Cyrillo

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Fais moi mourir

Alexandre �tait contemplatif, avachis dans un fauteuil les yeux livides tout comme l'esprit. L'�cran d'ordinateur inscrivait Taurus.Com, ainsi que son bureau, ses papiers, son monde �tait devenu celui de Taurus.Com, quand, pris d'un spleen aventurier, il �tait devenu r�dacteur pour ce site Internet r�serv� aux m�les gays du monde. Ce matin, quoi que ce monde lui eut sourit, il �tait las... Chad et Th�be l'observaient d'un coin.
; -Hey! fit Th�be. Quelle histoire tu vas encore inventer!
; Il s'�tait appuy� sur son �paule pour lire � l'�cran. Cette masculine familiarit� parfois �moustillait le jeune homme.
; -Est-ce que Therrance � l'intention d'en tourner un vid�o? fit Chad, enjou� qui s'approchait � son tour.
; -Boaf...
; -Tu viendras, Caesar va tourner son fameux clip avec le taureau!! Moi, j'veux pas manquer �a.
; -Ouais, ouais, allez-y, les mecs, je vous rejoindrai peut-�tre.
Sur ce ils le quitt�rent. Lui, restait, pensif. Qu'y avait-il dans ces yeux o� dans les tourments, un oiseau aurait pu voler.? Quoi, dans cette belle t�te pour �tre ainsi trouble?
"Is life about love? Ou plut�t, le cul, est-il une question de vie ou de mort? Oui, et probablement plus... Amour, doux amour qui m'est promis par l'acharnement de mes pulsions id�alistes, un jour, si je te trouve, te ferai-je mourir? T'emm�nerai-je en ces sph�res du mondes qui nous sont si hautaines et qui repoussent l'amour jusqu'aux limites de l'absolu? J'aurais peur de te tuer, car mon amour � donner est trop grand, moi qui ne sais plus ce qu'embraser, ce qu'�treindre veut dire... Comme je me sentais tr�s seul, vraiment tr�s seul, et que j'avais besoin d'amour, mais vraiment besoin d'amour, j'ai sombr� dans les joies de l'Internet, dans une luxure malsaine, pratiqu�e sur moi-m�me, des perversions obsc�nes et d�biles, toutes apport�es par ce r�seau de sites vicieux et o� l'on sert du beau pour pas cher, du sexy, de l'excitant. Je jouissais devant des bandes d'hommes qui copulaient, des mecs qui se faisaient violer, enfoncer toutes sortes de trucs dans le cul, des mecs compl�tement malades qui se faisaient enculer en rafale par des chiens lubriques, malmener par des �talons bien membr�s et en chaleur, d�foncer par des taureaux, remplir la pense par l'�jacul�t et la queue d�fonceuse de ces m�les. Il y avait aussi des pauvres fous qui se mettaient � quatre pattes pour leur �quipe de football pr�f�r�e, pour se faire prendre par tous ces mecs en chaleurs, bien band�s et muscl�s, poilus, viriles � souhait. C'�tait." Mais rien n'�galait le vrai terrain, celui des proies et des pr�dateurs... Un terrain immens�ment sinueux et ramifi� o� il s'�tait �galement perdu... Peut-�tre que Bud pourrait l'en consoler... Le jeune homme se leva, sans un bruit et quitta la salle.

* ; * *

; -Allez, mon beau, tournes-toi.
; C'�tait Litzia
; -Ouh!! Allez. Ouais, c'est �a.
; Aaron contractait sensuellement ses muscles puissants et souriait vicieusement � la cam�ra. Les flashs le caressaient. Il se retournait langoureusement. On lui aurait saut� dessus. Ou plut�t, aurait-on voulu qu'il nous saute dessus, qu'il abuse de nous. C'�tait un beau grand black au cr�ne luisant. Tout comme le reste de son corps, d'ailleurs. Il portait sagement un petit pinch, il avait les yeux profond. Et le maillot bien rempli. Deux livres de queue.
; -Allez, mon Aaron, fais-les bander. Qu'ils en �clatent.
; Quel beau contraste : il jouait avec une longue toile de soie blanche qui ondulait sur les rondeurs masculines.
; Therrance regardait, la cigarette � la bouche. Therrance, directeur artistique, accompagn� de son assistante. Parce qu'� Taurus.com, on ne donnait pas du cheap. On leur servait quelque chose de l�ch�, tout � fait accessible, mais, enjoliv� par le r�ve, le fantasme. La fantaisie. Enfin, c'est ce que Therrance et Bud auraient dit.
; Litzia se retourna vers eux. Avec ses cheveux blonds, sa maturit�, ses trente-deux ans, ses yeux sombres, elle �tait sobre et d�sirable. Mais, plut�t amie que monture.
; -Bon, vous avez ce que vous voulez?
; Therrance ne r�pondait pas. Il regardait attentivement Aaron. Il repla�a le collet de sa chemise blanche, austa son complet noir.
; -Quoi?
; -On va chercher Chad et Theb? Demanda Litzia.
; -Mais oui. fit Therrance pour mettre fin � l'h�sitation.
; -Et. Les avez-vous vus?
; Il regarda autour de lui.
; -Non. Va demander � Bud, il est dans son bureau.

; Elle soupira, posa la cam�ra sur la table de verre, puis s'ex�cuta. Therrance la regarda s'�loigner. La pi�ce �tait grande, immense. C'�tait en fait un loft avec quelques divisions, mais, emm�nag� comme un studio, avec des toiles, des lumi�res. Il y a avait d'autres �tages affili�s. Ceux de la r�daction qui s'occupait des histoires, il y avait les infographistes et les programmeurs. Therrance et Bud, associ�s. Ils contr�laient tout. Ils avaient ouvert la boite ensemble. Parce qu'au rez-de-chauss�e et les deux �tages plus haut, il y avait une merveilleuse bo�te de nuit. Quelque chose de branch�, avec shows �rotiques. Therrance en �tait l'animateur, un homme de trente-huit ans, sensuel et accueillant. Il �tait l'ami de tout le monde. ; Enfin, sur la sc�ne. Il avait les cheveux noirs, courts, �chevel�s, et un caract�re d'enfer. Il avait une �norme confiance et un gros ego.
; Litzia ouvrit la porte du bureau sans cogner, parce que Bud y �tait habitu�. Mais, dans ce qu'elle vit, rien ne clocait. Bud, cal� dans son fauteuil, pr�s de son ordinateur. Complet, style caf�, �l�gant et grand, les cheveux blonds, boucl�s et courts, comme s�raphin, mais, un peu moins catholique., les yeux verts, les traits viriles mais chaleureux. C'�tait un Qu�b�cois bien camp�, robuste.
; Et chaque fois qu'elle le voyait, elle ressentait un petit pincement. " Je ne lui ferais pas mal. " et " pourquoi aime-t-il mieux les mecs? ". Il souriait, avec sa fra�cheur, mais il avait l'air tendu.
; -Salut, qu'est-ce que tu veux? S'empressa-t-il.
; Elle fureta du regard.
; -Chad et Theb. Sait-tu o� ils sont?
; Il remua inconfortablement sur son fauteuil. Et ferma les yeux. Il prit son souffle.
; -Ils sont avec Caesar!
; -Ok.
; Elle h�sita.
; -Tu es certain que �a va?
; -Oui, oui, ferme la porte en sortant.
; Elle ressortit et entendit quelques rires �touff�s derri�re elle. Si elle avait su que tout en lui parlant, monsieur avait son gros membre sortit de sa braguette et fourr� dans la bouche avide d'Alexandre qui jubilait sous le bureau, et qu'il se faisait tailler une des pipes de sa vie, que la jute montait au moment m�me o� elle �tait entr�e, peut-�tre qu'elle aurait compris son empressement. Non. ; Mais elle avait des petits doutes. Et c'est ce qui les excitait.
Elle alla alors voir Caesar qui, comme pr�vu, tournait une vid�o bestiale. Sur on ne savait pas quoi. Elle entra dans le studio et entendit des grondements. Elle vit Chad et Theb qui regardaient la sc�ne et elle alla les rejoindre. Quand elle vint pour parler, l'un d'eux lui fit signe de silence et lui pointa ce qui se passait devant eux.
Et elle vit le beau taureau, � demi calm� par une quelconque substance. C'�tait un tr�s bel animal, svelte et vif malgr� son calme. Il �tait tout noir, avec ses cornes effil�es et meurtri�res. Il respirait la virilit�. Ses grosses couilles pendaient et sa queue. Sa queue! Un gros membre large, noir et soyeux. Elle vit enfin ce qui les �moustillaient tous. Le jeune Park, fr�le, blanc, cheveux noirs, habill� en page antique �tait sous lui, il avait relev� son pagne, et les jambes �cart�es, il laissait le monstre le monter, le servir sans vergogne. La b�te �tait compl�tement enfonc�e en lui, Sa�ko, le taureau, le malmenait, il g�missait sourdement et red�fon�ait de plus belle ce beau petit cul blanc, il le pompait impudiquement. Les grosses couilles frappaient � chaque retour du co�t enflamm�, les cuisses de Park, ces grosses couilles fermes qui allaient propulser des jets de semence virile, mais pas tout de suite. Elle du admettre qu'elle trouvait cela tr�s excitant. Mais il y avait le job. Elle vint pour parler.
; -Regarde, chuchota Theb. C'est un gros calibre, tu sais. �a lui a fait mal, surtout quand il l'a p�n�tr�, tu aurais d� voir. Il a hurl�.. Je comprends. C'est comme si on vous avait enfonc� un poing et tout le bras dans le cul, au complet et d'un seul coup. Et un bras muscl�.
; Park commen�ait � g�mire difficilement, de plus en plus fort sous l'intensit� bestiale de la monte, il commen�ait � en ressentir des douleurs.
; -Son gland �norme, fit Chad presque sans bruit. Quand monsieur Sa�ko va s'�tre vid� son litre de jute dans les intestins de ce pauvre, il va enfler et, couic! Il est fou.
; -Il risque l'h�morragie, continua Theb.
; Elle vit que les deux hommes �taient silencieux, dans leur �rection.
; Elle leur indiqua l'entre-jambe moelleuse et dress�e.
; -Eh, les gars, gardez-en un peu pour Aaron.
; -Oui, on arrive, chuchota Theb.
; Elle continua � regarder la sc�ne. Park commen�ait � crier, � hurler. En silence. Ses traits jeunes se crispaient. Il, Sa�ko, �tait de plus en plus violent. Comment le bassin, les entrailles de ce jeunes pouvaient-elles se faire agrandir et presque d�chirer par un si gros pieux et qu'il y prenne plaisir? En tout cas, le monstre avait l'air d'aimer d�foncer - et c'est le cas de le dire - le sein de jeunes fous en manque de m�le. Il y allait fort. Oui, Park aurait eut la monte de sa vie, la plus sauvage. � moins qu'il n'ose se faire mettre par quelque chose de plus gros. Un �l�phant? La queue grosse comme un tronc, avec des muscles. Il n'aurait qu'� la tordre et Park plierait en deux. Premi�rement, la queue ne rentrerait pas, elle lui d�chirerait le corps et le gland ressortirait par la bouche. Elle l'imaginait cracher la liqueur de l'�l�phant comme une fontaine.
Mais, monsieur Sa�ko y allait tr�s fort. Il �tait devenu fringant et fougueux. C'�tait compl�tement fou, la pauvre salope de Park �tait empal�e sur un pyl�ne et ses pieds ne touchaient plus terre. Il �tait emmanch� dans le vide et criait � chaque impulsion sauvage du taureau. Puis, on sentit qu'il avait pris son pied. Park avait jut� en l'air pendant la cavalerie et les grosses couilles se resserr�rent, on vit la pulsion de sperme parcourir le membre. Le gland avait s�rement gonfl�. Et la b�te ralentissait mais restait tout aussi intense. Park g�missait comme si on l'�tranglait, il avait les yeux grand ouverts, comme si une main lui arrachait les visc�res. Mais non, c'�tait ce gland �norme et puissant qui d�versait dans ses boyaux vierges, un litre de semence �paisse, toute chaude et directement des grosses gonades, chaude et blanch�tre qui se rependait en tout son �tre.
Ils rest�rent l� � g�mire, quelques minutes, puis, sentant que la voie �tait pr�te, le taureau se retira doucement ses vingt-cinq pouces de viande. Mais, il ne r�ussissait pas. Il �tait enfonc� si profond�ment qu'il a fallu que deux potes � Caesar saisissent le jeune par les hanches pour le d�senfiler et Park en g�mit d'�puisement, de plaisir, de douleur et d'extase. Son cul �tait ouvert b�ant et meurtri alors que le sperme coulait entre ses jambes. Affluant au d�but � cause de la pression, lentement ensuite. Les grosses couilles �taient vides, et Park �tait plein.
Et Caesar avait capt� toute la sc�ne. Les traits tir�s de Park, le pistonnage intense et viril, regorgeant de sperme et de fluides, que ce soit de la b�te ou de l'homme. L'orgasme imposant, le cul ouvert. Pr�t � on ne sait quoi.

C'�tait termin�, le reste, appartenait au monteur, aux infographistes, et peut-�tre au m�decin, et � Park, pour qu'il se soigne, sinon, il lui restait � se faire mettre par un des piliers de b�ton du pont.
; Litzia soupira et se retourna vers eux.
; -Bon, vous �tes satisfaits, maintenant?
; Ils allaient enfin venir pour qu'on finisse de tourner cette bon dieu de sc�ne. Aaron allait �tre couvert de toiles d'arraign�es quand elle reviendrait. Et Therrance, en col�re. Allez, va te faire sucer et reviens. Apr�s, tu seras plus endurable. Et Shark. Ce putain de cameraman. Il n'�tait pas encore arriv�. Litzia prenait les photos, pas le reste. Elle ne s'y connaissait pas pour risquer de se faire engueuler par quelqu'un, que ce soit Therrance ou Shark, quand il arriverait. Elle devait le savoir.
; Elle proposa aux deux hommes qui la suivaient d'aller se placer avec Aaron pour commencer, et elle passa par le bureau de Bud pour lui demander o� �tait ce foutu Shark. Quand elle ouvrit la porte, elle comprit les g�missements.
; Lui, Bud, ne l'avait pas entendue � cause de la musique agressive. Et il ne l'avait pas vue. Parce qu'il avait les yeux clos par l'extase. Il �tait debout, dans son complet, en train de niquer Alexandre qui lui non plus n'avait rien remarqu�. Il se faisait baiser en levrette par ce big boss qui avait sa belle grosse virilit� enfonc�e entre ses deux belles fesses blanches. Bud, ses beaux cheveux blonds boucl�s, ses yeux s�v�res, son allure � la fois d'innocence et de luxure. Elle enviait le jeune homme qui fr�tillait et fondait sous la chaleur de ses bras. Bud n'avait rien perdu de son �l�gance sensuelle. Il avait ses deux grosses mains sur les hanches d'Alexandre et le montait virilement. Et � voir les spasmes langoureux qui tordaient Al de plaisir, le mec devait avoir un gros engin. Bud, tout frais, n'avait que baiss� sa braguette et Al, son pantalon. Ils �taient habill�s, pr�ts � reprendre la routine quand Le Boss se serait soulag�.
; Pour Alexandre, c'�tait tout � fait normal. Et d�licieux. Bud �tait un homme tr�s charmant, tout en lui et avec lui �tait bon. Il se faisait prendre par derri�re par un beau m�le. Et ce n'�tait pas la premi�re fois. Non! En fait, Al ne se privait pas de ce dont il avait envie.
; Litzia se fit alors entendre. Quand ils la virent, ils s'interrompirent. Mais Bud ne se retira pas, il ne semblait qu'avoir un petit inconfort. Et c'est la queue bien engouffr�e dans cette douce chaleur, tenant Al par le dos pour ne pas qu'il se rel�ve, qu'il r�pondit � Litzia.
; -Quoi? Fit-il tout haletant.
; -D�sol�e de vous d�ranger. Mais, ce foutu Shark n'est pas encore arriv� et.
; -Il a appel�, fit alors Alexandre dont le plaisir faisait vibrer bassement la voix. Il a dit qu'il serait.
; -En retard, oui, continua Bud. Il n'a pas voulu dire pourquoi. Je pr�sume que c'est. Ah. C'est sa soeur.
; Alex, tout appelant, venait de lui donner un petit coup de rein et ainsi, sa queue caress�e et enfonc�e l'avait fait tressaillir d'excitation et aussi, cela lui avait rendu la parole difficile.
; -Bon, o.k., je vais leur dire d'attendre.
; -Mais, fit Bud, Litzia, tu peux pas prendre les choses en main?
; -Oui, prendre les choses en main, fit Alexandre, malin, en donnant un autre coup de rein.
; -Oui, oui, vas-y, Litzia! fit Bud en lui faisant signe de s'en aller.
; Litzia ferma la porte, les yeux lev�s au ciel, en entendant les deux autres recommencer � s'�battre bruyamment. Therrance la regarda de loin.
; -�coute, mon chou, lan�a-t-elle, il va falloir qu'on fasse avec.
; Le boss se rabougrit. Puis, soudain, la porte s'ouvrit. C'�tait lui, l'homme, c'�tait Shark, un grand mince en noir et kaki, veste d'arm�e, les cheveux noirs, raz et des favoris longs, un pinch. Il avait des traits d'adolescent mais matures et fermes, et une boucle d'oreille, un petit anneau argent� sur la narine gauche. � propos, il �tait du genre, cuir, parfum, argent. Il avait sa camera dans sa valise, et une d�marche si nonchalante. Il �tait gentil, mais un peu macho. Enfin. Il installa son mat�riel comme si personne ne l'avait attendu, il m�chait une gomme, et bien s�r, cela lui donnait un air encore plus d�tach�.
-Salut, les gars! Fit-il amicalement.
; -Hi, fit Chad.
; -Wassup man! Fit Aaron
; -Oh. Vraiment rien de sp�cial. J'ai rencontr� une vraie conne au caf� ce matin, elle emmerdait tout le monde avec des prospectus sur une secte de d�biles. Y a bien fallu qu'on s'en d�barrasse. Boaf. Il fait chaud, ici.
; -�a doit �tre parce que tu viens d'arriver, fit Theb dans son coin, adoss� sur la toile bleue chamoir�e qui servait de fond.
; -Ouais, fit Shark, on va leur foutre le feu � cette putain de baraque.
; -J'te ferai remarquer que t'es en retard, mon cour, fit Litzia.
; -Alors, continua Shark, commen�ons, mon cour.
; -Ouais, fit Theb.
; Ils se mirent tous en position devant Therrance qui se tenait la t�te d'exasp�ration et son assistante qui n'avait rien fait de la matin�e et qui n'allait pas recevoir de tache de la journ�e. En fait. Pourquoi �tait-elle l�?
; Ils �taient tous les trois nus. Theb et Chad �taient un peu plus petit qu'Aaron. Ils �taient tous deux arabes, deux m�les bien muscl�s avec un air d'exotisme. Chad, l�g�rement plus trapu, avec ses cheveux courts, sombres tout comme sa peau, ses yeux myst�rieux, son nez, ses traits forts, Theb, plus svelte tout aussi masculin, tout nus, c'�tait. Ils faisaient une merveilleuse �quipe, la Beurs Team � la rescousse! Un peu de jus? � votre service. Les trois m�les �taient pr�s � tourner, les deux beurs �taient agenouill�s de part et d'autre du grand black, dress� comme un monument ind�cent. Ils �taient pr�ts � le sucer et se l�cher, � se faire commander par la masculinit� d'Aaron.
Litzia �tait parfois contente d'avoir ce job. La porte s'ouvrit. Oh non. C'�tait Claudine, la r�dactrice, une dame dans la cinquantaine, charmante quoi qu'un peu d�mod�e.
; -Qu'est-ce que vous faites ici? fit Therrance, lorsqu'il la vit.
; -Litzia, fit-elle toute emball�e, je peux rester pour regarder? Allez, Therry.
; -Bien, �coutez, Claudine, ce n'est pas un live show avec spectateur. fit litzia, embarrass�e.
; -Oh, mais je serai discr�te, ma petite, allez, Therry, mon petit, tu ne peux rien me refuser, allez.
; Therrance acquies�a de la t�te et tout en se pla�ant, la joviale madame continua.
; -Oh, ils sont si mignons, mes petits choux, surtout le noir, il a un petit air �rotique qui.
; -Bordel, s'�cria Therrance, va-t-on pouvoir commencer?
; Sharks Filmait, Litzia photographiait. Tout �tait parfait. Et beau. Aaron commandait � ses deux amants de l'embrasser, chose qu'ils faisaient avec douceur et langueur. Puis, Theb s'approcha du gros membre qui prenait de la raideur et dont les pulsions sanguines �branlaient la chaire d�licieuse. Il empoigna cette moelleuse trique de la main, d�calotta ce beau gland p�le et serra la hampe pour le faire gonfler. Aaron eut un petit frisson, et Chad, continuait de le baiser doucement. De petits, coups de langue, Theb titilla le gland bulbeux et la virilit� se dressa dans toute sa splendeur. Chad, lui, se mis � caresser les fesses lobuleuses et fermes, de ses mains, il �carta la raie et lentement, il se mis � caresser de sa langue l'antre sombre. Theb, ainsi avala la grosse queue et, salivant, caressant, malaxant les deux testicules rondes et protub�rantes, se faisait tr�s intense.
; Mais Aaron, qui aurait du savourer, restait ainsi camp�, sto�que en m�le dominant. Seul quelques petits spasmes trahissaient parfois son plaisir. De chaque c�t�, il tenait la t�te de ses esclaves et leur donnait un rythme. Puis, soudain, dans cette bouche et cette barre solide et large, cette peau satin�e noire, veineuse, ce gland rose et bomb�, sentant que l'orgasme venait, Theb retira le membre et l'empoigna � nouveau pour y recueillir, lap�e par lap�e, les jets de l'homme qui venait. Une premi�re gicl�e, spasmodique, glaireuse et blanch�tre qui vint mourir en la bouche appr�t�e, une seconde, tout aussi puissante et chaude, une troisi�me, ponctu�e de g�missements, puis, une quatri�me, et encore une autre, tout aussi longue et abondante, et une autre, encore. Theb en avait aval� la gorg�e sublime, am�re et saline, devant l'objectif approch� de Shark alors qu'aidant de caresses, une autre gicl�e, puis une autre alors que les couilles se resserraient. Lorsque Le Black se fut vid�, Theb avait bu trois bonnes gorg�es de liqueur virile. C'�tait tout � fait d�ment.
; Chad et lui partag�rent en un baiser, la derni�re gorg�e de sperme, puis, Ils chang�rent de place, et ce fut au tour de Theb du go�ter au cul d'Aaron et � Chad de go�ter � la grosses queue. Mais, pas comme il l'avait imagin�. Quand l'Arabe vint pour s'englouttir l'organe toujours band� � bloc, Aaron le releva, le tirant par la t�te. Il le retourna, le serra au bassin contre lui, puis, lui caressant les muscles pectoraux tir�s et son dos robuste, il le pencha par en avant. Tout le monde le savait, Chad y compris. Il allait go�ter � une autre sp�cialit�. Il allait y go�ter, vraiment!
Consid�rant la paire de fesses bronz�es et charnues devant sa virilit�, il les �carta. Apr�s s'�tre mass� � peine dix secondes, il d�chargea sur l'orrifice affam�, une bonne gicl�e chaude pour lubrifier. Le saisissant par les hanches, il l'approcha tranquillement, posa son �norme gland de cheval sur la rosette et appuya violemment. Chad g�mit difficilement, sous l'intense p�n�tration, difficile, qui l'envahissait. Quand Aaron fut bien a fond, il se mit � ramonner bien vivement et bien solidement le Chad �puis� d�j�. Il le montait avec une aisance masculine et d�tach�e. Non, on n'aurait pas dit qu'il avait autour de sa queue d'�l�phant, un anus serr� qui se contractait de plaisir chaque fois que la grosse �rection pistonait sur la prostate du beur d�fonc�. Non, il n'avait pas l'air de ces gorilles en rute qui g�missent comme une g�nisse qui met bas. En fait, c'�tait Chad la g�nisse qui se faisait turluter par un pilier. Car les Blacks, comme l'aurait dit Claudine, ce sont des d�mons, au lit. Enfin, l�, ils n'�taient m�me pas au lit. Mais, non, on n'aurait pas dit qu'il se faisait caresser la queue par les entrailles, par les boyaux de Chad qui soupirait sans cesse de plaisir d�sabus�. On aurait plut�t cru qu'il faisait de la poterie sur le dos d'un mec, qu'il massait quelqu'un. Ou m�me qu'il dansait, mais pas qu'il faisait prendre son pied � un beau beur viril. C'en �tait d�concertant. On voyait ce bras noir entrer et ressortir de l'antre bien lubrifi� sans douleur. Et Theb l�chait, lui qui avait eu sa part du g�teau, ou plut�t de la jute, il l�chait avec d�votion le Black violent.
Allait-il un jour s'arr�ter? Une heure avait pass� si facilement pour tout le monde. Et Aaron r�ussissait � monter tout aussi fr�n�tiquement le bon Chad en extase qui jutait sur ses cuisses robustes car son membre � lui n'�tait m�me pas �rrig�. Et puis, l'orgasme fut. Aaron s'arr�ta lentement, d�chargeant en Chad son sperme f�cond, son �jaculat de premier ordre. Theb qui avait lap� le sperme sur les cuisses de la monture �puis�e s'�tait �tendu pour leur caresser les pieds. Aaron se retira alors que sa d�charge semi-transparente coulait entre les jambes de Chad. Il laissa Chad s'effondrer sur le sol comme un vulgaire sac � foutre, de la chaire � p�n�trer et molester. Il se retourna vers la cam�ra et, caressant son zob gargantuesque.
; -Ya quelqu'un d'autre qui veut y passer?
; " Coupez! ", aurait cri� Therrance, mais il �tait trop dispers� pour y songer. Shark commen�ait d�j� � ranger son mat�riel et Aaron aida ses deux partenaires � se relever. Il les f�licita, les embrassa m�me au passage.
; Oui, comme le pensait Litzia, qui elle aussi pr�parait ses bidules pour les infographistes, �a avait �t� une belle performance. Tous les trois, ils avaient �t� superbes. Et le mot �tait faible. Claudine protestait encore que ce n'�tait pas assez, mais. C'�tait Claudine.
; -Bon, fit Therrance, une belle journ�e, beau travail, je vous f�licite tous!
; Litzia avait remarqu� que, silencieux, Alexandre �tait venu regarder le plateau. Prendre des nouvelles.
; -Excuses-nous pour tant�t, fit Alexandre, on n'avait pas vraiment l'intention.
; Litzia ne le laissa pas finir.
; -Boaf, vous avez fait ce que vous aviez � faire.
; Elle vint s'assoire � ses c�t�s, sur un canap� de cuir noir.
; -Therrance a de l'ambition, confia-t-il, et Bud aussi.
; -De l'ambition et une grosse queue.
; -Et une belle gueule, compl�ta Al.
; Ils rest�rent ainsi quelques secondes.
; -Tu sais Litzia, on ne se le dit peut-�tre pas assez souvent, mais, je crois qu'il le faudrait. Tu sais, je suis content de travailler avec toi. Tu es le neutron dans notre �quipe, le noyau, l'agent de coh�sion.
; -Ouais. �coute, Al, je ne sais pas quelle bande de pervers cela fait de nous, mais, je sais une chose, je suis bien ici.
; -En fait, on dirait " Paradis aphrodisiaque pour jeunes m�les en manque de sex et d'aventure ". Mais, bon, un jour, ce sera mieux.
; Elle le regarda.
; -Qu'est-ce que tu fais, demain?
; -Rien, j'ai des cours. En fait, je vais �tre pris tout le reste de la semaine, pourquoi?
; -Boaf, on aurait pu aller faire les boutique, ou d�jeuner, ou je ne sais pas quoi.
; -On se reprendra. Tu sais, on a l'air de deux oisifs qui ne savent pas quoi faire de leur temps.
; -Ouais.
; -Enfin, on se voit samedi?
; -Oui.

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Malia xxx

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