Le mec de msnJe discutais depuis quelques semaines sur MSN avec un mec dont je n'avais jamais vu de photos. Il disait s'appeler C�dric, avoir 32 ans, �tre super bien mont� et tr�s dominateur. Mais comme il habitait tr�s loin de chez moi, on n'avait jamais envisag� s�rieusement de se rencontrer. Il avait vu beaucoup de photos de moi, et comme il aime bien les mecs jeunes, fins, et imberbes, je lui avais fait plusieurs shows en cam ; il �tait � chaque fois tr�s chaud et me demandait des trucs de plus en plus hards, en refusant syst�matiquement de se montrer, pour bien me faire comprendre que c'�tait � moi de lui faire plaisir, et non l'inverse. Je lui r�ponds que c'est pas une mauvaise id�e, mais je veux voir qui il m'envoie, et discuter avec le type aussi ! Il m'�crit " T'occupe pas de �a, c'est moi qui contr�le. Ce soir tu restes � poil chez toi, toute la soir�e. Si tu vas te coucher, c'est � poil aussi. Si on sonne, quelle que soit l'heure, tu ouvres � poil ". Il a cess� de me parler. J'ai attendu au moins une heure, � discuter avec quelques personnes, � fumer quelques cigarettes, � sentir mon coeur battre plus fort de peur et d'excitation d�s que j'entendais du bruit dans l'escalier. D�s que la porte a claqu�, je me pr�cipite sur MSN, et envoie � C�dric : " C'�tait qui ? ". Il me r�pond " T'as pas � le savoir. J'ai bien kiff� mater en tout cas. T'as l'air bien chaud. " Je murmure " oui ", il entre, je referme la porte. Un coup d'oeil : la cam fonctionne. Le mec pose son casque, commence � se d�shabiller, garde son boxer et me roule une pelle. Il me prend dans ses bras, nous nous caressons, je sens une belle bosse se former contre mon ventre (il me d�passe l�g�rement en taille), je glisse une main sous son boxer et le branle doucement, il g�mit... Puis il appuie sur mes �paules, je me mets � genoux devant lui et sors sa bite qui se dresse devant moi. Il est plut�t bien mont�, sa queue est surtout tr�s large ; il fait un pas en avant pour l'enfoncer entre mes l�ves, je commence � le sucer d�licatement mais il se met � me baiser la bouche de lui-m�me, je sens ses couilles contre mon menton quand il me met sa bite toute enti�re dans la bouche en me tenant la t�te, et son gland vient cogner contre le fond de ma gorge. Il s'allonge sur le lit, je me mets � 4 pattes pour le sucer encore en cambrant mon cul, et il avance une main vers mes fesses. Il redresse l�g�rement le torse pour me doigter en laissant sa queue dans ma bouche, je le suce toujours � fond et je g�mis en sentant deux doigts entrer en moi. J'�carte les cuisses, le laisse me p�n�trer d'un doigt suppl�mentaire, il les humidifie avec sa salive pour mieux pr�parer mon trou, puis soudain me fait faire un tour sur moi-m�me. Un pr�servatif plus loin, il pose son gland contre l'entr�e de mon cul et commence � forcer. Il n'a pas mis de gel, et malgr� sa salive je suis encore serr� quand il fait entrer le bout de sa bite en moi. J'en mords les draps pour ne pas crier, et avec brutalit� il s'enfonce en moi, me p�n�trant de toute la longueur de sa queue. Je ne peux retenir un g�missement tr�s marqu�, il s'immobilise dans le fond de mon trou, je sens sa bite large et raide qui me remplit les entrailles ; il me tient par les hanches, je me cambre le plus possible. Il a l'air d'appr�cier : " T'as un bon petit cul serr� toi, tu demandes qu'� te faire niquer... T'es une bonne petite salope... Je vais te d�foncer... ". Et soudain il se met � faire des va et viens en moi, me d�chirant le cul avec sa grosse queue dure ; je g�mis de plus belle, je commence � aimer ; il me pilonne avec force en poussant des cris rauques. De temps en temps il sort compl�tement sa queue de moi et la r� enfonce enti�rement d'un coup sec, ce qui m'arrache des petits cris qui l'excitent encore plus. Il me bourre sans m�nagement et ses coups de bite durent une bonne vingtaine de minutes. Puis il se retire, enl�ve la capote qu'il jette sur mon dos, et jouit sur mes fesses. De longues gicl�es de sperme me couvrent la peau, et glissent le long de mes cuisses. Avec son gland, il �tale sur moi son foutre encore chaud, puis vient se mettre devant moi pour me faire l�cher sa queue. Je la nettoie consciencieusement. Il me sourit, se rhabille, et, sur le pas de la porte, me lance : " J'ai une consigne : tu dois m'ouvrir la porte, sortir avec moi sur le pallier, et je dois te rouler une pelle avant de prendre l'ascenseur. ". Puisque �a semble venir de C�dric, j'ob�is. Nous sortons donc, et le pire se produit : la porte d'en face s'ouvre sur mon voisin, un mec d'une quarantaine d'ann�es. Il me voit nu dans le couloir en compagnie de ce type qui vient de me baiser, et j'ai du sperme qui s�che sur les fesses. Je rougis, je renonce � embrasser le gar�on qui semble g�n� aussi. Mon voisin ne dit rien et monte dans l'ascenseur, suivi par mon amant �ph�m�re. Je rentre imm�diatement dans mon appartement. Je suis soudain r�veill� par un coup de sonnette. Je mets quelques minutes � r�agir, puis j'h�site : je suis �puis�, bien dans mes r�ves... Mais le mec de MSN a �t� clair : je dois ouvrir. Et lui ob�ir est vraiment excitant... Je me force � me lever, ouvre la porte. Il y a l� deux mecs, deux rebeux d'une petite trentaine d'ann�es. Ils ont l'air un peu bourr�s, ils entrent directement et commencent � me peloter. Je me laisse faire, trop fatigu� pour agir. Ils caressent mon torse, mes fesses, l'un d'eux me met un doigt, et ils me font agenouiller pour me fourrer imm�diatement leurs bites dans la bouche. Je les suce alternativement, parfois en m�me temps : ils ont de belles bites pas trop grandes, mais l� aussi plut�t larges, et circoncises �videmment. Ils n'ont pas pris la peine d'enlever leurs fringues, et ils ont du passer la journ�e dedans. L'un des deux me fait sucer avec plus de vigueur, pendant que l'autre commence d�j� � faire entrer sa queue entre mes fesses. Je proteste, lui montre une capote pr�s du lit, il rechigne un peu, essaie encore de me prendre sans. Je ne me laisse pas faire, et attrape le pr�servatif que je d�balle et lui tends. Il l'enfile puis me prend directement, me faisant bien sentir la largeur raide de sa queue. Celui que je suce me traite de salope, de pute, de trou � jus et de vide couilles, pendant que l'autre me d�fonce violemment le cul ; il ne tarde pas � jouir, se retire et s'assoit sur le lit pour fumer une clope. L'autre vient se mettre derri�re moi et cherche lui aussi � me p�n�trer directement, mais je lui passe un autre pr�servatif, qu'il ne fait pas trop d'histoire � mettre. Il enfonce alors sa bite avec force dans mon trou, et me claque les fesses en me baisant sauvagement, tout en lan�ant " Petite salope, t'aimes la bite ! Tiens, prends �a ! T'aimes la queue, hein ? Sale chienne ! ". Je lance un regarde vers son pote qui nous mate en fumant. Je suis en train de me faire niquer sous les regards de ce mec et de C�dric que je devine matant derri�re son �cran, et �a m'excite terriblement. Le mec jouit � son tour et remplit sa capote dans mon cul, puis il sort sa bite, la rentre dans son jogging. L'autre lui dit quelque chose en arabe, il me balance une derni�re claque sur les fesses, et tous deux s'en vont : apr�s quelques minutes, je r�alise que la porte d'entr�e est rest�e ouverte pendant tout le temps qu'ils ont pass� l�. Je vais pour la refermer, et tombe � nouveau sur mon voisin qui rentre chez lui. Il me jette un regard moiti� vicieux, moiti� m�prisant : je suis toujours nu. Je referme la porte, honteux. Sur MSN, C�dric m'�crit : " Je suis content de toi, tu m'as bien excit�. J'ai gicl� quatre fois ce soir en te matant. Laisse toujours ton ordinateur allum�, on ne sait jamais. ". Je lui r�ponds " ok ", puis retourne me coucher, mort de fatigue. Personne n'est revenu cette nuit-l�... Et au matin, C�dric �tait hors-ligne, mais m'avait laiss� un message : " J'ai vu que t'�tais vraiment une pute ! Tu m'as bien excit�. Je viendrai te baiser aussi un de ces jours. En attendant, je t'enverrai encore quelques mecs de temps en temps. Je te veux � dispo ! " Pierre23a
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |