que je re�ois la premi�re gicl�e d'une telle puissance, qu'elle me va direct au fond de la gorge au risque d'avaler de travers, le temps de reprendre mes esprits. La deuxi�me rasade abondante et �paisse s'�crase sur mon nez, mes l�vres, mes joues. Je prends la troisi�me dans la bouche, maintient la queue entre mes l�vres et sent mon �talon me remplir tellement bien la bouche que je dois avaler pour en recevoir encore. Je le bois ce mec, j'avale sa semence � son gros biberon, le go�t, la consistance l'odeur puissante du sperme que j'ai sur le visage. Je ne l�che pas sa bite et commence � le pomper de nouveau comme un fou. De recevoir sa jute me fait monter la mienne si vite que je n'ai m�me pas besoin de me branler pour sentir le bas de ma chemise se tremper de ma jute abondante. Il r�le de plaisir, je sent tout son corps trembler sous la puissance de son �jaculation, il me maintient la t�te puis m'enl�ve la queue de la bouche et vient s'affaler a c�t� de moi. Je me l�che les l�vres, puis comme un chat vient me mettre au dessus de cet homme �l�gant vaincu par la l'effort. Il se redresse, me prend la t�te dans sa main puissante, et me l�che litt�ralement le visage go�tant � sa propre jute. Ca l'excite puisque je sens sa queue chaude le long de ma cuisse se redresser doucement. Je lui prends la queue, l'embrasse et lui branle gentiment sa belle pine de nouveau raide. Un sourire, il me repousse, se redresse et se tient devant moi debout. Beau comme un dieu. Je me rel�ve aussi, renfile mon slip, mon pantalon, m'assois pour me lacer les chaussures. Il s'avance vers moi, se r�ajuste ses boutons de manchettes, sa queue est toujours a l'air, elle commence � d�bander mais reste d'une belle taille joliment encadr� entre ses grosses burnes vid�es. Il me fait me redresser, me r�ajuste le col de ma chemise, me resserre et me redresse le noeud de cravate, puis m'embrasse de nouveau. Je lui caresse aussi le noeud de sa cravate : il se remet la queue dans le pantalon et je lui remonte doucement la braguette. Le soir il me donne rendez-vous chez lui ; quand le chat n'est pas la les souris danses ! Il me re�oit avec un grand sourire, parait tr�s chaleureux et me roule une pelle dans l'entr�e. Ce mec incarne vraiment la virilit�, le m�le : Il sort juste de la douche, ces cheveux bruns semblent encore humide : son polo blanc Fred Perry, qui lui dessine des �paules bien carr�es laisse appara�tre des spots humides au niveau du dos, signe d'un s�chage rapide. Les manches courtes lui coupent les biceps en plein milieu : les lignes rouges et noires de son polo accentuent la jolie ligne de ses muscles bien d�velopp�s. Ses t�tons pointent sous le tissu et des poils sortent de son col aux boutons d�faits. Son Levis bleu fonc� lui dessine joliment le cul et souligne son gros paquet. Une large ceinture en cuir, des superbes shox blanches ray�es de bandes gris clairs brillantes, les talons sur les ressorts rouges, la virgule blanche margin�e de rouge sur le cot� et sur le dessus en plus petit, les lacets blancs desserr�s, la grosse languette blanche le sigle shox rouge sur fond argent� au milieu, des chaussettes de sport blanche que d�couvre son jeans quand il s'assoit : Pas un d�tail ne m'�chappe. J'ai envie de me mettre a genoux et de m'occuper de ses skets, lui masser l'entrejambe en m�me temps. Je me retiens. "' Je vois que �a te plais ! Viens me montrer de plus pr�s ton surv�t et tes tn t'es bien bandant aussi. Tu me fais d�j� triquer.'' Je m'approche de lui, il me met une main sur les fesses me rapproche de lui et fous sa t�te sur mon entrejambe ; je sens son visage contre ma tige qui grossit, la chaleur de sa bouche qui essaye de l'attraper au travers de mon surv�t Adidas blanc aux rayures rouges. Je lui caresse ses cheveux, me branle contre lui, le regarde entrain de se caresser la bite a travers de son jeans, les jambes allong�es, vue panoramique sur ses shox. La gaule totale, il me baisse le fut apr�s me l'avoir bien imbib� puis me gobe la queue. Il me pompe divinement, l'avale � fond, je sens m�me sa langue me titiller la base de mes couilles. C'est trop bon mais je meurs d'envie de lui t�ter la queue aussi, glisser mes doigts dans ses skets. Il me l�che les couilles puis ravale ma tige, tout en sentant sa main me caresser les mollets, glisser dans ma tn sanguine. Il va me faire monter le jus trop vite � s'appliquer comme �a. Je me baisse, l'embrasse puis me met � genou. A mon tour maintenant. Je lui bouffe direct la braguette boutonn�e de son levis et m'attaque � son cylindre qui gonfle sur la cuisse gauche. Elle va �tre tr�s tr�s vite �tre � l'�troit la dedans. Je m'allonge carr�ment � ses pieds et col mon nez sur une de ses shox. Elles ont d�j� bien servi mais restent clean. De la toile micro perfor�e rouge du dessus sort une l�g�re odeur de pied, le pur bonheur, juste ce que j'aime. Je sniffe cette sket a grand coup puis commence � la l�cher, le sigle de la languette, les oeillets des lacets, les fines lignes argent�es qui me font aller directement a la semelle. Je glisse ma langue sur les ondulations des ressorts puis lui prend la cheville me redresse et colle mon pif entre ses chaussettes et sa sket pour humer sa bonne odeur de male. "' Putain t'es vraiment bien chaud comme mec toi, c'est bien bandant de t'avoir a mes pieds... clean bien mes skets fais bien le b�tard !'' Je donne � fond, remet des bons coups de langue, le regarde en m�me temps et lui attrape son gourdin dans son jeans. Il aime �a effectivement. Il se penche, me malaxe le cul, puis me prend un de mes pieds et me d�chausse. Il se met parterre aussi et se met dans la position d'un bon Sket69. Il me met le pied entier dans sa bouche, je le sens respirer � fond. Puis se met le nez dans ma tn. Je lui d�boucle la ceinture, d�boutonne la braguette et lui sort sa queue, a m�me son jeans. Je passe de ses shox a sa queue puis lui enl�ve une de ses shox, la pose sur ses couilles, me la colle sous le nez tout en m'activant sur son braquemart. Il me baisse un peu plus le surv�t et apr�s m'avoir donn� quelques coups de langues sur les bourses commence � me l�cher la rondelle. Je sens sa langue rentrer dedans, son nez dans ma raie. Il me retourne, me met � quatre pattes, m'�carte les fesses avec ses grosses paluches et me bouffe le cul comme un fou : j'ai gard� sa shox que je l�che et sniffe comme un fou aussi. Il pourrait me bourrer comme �a direct qu'il ne trouverait aucune r�sistance tellement j'en ai envie. Il me met des coups de bite sur le cul. Me frappe la rondelle a coup de gland. Il se met une capote comme un vrai expert, l�che un gros mollard sur ma rondelle et me force la rondelle se tenant sa queue bien raide. J'ai � peine susurr� un oui qu'il retire son noeud de moitie et qu'il me le met jusqu'a la rade dans la foul�e. Il me serre a boire, ouvre quelques g�teaux ap�ritifs. Il met du temps pour se pr�parer, je n'ose pas me lever pour aller voir, d'autant plus qu'il a du repousser le porte du salon expr�s, alors j'attends sto�quement en grignotant, la soir�e flic a commenc� sur la 2, la mienne va pas tarder non plus. Je caresse ses shox, du 46, belle pointure, elles sont grandes, il y a d'autant plus de surface � explorer et � l�cher... J'aime son odeur, juste ce qu'il faut, une vague odeur de sperme, il a du d�j� se les faire, je l'imagine entrain de se branler dedans, cette grosse queue s'installer dans toute la longueur de la sket, ses couilles lourdes a la place du talon, son gland taper le fond et y d�verser sa cr�me de male : J'en bande de nouveau. Je Grignote, sirote, et attends patiemment... je ne savais pas qu'il fallait tellement de temps pour enfiler un uniforme de flic... J'entends du bruit derri�re la porte. La porte s'ouvre violemment Sa grande botte en cuir noir me fr�le la jambe, je peux voir les lacets sur le coup de pied, puis ceux sur le cote haut de la botte. Son mollet moul� dans ce cuir �pais et reluisant. Dans ces bottes il me parait encore plus grand, je me redresse un peu juste pour me prendre une baffe. Vu ma position je ne peux que faire la limace ou lui l�cher les bottes, je choisi de m'attaquer au talon puis tend mon cou pour remonter l�g�rement et satisfaire mon officier de police. Il me facilite la tache, bon signe, il me met sa botte sous le nez, je peux me r�galer de ce cuir de ce parfum fort qui me met directement la trique. Ma langue glisse partout, les fins lacets noirs dont le noeud un peu plus haut me chatouille le front, les fines coutures tout autour ou qui descendent � la naissance du talon. Une main gant�e vient m'appuyer sur la t�te : Il me garde la main sur la t�te, me caresse la joue, je lui l�che ses doigts gant�s puis repasse a la botte puis de nouveau un doigt. La couture qui renforce les genoux, la naissance de la pi�ce arrondie qui renforce et prot�ge les fesses des motards, les poches cavaliers, les deux poches avec rabat sur les fesses, les deux niveaux de ceintures, larges en cuir noir, la premi�re entrecoup�e par les larges passants du pantalon, la deuxi�me charg�e des magasins a munitions, la grosse matraque, le talkie dans son �tui en cuir d'o� part le c�ble torsad� qui lui barre le torse et vient s'accrocher a l'�paulette droite sous forme d'un petit haut parleur noir. L'�tui de son flingue, imposant, plaqu� contre la taille, l�g�rement pench�, la crosse d�passant et lui rentrant dans le flanc, la grosse flash light pendue, des clefs, l'�tui a menottes, un autre �tui encore, la naissance de sa chemise beige Kaki puis le blouson en cuir l�g�rement plus court dont la premi�re partie assez large pourrait aussi recevoir une ceinture. Le blouson ouvert laisse appara�tre la cravate bleue maintenue par une �pingle � cravate au milieu, des pi�ces m�talliques dor�es fix�es sur les pointes de col, ... : Je plaque mon visage contre son entrejambe et applique mes l�vres contre sa queue, il me caresse le visage avec sa main gant�e, son blouson en cuir crissant l�g�rement. Il me met des coups de reins et m'�crase � chaque fois la face. Il me prend la bouche appui fermement pour m'obliger � l'ouvrir. Il me glisse un doigt puis deux et manque de me faire vomir plusieurs fois. "' Et bien ! Il a faim le petit salaud, il veut biberonner le petit b�tard... ? J'ai ce qu'il te faut !'' Je remue la t�te par l'affirmative tout en continuant � m'occuper de son gourdin qui fini par prendre l'ampleur et la duret� qui m'emp�che de pouvoir l'avaler enti�rement. Il d�fait la bride de son casque, le soul�ve et le pose juste � cote tout en v�rifiant bien que je continue mon boulot correctement. Il enl�ve son blouson en cuir ensuite : Cette chemise le rend encore plus baraqu� ; les deux poches poitrines avec rabat, la large �toile accroch�e sur le haut gauche tandis qu'un badge dor� barre celle de droite, une fourrag�re comme une cha�ne dor�e d�marre sous le col droit puis lui court sous le bras. Les gros badges � fonds bleus de la police de Californie, plaqu�s contre ses larges �paules... Il replace le speaker du talkie � son �paulette gauche puis enl�ve ses Ray ban et glisse une des branches dans la pochette droite de sa chemise. Il se comporte comme le vrai flic macho, il me regarde vient prendre sa bite a la base, me prend la t�te de l'autre et commence par me baiser la bouche. Il sort sa queue, me frappe avec me mettant de ma bave sur la figure puis me la redonne a sucer, juste le gland puis me l'a met a fond de gorge qui me donne des hauts le coeur et me font baver encore plus. Liant le geste a la parole, il me glisse le canon de son revolver sur la joue et me l'enfonce au cot� de sa bite dans ma bouche. Un m�lange d'excitation extr�me d'�tre aussi bien soumis a cet homme, la peur de ne pas savoir si c'est un vrai ou un gun factice, dans tous les cas coince comme je suis, je ne peux que faire le maximum pour faire plaisir au bel officier. Il me baisse le surv�t, me fait mettre les mains plus haut puis commence � me molester les fesses avec ses mains gant�es. Je vais encore me faire s�v�rement d�foncer le cul et j'ai peur de ne pas tenir longtemps. Son coup de queue d'il y a une heure a peine a �t� assez douloureux. Je me calme un peu et respire quand j'entends le bruit d'un tube de gel qui arrive � sa fin. Une grosse noix froide en plein sur la rondelle puis quelque chose d'aussi froid mais �pais qui me p�n�tre. Il est entrain de m'enfiler sa matraque et je sens sa queue raide et chaude me fr�ler les fesses. J'en suis sur maintenant. "'Laisse moi voir si ton boul de racaille est capable de se prendre des gros calibres !!! Ouvre bien ton cul salope.'' J'acquiesce et remue mon cul, ce qui lui fait me mettre des coups de reins puissants. Je prends sa pine enti�rement plusieurs fois de suite dans un bon rythme, je sais le male endurant et lui donne mon cul pour notre plus grand plaisir. Il me tient par les �paules, puis par les hanches, il me l�che de temps en temps et ne suis plus en contact avec lui que par le manche �pais qui me lamine la rondelle et les diff�rents cliquetis de son harnachement de flic dont je ressent de temps en temps le froid contact de ses boucles de ceintures sur le bas du dos. S'il savait comme moi aussi j'ai envie de le voir me baiser, regarder son visage rempli de spasme quand il me bourre le cul, qu'il n'est pas loin de la jouissance, son cou sortir de ce col d'uniforme, son noeud de cravate, sa cravate bleue bouger au rythme de ses d�hanch�s, ... Je pense que lui est � point aussi puisqu'il se retire s'enl�ve sa capote, m'�carte les jambes puis vient se plaquer contre moi. Il se tient la base d'une main puis branle de l'autre main gant�e. Sa queue dirig�e vers moi � t�t fait de me larguer de superbes gicl�es qui me tombent sur le menton, le front et les cheveux, le ventre puis vient se m�ler a ma jute. Il frappe sa queue contre la mienne qui s'est remise � bander sous l'excitante beaut� de ce spectacle. Il reste devant moi, prostr�, sous le coup de cette jouissance, son front perlant de sueur... Pas le temps de continuer qu'il se plaque contre moi et me roule une pelle divine : Je peux le caresser maintenant, sentir la toile de sa chemise. Les coutures de ses poches, les d�tails de ses ceintures, les magasins en cuir dur, sa longue matraque, la texture de son pantalon, les lignes bleue et jaune, glisser mes mains sur ces fesses fermes, remonter dans son dos toucher ses badges, la peau de sa nuque qui sort de son col... Je ne sais pas combien de temps on reste � s'embrasser comme �a mais c'est tellement bon que je ne souhaite pas que cela s'arr�te. Il s'enl�ve sa cravate, d�j� toute faite, qu'il m'envoi, d�boutonne sa chemise laissant appara�tre son tee-shirt blanc qui lui fait appara�tre ses t�tons et la formes des ses pectoraux : D�boucle la premi�re ceinture qu'il me tend. Nous nous sommes habill�s et sommes sortis d�ner comme pr�vu. Histoire de discuter un peu et surtout de me reposer la rondelle. Mon bel homme mari� avait encore envie de m'allumer, un jeans Levis d�lav�, un sweater Puma bleu et noir, de superbes tn en cuir noir et un teddy redskins en cuir noir. Rien que de le mater dans la rue ses mains dans les poches, sont cul bien moul� dans son Levis avec son cuir... j'avais de nouveau envie de baiser avec lui. De retour chez lui, dans l'ascenseur, les pulsions reprennent vite le dessus, il me plaque contre le mur, me roule une pelle qui me d�monte la m�choire. Il a envie de me baiser, j'ai envie qu'il me baise. Sa main me masse la rondelle, je lui branle la queue a travers son jeans, nos tn se touchent, nos cuirs se frottent. A peine arriv� chez lui que je me jette sur ses tn et que je lui l�che et sniffe a fond, trois heures dedans, il a eu le temps de les chauffer. Le mec a la gaule directe, une main entre ses jambes, mon pif sur une de ses tn noire, mon autre main entrain de glisser dans l'autres entre sa chaussette et sa sket. Il se penche et me prend une de mes tn, les noires en toile avec les filets noirs puis bleus puis blanc. Il se l'a met directement sur le nez puis lui met des gros coups de langue aussi... le pied. Il s'allonge parterre et c'est reparti pour un sket 69. Il me bouffe la chaussette, tout en sniffant ma tn, l�che mon autre tn rest�e a mon pied, caresse mon mollet, rel�ve le jeans et me l�che. Je m'applique sur ses tn pendant ce temps la, je lui en enl�ve une me d�lecte de cette ti�de moiteur parfum�e qui en sort, il a du les charger plusieurs fois celles la, car elles sentent bien la jute, je l�che l'int�rieur de la languette, puis toutes les parties en cuir, le contact sur ma langue en est tripant. Je lui l�che les orteils � travers ses puma blanches puis reviens sur ses tn. Il se redresse se met a quatre pattes sur moi, me d�boucle le jeans, me sort la queue et commence � me pomper la tige raide � m'en faire mal. Je n'ai qu'a me redresser lui lib�rer son mastard pour faire la m�me chose. Cette grosse queue mouille � fond, son go�t me fait mouiller � mon tour, je l'entend grogner de satisfaction pendant qu'il me pompe, sa main glisse dans mon Levis, il me caresse les couilles, glisse vers ma rondelle, puis me reprend la base de la queue pour me l'avaler enti�rement. Dans cette position, ses grosses burnes pendent bien et je me r�gale � les avaler l'une apr�s l'autre tout en faisant coulisser ma main sur sa queue tellement raide qu'elle en est plaqu�e le long de son ventre et mouille son sweater puma. Le d�licieux crissement de nos cuirs, le contact de ma main passant de son Teddy aux poches de son Levis : je suis carr�ment en rut. Il reprend ses esprits car il me retourne et me voila main tenant sous lui, il continue � m'embrasser, puis descend me l�che a son tour les pecs, me mordille les t�tons longuement puis me pompe goul�ment. Je passe ma main dans ses cheveux caresse ses oreilles glisse mes doigts sur ses l�vres qui coulissent sur mon membre. Il se redresse, se met une de mes tn sur le nez et se branle en m�me temps. J'enl�ve mon autre sket, lui prend la queue et l'y glisse dans ma tn ti�de. Le mec grogne, prend la tn � deux mains et commence � se branler ou plut�t me donner un avant-go�t de ce que je vais prendre dans le cul un peu plus tard... Il est super bandant comme �a, je me redresse, lui caresse ses pecs tout en lui travaillant les t�tons, je me l�ve, passe derri�re lui, pose mes mains sur ses �paules, redescend, et lui tiens ma tn qu'il est entrain de tapisser de sa mouille. Je l'embrasse dans le cou et sent son pouls, sa respiration qui montre une excitation intense. Il se l�ve a son tour m'embrasse me baisse le jeans puis me demande de me mettre a quatre pattes. Il semble h�siter puis ne bouge pas et acquiesce. Il � l'air de d�couvrir, serais-je le premier � lui l�cher le cul ? Je m'applique du coup, et essaye de lui glisser un premier doigt bien lubrifi� par ma bave dont j'ai abondamment tapiss� sa raie. Son cul se contracte puis tout doucement me laisse le p�n�trer. Je le fait coulisser et sens qu'il aime puisqu'il marmonne des Oh oui qui en disent long... Il se pourrait bien que je puisse le baiser ce bel �talon un de ces jours... En attendant je tente un deuxi�me doigt puis un troisi�me. Il me prend la main, prend la mesure et tente de d�couvrir ce que je lui fais, puis me maintenant la main commence � se doigter lui-m�me. Le pied, s'il aime se prendre trois doigts il va s�rement aimer se faire limer, j'en bande. A 16 heures pile je suis devant chez lui, suis curieux de voir comment ce beau mec va se saper pour reprendre son r�le d'h�t�ro bon p�re de famille. Assis � cote de moi, je ne peux m'emp�cher d'aller lui mettre la main entre les jambes et de lui caresser sa grosse bosse. Il bande comme un fou, comme moi... Je le pompe comme un assoiff�, glisse mes mains sur ses cuisses, sa chemise sous sa veste, soul�ve un peu le jeans en d�couvre la douceur du nubuck du contrefort de sa timberland, les oeillets m�talliques, les coutures, le lacet �pais, le logo brod� en plus clair sur le cot�, la grosse semelle r�che crant�e que je visite du bout des doigts. Je suis cass� en deux, le frein a main me rentre dans les cotes mais c'est trop bon de pomper se mec qui me donne sa pine � biberonner. Il ouvre la porti�re contourne la voiture et vient se mettre debout face a la mienne, la queue raide et les couilles qui pendent sur son levis. Je baisse la vitre et ravale son membre de suite, il glisse une main derri�re ma t�te et me met quelques coups de reins. Je m'applique oui, je ne sais pas quand je vais la revoir sa grosse queue juteuse, alors je savoure... Il n'avait pas pr�vu que l'on baise la, de peur de se faire gauler, mais j'ai trop envie de me prendre sa gaule une derni�re fois et sans qu'il s'en rende compte, je baisse mon surv�t laissant appara�tre mon jockstrap, je lui d�roule une capote. Il me regarde surpris, Le s�same pour moi, il se positionne derri�re moi, je lui verse du gel sur sa tige, la lui enduit, me tartine la rondelle, jette le tube dans le coffre lui reprend la pine et me l'enfonce dans mon cul affam� qui l'avale direct. Ce pieu rentre tout seul. Je m'empale sur sa bite, j'en veux tellement et lui met de tels coups qu'il est oblig� de s'accrocher a ma taille. Il prend le relais et me pilonne le cul comme un fou, il decule, me frappe les fesses avec puis me la remet direct, puis la ressort encore pour mieux me la remettre dans le fondement : J'ai envie de gueuler tellement je prends mon pied, je sens que lui aussi kiff un max vu les coups qu'il me met et sa respiration. Je d�cule moi-m�me, lui fais sauter le preso et commence � lui branler la queue tout en lui pompant le gland gonfl� a mort. Il me l�che des bonnes gicl�es de sperme qui me font moi-m�me monter le jus, juste le temps de me prendre la queue et je largue pendant qu'il continue � me tapisser la bouche. Il reste extatique et continue � avoir quelques soubresauts dans sa bite que je continue � l�cher. J'ai remont� mon jeans et m'approche pour lui prendre la queue � travers le jeans. Il me regarde satisfait, fier, beau comme un �talon dominant, "'Arr�tes tu vas encore me faire bander "' J'ai eu du mal � le l�cher, mais il est parti, moi suis rentr� me coucher, lessiv� par ces s�ances de baises intenses, mais tellement heureux ! ForweshR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |