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Mon meilleur amant

C'est quand il a d�chir� mon boxer que j'ai compris qu'il pouvait faire ce qu'il voulait de moi. La rencontre avait �t� assez classique, on avait papot� sur un site de rencontre, plaisant�, et finalement on s'�tait donn� rendez-vous pour prendre un verre chez lui quelques jours apr�s. Rien ne me pr�parait � ce qui allait suivre.

Il correspondait tout � fait � ses photos : grand, brun, les yeux noisettes. Poilu juste ce qu'il faut, je le savais � partir de ses photos, puisque il �tait, bien s�r, compl�tement habill� quand je suis arriv� chez lui. Nous nous sommes donc assis dans le salon, discutant de choses et d'autres en sirotant un verre. Je n'ai pas trop l'habitude de boire, et apr�s le deuxi�me whisky coca, j'�tais un peu saoul. C'est � ce moment l� que la soir�e a pris une tournure inattendue. Il a plant� ses yeux dans les miens et m'a dit qu'il voulait me faire l'amour, qu'il me trouvait tr�s attirant.

C'est vrai que je suis plut�t mignon, et pas mal foutu. Je le trouvais tr�s sexy �galement, mais je n'ai pas eu v�ritablement le temps de r�pondre, il �tait d�j� coll� � moi et sa bouche venait rencontrer la mienne. Il avait un magn�tisme animal, je suis s�r qu'aucun mec n'aurait pu se refuser � lui. Je me sentais attir� par son corps qui se pressait contre le mien. Sa langue caressait la mienne et je ne pouvais que me sentir aspir� par cet homme si sensuel et sexuel � la fois.
Sa main caressait mes cheveux, plaquant ma bouche � la sienne, puis elle descendit dans mon dos, gagnant le creux de mes reins. Je vibrais presque. Il l�cha le lobe de mon oreille avant de me dire " viens ".

Il m'emmena dans sa chambre en me tenant par la main. Et m'embrassa devant le lit, puis me fit m'allonger. Je pensais qu'il allait venir contre moi pour continuer � m'embrasser, mais il me dit " Mets toi sur le ventre ". J'ob�issais, sans vraiment comprendre pourquoi, mais je me devais de satisfaire mon nouvel amant. Les yeux riv�s sur le mur auquel �tait coll� le lit, je n'eus pas � attendre longtemps avant de sentir ses mains chaudes parcourir mon dos. Ce n'�tait pas un massage, il caressait mon dos, comme si il en prenait possession, se familiarisant avec mon anatomie, laissant ses doigts courir le long de ma colonne vert�brale.

Il passa ses mains sous mon Tshirt, et c'�tait encore meilleur bien s�r. Le remontant peu � peu je finis par l'enlever compl�tement pour lui laisser le champ libre. A ses mains, sa bouche s'ajouta. Je sentais sa langue l�cher mes omoplates, et redescendre jusqu'au creux de mes reins. Il d�boutonna mon jean, et put ainsi le baisser l�g�rement, laissant appara�tre le haut de mon boxer blanc. Je sentais qu'il m'embrassait, me l�chait juste au dessus de mes fesses, et j'avais tellement envie qu'il descende plus bas. Ses mains continuaient � me caresser le dos, mais il arr�ta pour m'enlever mon jean. J'�tais donc en boxer sur son lit, � sa merci. De tout son corps et de tout son poids il s'allongea sur moi, et me saisit les mains. Je n'avais pas remarqu� jusqu'alors que des liens �taient attach�s au lit. Il me lia les mains et je me laissais faire, perdant surement un peu mes esprits. Il m'attacha �galement les pieds, � l'autre bout du lit. Saisissant une paire de ciseaux, il fit un trou dans mon boxer et le d�chira tout le long, laissant alors appara�tre mon cul.

Il aimait faire durer le plaisir, et �a me rendait fou. Sa langue passait et repassait sur mes fesses, s'approchant de mon petit trou, mais ne l'effleurant jamais. Enfin je sentis sa langue sur mon cul, et ce fut l'extase. Il ne me l�chait pas, il m'aspirait, m'attirait � lui. Je ne pouvais que m'ouvrir, le laissant aller toujours plus avant en moi. Ses mains s'�taient saisies de mon bassin et le soulevaient. Je voulais me donner � lui, je ne contr�lais plus rien, ni mes pens�es, ni mes actes.

Je sentis soudain qu'� sa langue s'�tait ajout� un doigt qui venait appuyer sa caresse et que je sentis entrer en moi doucement et sans mal, au vu de mon excitation. Puis un deuxi�me vint le rejoindre. Je sentais mon cul s'ouvrir pour lui, pour l'accueillir. Je r�alisais alors que j'�tais en train de g�mir, malgr� moi, sans m'en rendre compte, comme une petite femelle en chaleur. J'appr�ciais, et il le voyait et l'entendait. Sa langue, ses doigts, je me sentais ouvert � son corps. Ses doigts entraient, sortaient, entraient de nouveau et tournaient dans mon cul. Je ne savais plus combien ils �taient. Toujours deux ? Trois ? Peut �tre m�me quatre.

Toujours est il que, sans pr�venir, ses doigts laiss�rent soudain place � sa queue. Je la sentais entrer en moi, doucement. Et �a ne semblait pas finir. Son sexe m'emplissait. Cal� au fond de mon cul, mon amant ne bougeait pas, mais m'enla�ait de ses bras, caressant mes t�tons, mon sexe au travers de mon boxer tendu � craquer. Je le sentis bouger, et tout mon corps vibrait avec lui. Son bassin allait et venait tout doucement, puis le mouvement prit de l'ampleur et il devint plus rapide.

Il grognait de plaisir, et je g�missais de plus belle. Sa queue me comblait. Il me semblait que personne ne m'avait jamais bais� comme �a. J'�tais � sa disposition, ne servant qu'� son plaisir - pour ma plus grande jouissance. Il me glissa � l'oreille " Tu aimes ? Je le vois bien que tu aimes mais dis le moi ". Et je confirmais. J'aimais sa queue, son corps, sa voix. Je lui dis que je le sentais en moi comme jamais j'avais senti un homme. Et le ton commen�a � changer.

Il me dit que j'aimais �a, que j'�tais sa chose, qu'il me remplissait d�j� avec sa queue mais qu'il allait aussi y laisser son jus. Je devenais son jouet, sa pute. Il me parlait de ma chatte, comme elle �tait douce � l'int�rieur, chaude, comme elle enserrait sa queue, comme elle lui faisait du bien. Ma queue frottait contre mon boxer, je n'allais pas tarder � jouir. Et il le sentit et acc�l�ra la cadence. Il me baisait comme une petite chienne, je n'�tais plus qu'un trou pour son plaisir.

Je le sentis exploser en moi au m�me moment o� l'excitation me fit jouir. Je sentais son jus couler en moi, chaud. Son ventre �tait plaqu� contre mon dos et il me mordait l'�paule et grognant pendant qu'il jouissait. Apr�s quelques instants pour souffler il me d�tacha les mains, mais resta au fond de moi, le sexe encore dur. Il attrapa le coin d'un drap et nous enveloppa tous les deux, l'un contre l'autre. Nous nous sommes endormis comme �a, et la nuit fut douce.

TBPassif

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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