Page pr�c�dente

�pisode pr�c�dent

Massage particulier (suite)

Il se retire de moi et s'�loigne. Je reste allong� sur le lit, le temps de me remettre de cette p�n�tration. Je sens mon intimit� ouverte, qui palpite. Je tends la main pour constater la situation mais sa voix me coupe : "N'y touche pas ! N'aie pas peur tu saignes pas... T'es juste bien dilat�e." Je sens un mouvement d'air puis une pr�sence se glisser en moi, frottant un peu contre l'int�rieur de mon corps. "Quatre doigts ! Pas mal ! Tu pourrais peut �tre prendre plus..." Il retire sa main ; je suis perturb�. Le fist-fucking a d�j� effleur� mon esprit perverti mais ce n'a jamais �t� que du fantasme. "Enl�ves ton bandeau et masses-moi." Je me rel�ve lorsque je sens son poids sur le lit, et enl�ve le bandeau qui obstruait ma vue.

Quelques battements de paupi�res plus tard, le temps de me r�habituer � la lueur des bougies, et je d�couvre le corps de l'inconnu : une belle peau sombre sous laquelle se dessine finement de beaux muscles ; des fesses bomb�es naturellement et de longues jambes. Ses cheveux sont tondu courts, presque ras� � blanc. Je me ressaisi et m'installe comme lui pr�c�demment, � cheval sur ses reins car il semble plus grand que moi. J'aper�ois l'huile de massage qu'il a utilis� tout � l'heure et en d�verse quelques goutes sur son dos. Je m'applique par la suite � reproduire au mieux ses mouvements afin de le d�tendre et de lui faire du bien. Je prends mon temps et savoure la fermet� de son corps sous mes mains. Une fois le dos et le bas des reins travaill�, je me retourne, toujours � cheval sur lui, pour m'occuper de ses jambes ; je me retrouve � m'allonger le long de ses jambes pour atteindre ses chevilles. Il finit par lever l'une d'entre elles pour que je m'occupe du pied. Alors que je le lui masse doucement, sa voix s'�l�ve : "Sois une gentille chatte et l�che !" J'h�site, n'ayant jamais essay� ce genre de trip, mais il ne me laisse pas le choix et replie un peu plus sa jambe, amenant son pied contre mon visage. Timidement je sors ma langue et commence � donner quelques coups sur la peau offerte. "Mieux que �a !" grogne-t-il. J'ob�is et commence � l�cher franchement son pied ; un r�le me confirme son plaisir. Je fais de m�me avec son autre pied, jusqu'� ce qu'il soit satisfait. Ayant fini de le masser, je me rel�ve et lui demande de se retourner.

Je d�couvre la face cach� de mon inconnu : un visage viril et dur avec une barbe de trois jours et des l�vres charnues ; un torse large, l�g�rement poilu avec des pectoraux bien dessin�, des t�tons larges et �tir�s chacun orn� d'un anneau. Une fine bande de poils noirs guide mon regard depuis ses abdos fermes jusqu'� son membre et l� mon regard bloque : "C'est �a que j'ai accueilli !" Je n'en reviens pas : un membre semi-band� large d'environ 4 cm sur une longueur de 12 ; un gland fonc� d�passant � peine de son pr�puce. Sa voix me rappelle � l'ordre : "Ne t'inqui�tes pas tu auras le temps d'y gouter � nouveau petite ! Maintenant viens te poser ici et me masser." Je m'installe sur lui, son sexe se retrouvant coinc� entre mes fesses et reprends moi travail. Quelques goutes d'huile plus tard, mes mains s'activent sur son torse, le massant fermement. Mes yeux sont attir�s par ses t�tons �trangement longs et perc�s ; mes doigts jouent avec quelques instants, les tirant l�g�rement. Un claquement de langue (et un regard bleu glac�) me persuade de reprendre le massage. Je continue sur ses abdos fermes et le longs de ses c�tes puis des bras ; son corps est muscl� mais sans exc�s. Une fois fait, je me d�place � nouveau pour m'occuper de ses jambes mais ses mains coupent mon mouvement : "Fait comme tout � l'heure ma belle, mon pieux est bien, au chaud entre tes fesses. D'ailleurs tu as envie de le sentir en toi, tu mouilles !" Effectivement, son sperme commence � couler lentement hors de mon trou, rendant mon intimit� humide et glissante. J'ai honte mais cela m'excite. Me pliant � son d�sir, je pivote simplement, de mani�re � ce que son sexe reste toujours entre mes fesses. Je reprends le massage et d�tends ses jambes, me penchant � nouveau de tout mon long pour atteindre les chevilles. Je sens ses mains se poser sur mes reins, les caressant doucement comme lorsque lorsqu'on flatte la croupe d'un cheval, pour glisser jusqu'� mon intimit� poisseuse pour jouer avec. Un de ses doigts entre et sort, d�tendant ma rondel ;le pendant que je continue ma tache.

"Tu as bien travaill�e, tu m�rites un r�compense... Je suis s�r qu'une bonne sucette te ferai plaisir, pas vrai petit chatte ? Allez, tu sais ce que tu dois faire." Dos � lui, je d�glutis ; la "sucette" en question n'a cess� de gonfler sous mes fesses et j'ai presque peur de voir le r�sultat. Cependant je me laisse aller � ses ordres et me l�ve debout sur le lit, pour ensuite me retourner et m'agenouiller entre ses jambes ; pendant ce mouvement, ses yeux bleus glace ne m'ont pas quitt�. Un sourire moqueur �tire ses l�vres pleines et d'un mouvement de t�te il m'indique son pieux suintant de "ma mouille". Je ferme les yeux pour masquer mon trouble et m'abandonne � son bon vouloir. Ma langue d�couvre l'engin gr�ce � quelques coups, avant que je l'engloutisse entre mes l�vres ; le gout est amer mais je continue. Mes yeux s'ouvre alors que je me retire et l'observe : 6 de large pour 15 de long. "Comment cela est-il rentr� en moi ?" Je ne m'attarde pas sur la question et continue. Je d�calotte le gland et m'amuse avec, puis reprends la hampe en bouche, l'enfon�ant au maximum. Ma bouche coulisse le long de son sexe, s'arr�tant de temps en temps pour en flatter le gland, ce qu'il semble appr�cier. Mes l�vres s'�garent sur ses testicules, les humidifiant � coup de langue avant de les engloutir sans retenue. Satisfait de mon travail et des grognements appr�ciateurs, je retourne engloutir son pieux. Je me perds dans ma concentration et le temps s'�coule au rythme de mes aller-retours goulus. Une odeur me reconnecte � l'instant et je l�ve le yeux pour d�couvrir mon inconnu entrain de fumer tranquillement, les yeux ferm�s, un bras repli� sous sa t�te. Mon arr�t se fait sentir puisqu'il ouvre les yeux pour interroger. Je me penche pour recommencer mais il m'arr�te : "tu as quel �ge d�j� ? -22 ans" lui r�ponds-je. "Et bien tu es dou�e petite chatte, j'imagine le nombre de bite que tu as du enfourner !" Seul mon silence et ma g�ne lui r�ponds. "C'est bien ce que je pensais, remonte !" Je ne r�siste plus et ob�is, suivant ;ses directives, je me r�installe sur ses hanches, son pieux glissant entre mes fesses pour appuyer droit sur mon intimit�.

Il me regarde dans les yeux, toujours ce sourire moqueur aux l�vres et tire une nouvelle bouff�e sur son cigare, et rej�te un rond de fum�e dans la chambre. "Qu'est-ce que tu attends petite chatte ? Accueilles moi !" Sa voix est dure et autoritaire pourtant son sourire moqueur me rassure, je m'assoie sur lui, me dilatant pour accueillir son pieux en moi. Lui sourit toujours et fume tout en me regardant m'empaler. Je ferme les yeux car son regard satisfait me trouble. Je ressens mieux son sexe m'�carter et se frayer un chemin en moi. Plus de douleur, seul le plaisir se manifeste. "Tu vois �a passe tout seul" commente-t-il. Une fois enti�rement en moi, je m'arr�te et souffle avant de me relever lentement pour me laisser � nouveau descendre. Son grognement m'indique qu'il appr�cie la chose. Je continue ainsi, resserrant mes chairs de temps � autre atour de sa hampe.

Il se redresse et son mouvement change l'angle de p�n�tration ; je m'empale plus profond�ment encore et la sensation me fait ouvrir les yeux en grands. Il ricane : "Un soucis petite chatte ? Oh tu ne pensais pas la sentir plus profonde ? Ce n'est pas fini." Son bras tenant le cirage entoure ma nuque et me rapproche de lui ; sa t�te s'incline et se rapproche de moi. Mes yeux louchent sur ses l�vres et inconsciemment ma langue humecte mes l�vres ; un sourire narquois fleurit sur ses l�vres. Je pense qu'il va m'embrasser, je l'esp�re m�me, mais il ne fait que passer � cot� de mon visage et tirer une nouvelle bouff�e de son cigare, juste � cot� de mon oreille. Je fr�mis sous ce bruit. Il se recule et alors qu'il s'enfonce � nouveau en moi, se rapproche de mes l�vres pour y rejeter doucement la fum�e du cigare ; l'odeur me fait froncer le nez et j'essaye de reculer mon visage mais son bras me maintient en place. Son man�ge recommence mais ce coup-ci il m'embrasse, laissant la fum�e envahir ma bouche, se dirigeant vers ma gorge. Sa langue fouille et s'impose ; le baiser dure et devient douloureux lorsqu'il me rel�che. Je tousse pitoyablement, essayant de faire sortir cette fum�e de mes poumons ; ma r�action le fait rire, un rire profond "Pauvre chatte, t'aimes pas ? Dommage !" Il me lib�re de bras pour s'amuse � passer le bout de son cigare rougeoyant pr�s de mes t�tons ; la chaleur se fait sentir "Tu sembles aimer jouer avec les t�tons, voyons comment sont les tiens !" Je tremble de peur et angoisse - va-t-il me bruler ? - mais son sexe coulissant en moi me tient prisonnier et m'excite malgr� moi. Le cigare s'approche � nouveau et il se penche pour tir�e une bouff�e, le faisant rougir plus encore. Je g�mis, la chaleur me pique la peau. Il semble s'en amuser mais prends piti� de moi et engloutit mon t�ton meurtri dans sa bouche. Sa main d�pose le cigare dans un cendrier que je n'avais pas remarqu� et vient se refermer sur ma nuque. Ses mouvements deviennent plus brusques et saccad�s, sa langue sur mon t�ton, laisse place � ces dents. Je suis d�chir� car il s'enfonce plus profond�ment que je ne le pensais ; ses morsures sont plus fortes mais je n'en suis que plus excit�. Il finit par se raidir en grognant sourdement, sa main se serrant violemment sur ma nuque.

On ne bouge plus pendant un instant avant qu'il ne se rallonge, attrapant � nouveau son cigare pour en tirer une bouff�e. "Te voil� bien f�cond�e ma chatte ! Tu portes en toi ma marque !" Je me retire et me laisse tomber sur le dos, �puis� par ce que nous venons de faire. Ma t�te repose pr�s du bord du lit et je ferme les yeux. "�puis�e ?" J'acquiesce vaguement. Je sens un mouvement mais ne m'en pr�occupe pas. "Tu veux me faire plaisir ? Garde les yeux ferm�s et sort ta petite langue." Au point o� j'en suis, je ne cherche pas � comprendre et ob�is. Je n'aurais pas du ! J'ouvre les yeux surpris de le d�couvrir assis sur mon visage, mon nez nich� sous ses testicules et ma langue sur son intimit�. "Allez petite chatte, goute-moi, goute l'essence d'un black ! �a t'excite hein ! Je ne te lib�rerai pas tant que je ne serai pas satisfait alors l�ches !" Pris au pi�ge je n'ai pas d'autre choix : ma langue commence � taquiner son entr�e mais se retire aussit�t ; un gout acre me parvient. Cependant �a ne semble pas le satisfaire car il bouge l�g�rement, bloquant ainsi tout possibilit� de prendre de l'air. Mes mains remontent pour essayer de le d�gager. "L�ches correctement et tu respireras !" J'ob�is aveuglement et enfonce ma langue sans attendre, lui ouvrant la rondelle et goutant � son essence sans aucune retenue. Un r�le de plaisir lui �chappe et il me permet de re-respirer. J'inspire profond�ment et reprends ma tache, les yeux ferm�s. Apr�s un moment interminable -j'ai la langue raide et son gout ancr� en moi- il se rel�ve, son cigare toujours � la main et se penche pour m'embrasser profond�ment : "Tu as �t� une bonne petite chatte, tu peux revenir quand tu veux... Tes fringues sont sur le sol, la porte d'entr�e est d�verrouill�e..."

Sur ces mots, il quitte la chambre, laissant derri�re lui des volutes de fum�e. Je me repose quelques minutes avant de me relever et de me rhabiller. Pas de douche, ni de passage aux toilettes... Il doit vouloir que je garde son essence et son odeur sur moi. Je m'active passant mon sl ;ip, mon jean et mon haut. J'enfile ma veste et sens du sperme commencer � humidifier mon slip ; je resserre les fesses esp�rant le garder en moi. J'attrape mes lunettes de soleil et me dirige vers l'entr�e. L'appartement est toujours plong� dans le noir, seule la chambre et le palier �claire l�g�rement l'obscurit�. J'aper�ois en passant une volute de fum�e ; il n'est pas loin et doit m'observer. Je passe la porte et me retourne pour la refermer ; il est l� devant moi, en surv�tement de sport. Il m'attrape par la nuque pour un baiser autoritaire et dominateur, puis me rel�che avec un sourire moqueur et referme la porte.

En esp�rant que vous aurez aim�.

Nathan

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :