M�decin de campagne.J'ai 30 ans, je suis m�decin et je fais des remplacements � la campagne. Le soir, � l'heure convenue, je retrouvais mes 2 apollon, un peu plus couverts que le matin, mais toujours aussi sexy avec leurs petits pantalons de lin et leurs tee-shirts moulants. Je les fis entrer dans mon cabinet et l'un d'eux commen�a � se plaindre, dans un anglais parfait, d'une douleur � la cuisse. Je lui proposai de v�rifier et donc de quitter son pantalon. Avant m�me que j'ai eu le temps de me retourner, celui-ci avait non seulement enlev� son pantalon, mais �galement son tee-shirt : je n'avais plus qu'� admirer son corps muscl� et l�g�rement bronz�, et v�rifier � travers son boxer des fesses bien rondes et fermes et un sexe plut�t volumineux ! Je commen�ai � palper l'endroit de la douleur, qui �tait dans le milieu de la cuisse et je remontais progressivement jusqu'� l'aine. Alors que je t�tais cette partie de son anatomie, je voyais son sexe se raidir ; mon geste se fit plus pr�cis pour ne lui laisser aucun doute sur mes intentions � venir ! Il comprit le message et se redressa, il posa alors sa main sur mes fesses pendant que son copain s'approchait pour m'enlacer... Je portais � ce moment-l� uniquement un pantalon et une blouse blanche courte sans rien dessous. Le premier gars d�grafa violemment ma blouse, l'autre me l'enleva et commen�a � me l�cher les t�tons. Pendant ce temps, le premier me malaxait les couilles � travers mon pantalon. Il d�cida alors de me l'enlever et constata que je portais un string transparent, ce qui fit monter sa libido ! Maintenant, nous �tions tous les 3 compl�tement � poil, nos queues �taient raides et pr�tes � exploser (il faut dire que chacun s'affairait � rendre les autres super excit�s...). Le premier des 2 gars me bouffait la pine avec fougue et son pote me fourrait la langue au fond de la bouche : le m�lange de nos salives m'enivrait ; ajout� au bien que me faisait mon suceur, j'�tais pr�t � cracher mon foutre. Mais avant �a, j'avais envie de conna�tre les habitudes de nos 2 jeunes hollandais ! Je me retirai donc momentan�ment du jeu et les encourageai � reprendre leurs activit�s sexuelles � 2. Quel plaisir ! Aucune partie de leur anatomie ne fut en reste : leurs langues parcouraient leurs corps muscl�s et leurs queues bien band�es s'agitaient dans ce bureau o� l'odeur des m�les se r�pandaient maintenant. Au bout de quelques minutes, je revenais aupr�s d'eux : l'un me prit par la taille et m'embrassa fougueusement ; quant � l'autre, il commen�ait � me travailler le cul, s'approchant progressivement de ma rondelle qui l'attendait... Il n'eut pas beaucoup de mal � me p�n�trer tant j'�tais excit� � l'id�e de recevoir sa grosse queue large et longue. Pendant qu'il me bourrait le cul, son pote me pompait ardemment la queue, si bien qu'au bout de quelques minutes, mon foutre jaillissait dans sa bouche. Il se relevait alors pour m'embrasser et partager ce liquide chaud et abondant qui, quelques temps plus t�t, bouillonnait encore dans mes bourses. Son ami ne tarda pas � d�charger son foutre en moi : sa jouissance dura une �ternit� ! Nous �tions l� � contempler nos corps en sueur et nos grosses bites encore bien dures quand on sonna � la porte de mon cabinet... Je dois vous parler un peu de moi, au cas o� certains auraient envie de subir avec moi un examen m�dical particuli�rement approfondi ... Je mesure 1 m. 80 p�se 65 kg. je suis brun aux yeux verts clairs et je pratique la natation, ce qui me permet d'avoir un corps aux muscles bien dessin�s mais sans plus... Ma queue mesure 17 cm et a un diam�tre de 13 cm. Au moment o� la sonnette retentissait, nous �tions en train de nous rhabiller. Je criais donc � mon visiteur � travers la porte de patienter quelques instants. Je m'arrangeais pour faire croire que je terminais une consultation et raccompagnais mes 2 canons � la porte. Dehors, se tenait un de mes amis : j'avais oubli� que je lui avais donn� rendez-vous apr�s ma journ�e de travail pour une s�ance de natation. Je le fais donc rentrer en esp�rant que l'odeur des m�les en rut n'�veillerait pas ses soup�ons. En m�me temps, ce jeune minet (tout juste la vingtaine) est loin de me laisser indiff�rent, et m�me si je n'ai jamais rien os� tenter avec lui, je ne serais pas contre une initiation... Sur le chemin qui nous am�ne aux bassins, nous parlons de tout et de rien. Arriv�s dans les vestiaires, heureux hasard, toutes les cabines individuelles sont occup�es, il ne reste que les cabines collectives. Nous nous retrouvons donc tous les 2 dans cette cage ferm�e et je m'arrange pour fermer la porte de l'int�rieur. La partie de sexe avec mes hollandais me donne une audace que je n'aurais jamais imagin�, et je me mets � lui parler de son corps : je le complimente sur sa musculature, notamment sur la beaut� de ses fesses ... Polo rougit mais semble prendre plaisir � entendre ce discours qui pourrait bien d�g�n�rer ... Il m'avoue alors que le mien ne le laisse pas indiff�rent et qu'il prend parfois plaisir � me regarder lorsque nous allons ensemble � la piscine. Il ne m'en faut pas plus pour tenter une approche et, dans la seconde qui suit, je lui fourre ma langue dans la bouche et lui roule une pelle contre laquelle il ne se d�fend pas. A cet instant, je pense � ce que seront nos rapports � l'avenir si nous allons plus loin. Cette perspective m'excite au plus haut point : d�j� ma main se balade sur son slip, pendant que lui commence � me caresser le torse. Ma queue est enfl�e comme rarement elle l'a �t� ; jamais je n'oserais sortir de cette cabine car il me faudra des heures avant que je me calme! Nos mains poursuivent leur exploration, nos langues s'activent dans nos bouches et nos 2 bites entrent sauvagement en contact � travers nos sous-v�tements qui ne tardent pas � �tre arrach�s. Pendant quelques instants, nous nous d�visageons des pieds � la t�te : enti�rement nus, nous admirons mutuellement nos corps et nos regards s'arr�tent surtout sur nos sexes band�s comme jamais (pour moi, c'est le cas...). C'est alors que Polo s'agenouille et commence � me pomper, d'abord avec des mouvements de langue puis tr�s vite en ajoutant des mouvements de va-et-vient... Hum ! Quel pied ! Je lui demande pourtant d'y aller molo car je suis pr�t � lui envoyer une avalanche de sperme dans la gueule. Il ne m'�coute pas et, de ses yeux d'un bleu per�ant, me fait comprendre qu'il n'a rien contre... Je me retiens le plus longtemps possible puis je d�charge en longs jets puissants le jus que je lui r�servais depuis des si�cles en imaginant dans mes r�ves les plus fous des sc�nes toutes plus pornographiques les unes que les autres. Mais cette situation-l�, je ne l'avais pas envisag�e ! Mon sperme coulait encore dans sa bouche, et lui se d�lectait de ce nectar... Puis il se releva et vint fourrer dans ma bouche ce qui restait dans la sienne : nos langues reprenaient leur va-et-vient et nous avalions le liquide qui, quelques instants plus t�t, jaillissait de mon sexe f�rocement band�. Alors, en se retournant, il me proposa son beau cul que je commen�ais � travailler du bout du doigt. Tr�s vite, je m'aper�us que le passage �tait facile : ce petit encul� s'�tait d�j� fait ramoner ... il allait me le payer ! Un peu de salive, une capote qui se trouvait dans la poche de mon fut' et le tour �tait jou� : je lui limais le cul comme un animal sauvage et pourtant il n'�mettait que des petits g�missements de plaisir. Pendant ce temps, il se travaillait seul une queue super volumineuse ; rapidement, il me pr�vint qu'il allait d�charger son jus. Je me retirais de son petit cul baveux (j'y serais pourtant rest� des heures tellement le passage �tait bien fait...) et je commen�ais � me branler au-dessus de lui. En m�me temps, nous avons joui : son visage �tait couvert de ce liquide que je tardais pas � l�cher et mes cuisses �taient tapiss�es de sa substance. Il me caressa alors les jambes et ces minutes �taient d�licieuses. A ce moment-l�, nous avions le choix : faire quelques longueurs dans l'eau ou profiter de la soir�e pour passer � un stade sup�rieur, en d'autres lieux. Nous nous sommes lav�s, nous avons repris la voiture et il m'a invit� � le rejoindre dans son petit appartement d'�tudiant. L�, nous avons refait l'amour plusieurs fois. A chaque fois, nous exp�rimentions de nouvelles techniques et de nouvelles positions ! Ho ! Oui ! C'�tait trop bon !... En �crivant cette histoire, quelques temps apr�s, j'ai du mal � contenir mon �motion. Entendez par l� que ma queue a beaucoup de mal � se tenir tranquille. D'autant que je t'imagines d�j�, petit cochon, en train de te toucher la bite � la lecture de mon r�cit. Ecoute bien ceci avant d'arriver � la jouissance : � cet instant o� je termine ces lignes, je suis nu, je viens d'enlever mon string et je suis assis sur un fauteuil en cuir qui me moule le cul. Ma main gauche est plac�e sur mon sexe en �rection et je ne vais pas tarder, en m�me temps que toi peut-�tre, � jouir ... Cette sc�ne t'est destin�e ... alors si elle t'a plu, �cris-moi, je te raconterai peut-�tre d'autres histoires, et, pourquoi pas, si tu habites pr�s d'ici, pourras-tu avoir droit, toi aussi, � quelques s�ances gratuites de toucher, voire plus si affinit�s!!! kimR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |