Cyrillo

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M�me fantasme

Je vous parle d'une aventure qui s'est pass�e l'automne dernier, avec un mec qui a premi�re vue correspondait pas tellement a ce que je recherche du point de vue physique mais qui du c�t� fantasme comportait �norm�ment de similitudes avec les miens.
Ce qui fait qu'a chaque fois que nous avons tchate je ne pouvais m'emp�cher de r�ver de le rencontrer pour pouvoir passer � la phase r�elle.

Il est bi et mari�, mais pas sans exp�riences avec les mecs donc �a va.
Le premier fetish que nous avons en commun est l'attrait pour les mecs en costume cravate, genre menatplay, pour ceux qui ne le connaissent pas je vous le conseille ne serait ce que par curiosit�.
Le deuxi�me est sans conteste les mecs en surv�t, genre racaille, a ma grande surprise et pour mon grand bonheur, le bon p�re de famille avait aussi �quip� sa garde robe de ce genre de sapes bien bandantes.
Enfin le pur fantasme aussi il �tait tr�s attir� par les uniformes et me promettait de me montrer ses tenues de flics US.

Vu son emploi du temps, il me faisait bien patienter depuis un moment tout en me remettant le feu au cul � chaque fois que l'on se voyait sur le net. Le jour est venu o� il m'a dit qu'il allait profiter d'un long week-end et envoyer sa petite famille pour passer a l'action avec moi.
J'ai d� relire le mail plusieurs fois, depuis le temps je pensais que �a resterait de l'ordre du fantasme.

Suis plut�t actif, mais �a ne m'emp�che pas de faire le passif et d'y prendre mon pied aussi de temps en temps.
Pour mon beau bi, j'allais passer a la casserole et faire le b�tard, la pute, le passif bien docile, enfin ce qu'il voulait et selon ses tenues et les miennes.

Avec son mail il m'avait envoy� un sacr� cahier des charges avec toute la programmation des festivit�s.
Le lendemain apr�s midi, plus le sur lendemain matin puisqu'il rejoignait sa petite famille ensuite.

Premi�re partie je devais le rejoindre a son bureau, habill� comme pour un entretien d'embauche, lui serait bien habill�, mais �a restait une surprise pour moi.
A 15h30, je me pointe, tir� aux quatre �pingles, super excit� � l'id�e de voir cet �talon pour de vrai.

Il me re�oit dans le lobby, me serre la main tr�s courtoisement et m'invite � le suivre dans l'ascenseur...
J'ai failli tomber raide, Grand brun, cheveux courts l�g�rement d�garnis, des grands yeux clairs, bien carr� d'�paule, et sap� comme un dieu, dix fois mieux que sur ses pics.

A peine les portes referm�es, qu'il d�boutonne le bouton de sa veste de costume et met ses mains dans les poches de son pantalon, il semble � l'aise en tout cas et plus zen que moi.

Juste le temps d'apercevoir la fa�on dont la cravate ray�e brun et bleu se termine au m�me niveau de sa ceinture. Elle semble �tre en cuir retourn� brun fonc�, le H argent� de sa boucle Herm�s, la tr�s jolie bosse qui se dessine sous la braguette, la doublure en soie bleue ciel de sa veste.
Il s'approche de moi, tr�s virilement, un sourire aux l�vres, se plaque contre moi, enl�ve une de ses mains de sa poche vient me la mettre aux fesses ; me les malaxe tout doucement puis vient me prendre par le gros noeud de ma cravate ray�e.

Il se penche et vient m'attraper les l�vres pour me rouler un palot bien profond qui me met la trique direct. D'un coup, il me retourne, me fait l�cher mon sac, me plaque face contre la paroi. Me prend les hanches avec ses deux mains.
Il se colle contre moi, je peux d�j� sentir sa queue � travers nos pantalons il se penche vers moi je sens son haleine, son parfum et me dit.
" Je pense que l'on va passer un bon moment, je suis d�j� bien chaud l�."

Il me fait rentrer dans son bureau, me dit de m'asseoir. Il vient se mettre juste devant moi, s'assoit sur le bureau, les jambes l�g�rement �cart�es et me sourit.
"'Est-ce que je suis � ton go�t ? Envie de passer aux choses s�rieuses ?''

J'ai � peine le temps de marmonner un oui, tellement absorb� par tous les d�tails de se mec tellement bandant devant moi, qu'il se met la main au paquet et se le prend de telle fa�on que je peux voir la forme et la taille de son mastard. Il n'a pas menti, j'esp�re seulement que ce n'est pas dis fois mieux la aussi que les pics, j'ai envie de me faire niquer mais pas de me faire refaire la rondelle.

Il est tant de prendre le taureau par les cornes ou plut�t par la queue, je me mets � genou devant lui et me retrouve la face juste devant cette superbe bosse allong�e. Je caresse mon visage sur son pantalon brun fonc� ray� d'une tr�s fine ligne bleue, descend mes mains sur ses cuisses, ses mollets bien form�s, ses Churchs lac�es en nubuck marrons.
Il me prend la t�te me plaque contre son entrejambe et commence � se branler contre ma face. Le mec est plus que chaud, en peu de temps sa queue est dure et a prit des dimensions un peu effrayantes, mais c'est tellement bandant.

Je veux lui prendre la queue, lui baisser la braguette mais il semble qu'en plus d'�tre bien viril, le mec est bien dominateur : Je pense qu'il va d�cider quand je vais pouvoir le t�ter. Il me met son pied entre les jambes, me masse le paquet avec le dessus de sa chaussure
"' Vas-y, fait bien le chien branle toi la queue sur ton ma�tre !''

Je ne me le fais pas dire deux fois, je me redresse et me frotte le long de sa jambe, sent le bout de sa chaussure presque au niveau de ma rondelle ce qui a le don de me chauffer encore plus. Le mec baisse sa braguette, glisse sa main dedans et ressort laborieusement de son cale�on son �norme queue.

Elle est super �paisse et le gland d�calott� goutte d�j�. Il l'a prend � la base pour me la montrer fi�rement dans toute son ampleur. Il me prend par le noeud de cravate je m'approche alors pour la gober mais il me maintient.
"'C'est moi qui d�cide quand tu vas pomper !''
Il me met deux gros coups de bites dans la figure puis plus doucement m'�tale sa mouille sur les l�vres, le nez, les joues, J'ai trop envie de lui avaler le manche, ce petit avant go�t me rend encore plus impatient.
"'Ouvre la bouche, tire la langue, montre moi si t'es capable de bien m'avaler la bite...''

J'ouvre la bouche, je fais ce qu'il me dit et je re�ois des bons coups de queue sur la langue. C'est du gros calibre. Je ferme mes l�vres sur son gland et le sent soupirer de plaisir. Il me prend la t�te, se redresse et commence � me limer la bouche doucement.
"'Vas-y, lubrifie bien ma queue, tu vas la sentir ma bite de boss, pompe bien si tu veux que je te prenne les fesses apr�s. !!!''

Je ne me le fais pas dire, deux fois, mes l�vres montent et descendent sur ce long cylindre chaud, je lui caresse les cuisses, remonte sent le cuir de sa ceinture, le H froid de sa ceinture, glisse ma main sur sa chemise bleue ciel, le contact avec le bout de sa cravate en soie me rend encore plus actif sur sa queue, je l'entends soupirer, marmonner, ...
Je glisse mes doigts dans sa braguette et me met en devoir de lui sortir le trois pi�ces, je veux aussi lui l�cher les boules, ... et je ne suis pas d��u.... Elles sont � l'�chelle de son manche, bien grosses, lourdes, pendantes et poilues.
Je me recule juste un peu, le temps de voir comment ce beau male est bandant avec son sexe sorti de son costume, mais de suite il me prend par le noeud de cravate m'�trangle � moitie, me fait me redresser.
"'Viens la, je vais m'asseoir et tu vas bien pomper ton boss, mets toi a quatre pattes.''

La aussi, je fais le toutou docile, a quatre pattes je me mets � lui t�ter le gland et a avaler le plus possible de sa queue. Il s'avachit dans son fauteuil, �carte bien les jambes.
"'Elle te plait ma grosse bite, putain... t'as envie de te faire niquer toi, pompes bien comme �a, avale... voila comme �a !

Il me chauffe � me parler comme �a, moi je continue � m'activer sur son manche, de temps en temps je go�te � ses pouss�es de mouilles, �a me donne d'autant plus envie de continuer. Il se penche l�g�rement et sent ses mains descendre de ma nuque sur mon dos, vers mes fesses, il soul�ve le bas de ma veste et commence � bien me les malaxer.
"'Vas-y t'arr�tes pas de pomper, cambre toi, montre moi que t'as envie d'une bite dans le cul''
Je sens ses doigts s'appliquer sur ma raie, descendre doucement, j'ai rarement eu autant envie de me faire limer, mais la j'ai l'impression que j'ai le cul d�j� ouvert pr�t a le recevoir...

"'T'es bien bandant, comme �a, je vais d'autant mieux te baiser que t'as tenu tes promesses, fais gaffe la prochaine fois t'es presque aussi bien habill� que ton boss. Ne t'arr�te pas de pomper ! Tu ne sais pas faire deux choses � la fois ? Oui vas-y occupes toi bien de ma queue...
Il se redresse, me fait relever en m�me temps, il fait bien presque une t�te de plus que moi, il me met une main ferme sur les fesses, me plaque contre lui et me prend la t�te. Il m'embrasse fougueusement et je me laisse aller, domin� par ce bel �talon, je lui caresse le noeud de sa cravate, le maintient par la queue, joue avec ses grosses couilles tout en pensant que je vais adorer les sentir me taper contre les miennes quand il me baisera.
"'J'ai trop envie de te baiser la !''

Il allie la parole a l'acte, il me retourne, me fait me plaquer contre son bureau, il me redresse, me maintient et me glisse a l'oreille qu'il va me planter son gros chibre dans le cul.
Je me rebaisse et le sent me desserrer la ceinture, me d�boutonner puis de zipper la braguette : en rien de temps je me retrouve le pantalon et le slip sur les chaussures et je sens sa tige �paisse venir me marteler les fesses. Il me prend les deux lobes de mes fesses avec ses grandes mains viriles, me les masse.
"' Humm t'as un bon petit cul bien ferme toi, �a va �tre un pur bonheur de te limer, tu l'as veux ma queue hein ? "'
Quelle question si j'avais pu je serais d�j� assis dessus... Il est chaud, m�me tr�s chaud, il ne perd pas de temps je l'entends ouvrir un preso, se le d�rouler bruyamment.
"'Je vais te sauter tu vas voir comment tu vas te faire d�foncer. Tu voulais de la pine de boss tu vas en avoir !'' Il a tout pr�vu, je le sens m'appliquer du gel juste la ou il faut, je me retourne juste pour voir sa main glisser sur sa grosse queue bien dure et l'enduire de gel. Je me remets en position, tend mon cul ; il me plaque le gland contre la rondelle, force un tout petit peu, puis me prend par les hanches et force le passage. Je sens ses mains pleines de gel sur mes reins, me maintenir fermement, mais il n'a pas besoin de forcer trop, j'en ai tellement envie que son barrot m'envahit tout doucement. Je suis surpris l'instant d'uns seconde que je puisse avaler un monstre dans mon petit cul serre, mais de suite me laisse aller � sentir sa tige continuer � me coloniser.
"' Putain t'as un cul de salope toi, allez cambres toi donne moi envie de te d�foncer !''

Il rel�ve mon bas de veste, il a a peine rentr� tout son dard qu'il commence � le ressortir puis le renfiler. Ca y est commence pour moi une super s�ance de limage. Ca m'excite tellement de le savoir derri�re moi, tout habill�, fier comme un Etalon, son membre entrain de coulisser en moi.

Il se chauffe tout seul, il me met des �normes coups de reins maintenant qui me p�tent litt�ralement le cul, ses couilles viennent battre les miennes, un m�lange de chaleur, de chatouille qui me font d�lirer. Il me redresse me plaque contre lui, me prend par le col et me roule une pelle. Sa langue me d�fonce la bouche comme le fait sa queue, il me domine. Il me soul�ve presque pour mieux me p�n�trer. J'ai du mal � me branler tellement il me bouge comme une marionnette !
Il d�cule avec la m�me force, j'ai l'impression de me vider.
"'Enl�ve ton pantalon et mets toi dos sur le bureau... d�p�che !''

A peine en position qu'il m'�carte les jambes m'exhibe fi�rement cette �norme queue gonfl�e, je n'arrive pas a r�aliser comment j'ai pu l'avaler ... : Il est magnifique comme �a, le gros noeud de cravate, la chemise bleu ciel uni, le col italien, sa veste de costume marron, les �paules bien carr�es, l�g�rement cintr�es a la taille les deux premiers boutons des manches d�boutonnes, les manches de sa chemise d�passant juste ce qu'il faut pour me faire d�couvrir ses boutons de manchettes argentes. Et cette queue qui sort de son pantalon, la boucle de sa ceinture Herm�s derri�re, je me redresse juste pour lui attraper son gros p�nis.

"' Vas-y fourre moi encore, j'ai trop envie de te voir prendre ton pied en me glissant ta queue bien profond''

Il ne se fait pas prier et me la rentre dans mon petit cul qui n'est plus du tout serre maintenant. Il me baise trop bien, c'est tellement excitant de le regarder me piner. Je me redresse lui d�boutonne un bouton de sa chemise a la base de la ceinture et y glisse ma main, ... sentir la peau, les pectoraux virils de ce mec en pleine action, il se baisse sur moi et m�lange ses coups de reins virils a des palots langoureux qui me font l'�treindre a la taille pour l'emp�cher qu'il se redresse. Je veux rester comme �a, sa bite coulissant en moi, son lourd torse sur moi et sa langue entrain de m'envahir la bouche.
Il en a pas assez de me limer, il d�cule de nouveau se redresse me dis de me mettre a quatre pattes.

"' Tu vas faire le bon chien,..., je vais te baiser comme un bon b�tard, vas-y tend moi ton petit cul de salope,... t'as envie de faire saillir comme une bonne chienne ? Hein ! T'es en chaleur la ? Tu veux trouver ton �talon qui va bien te chevaucher ? Oui c'est �a remue bien du cul... Que je te mette un manche bien dur dans ton petit trou de pute...''
Il est inspir� et ses commentaires me font d�coller. Je lui tends bien mon cul et attend de le sentir de nouveau me p�n�trer.

Je me retourne et le vois se positionner derri�re moi, fl�chir ses jambes muscl�es pour que son v�rin soit pile en face de ma rondelle. Il me glisse sa queue tout doucement et peut lui caresser le dessus de ses richelieu en nübück marron fonc�, ses lacets, soulever l�g�rement son pantalon : Le mec me baise de plus en plus brutalement, sa d�licatesse du d�but fait place a un burinage en r�gle qui me fait avancer a chaque enculage profond. Il me prend par les �paules apr�s m'avoir tenu fermement par la taille puis il m'attrape le col appui fermement avec l'autre main sur le bas de mon dos pour me faire cambrer. Il manque de m'�trangler, me soul�ve et m'oblige � me redresser. Je mets les genoux sur le canap�, il me met le bras autour du cou. Me maintient contre lui et tout cela sans jamais avoir sorti son pilon de mon cul qui commence � �tre s�rieusement d�fonc�.
IL me l�che l'oreille, caresse ma cravate, glisse sa main vers ma queue qui n'a pas cess� de bander.
"' T'es sur que t'es actif toi ? T'es bien endurant et t'as l'air de bien aimer �a de te faire niquer ! Tu l'aimes ma queue ? Hein ? T'es un bon b�tard ?''
"' Putain que oui je l'aime ta queue, elle est parfaite pour mon cul. N'arr�te pas de me baiser. T'es trop beau comme �a !''.
"' C'est bien �a ! Tu vas venir t'empaler dessus maintenant. Je veux que tu me confirmes que t'es bien fais pour le poste.''

Il ressort de nouveau sa bite, se redresse et va s'asseoir comme un beau patron sur le fauteuil d'� cot�. Il s'avachit, �carte les jambes et se maintient le pieu droit vers le ciel avec son pouce. J'ai l'impression que je me suis fait tabass�, mon cul est un vrai courant d'air. Ca n'emp�che qu'avec ce pur de fantasme devant moi je ne fais pas le difficile et d�cide de repousser mes limites. Je me rel�ve, me met � quatre pattes et m'approche de lui tout en le regardant.
"' Tu le veux ce poste �a se voit, t'es un bon b�tard !''

Il n'a pas fini de me faire des encouragements, arrive a son niveau, je lui �carte les jambes un peu plus, puis viens lui laper ses grosses burnes poilues : I appr�cie puisqu'il me met sa main sur la nuque et je l'entends soupirer de plaisir. C'est m�me pas des noix qu'il a mais deux bons abricots qui doivent �tre bien juteux : je les avale chacun leurs tours, lui met des bons coups de langues puis me redresse un peu et d�cide de lui pomper le gland a travers le preso.

C'est la premi�re fois que je pompe un mec qui vient de me baiser, le contact du preso, le go�t du gel, une vague odeur musqu�e mais supportable, Je l'ingurgite litt�ralement son zob, � m'en faire des hauts le coeur. Il grogne, respire profond�ment, le mec... C'est moi qui le domine maintenant, � lui procurer autant de plaisir.

Je lui laisse la bite bien lubrifie de ma bave, me redresse et me positionne devant lui pr�t a m'empaler de nouveau. Ma queue est a la hauteur de son visage et je m'appr�te � me rebaisser quand il me la prend, la caresse tout en la regardant puis il commence � me pomper.

J'appr�cie qu'il ne soit pas totalement �go�ste dans le plan, d'autant plus qu'il me pompe superbement bien. Il aime �a aussi. Je d�cide malgr� tout de lui sortir ma bite de la bouche et je m'accroupis en positionnant ma pauvre rondelle juste au dessus de ce qui n'a pas d�band� d'un iota. Je le tiens par les �paules, on se regarde dans les yeux, caresse le tissus de son costume, glisse ma main sur son col, son noeud de cravate, son cou, son menton, ses joues, puis tout en sentant sa queue p�n�trer je lui pose mes l�vres sur les siennes : Il m'embrasse comme un fou, glisse ses mains sous mes fesses pour mieux me soulever et pour mieux me r� enculer, glisse sa main derri�re ma nuque pour m'obliger a continuer a lui rouler des pelles puissantes. Je caresse ses cheveux, le maintient aussi par la nuque pour encore mieux me donner.

Il est tellement excit� qu'il se branle litt�ralement avec moi, il me soul�ve comme si je ne pesais rien puis me renfonce de la m�me fa�on sur son pieu � un rythme soutenu. Sa respiration devient puissante, je sens que mon bel �talon n'est pas loin d'exploser. Ca ne rate pas il me fait d�culer, me soul�ve, me repousse sur le fauteuil d'en face, se l�ve du sien, se prend la queue par la base, enl�ve le pr�servatif.
"' Putain je veux te voir bouffer mon jus, ouvre ta bouche salope ! Que je te nourrisse de ma pur�e de boss. !!!''

Juste le temps de me redresser d'approcher mon visage et d'ouvrir la bouche que je re�ois la premi�re gicl�e d'une telle puissance, qu'elle me va direct au fond de la gorge au risque d'avaler de travers, le temps de reprendre mes esprits. La deuxi�me rasade abondante et �paisse s'�crase sur mon nez, mes l�vres, mes joues. Je prends la troisi�me dans la bouche, maintient la queue entre mes l�vres et sent mon �talon me remplir tellement bien la bouche que je dois avaler pour en recevoir encore.

Je le bois ce mec, j'avale sa semence � son gros biberon, le go�t, la consistance l'odeur puissante du sperme que j'ai sur le visage. Je ne l�che pas sa bite et commence � le pomper de nouveau comme un fou. De recevoir sa jute me fait monter la mienne si vite que je n'ai m�me pas besoin de me branler pour sentir le bas de ma chemise se tremper de ma jute abondante. Il r�le de plaisir, je sent tout son corps trembler sous la puissance de son �jaculation, il me maintient la t�te puis m'enl�ve la queue de la bouche et vient s'affaler a c�t� de moi.

Je me l�che les l�vres, puis comme un chat vient me mettre au dessus de cet homme �l�gant vaincu par la l'effort. Il se redresse, me prend la t�te dans sa main puissante, et me l�che litt�ralement le visage go�tant � sa propre jute. Ca l'excite puisque je sens sa queue chaude le long de ma cuisse se redresser doucement. Je lui prends la queue, l'embrasse et lui branle gentiment sa belle pine de nouveau raide.

Un sourire, il me repousse, se redresse et se tient devant moi debout. Beau comme un dieu. Je me rel�ve aussi, renfile mon slip, mon pantalon, m'assois pour me lacer les chaussures. Il s'avance vers moi, se r�ajuste ses boutons de manchettes, sa queue est toujours a l'air, elle commence � d�bander mais reste d'une belle taille joliment encadr� entre ses grosses burnes vid�es. Il me fait me redresser, me r�ajuste le col de ma chemise, me resserre et me redresse le noeud de cravate, puis m'embrasse de nouveau. Je lui caresse aussi le noeud de sa cravate : il se remet la queue dans le pantalon et je lui remonte doucement la braguette.
"' A ce soir alors, vers 20h30 c'est parfait !''
"' Ok a ce soir, merci'' Je me sens l�g�rement cong�di�, mais aux anges.
Juste le temps de me retourner en fermant la porte pour apercevoir mon boss cravat� me l�cher un clin d'oeil malicieux.

Le soir il me donne rendez-vous chez lui ; quand le chat n'est pas la les souris danses !

Il me re�oit avec un grand sourire, parait tr�s chaleureux et me roule une pelle dans l'entr�e.
"' Entre, je viens juste d'arriver, il a fallut que je passe chercher mes affaires''.
Effectivement, deux gros sacs dans l'entr�e, mon coeur fait un bon quand
J'aper�ois dans l'ouverture d'un, le bas avec un �lastique d'un pantalon beige ray� d'une large ligne bleue au milieu de laquelle passe un filet jaune. La aussi il ne m'avait pas menti il est �quip�. J'en bande d�j�.

Ce mec incarne vraiment la virilit�, le m�le : Il sort juste de la douche, ces cheveux bruns semblent encore humide : son polo blanc Fred Perry, qui lui dessine des �paules bien carr�es laisse appara�tre des spots humides au niveau du dos, signe d'un s�chage rapide. Les manches courtes lui coupent les biceps en plein milieu : les lignes rouges et noires de son polo accentuent la jolie ligne de ses muscles bien d�velopp�s. Ses t�tons pointent sous le tissu et des poils sortent de son col aux boutons d�faits. Son Levis bleu fonc� lui dessine joliment le cul et souligne son gros paquet. Une large ceinture en cuir, des superbes shox blanches ray�es de bandes gris clairs brillantes, les talons sur les ressorts rouges, la virgule blanche margin�e de rouge sur le cot� et sur le dessus en plus petit, les lacets blancs desserr�s, la grosse languette blanche le sigle shox rouge sur fond argent� au milieu, des chaussettes de sport blanche que d�couvre son jeans quand il s'assoit : Pas un d�tail ne m'�chappe. J'ai envie de me mettre a genoux et de m'occuper de ses skets, lui masser l'entrejambe en m�me temps. Je me retiens.

"' Je vois que �a te plais ! Viens me montrer de plus pr�s ton surv�t et tes tn t'es bien bandant aussi. Tu me fais d�j� triquer.'' Je m'approche de lui, il me met une main sur les fesses me rapproche de lui et fous sa t�te sur mon entrejambe ; je sens son visage contre ma tige qui grossit, la chaleur de sa bouche qui essaye de l'attraper au travers de mon surv�t Adidas blanc aux rayures rouges. Je lui caresse ses cheveux, me branle contre lui, le regarde entrain de se caresser la bite a travers de son jeans, les jambes allong�es, vue panoramique sur ses shox.

La gaule totale, il me baisse le fut apr�s me l'avoir bien imbib� puis me gobe la queue. Il me pompe divinement, l'avale � fond, je sens m�me sa langue me titiller la base de mes couilles. C'est trop bon mais je meurs d'envie de lui t�ter la queue aussi, glisser mes doigts dans ses skets. Il me l�che les couilles puis ravale ma tige, tout en sentant sa main me caresser les mollets, glisser dans ma tn sanguine.

Il va me faire monter le jus trop vite � s'appliquer comme �a. Je me baisse, l'embrasse puis me met � genou. A mon tour maintenant. Je lui bouffe direct la braguette boutonn�e de son levis et m'attaque � son cylindre qui gonfle sur la cuisse gauche. Elle va �tre tr�s tr�s vite �tre � l'�troit la dedans. Je m'allonge carr�ment � ses pieds et col mon nez sur une de ses shox. Elles ont d�j� bien servi mais restent clean. De la toile micro perfor�e rouge du dessus sort une l�g�re odeur de pied, le pur bonheur, juste ce que j'aime. Je sniffe cette sket a grand coup puis commence � la l�cher, le sigle de la languette, les oeillets des lacets, les fines lignes argent�es qui me font aller directement a la semelle. Je glisse ma langue sur les ondulations des ressorts puis lui prend la cheville me redresse et colle mon pif entre ses chaussettes et sa sket pour humer sa bonne odeur de male.

"' Putain t'es vraiment bien chaud comme mec toi, c'est bien bandant de t'avoir a mes pieds... clean bien mes skets fais bien le b�tard !'' Je donne � fond, remet des bons coups de langue, le regarde en m�me temps et lui attrape son gourdin dans son jeans. Il aime �a effectivement. Il se penche, me malaxe le cul, puis me prend un de mes pieds et me d�chausse. Il se met parterre aussi et se met dans la position d'un bon Sket69. Il me met le pied entier dans sa bouche, je le sens respirer � fond. Puis se met le nez dans ma tn. Je lui d�boucle la ceinture, d�boutonne la braguette et lui sort sa queue, a m�me son jeans. Je passe de ses shox a sa queue puis lui enl�ve une de ses shox, la pose sur ses couilles, me la colle sous le nez tout en m'activant sur son braquemart. Il me baisse un peu plus le surv�t et apr�s m'avoir donn� quelques coups de langues sur les bourses commence � me l�cher la rondelle. Je sens sa langue rentrer dedans, son nez dans ma raie.

Il me retourne, me met � quatre pattes, m'�carte les fesses avec ses grosses paluches et me bouffe le cul comme un fou : j'ai gard� sa shox que je l�che et sniffe comme un fou aussi. Il pourrait me bourrer comme �a direct qu'il ne trouverait aucune r�sistance tellement j'en ai envie.
Je sens sa salive couler sur mes couilles, il me d�vore le cul. Il se redresse, me colle sa queue tout le long de la raie, se plaque sur mon dos et me glisse � l'oreille...
"' T'en as envie hein ! Que je te mette ma bite bien profond ! Elle a envie de se faire tringler la petite caillera'' :

Il me met des coups de bite sur le cul. Me frappe la rondelle a coup de gland. Il se met une capote comme un vrai expert, l�che un gros mollard sur ma rondelle et me force la rondelle se tenant sa queue bien raide.
"'Vas-y �carte les fesses, avale ma grosse pine petite frappe !!!''
La salive ce n'est pas le top comme lubrifiant. Mais ces petites phrases bien lanc�es me font me l�cher et je sens ma rondelle se desserrer et laisser place a cet obus qui me remplit le fion.
Il me d�chire et le sens continuer � s'enfoncer en moi. Ces couilles chaudes se plaquent contre les miennes.
"' T'es un bon encul� toi Hein !!!! T'es bien qu'avec une bite au cul petite pute !!!''

J'ai � peine susurr� un oui qu'il retire son noeud de moitie et qu'il me le met jusqu'a la rade dans la foul�e.
"'Dis moi que t'aimes �a salope ! Hein ! Dis moi que tu veux te faire niquer comme une bonne chienne !''
"' Oui n'arr�tes pas de me limer, fou moi ta queue bien profond, d�fonce mon cul de pute !''
Il me met des coups puissants, il m'�touffe mes cris en m'�crasant sa shox sur la figure.
Il d�cule enl�ve la capote puis me demande de le pomper. Je respire, il m'a vraiment p�t� le cul la il me fallait une pause. Je me r�gale de sa grosse bite et le pompe longuement. Il continue � sniffer ma tn et je sais qu'il kiff a la tension dans sa bite. Il bande comme un fou lui aussi.
"'Pause mec ! C'�tait juste l'ap�ritif �a... ! Toujours envie d'un sc�nario avec un flic ?
"' Oui bien envie de te voir en uniforme. "'

Il me serre a boire, ouvre quelques g�teaux ap�ritifs.
"' Je te laisse t'amuser avec mes shox, tiens voila la zapette, je vais me pr�parer et je reviens.''
Il retire son polo et je vois appara�tre son torse extr�mement viril, ses pectoraux joliment form�s, ses abdos discr�tement dessin�s. Ce mec est un faux h�t�ro, il s'entretient et il est superbe. Sa carrure, de dos l�g�rement en V. Je n'en reviens pas de la chance que j'ai de faire ce plan...

Il met du temps pour se pr�parer, je n'ose pas me lever pour aller voir, d'autant plus qu'il a du repousser le porte du salon expr�s, alors j'attends sto�quement en grignotant, la soir�e flic a commenc� sur la 2, la mienne va pas tarder non plus. Je caresse ses shox, du 46, belle pointure, elles sont grandes, il y a d'autant plus de surface � explorer et � l�cher... J'aime son odeur, juste ce qu'il faut, une vague odeur de sperme, il a du d�j� se les faire, je l'imagine entrain de se branler dedans, cette grosse queue s'installer dans toute la longueur de la sket, ses couilles lourdes a la place du talon, son gland taper le fond et y d�verser sa cr�me de male : J'en bande de nouveau. Je Grignote, sirote, et attends patiemment... je ne savais pas qu'il fallait tellement de temps pour enfiler un uniforme de flic...

J'entends du bruit derri�re la porte. La porte s'ouvre violemment
"'Eteins la t�l�, a genou les mains derri�re la t�te !''
Je sursaute et fais tout de suite ce qu'il me dit. Il vient de me gueuler dessus et va s�rement mettre en �veil tout le voisinage. Comme un con je me suis mis dos � lui, je ne peux pas le voir, mais en regardant en face de moi je le vois dans la glace du buffet de la salle � manger. Je d�faille ; Le CHIP's de mon enfance est en r�el derri�re moi. Je n'en reviens pas, il a la totale, le casque dore et bleu avec la visi�re, les lunettes de soleil, les bras allonges dans son blouson en cuir, les mains gant�es de noir, le flingue point� vers moi dont je ne tarde pas � sentir le canon froid sur la tempe.
"'Bouge pas, mets tes mains bien derri�re la nuque !''

Sa grande botte en cuir noir me fr�le la jambe, je peux voir les lacets sur le coup de pied, puis ceux sur le cote haut de la botte. Son mollet moul� dans ce cuir �pais et reluisant. Dans ces bottes il me parait encore plus grand, je me redresse un peu juste pour me prendre une baffe.
"' Bouge pas je t'ai dit !''
Il m'enfonce le canon dans la joue, se penche et de l'autre main va chercher dans son dos des menottes qu'il me met avec une certaine dext�rit� et violence. Je n'avais jamais fait un plan avec des menottes, je ne pourrais plus le dire. Me voila donc la face contre terre, menott� dans le dos et le poids de ce mec sur sa botte qui m'appui sur le dos. Il se redresse, remet son flingue dans le fourreau, y garde une main sur la crosse.
"' On va voir si t'es coop�ratif petite frappe. Montre moi ce que t'as dans le ventre maintenant !''

Vu ma position je ne peux que faire la limace ou lui l�cher les bottes, je choisi de m'attaquer au talon puis tend mon cou pour remonter l�g�rement et satisfaire mon officier de police. Il me facilite la tache, bon signe, il me met sa botte sous le nez, je peux me r�galer de ce cuir de ce parfum fort qui me met directement la trique. Ma langue glisse partout, les fins lacets noirs dont le noeud un peu plus haut me chatouille le front, les fines coutures tout autour ou qui descendent � la naissance du talon. Une main gant�e vient m'appuyer sur la t�te :
"'Applique toi, fais �a correctement si tu ne veux pas que je te d�molisse !''

Il me garde la main sur la t�te, me caresse la joue, je lui l�che ses doigts gant�s puis repasse a la botte puis de nouveau un doigt.
"' C'est bien b�tard, tu commences � comprendre ! Rel�ve toi''
Je ne me rel�ve pas assez vite car il me prend par les menottes, me d�chire les poignets : Il me plaque contre le fauteuil, me glisse une botte entre les jambes et appui son genou sur mon torse. Comme �a je peux admirer ce mec. Mon fantasme incarne. Son pantalon beige qui lui moule ses cuisses muscl�es, le long cylindre sous le tissu qui t�moigne de l'excitation de mon officier et concurrence la longue matraque sombre pendant � la ceinture et qui touche presque le bas du genou et sa botte.

La couture qui renforce les genoux, la naissance de la pi�ce arrondie qui renforce et prot�ge les fesses des motards, les poches cavaliers, les deux poches avec rabat sur les fesses, les deux niveaux de ceintures, larges en cuir noir, la premi�re entrecoup�e par les larges passants du pantalon, la deuxi�me charg�e des magasins a munitions, la grosse matraque, le talkie dans son �tui en cuir d'o� part le c�ble torsad� qui lui barre le torse et vient s'accrocher a l'�paulette droite sous forme d'un petit haut parleur noir.

L'�tui de son flingue, imposant, plaqu� contre la taille, l�g�rement pench�, la crosse d�passant et lui rentrant dans le flanc, la grosse flash light pendue, des clefs, l'�tui a menottes, un autre �tui encore, la naissance de sa chemise beige Kaki puis le blouson en cuir l�g�rement plus court dont la premi�re partie assez large pourrait aussi recevoir une ceinture. Le blouson ouvert laisse appara�tre la cravate bleue maintenue par une �pingle � cravate au milieu, des pi�ces m�talliques dor�es fix�es sur les pointes de col, ... :

Je plaque mon visage contre son entrejambe et applique mes l�vres contre sa queue, il me caresse le visage avec sa main gant�e, son blouson en cuir crissant l�g�rement. Il me met des coups de reins et m'�crase � chaque fois la face. Il me prend la bouche appui fermement pour m'obliger � l'ouvrir. Il me glisse un doigt puis deux et manque de me faire vomir plusieurs fois.
"' Ben alors ! T'es pas une gorge profonde... laisse moi essayer autre chose alors !''
Il prend sa matraque, la d�gaine de l'anneau, puis vient me mettre le bout dans la bouche. La encore il manque de m'�trangler. Je referme mes l�vres des qu'il me desserre un peu l'�tau de sa main droite et me met en devoir de pomper sa matraque comme si je m'occupais de sa propre matraque en chair.

"' Et bien ! Il a faim le petit salaud, il veut biberonner le petit b�tard... ? J'ai ce qu'il te faut !''
Il me maintient la gorge, soul�ve l�g�rement la ceinture, se dezipe son pantalon moulant et sort sa superbe bite qui bande mou mais qui a d�j� une taille plus qu'honorable. Il me force � l'avaler et me voila de nouveau avec son gros morceau dans la bouche entrain de me r�galer. Je rel�ve mes yeux pour observer ce male qui se d�lecte � me regarder le pomper.
"' T'aime sa petit b�tard ? Hein ?''

Je remue la t�te par l'affirmative tout en continuant � m'occuper de son gourdin qui fini par prendre l'ampleur et la duret� qui m'emp�che de pouvoir l'avaler enti�rement. Il d�fait la bride de son casque, le soul�ve et le pose juste � cote tout en v�rifiant bien que je continue mon boulot correctement. Il enl�ve son blouson en cuir ensuite :
"' Tu me donnes chaud petit salaud, putain, j'aime voir des petites frappes bien coop�rante !''

Cette chemise le rend encore plus baraqu� ; les deux poches poitrines avec rabat, la large �toile accroch�e sur le haut gauche tandis qu'un badge dor� barre celle de droite, une fourrag�re comme une cha�ne dor�e d�marre sous le col droit puis lui court sous le bras. Les gros badges � fonds bleus de la police de Californie, plaqu�s contre ses larges �paules... Il replace le speaker du talkie � son �paulette gauche puis enl�ve ses Ray ban et glisse une des branches dans la pochette droite de sa chemise. Il se comporte comme le vrai flic macho, il me regarde vient prendre sa bite a la base, me prend la t�te de l'autre et commence par me baiser la bouche. Il sort sa queue, me frappe avec me mettant de ma bave sur la figure puis me la redonne a sucer, juste le gland puis me l'a met a fond de gorge qui me donne des hauts le coeur et me font baver encore plus.
"' Putain applique toi petit PD si tu ne veux pas que je te flingue avant de t'avoir fourr� !''

Liant le geste a la parole, il me glisse le canon de son revolver sur la joue et me l'enfonce au cot� de sa bite dans ma bouche. Un m�lange d'excitation extr�me d'�tre aussi bien soumis a cet homme, la peur de ne pas savoir si c'est un vrai ou un gun factice, dans tous les cas coince comme je suis, je ne peux que faire le maximum pour faire plaisir au bel officier.
"' Bonne bouche a queue ? Tu pourrais t'en prendre deux en m�me temps, on va voir si ton autre trou a bite est capable d'en faire autant !''
Il m'�te la bite de la bouche, dans un grand bruit de sucions...
"'Une vraie pompe a bite !''
... me fait me lever me retourne et me fait me plier sur le ventre sur le bras du fauteuil.

Il me baisse le surv�t, me fait mettre les mains plus haut puis commence � me molester les fesses avec ses mains gant�es. Je vais encore me faire s�v�rement d�foncer le cul et j'ai peur de ne pas tenir longtemps. Son coup de queue d'il y a une heure a peine a �t� assez douloureux. Je me calme un peu et respire quand j'entends le bruit d'un tube de gel qui arrive � sa fin. Une grosse noix froide en plein sur la rondelle puis quelque chose d'aussi froid mais �pais qui me p�n�tre. Il est entrain de m'enfiler sa matraque et je sens sa queue raide et chaude me fr�ler les fesses. J'en suis sur maintenant.

"'Laisse moi voir si ton boul de racaille est capable de se prendre des gros calibres !!! Ouvre bien ton cul salope.''
C'est ce que je fais, mais je sens cette matraque continuer � rentrer, je ne sais pas combien il m'en rentre mais j'ai l'impression qu'il me repousse tout a l'int�rieur, Il l'a fait coulisser maintenant puis la bouge en m�me temps. Il est entrain de m'agrandir le trou et de tout me faire bouger dedans. Ca me fait pousser des grognements
"' Ben alors petite fiote ! T'es sensible du cul ?''
Il m'enl�ve sa matraque apr�s ce qui me semble avoir �t� trop long et ne me laisse pas le temps de reprendre contact avec ma rondelle que celle si re�oit de nouveau une noix abondante de gel suivi de sa queue que je re�ois avec �norm�ment de plaisir.
"' Tu l'aimes cette bite mon beau salaud ! T'es accroc a la queue petit b�tard ?''

J'acquiesce et remue mon cul, ce qui lui fait me mettre des coups de reins puissants. Je prends sa pine enti�rement plusieurs fois de suite dans un bon rythme, je sais le male endurant et lui donne mon cul pour notre plus grand plaisir. Il me tient par les �paules, puis par les hanches, il me l�che de temps en temps et ne suis plus en contact avec lui que par le manche �pais qui me lamine la rondelle et les diff�rents cliquetis de son harnachement de flic dont je ressent de temps en temps le froid contact de ses boucles de ceintures sur le bas du dos.
Il d�cule, m'enl�ve mes tn, me vire mon bas de surv�t, me remet les tn, puis me retourne fermement, maintenu par les menottes il m'en d�fait une avec la clef de sa ceinture puis me rattache aussit�t les mains devant.
"' Tu vas te mettre sur le dos bien gentiment, j'ai envie de te voir prendre ton pied quand je te fourre ma grosse bite dans ton cul de racaille ! "'

S'il savait comme moi aussi j'ai envie de le voir me baiser, regarder son visage rempli de spasme quand il me bourre le cul, qu'il n'est pas loin de la jouissance, son cou sortir de ce col d'uniforme, son noeud de cravate, sa cravate bleue bouger au rythme de ses d�hanch�s, ...
Il m'�carte les jambes, me soul�ve par les cuisses et n'a pas de mal a me remettre son membre raide au bon endroit. Je le regarde et je pense avoir le m�me regard extatique que lui quand il commence de nouveau � me limer. Mon mollet repose sur la crosse de son revolver, tandis que le gauche glisse sur les magasins en cuir froids, la matraque, ...
Il me met une de mes jambes sur son torse et positionne ma tn sur sa cravate bleue tout en me baisant, puis la redresse et se met � la l�cher et sniffer de temps en temps, cette image m�lang�e a son pilonnage intensif, le fait que je puisse fr�ler ma queue malgr� mon entrave, je me sens jouir.
"' Je viens !''
"'Vas-y jute b�tard ! Ouai hummm ! Putain mais t'en finis pas ! Bonne chienne !''

Je pense que lui est � point aussi puisqu'il se retire s'enl�ve sa capote, m'�carte les jambes puis vient se plaquer contre moi. Il se tient la base d'une main puis branle de l'autre main gant�e. Sa queue dirig�e vers moi � t�t fait de me larguer de superbes gicl�es qui me tombent sur le menton, le front et les cheveux, le ventre puis vient se m�ler a ma jute. Il frappe sa queue contre la mienne qui s'est remise � bander sous l'excitante beaut� de ce spectacle.

Il reste devant moi, prostr�, sous le coup de cette jouissance, son front perlant de sueur...
Il bouge, enl�ve ses gants, les glisse dans sa ceinture, puis d�tache la clef qu'il a sa ceinture et vient m'enlever les menottes. J'ai les poignets marqu�s et douloureux. Il remet tr�s professionnellement ses menottes dans le dos puis s'approche de moi, me passe un chiffon et m'aide � me relever. Je suis cass� mais tellement content que je lui d�croche un merci suivi d'un gros sourire qui en dit long. Lui aussi me gratifie d'un sourire qui lui illumine son beau visage carr� de mec fier de lui.
"' Alors ? �a t'a plu ?''
"'Je ne pouvais pas r�ver mieux, t'es superbe en uniforme, d�j� que tu l'�tais en costume cravate, ...''

Pas le temps de continuer qu'il se plaque contre moi et me roule une pelle divine : Je peux le caresser maintenant, sentir la toile de sa chemise. Les coutures de ses poches, les d�tails de ses ceintures, les magasins en cuir dur, sa longue matraque, la texture de son pantalon, les lignes bleue et jaune, glisser mes mains sur ces fesses fermes, remonter dans son dos toucher ses badges, la peau de sa nuque qui sort de son col...
J'en bande de nouveau et je peux sentir que lui aussi, a la sensation que son membre chaud fait en remontant contre moi.

Je ne sais pas combien de temps on reste � s'embrasser comme �a mais c'est tellement bon que je ne souhaite pas que cela s'arr�te.
"' Tu veux prendre une douche ?''
"'C'est pas de refus''. Je prends mon verre, "' Tu permets que je regarde le bel Officier se d�shabiller ?''
Il me r�pond par un grand sourire presque timide, "' accord� si �a t'excite. "'
"'Oh que oui �a m'excite !'' Et le voila entrain de me faire un striptease.

Il s'enl�ve sa cravate, d�j� toute faite, qu'il m'envoi, d�boutonne sa chemise laissant appara�tre son tee-shirt blanc qui lui fait appara�tre ses t�tons et la formes des ses pectoraux : D�boucle la premi�re ceinture qu'il me tend.
"'Elle est bien lourde avec tout cet �quipement !''
"'C'est du sport de baiser avec tu vois !''
Il s'assoit, desserre les lacets de ses bottes et m'invite � les lui enlever : Je lui caresse ses grandes bottes avec r�gal et les lui retire. Il se redresse, enl�ve son tee-shirt blanc puis baisse son pantalon apr�s l'avoir d�boucl�. Chaque �tape de cet effeuillage est splendide : Il est nu en face de moi maintenant...
"' Ben alors ? Pas encore a poil ? C'est l'heure de la douche maintenant.''
Je me d�sape et le rejoint. Risque m�me une main sur le galbe de ces fesses, Ca doit �tre un pur bonheur de s'y enfoncer aussi.
"' Pas touche beau gosse ! C'est moi qui te saute !''
"' Pas de soucis, �a me va tout � fait aussi !''

Nous nous sommes habill�s et sommes sortis d�ner comme pr�vu. Histoire de discuter un peu et surtout de me reposer la rondelle. Mon bel homme mari� avait encore envie de m'allumer, un jeans Levis d�lav�, un sweater Puma bleu et noir, de superbes tn en cuir noir et un teddy redskins en cuir noir. Rien que de le mater dans la rue ses mains dans les poches, sont cul bien moul� dans son Levis avec son cuir... j'avais de nouveau envie de baiser avec lui.

De retour chez lui, dans l'ascenseur, les pulsions reprennent vite le dessus, il me plaque contre le mur, me roule une pelle qui me d�monte la m�choire. Il a envie de me baiser, j'ai envie qu'il me baise. Sa main me masse la rondelle, je lui branle la queue a travers son jeans, nos tn se touchent, nos cuirs se frottent.

A peine arriv� chez lui que je me jette sur ses tn et que je lui l�che et sniffe a fond, trois heures dedans, il a eu le temps de les chauffer. Le mec a la gaule directe, une main entre ses jambes, mon pif sur une de ses tn noire, mon autre main entrain de glisser dans l'autres entre sa chaussette et sa sket. Il se penche et me prend une de mes tn, les noires en toile avec les filets noirs puis bleus puis blanc. Il se l'a met directement sur le nez puis lui met des gros coups de langue aussi... le pied.

Il s'allonge parterre et c'est reparti pour un sket 69. Il me bouffe la chaussette, tout en sniffant ma tn, l�che mon autre tn rest�e a mon pied, caresse mon mollet, rel�ve le jeans et me l�che. Je m'applique sur ses tn pendant ce temps la, je lui en enl�ve une me d�lecte de cette ti�de moiteur parfum�e qui en sort, il a du les charger plusieurs fois celles la, car elles sentent bien la jute, je l�che l'int�rieur de la languette, puis toutes les parties en cuir, le contact sur ma langue en est tripant.

Je lui l�che les orteils � travers ses puma blanches puis reviens sur ses tn. Il se redresse se met a quatre pattes sur moi, me d�boucle le jeans, me sort la queue et commence � me pomper la tige raide � m'en faire mal. Je n'ai qu'a me redresser lui lib�rer son mastard pour faire la m�me chose. Cette grosse queue mouille � fond, son go�t me fait mouiller � mon tour, je l'entend grogner de satisfaction pendant qu'il me pompe, sa main glisse dans mon Levis, il me caresse les couilles, glisse vers ma rondelle, puis me reprend la base de la queue pour me l'avaler enti�rement. Dans cette position, ses grosses burnes pendent bien et je me r�gale � les avaler l'une apr�s l'autre tout en faisant coulisser ma main sur sa queue tellement raide qu'elle en est plaqu�e le long de son ventre et mouille son sweater puma.

Le d�licieux crissement de nos cuirs, le contact de ma main passant de son Teddy aux poches de son Levis : je suis carr�ment en rut.
Il fait chaud, il se redresse, s'enl�ve son Teddy, son sweater, son tee-shirt, il s'affale sur le dos parterre, torse nu, le jeans ouvert sa grosse queue bien raide. Je fais pareil puis me jette sur cette pine pour lui laper la mouille m�l�e � ses poils autour du nombril. Puis tout en lui tenant sa pine fermement, je remonte et lui l�che ses abdos gonfles, ses pectoraux virils, je lui pompe ses t�tons bien saillant, il l�ve les bras et me donne ses aisselles, je l'embrasse dans le cou derri�re les oreilles et sens ce bel �talon a ma merci, il est en train de fondre... je pose mes l�vres sur les siennes et c'est moi qui lui p�n�tre la bouche et l'envahi de ma langue.
Je lui maintiens la t�te avec mes mains, les siennes me caresse les �paules descendent dans le creux de mon dos et se posent sur mes fesses.
C'est trop bon de sentir mon torse contre le sien, sentir sa queue br�lante sur mon bas ventre,... .

Il reprend ses esprits car il me retourne et me voila main tenant sous lui, il continue � m'embrasser, puis descend me l�che a son tour les pecs, me mordille les t�tons longuement puis me pompe goul�ment. Je passe ma main dans ses cheveux caresse ses oreilles glisse mes doigts sur ses l�vres qui coulissent sur mon membre.

Il se redresse, se met une de mes tn sur le nez et se branle en m�me temps. J'enl�ve mon autre sket, lui prend la queue et l'y glisse dans ma tn ti�de. Le mec grogne, prend la tn � deux mains et commence � se branler ou plut�t me donner un avant-go�t de ce que je vais prendre dans le cul un peu plus tard... Il est super bandant comme �a, je me redresse, lui caresse ses pecs tout en lui travaillant les t�tons, je me l�ve, passe derri�re lui, pose mes mains sur ses �paules, redescend, et lui tiens ma tn qu'il est entrain de tapisser de sa mouille. Je l'embrasse dans le cou et sent son pouls, sa respiration qui montre une excitation intense. Il se l�ve a son tour m'embrasse me baisse le jeans puis me demande de me mettre a quatre pattes.
"' Je veux te bouffer la rondelle, j'ai trop envie de te l�cher ton petit cul de pd...''
Il se positionne derri�re moi, je me cambre et lui donne ma rondelle en chaleur et attend impatiemment le contact de sa bouche sur ma raie, son haleine ti�de d'abord, ses mains sur mes lobes qui les caressent puis me les �cartent. Il me d�vore la rondelle, me mord les fesses me l�che les couilles, puis introduit sa langue dans mon trou. Il me donne une de ses tn dans laquelle je mets tout de suite ma t�te pour profiter au maximum de l'odeur de ce mec.
Il me monte dessus, encastre sa queue le long de ma raie, m'entoure de ses bras muscles, me mordille l'oreille puis me dis :
"' J'ai envie de te prendre, te baiser comme un fou...''
"' Ne me demande pas la permission, fourre moi ta grosse pine et nique moi � fond, j'ai envie de te sentir en moi...''
Il ne se fait pas prier, il se l�ve, enl�ve son jeans, renfile ses deux tn noires, s'�clipse deux secondes, revient avec une paire de tn grise en cuir qu'il me tend,
"' Tu vas pouvoir t'en occuper, tu vas bien les cleaner pendant que je te d�fonce ton bon petit cul de pd !''
Je suis ravi...
"' Viens me mettre la capote si tu veux que je t'encule mon petit b�tard !''
Je prends le sachet qu'il me tend, le d�chire et viens lui appliquer le condom sur son gland. Je la d�roule tout le long de cette verge qui se tend encore anticipant le fait qu'elle va p�ter de la rondelle.
"'En position mon salaud ! Donne-moi ton trou de lope ! Je vais te faire couiner !''
Il prend le gel, m'en inonde la raie, vient se placer derri�re moi puis force ma rondelle. Je ne peux m'emp�cher de geindre quand je le sens m'envahir. Putain qu'elle est bonne cette queue, j'en veux tellement plus que je tortille du cul pour qu'il me p�n�tre encore plus. Ce qu'il fait, il me la met jusqu'a la rade, m'�crase ses couilles et reste en moi comme �a. Je sens son haleine sur ma nuque, sa joue contre mon oreille...
"' T'es le meilleur coup depuis bien longtemps, T'as un cul d'enfer, elle est trop bien ma bite dedans''.
Et avant que je ne r�ponde, je sens sa queue se retirer puis me renfiler de nouveau. Je d�lire, je m'occupe de cette nouvelle paire tout aussi bandante, hume son odeur de male qui en ressort, me caresse dessus, l�che le moindre d�tail, tandis qu'il me pilonne le fion comme un vrai pro, sa queue coulisse en moi comme une machine bien huil�e, je ne peux m'emp�cher de couiner comme il dit, lui dire que j'en veux encore, de ne pas s'arr�ter. Le rythme acc�l�re avec puissance. Il me retourne et me prend par devant, mes mollets sur ses �paules muscl�es, ses mains tenant fermement mes cuisses pour me limer au plus profond. Il va me baiser dans toutes les positions en s'arr�tant de temps en temps pour mieux me reniquer ensuite : Je ne sais pas combien de fois je dois r�sister a l'envie de ne pas jouir.
Il fini par me donner son gros gourdin � pomper, dans la pr�cipitation, et me gratifie d'une abondante jute bien �paisse qui me tapisse le palais. Je n'en perds pas une goutte et me d�lecte de son nectar de super m�le en rut. Tout en ressentant les contractions de son membre en train d'�jaculer, il me branle et sans grande difficult� me fais juter de suite. Il se baisse lui aussi, me pompe, me l�che le sperme sur le ventre, puis me sourit et vient m'embrasser de nouveau.
"'A la douche puis au pieu mec ! Il se fait tard !''
Je m'endors � son cot�, totalement lessiv�, mais tellement heureux de cette journ�e que je me sens partir avec un sourire aux l�vres.
Vers 5 heures je suis r�veill� par ses caresses persistantes et surtout par sa queue qui me p�n�tre de nouveau. A moiti� dormant, � moiti� �veill� je me laisse aller � sentir ce mec insatiable me p�n�trer et me baiser de nouveau comme un dieu. Sa chaleur, son corps viril contre mon dos, ses cuisses muscl�es et poilues au contact de mes fesses, ses bras qui m'enlacent, sa langue m�lang�e a la mienne, ses soupirs, il jouit en moi, me fait jouir puis s'endors contre moi, sa queue encore en moi.
10 heures, j'ai dormi comme une tombe. Mon bel Etalon est la debout, entrain de pr�parer ces affaires, nu et tellement beau.
"' Bien dormi ? Dors encore un peu si tu veux, je descends chercher des croissants et je te mets ma sucette dans la bouche des que je reviens...''
"' Hummmm mon d�jeuner pr�f�r�, je t'attends !!''
Je me rendors et suis effectivement r�veill� par son gourdin bien chaud qu'il a d�ball� de son surv�t. Une bonne grosse saucisse molle qui me couvre les l�vres. J'ai juste � ouvrir la bouche et le bel �talon pousse un soupir de contentement et me le prouve en me faisant raidir son manche. Le mec est sap� comme une pure racaille. Pour mon plus grand plaisir ; Il a sorti sa bite d'un surv�t Nike noir, il a un polo Lacoste rouge sous son Teddy Redskins noir, ses chaussettes blanches Nike qu'il a remont� sur son bas de surv�t, les tn toiles rouge avec la semelle noire. Il est tellement bandant comme �a, il sait que je vais me donner � fond. Je lui aspire sa queue et le fait g�mir de plaisir.
"'Putain t'as faim mon salaud ! Tu l'as veux ta pur�e d�s le matin ? "'
Et sa cr�me ne tarde pas � venir me remplir la bouche. Il jouit des litres et me r�gale de son jus �pais qui me coule dans la gorge. Il enl�ve les draps puis vient me prendre la queue et commence � me pomper. Il me caresse, me passe les mains partout et c'est un pur r�gal de le caresser aussi, sentir le cuir de son Teddy sur ma peau, le nylon de son surv�t, les reliefs de ses tn, ... Il me fait jouir et a son tour go�te a ma jute, il l'a boit carr�ment et semble ravi puisqu'il se redresse et vient m'embrasser.
"'Reste comme �a s'il te plait !'' Lui dis-je, "'laisse moi go�ter a ton cul ?''

Il semble h�siter puis ne bouge pas et acquiesce.
Je vais bouffer la rondelle � ce macho de mec. Il est trop bandant comme �a, a quatre pattes sur le lit, son cul moule dans son surv�t, son polo rouge qui d�passe de dessous son cuir, les jambes �cart�es, ses pieds dans ses grandes tn en 46, dont je vois toute la semelle.
Je lui caresse le cul, lui baisse doucement le surv�t, lui met une l�g�re pression pour qu'il se cambre. Sa raie bien poilue, je d�couvre sa jolie rondelle toute rose sous les poils et viens y mettre un premier puis un deuxi�me coup de langue qui a ses g�missements me fait dire que je peux continuer.
Il m'offre sa rondelle et je commence � la lui laper avant d'entreprendre une exploration un peu plus profonde avec ma langue, un go�t, un parfum musqu�, juste ce qu'il faut.
Il appr�cie et me laisse p�n�trer ma langue dans son trou qui se d�crispe lentement me permettant d'aller plus loin. Il aime puisque qu'il me met une main sur la nuque, me force � continuer.
"' Vas-y bouffe moi le cul ! Humm trop bon comme sensation !''

Il � l'air de d�couvrir, serais-je le premier � lui l�cher le cul ? Je m'applique du coup, et essaye de lui glisser un premier doigt bien lubrifi� par ma bave dont j'ai abondamment tapiss� sa raie. Son cul se contracte puis tout doucement me laisse le p�n�trer. Je le fait coulisser et sens qu'il aime puisqu'il marmonne des Oh oui qui en disent long... Il se pourrait bien que je puisse le baiser ce bel �talon un de ces jours... En attendant je tente un deuxi�me doigt puis un troisi�me. Il me prend la main, prend la mesure et tente de d�couvrir ce que je lui fais, puis me maintenant la main commence � se doigter lui-m�me. Le pied, s'il aime se prendre trois doigts il va s�rement aimer se faire limer, j'en bande.
"' T'aurais envie de me niquer ? Me dit il avec un sourire vicieux !''
"' T'as un cul superbe, et suis sur que ta rondelle vierge aimerait se faire dilater !'' Je prends un peu d'assurance et tente ma chance.
"' Et bien il se peut que je te donne la primeur de me prendre les fesses un de ces jours, C'est la moindre des choses que je puisse faire pour toi, tu es un parfait encul�, serais bien tent� de tester l'enculeur...''
C'est trop d'honneur. Il me prend dans ses bras, on s'embrasse et je sens � la raideur de sa queue que de lui avoir travaill� le cul ne l'a pas laiss� indiff�rent.
On d�jeune, puis je le laisse remettre de l'ordre. On a pr�vu de se revoir vers a 16 heures. Je passe le prendre en voiture et le d�pose a la gare.

A 16 heures pile je suis devant chez lui, suis curieux de voir comment ce beau mec va se saper pour reprendre son r�le d'h�t�ro bon p�re de famille.
Je le vois sortir et il me fout la gaule direct, il me sourit, l'air de comprendre a la t�te que je fais qu'il me plait : Une chemise bleu ciel RL, un Levis bleu fonc�, une ceinture en cuir marron, une veste droite en velours marron fonc�, une veste Barbour vert kaki, le col en velours c�tel� marron relev�, et des boots Timberland en nubuck marron fonc�. Le vrai gentleman farmer avec la touche de virilit� qu'il faut.
"'En voiture... !''

Assis � cote de moi, je ne peux m'emp�cher d'aller lui mettre la main entre les jambes et de lui caresser sa grosse bosse. Il bande comme un fou, comme moi...
Une fois arriv� � Montparnasse, je plonge dans les souterrains de Pasteur, il a envie d'essayer un plan ext�rieur et je suis ravi de servir de cobaye. Je me gare le plus loin possible de la sortie, le coin � l'air calme, tous les parisiens sont d�j� partis depuis jeudi apr�s-midi.
"'On a une heure, c'est pas mal non ?'' me dit-il avec un regard malicieux.
J'enl�ve ma ceinture, me penche et plonge dans son entrejambe. Il �carte les jambes et m'invite ainsi � m'en occuper. Je lui d�boucle la ceinture, lui d�boutonne la braguette et lui sort sa grosse tige gonfl�e de son calbut.
"'Elle est trop trop bonne ta queue !'' Et je l'engloutis pour son plus grand bonheur.

Je le pompe comme un assoiff�, glisse mes mains sur ses cuisses, sa chemise sous sa veste, soul�ve un peu le jeans en d�couvre la douceur du nubuck du contrefort de sa timberland, les oeillets m�talliques, les coutures, le lacet �pais, le logo brod� en plus clair sur le cot�, la grosse semelle r�che crant�e que je visite du bout des doigts. Je suis cass� en deux, le frein a main me rentre dans les cotes mais c'est trop bon de pomper se mec qui me donne sa pine � biberonner.

Il ouvre la porti�re contourne la voiture et vient se mettre debout face a la mienne, la queue raide et les couilles qui pendent sur son levis. Je baisse la vitre et ravale son membre de suite, il glisse une main derri�re ma t�te et me met quelques coups de reins.
"'Vas-y pompe la bien si tu veux que je te donne ta dose de pur�e b�tard !''

Je m'applique oui, je ne sais pas quand je vais la revoir sa grosse queue juteuse, alors je savoure...
Il ouvre la porti�re et me fait sortir c'est lui qui s'appui dos contre la porti�re arri�re. Je m'agenouille et me remet � lui gober sa matraque, je remonte, l'embrasse longuement, lui d�boutonne la chemise, caresse ses pecs poilus puis redescend sur sa tige qui perle d�j�.
Le mec est superbe, les jambes �cart�es dans son jeans, bien plant� dans ses grosses timberland, son Barbour, sa veste, sa chemise ouverte sur son torse joliment dessin� et son membre �pais bien raide. Je le pompe sans m'arr�ter, passe des ses couilles a ses timberland, et de ses abdos de nouveau vers ses couilles.

Il n'avait pas pr�vu que l'on baise la, de peur de se faire gauler, mais j'ai trop envie de me prendre sa gaule une derni�re fois et sans qu'il s'en rende compte, je baisse mon surv�t laissant appara�tre mon jockstrap, je lui d�roule une capote. Il me regarde surpris,
"'On ne peut pas faire �a ici !''
"'Y'a personne ici'' je me redresse, ouvre le coffre pose mes mains sur le rebord et lui tend mon cul. "' Am�ne toi, viens me foutre ta bite dans le cul !''

Le s�same pour moi, il se positionne derri�re moi, je lui verse du gel sur sa tige, la lui enduit, me tartine la rondelle, jette le tube dans le coffre lui reprend la pine et me l'enfonce dans mon cul affam� qui l'avale direct. Ce pieu rentre tout seul. Je m'empale sur sa bite, j'en veux tellement et lui met de tels coups qu'il est oblig� de s'accrocher a ma taille.
"' Putain t'es un enrag� d'encul� toi, vas-y astique moi la queue avec ton cul salope !''

Il prend le relais et me pilonne le cul comme un fou, il decule, me frappe les fesses avec puis me la remet direct, puis la ressort encore pour mieux me la remettre dans le fondement : J'ai envie de gueuler tellement je prends mon pied, je sens que lui aussi kiff un max vu les coups qu'il me met et sa respiration.
"' Je vais pas tarder a juter... Ahh putain c'est trop bon !!!''

Je d�cule moi-m�me, lui fais sauter le preso et commence � lui branler la queue tout en lui pompant le gland gonfl� a mort. Il me l�che des bonnes gicl�es de sperme qui me font moi-m�me monter le jus, juste le temps de me prendre la queue et je largue pendant qu'il continue � me tapisser la bouche. Il reste extatique et continue � avoir quelques soubresauts dans sa bite que je continue � l�cher.
Le bel �talon transpire, je me redresse, lui met quelques coups de langues sur les abdos, ses pecs, go�te a sa sueur puis viens lui rouler une pelle, qu'il me rend en me prenant dans ses bras et en m'embrassant fougueusement.
"'Superbe ! Trop bon !'' Dit-il en se remettant son gourdin en place en vue de se refermer le jeans. Il se reboutonne la chemise, boucle sa ceinture. Se remet le col de son Barbour en place.
"'Tu dois attendre un peu ! T'as le barrot et ce n'est pas tr�s tr�s discret l� !''.

J'ai remont� mon jeans et m'approche pour lui prendre la queue � travers le jeans.
"'Quel beau mastard !''
Il me sourit, me plaque contre lui, me colle ses l�vres contre les miennes et me roule un superbe palot,
"'T'es le meilleur coup que je me suis fais depuis bien longtemps, on se revoit vite, t'as �t� au top l� !''
"'Attends !'' Lui dis-je, je me redresse, puis me baisse me mets � quatre pattes et me mets en devoir de lui l�cher les quelques gouttes de ma jute qui ont atterrie sur ses tims en Nubuck marron fonc�. Je m'en d�lecte, caresse le bas de son levis qui tombe parfaitement sur le deuxi�me oeillet des lacets.

Il me regarde satisfait, fier, beau comme un �talon dominant, "'Arr�tes tu vas encore me faire bander "'
"'Tu n'as m�me pas d�band�'' lui dis-je tout en me redressant et caressant ce beau cylindre sous le denim.
"'Va, ne rate pas le train''

J'ai eu du mal � le l�cher, mais il est parti, moi suis rentr� me coucher, lessiv� par ces s�ances de baises intenses, mais tellement heureux !

Forwesh

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