H�t�ro en mal de fricCette histoire m'est arriv�e l'an dernier. Ce fut ma premi�re, et derni�re exp�rience avec un mec. J'�tais �tudiant en Espagne et je vivais en colocation avec un australien, Bret. Nous �tions pour une ann�e les meilleurs amis du monde, � vivre ensemble, faire la f�te : nous nous trouvions dans le m�me " trip " d'�tudiant insouciant. J'�tais plut�t un chaud lapin, � me taper tout ce qui bouge, alors que Bret �tait de nature assez calme, niveau gonzesses. A vrai dire, je ne l'avais jamais vu s'en taper. Enfin je ne me suis jamais pos� de questions sur ses pr�f�rences, puisque il paraissait �tre le parfait h�t�ro. Il �tait beau gar�on, sportif bien b�ti � l'allure virile. J'en complexais m�me parfois. Moi qui �tait plut�t branch� picole et bouffe, et dont la seule activit� sportive �tait une petite branlette quotidienne. Ce mois-ci, il me manquait 150 balles pour payer le loyer, � cause de ces couillons du CROUS qui ne m'avaient toujours pas pay� ma bourse. Je ne pouvais plus taxer un rond � mes parents, et comme ma location n'avait rien de super l�gal (le syst�me �tant assez diff�rent d'en France), je pouvais me faire jeter du jour au lendemain par le propri�taire. Bret me voyait compl�tement d�sesp�r�, et me proposa de m'aider. Il faut dire qu'il avait les moyens, contrairement � moi : -Tu sais, je peux te les pr�ter, dit-il amicalement. - Ecoute �a m'arrangerait grave, mais je sais pas trop quand je pourrais te rembourser. - Sinon tu n'as qu'� me les rendre en nature, dit-il en pouffant de rire. - Ouais bah �a m'arrangerait plus que de te rembourser. - Bah tu n'as qu'� t'occuper de moi, et je te file le fric. Son ton avait compl�tement chang�. J'ai compris � ce moment-l� qu'il �tait s�rieux, et qu'il �tait branch� mecs. J'�tais choqu� sur le coup, mais le besoin d'argent � tr�s vite repris le dessus. J'ai vite accept� le march�, de toute mani�re je n'avais aucune autre solution. Ok, il fallait faire la pute, mais l'id�e commen�ait m�me � m'exciter, car je pensais au fric. On s'est rapidement retrouv�s dans sa piaule, et ce cochon commen�ait � enlever son pantalon tout en m'expliquant comment �a allait se passer. En gros, c'�tait lui qui disait ce que j'avais � faire au fur et � mesure, et moi je devais ob�ir sans broncher. Suivant ses ordres, j'ai baiss� son cale�on, histoire de d�baller le matos. Il bandait d�j� comme un �ne. Je l'avais d�j� vu � poil, mais jamais en �rection. Quelle teub ! Je ne suis pas expert en la mati�re, n'�tant pas une tafiole, mais sa bite faisait au moins vingt centim�tres. Niveau diam�tre, n'en parlons m�me pas. Il voulait que je lui fasse une branlette, pour commencer. J'ai donc pris son zob en main, et je n'arrivais m�me pas � en faire le tour, tellement le morceau �tait �norme. J'�tais compl�tement d�connect�, et j'ex�cutais ses ordres sans m�me r�fl�chir. Il m'a foutu � poil, et s'est couch� sur le lit. Moi je me suis mis entre ses cuisses, et ai commenc� � lui l�cher les boules, histoire d'y aller progressivement. Puis j'ai commenc� � remonter le long de sa queue ; elle me paraissait interminable. Arriv� tout en haut, je lui ai mis des petits coups de langue sur le gland, histoire de t�ter le te terrain. Ca sentait vraiment la teub, mais �a n'�tait pas trop d�gueulasse. L'odeur me plaisait m�me. J'ai lentement pris son gland en bouche, et ai commenc� les mouvements de succion. Malgr� la grosseur de son manche, j'arrivais � faire mon boulot sans trop de difficult�. Il voulait que j'aille jusqu'au bout de sa tige, alors que je n'arrivais pas � aller plus loin que la moiti�. Plus loin, �a m'aurait donn� envie de gerber. Bret commen�ait � perdre patience et prit ma t�te entre ses mains pour me forcer � aller plus profond. Ca allait un peu plus loin, et encore un peu plus � chaque coup de gland. Rien n'y faisait, je ne pouvais pas engloutir enti�rement sa grosse saucisse. Il m'a alors fait comprendre que je devais monter sur lui en 69, pensant que �a serait plus facile. J'ai donc grimp� sur lui, et ai repris sa bite dans ma gueule. Je me prenais au jeu, et j'avais m�me envie qu'il me suce. Mais il ne l'a pas fait, il voulait seulement que je lui pr�sente mon cul pour me titiller la rosette. Ca ne me d�rangeait pas plus que �a car il �tait assez doux, et de toute fa�on j'�tais tellement occup� � ;lui briquer le gland que je ne m'en pr�occupais pas. Il m'a �cart� les fesses, et coll� sa langue humide et chaude contre mon trou. Il a commenc� par me faire des petites l�chouilles, puis il essayait de plus en plus de me p�n�trer la rondelle. Je ne pouvais rien y faire, sa langue rentrait d'elle-m�me. Il me mangeait le cul pendant que lui pompais son gros membre. Je ne sais pas comment il s'y est pris, mais il a vite r�ussi � me fourrer un doigt au fond des fesses. Il me doigtait, et me fouillait le derri�re � sa guise. Je ne sais pas trop ce qu'il y cherchait, mais il avait l'air de prendre son pied. Moi je continuais � lui bouffer la teub machinalement. La position que j'avais me permettait de le sucer encore plus profond�ment qu'auparavant. Mais visiblement, �a n'�tait toujours pas assez pour Bret. Il m'a pris par les cheveux et oblig� � lui d�vorer encore plus la qu�quette. D'un coup, il m'a litt�ralement transperc� le gosier et me l'a mise jusqu'au fond. J'avais les larmes aux yeux et j'�touffais � moiti�. Il n'en avait rien � foutre, et m'a bais� le fond de la gorge comme il en avait envie. Il sortait de temps en temps, histoire que je puisse me reprendre, et en profitais pour me mettre des coups de bite sur le visage. Il a continu� ce petit jeu pendant dix bonnes minutes, et a soudain contract� ses mains, pos�es sur ma t�te, pour que je ne puisse pas me d�gager. Il a commenc� � faire des petits cris, et j'ai senti un truc chaud dans ma gorge. Ce connard �tait en train de me gicler dans la bouche. J'�tais pas vraiment �coeur�, mais juste en rogne car il ne m'avait pas pr�venu de �a. Comme il me bloquait, je n'avais pas d'autre choix que d'avaler sa semence. Je me faisais gaver comme une oie. Ca m'a paru interminable. J'�tais en train de gober son jus comme je pouvais pour ne pas me noyer. Une fois qu'il eut fini et desserr� ses mains de ma t�te, il m'ordonna de me mettre � quatre pattes. Putain ! Moi qui croyais qu'il avait pris son pied. Il en voulait encore. Ce p�d� avait envie de me ramoner le fion. " D�j� que j'ai commenc�, je peux bien aller jusqu'au bout ", me dis-je. Je me suis donc ex�cut�. Pos� comme une gonzesse pr�te � se faire p�ter, je ne me sentais pas tr�s bien. Mais je ne pouvais rien faire, et au moins, je ne voyais pas la sc�ne. Ma position ne lui plaisait pas vraiment : Il ne prit pas le temps de me r�pondre et posa son gland sur ma raie. Je suppose qu'il �tait satisfait de la position. Il se frottait � moi : les mains sur mes hanches et la queue le long de ma raie. Il a jou� avec moi pendant quelques minutes, puis a mis sa bite � l'entr�e de ma rosette. Il a commenc� � m'enfoncer, par des petits coups de hanche, et moi je ne bougeais pas. Je sentais son �norme morceau s'introduire en moi, centim�tre par centim�tre. Au d�but �a allait, mais j'ai rapidement senti des br�lures au niveau du rectum. Je n'ai rien dit, et me suis laiss� p�n�trer comme une salope. La sensation �tait �trange : j'avais mal, une sorte d'envie de chier, et pourtant je me laissais faire. Ses coups de bite devenaient de plus en plus secs et profonds, et je sentais que mon anus �tait tr�s dilat�. J'avais tr�s mal, l'anus en feu, mais je ne voulais pas crier, pour ne pas me comporter comme une p�dale. Ses baloches butaient maintenant contre mon cul, � chaque intrusion profonde. Il �tait au plus profond de moi, et me baisait comme une chienne. Par chance, ce supplice n'a pas dur� trop longtemps. Alors qu'au d�but les coups de gourdin �taient lents et amples, ils se firent de plus en plus rapides. Bret me serra les hanches du plus fort qu'il put, et m'empala de plus belle. Il ne tarda pas � l�cher son jus en moi. Je sentais son sperme chaud m'inonder la tuyauterie. J'�tais tr�s excit� car je savais que cette torture allait enfin s'arr�ter. Il se retira rapidement, et se coucha sur le lit. Moi j'avais l'impression d'avoir le trou du cul qui fumait, tellement je m'�tais fait monter. Alors que je croyais que c'�tait fini, il m'a encore oblig� � lui nettoyer la queue. Je lui ai donc lustr� la teub, en commen�ant par le gland et en terminant au plus bas de ses couilles. Ca sentait le cul et le sperme, mais surtout l'homme. Une fois la chose faite, j'ai obtenu mon argent. Je suis donc retourn� honteusement dans ma chambre, et ai �vit� Bret pendant plusieurs jours. Les choses sont peu � peu rentr�es dans l'ordre. frankikiR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |