Cyrillo

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Le mariage de ma meilleure amie.

Cette petite histoire s'est pass�e il y a un an.

Aujourd'hui je vois Alix, ma meilleure amie. Pour une fois depuis qu'elle est avec son copain, je peux enfin la voir seul. Je suis tout content de la voir. Au planning : shopping. Elle veut profiter des soldes de d�but d'ann�e pour refaire une partie de sa garde-robe. La journ�e se passe a merveille jusqu'� la fin d'apr�s midi o� on d�cide de se poser � un caf� pour prendre un chocolat chaud. A ce moment elle me dit :
- Mat j'ai une question a te poser.
- Je t'�coute.
- Veux tu �tre mon t�moin ?

L� j'en reste bouche b�e ! Je ne m'y attendais pas ! Pas qu'elle me demande d'�tre son t�moin, mais qu'elle se marie.
- J'accepte avec plaisir ma puce.
- Merci, t'es un amour.
- C'est pr�vu pour quand ?
- On se marie le 25 juin, donc r�serve ton week-end, oki ?
- Pas de soucis, tu peux compter sur moi.
� partir de ce moment-l� on se brancha sur le shopping mariage avec essayage de costume pour moi et de robe et autre pour elle.

Le jour j arriva vite. Moi j'avais pris une semaine de vacance, � cheval sur les deux semaines de mani�res a �tre libre le week-end et surtout de mani�re a pouvoir aider dans la pr�paration du mariage.

Le jeudi midi, j'�tais convi� a un repas auquel participaient les mari�s, leurs parents et leurs t�moins. Au cours du repas j'�tais install� juste en face du mari�. Je le connaissais d�j�, mais je n'avais jamais vraiment fait attention a lui. Pour moi il �tait le copain de ma meilleure amie un point c'est tout. Il a 27 ans, brun, cheveux courts, des yeux gris, environ 1m80 pour 80kg. Ce n'est pas un canon de beaut�, mais il a �norm�ment de charme ! Toujours les yeux qui brillent et il est si mignon quand il sourit. J'ai eu tout le loisir de le d�taill� de la sorte au cours du repas. A tel point qu'� l'issue j'ai ma meilleure amie qui m'a demand� ce qu'il se passait avec K�vin (c'est son copain). Elle me conna�t, elle sait comment je r�agis lorsqu'un mec me pla�t. Tant bien que mal je lui ai menti, je me sentais suffisamment mal de fantasmer sur son mec pour �viter que je lui dise. J'ai eu l'impression qu'elle me croyait.

Je devais passer le week-end chez eux, habitant loin je ne pouvais me permettre de faire les aller et retour tous les jours.
En arrivant chez eux Alix me montra ma chambre. J'�tais a l'�tage dans la chambre d'amis juste a cot� de leur chambre avec salle de bain privative mais commune aux deux chambres, les toilettes au fond du couloir. La seconde salle de bain juxtapose les toilettes et est d�di�e aux deux autres chambres d'amis. Chambres qui seront utilis�es par leurs parents respectifs au cours de la nuit suivant le mariage.

Ma meilleure amie me laisse seule dans la chambre, rejoignant son homme. Moi j'en profite pour faire le tour. Un lit de deux places style futon, une grande armoire, un fauteuil et une petite table. Mobilier standard pour une chambre � coucher. Je jette un oeil � la salle de bain et l� ouah ! Je n'en reviens pas ! Une douche d'angle avec thalasso incorpor�e, une baignoire d'angle �galement qui fait jacuzzi, l'halu totale ! Et une porte de chaque cot� qui peut se verrouiller de l'int�rieur ce qui fait que l'on n'a pas a craindre une entr�e intempestive du voisin.

Alix m'appelle :
- Mat, descend.
- J'arrive.
En sortant de la chambre, j'en profite pour faire un saut aux toilettes histoire de soulager un besoin urgent et j'arrive en bas.
- Mat, K�vin est parti chercher du pain, moi je dois aller chez la manucure. Tu pourras g�rer le repas ?
- Ouais, tu veux manger quoi ?
- Tu nous fais des p�tes avec des steaks, �a ira bien, ok ?
- �a marche.
- Et si ya des trucs que tu ne trouve pas tu demandes � K�vin il te dira ou �a se trouve.
- �a marche.
- Bisous � tout � l'heure.
;Et me voil� seul dans leur grande maison. Je remonte vite fais terminer de ranger mes affaires.

- Tu t'en sors ?
Je sursaute et je me retourne pour voir K�vin avec un grand sourire apparemment fier de son effet de surprise.
- Ouais, je viens juste de terminer de ranger mes fringues.
- Je vois �a. Je te filerais un coup de main si tu veux pour la bouffe. Avant faut que j'aille pisser. Apr�s on prendra un petit ap�ro, qu'en dis-tu ?
- Parfait, je suis partant.
- Cool.

Et il sortit direction les toilettes. Je ne pus m'emp�cher de le suivre du regard, quand d'un coup j'aper�us comme une lueur au niveau de la serrure de la porte. Mon imagination faisant son chemin mon coeur se mit � battre la chamade. Pour en avoir le coeur net je me dirigeais vers la fameuse porte et collais mon oeil � cette serrure.

Ce que je vis fut fort plaisant ! Je le vis lui terminer de se laver les mains, se retrouver pour se trouver face aux WC, d�faire le bouton de son pantalon, d�faire ses boutons de braguette, glisser sa main dans ce qui me semblait �tre un boxer et sortir sa queue ! Je ne vous explique pas l'�tat d'excitation dans lequel j'�tais ! J'avais d�j� la trique alors qu'il venait a peine de d�faire son bouton de pantalon !

Le spectacle suivant fut merveilleux. Je le vis retrousser doucement le pr�puce et uriner, une fois terminer de son pouce et de son index, il se pressa le gland pour faire sortir la derni�re goutte, laissa �chapper un brin de salive sur le bout de son gland et fit plusieurs allers et venues avec son pr�puce comme s'il chercher a se branler. L'effet ne se fit pas attendre, sa bite commen�ait � prendre plus d'ampleur. D�j� qu'au repos elle �tait cons�quente, mi-molle elle �tait encore plus app�tissante ! Je le regardais faire son man�ge un petit moment, sa queue bandait bien raide maintenant. J'avais envie de le voir s'astiquer puis jouir mais il en avait d�cid� autrement. Quand il commen�a � ranger le matos moi je lib�rais les lieux et rejoignais ma chambre essayant de me calmer au mieux.

Passant devant ma porte, il glissa sa t�te par l'embrasure de la porte, moi j'�tais assis sur le lit, camouflant mon �rection.
- Tu viens, on va prendre l'ap�ro ?
- j'arrive.
Je me levais en disant �a. Ma gaule avait diminu�e, suffisamment j'esp�re pour qu'il ne la voie. On descend et on s'installe dans le salon.
- Tu veux quoi Mat ?
- du muscat si tu as
- ouais j'ai �a. Avec ou sans gla�on
- avec s'il te pla�t.
- �a marche.
Je me sentais g�n�. Je n'avais jamais discut� avec lui seul � seul.
- Mat, je voudrais te poser une question, je peux ?
- Bien s�r, je t'�coute.
- Si tu la trouves trop indiscr�te tu n'es pas oblig� de r�pondre. Tu es c�libataire ?
- Oui, pourquoi ?
- Ben pour savoir, c'est pour le plan de table. Alix m'a dit que tu viendrais peut-�tre accompagn�.
- Non, je serais seul.
- Oki, �a te d�range pas si tu sers de cavalier � ma soeur ?
- Du tout.
- Tu verras elle est super mignonne et en plus elle est c�libataire.

Mon pauvre, si tu savais comme je m'en moque du physique de ta soeur. Elle pourrait �tre le sosie de Laetitia Casta que �a ne changerait rien aux choses.
Je d�cidais de m'amuser un peu sur la conversation.

- Par hasard tu n'essaierais pas de caser ta soeur ?
- Un peu si. T'es beau gosse, t'es sympa donc je me suis dis pourquoi pas essayer.
Je jubilais ! Il me trouvait beau gosse !
- Ouais, sauf qu'il y a des donn�es externes que tu ignores.
- tu viens juste de me dire que tu �tais c�libataire.
- Exact, mais ce que je ne t'ai pas dis c'est que je suis sexuellement d�viant par rapport � toi ?
- C'est-�-dire ?
- Je suis gay.
- Comment �a t'est gay ?
- Je suis homosexuel, j'aime les hommes, je suis attir� par les mecs.
- C'est pas vrai ! Eh ben ! On dirait pas ! �a se voit pas. !
- Merci je le prends comme un compliment.
- Et Alix est au courant ?
- Oui depuis le d�but. Elle ne te la pas dit sur ma demande, je ne voulais pas risquer que ce soit une source de dispute entre vous.
- Ya peu de chance que l'on s'accroche sur ce sujet mais je peux comprendre tes raisons.

Et toute la conversation qui s'ensuivit portait sur ma sexualit�, sur mes diff�rents go�ts pour les mecs, sur mes diff�rents petits amis que j'ai eu et aussi sur le fait que tout ceci soit un peu incompatible avec mon travail, qui est un milieu tr�s homophobe soit dit en passant. Bien s�r je ne me suis pas g�n� pour lui faire comprendre qu'il me plaisait, mais j'y suis all� avec r�serve, pour qu'il �vite de se sentir oppress�. Je sais ce que c'est que de se faire draguer lourdement, je me fais r�guli�rement draguer par de nombreuses nanas et elles sont tr�s tr�s lourdes. Le pire a �t� d'en retrouver une sur mon lit en train de se caresser et de se masturber devant moi.

Revenons � nos moutons. Tout en papotant, on pr�parait la cuisine. J'avais la bizarre impression que mon sujet l'int�ressait au plus haut point, je le sentais tr�s curieux sur le sujet.
Alix ne tarda pas � rentrer. Comme si de rien �tait, on changea de sujet, on passa une agr�able soir�e. Je partis me coucher t�t. La journ�e a �t� longue pour moi entre le voyage et le long repas de midi, j'avais qu'une envie dormir.

Je leur souhaitais bonne nuit et passais aux toilettes pour le pipi du soir. En entrant dans les toilettes je compris la raison de la fameuse lueur de la serrure. Il y avait en alignement la porte, les wc et la fen�tre, d'o� la source de lumi�re. Retour dans la chambre, douche rapide et au lit. Je ne tardais pas � m'endormir. Au cours de la nuit, je commen�ais � faire un r�ve bizarre. Un r�ve �rotique d'un homme et d'une femme en train de baiser accompagner de leurs g�missements. Comme au cours de tout r�ve �rotique je bandais et mon �rection finie par me r�veiller. Et en me r�veillant je compris d'o� venait l'inspiration de mon r�ve. Ma Meilleure amie et son mec �taient en train de s'envoyer en l'air et j'entendais tout, les bruits de la literie comme leurs g�missements. Ce qui m'excitait le plus �tais ceux de K�vin. j'aurais tant aimer en �tre la source ! Je me mis a me caresser en imaginant K�vin en train de baiser, j'essayer d'y aller au m�me rythme que les diff�rents bruit qui pouvait alimenter mon imagination.

Je faisais durer le plaisir. J'adore me branler en plusieurs fois. En fait, je me branle et quand je sens que je vais jouir je m'arr�te et je fais une pause d'au moins une demi-heure, et je r�p�te l'op�ration plusieurs fois. Ce qui a pour effet de d�cupler le plaisir que je ressens quand je gicle. �a a aussi l'effet d'augmenter la quantit� de sperme, je gicle plus. Mais l� je ne pus pas faire sur ce mode op�ratoire. Ils devaient baiser depuis bien plus longtemps que moi je me branlais et je ne tardais pas a entendre, avec satisfaction, la jouissance de K�vin, c'�tait divin.

Le soucis �tant que je n'avais pas jouis. Je d�cidais d'aller aux waters. Je m'installais tranquille sur le tr�ne, je pr�parais mon papier pour me nettoyer � l'issue, je pris ma queue a pleine main et commen�ais un astiquage en r�gle. J'imaginais K�vin � poil, je me revisionnais la s�ance des waters, je voyais K�vin la queue � la main en train de se branler...

Hum.. Le jus n'allait pas tarder a monter quand un bruit au niveau de la porte m'alerta. Je m'arr�tais net ! le coeur battant je jetais un oeil a la serrure et l� je sursauta !

Je cru voir un oeil ! je me reprends et re-jette un oeil. Non fausse alerte, rien que mon imagination. Je me r�installe sur les toilettes et m'astique de nouveau le manche. J'ai l'imagination tellement fertile que je tarde pas a jouir. Je jouis tellement que je m'en fous partout ! je me nettoie comme je peux, remonte mon calebute, je bande toujours, mais je m'en fous, les amoureux doivent dormir a poing ferm�s donc je peut me promener la queue droite �a ne va d�ranger personne en pleine nuit. Au moment de sortir, j'ouvre la porte et l� je tombe nez � nez avec K�vin !

On se rend compte en m�me temps de l'�tat dans lequel on est et on se met a rire. En effet on est tous les deux en calebute largement d�form� par une �rection. Sans �changer un mot on �change nos places, moi je lib�re les toilettes et lui y va. Je file au lit, autant excit� que g�n� de la situation.

Le lendemain je me r�veillais le dernier. Je me levais vers 9h30 et descendis prendre le petit dej. Les tourtereaux �taient d�j� a la cuisine et venaient de terminer. Alix me demanda ce que je voulais, me servis, et on papota comme on faisait tout le temps. Son homme me fis un petit sourire, un petit clin d'oil et fila se doucher. Je ne compris pas l'origine du clin d'oeil, mais je ne m'en offusquais gu�re. Au cours du papotage Alix m'expliqua le planning de la journ�e. Matin�e tranquille, pr�paration de la salle au cours de l'apr�s-midi, �ventuellement t�l�guidage des personnes �gar�es et qui ne trouve pas la route, pis repas de famille (environ une petite trentaine de personnes). A ce moment l� elle m'apprit que je dormirais ici seul avec K�vin et que par cons�quent j'�tais charg� de m'occuper de son r�veil. Elle insistait bien sur le r�veil car son homme avait la mauvaise habitude de tra�ner au lit et vu le programme de demain matin valait mieux qu'il ne s'y attarde pas.
(Je vous passerais le d�roulement de la journ�e qui ne fut pas particuli�rement palpitant. J'en arrive � la fin de la journ�e, apr�s le repas lorsque K�vin et moi sommes rentr�s a la maison.)
Nous venions a peine de franchir la porte que K�vin me demanda :

- �a te dis de prendre un digeo avant le dodo ?
- Pourquoi pas. Il est tard mais bon, on peut en profiter pour terminer d'enterrer ta vie de gar�on.
- Allez finissons en de cette vie de c�libataire !
Il me servit du get 31 tout comme lui, trinqua et bu cul sec ! j'en fis de m�me. Ouhaha ! j'avais oubli� comme �a pouvait �tre " frais " ! je le sentis bien pass�. On �tait bien install� dans le salon, on se servait et on d�blat�rait sur sa vie de c�libataire qui se terminait. Quand K�vin changea de sujet de conversation :
- Au fait, tu m'as l'air bien monter mon cochon !
- comment �a ?
- Oui, quand je t'ai crois� hier au sortir des toilettes tu bandais raide.
- Ouais, mais je n'�tais pas le seul ! toi aussi tu bandais raide !
- Ouais mais moi c'est pas pareil, enfin c'�tait pas pour les m�mes raisons.
- Ouais tu venais juste de t'envoyer en l'air.
- Ouais mais c'est pas �a qui me faisait encore bander !
- Ah bon ? je lui demandais l'air �tonner. Et c'�tait quoi ?
- Ben, en fait fait, je dois t'avouer que je t'ai mat� dans les chiottes.
- Tu m'as mat� ?
- Ouais, je t'ais mater en train de te branler et je dois dire que �a ne m'as pas laisser de marbre, surtout quand t'as gicler !
J'en revenais pas ! Tout en parlant il se caressait l'entrejambe.
- et je dois dire que rien que d'en parler j'en bande de nouveau.
- Montre, lui dis-je un air de d�fi dans la voix. Et c'est l� que je le vis se lever, d�faire sa ceinture, son bouton et sa braguette, baisser son pantalon et sortir sa queue. Elle �tait �norme ! - Mat j'ai envie que tu me suces.

Il me regardait avec un petit air de chien battu. Je ne me fis pas prier, je lui fis signe de s'avancer vers moi, ce qu'il fit. Il �tait l� devant moi, le pantalon sur les genoux, sa queue raide. je n'en revenais pas !
Je commen�ai par lui l�cher le gland, je tirai bien la langue et lui lapais le bout de la queue comme si c'�tait une glace. Il avait l'air d'appr�cier ce petit traitement car il fermait les yeux et me caressait la t�te de ses mains. J'enfournais alors sa queue compl�te dans ma bouche, qu'est ce que j'en avais r�v� de la t�ter cette teub ! Je m'appliquais du mieux que je savais faire. Tant et si bien qu'il commen�a a accompagner mes mouvements de t�tes de mouvements de son bassin. J'avais tr�s envie de le voir gicler, je voulais son jus et je faisais tout pour.

Je l'entendais respirer fortement et g�mir un peu, �a m'excitait grave !
Moi je ne me contentais pas que de le sucer, je sortis ma queue et commen�a de me branler. �a faisait un bon quart d'heure que je le su�ais quand il prit ma t�te a deux mains, se pencha et posa ses l�vres sur les miennes en un doux bisous. Il se recula un peu, me regarda droit dans les yeux et me sourit. Je le trouvais beau ! J'avais envie de lui dire je t'aime. Mais c'est K�vin qui me devan�a. Il me dis " Je t'aime. " Ce qui me toucha au plus profond de moi ! Je lui d�posais mes l�vres sur les siennes, j'ouvris doucement ma bouche et glissait ma langue entre ses l�vres. Ce baiser fut d'une tendresse. On s'embrassa longuement, langues emm�l�es. On s'arr�ta, il me prit et m'emmena dans ma chambre. Il me d�shabilla, me couvris de baisers, et commen�a une fellation comme je n'en avais jamais eue ! il su�ait comme un prince !

J'�tais tellement excit� que le jus commen�ais a monter. Je lui dis, mais il continua de plus belle. Je ne pouvais me retenir, ma respiration devenait plus rapide et plus �a s'acc�l�rait plus il y allais, jusqu'� l'extase totale ! Je lui giclais dans la bouche, y avait tellement de jus que �a lui d�goulinais des l�vres ! Il me nettoya compl�tement de la langue et vint s'allonger � mes cot�s. Pour le remercier je l'embrassais de nouveau longuement.
C'est lui qui rompis de nouveau le silence :

- Merci Mat.
- Pourquoi me remercier ?
- Pour ce que tu viens de m'apporter. �a fais tr�s longtemps que je fantasme sur des mecs et je r�vais de r�aliser ce fantasme mais j'avais peur et quand tu m'a annoncer hier que tu �tais gay je me suis dis que c'�tais le moment de passer a l'action, avec toi.
Je le regardais en souriant. Je m'approchais de lui et l'embrassais de nouveau. J'adore �a embrasser ! Je trouve ca plus excitant que tout !
- au fait tu n'as pas encore jouis, lui dis je.
- Effectivement, me dit-il avec un regard coquin.

En disant cela il se mis a cheval sur moi, faisant aller et venir son bassin sur ma queue qui ne tarda pas a prendre de nouveau toute son ampleur ! Il commen�a un strip rapide, moi je me branlais en le matant. Je me caressais les couilles, me massais sous la queue entre mes couilles et mon cul en essayant de lui faire passer un message, message qu'il compris parfaitement car il me fis glisser sur le bord du lit et il commen�a a me l�cher le petit trou, c'�tait divin ! moi rien que �a suffit a me faire jouir ! j'arr�tais net ma branlette pour me laisser submerger par le plaisir de cette feuille de rose ! je ne saurais combien de temps venait de passer mais pour moi �a me semblait trop court quand il cessa de me prodiguer ce plaisir.

Pause de courte dur�e car le plaisir aller changer ! il me releva les jambes, les posa sur ses �paules, appliqua son gros gland contre mon anus et commen�a a me p�n�trer doucement. Il m'avait tellement bien pr�par� que c'est rentr� comme " papa dans maman " comme on dit.

Quand il fut totalement rentr�, il se coucha sur moi pour m'embrasser et commen�a a me faire l'amour. Je ne parle pas de baise, rien de bestial, tout en douceur et en sentiment, il me faisait l'amour ! l'extase totale ! je n'avais jamais connu �a, je ne me doutais m�me pas que �a puisse arriver. Il me fit l'amour longtemps, je ne saurais combien car j'avais totalement perdu la notion de temps, mais tout ce que je souviens c'est que j'ai jouis sans m�me me toucher, ma queue giclait d'elle-m�me un flot de sperme impressionnant ! mais �a n'allait pas s'arr�ter l� car il m'a fait jouir du cul, au moment o� il a commenc� � fortement acc�l�rer la cadence, il me disait plein de mot d'amour a l'oreille, moi j'�tais au septi�me ciel, compl�tement retourn� avec des �toiles pleins les yeux !

Le summum fut sa jouissance : Dans un r�le rauque, il me remplit le cul de son jus, au moins cinq bonnes gicl�es ! Il s'affala sur moi, m'embrassa de nouveau longuement. Il �tait super tendre ! je lui d�posais pleins de baisers partout sur son visage. Je lui d�posais un l�ger baiser sur l'oreille et lui glissais ce petit message : " Je t'aime. ". On s'endormit dans les bras l'un de l'autre. Moi, je ne dormais que d'un oeil, je voulais profiter de ces moments avec lui. Il est beau quand il dort !

On ne manqua pas le r�veil. La journ�e commen�a sur les chapeaux de roue, tout d'abord, on remis �a, on commen�a par un c�lin rapide qui d�buta dans le lit pour se finir sous la douche. On discuta longuement au cours du petit d�j, de tout ce qui venait de se passer et de tout ce qui se passerait par la suite. On vivait vraiment quelque chose de formidable et on ne voulait pas que �a s'arr�te l�.

Ce qui advint par la suite : il se maria avec ma meilleure amie, ce qui me permis de les voir souvent tous les deux mais aussi chacun de leur cot�.
Au jour d'aujourd'hui, ;Alix reste ma meilleure amie, et je suis devenu l'amant de K�vin.

Elle ne se doute de rien, et si c'est le cas elle n'en parle pas ni n'en tient compte. De toute fa�on, il nous est d�j� arriv� de partager un mec, et nous l'avons tr�s bien v�cu. En tout cas moi je suis heureux car j'aime un mec formidable qui m'aime �galement.

Je suis presque combl�, ne me manque plus qu'un amoureux officiel car l'actuel est officieux.

Mat.

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