Cyrillo

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Ma toute premi�re fois

Voil�, je me lance enfin pour vous raconter toutes les histoires que j'ai v�cues durant ma courte existence, qui d�bute � l'�ge de 18 ans. Au moment o� je vous parle, j'en ai 23 pour information.

Pour beaucoup d'ente vous, vous recherchez toujours le physique parfait. (mec bien muscl�, taille fine, bien dessin�, etc...) Or, laissez-moi vous dire une chose : il n'y a pas que le physique qui compte dans une relation, il y a ce que l'on peut apporter de sp�cial qui fera que ce moment � deux sera magique. (Quelques poign�es d'amour n'ont tu�es personne � pr�s tout ?! NON ??)

Alors, comme vous l'aurez compris, voici une petite description de mon physique. J'ai 23 ans, je mesure 1m75 pour 75 Kg. Je porte des lunettes tout le temps car oblig�, vu la vue abominable que je me paye !!

Durant mes plus jeunes ann�es, je sentais que j'�tais attir� par le physique des hommes qui marchaient dans la rue, dans un premier temps. Puis, afin de confirmer un peu plus mon attirance envers les gar�ons, j'ai commenc� � c�toyer plusieurs sites pornographiques. A chaque vid�o gratuite (de quelques minutes de visionnage) que je regardais sur mon ordinateur, j'�prouvais des sensations �tranges au niveau du bas ventre, je sentais qu'� l'int�rieur de moi, quelque chose �tait en train d'immerger. Comme � cet �ge, la d�couverte du corps �tait de mise, je n'h�sitais pas alors � d�couvrir ce qui se cachait dans mon slip. Par automatisme, je faisais glisser ma main alors au travers de mon slip pour aller au contact de mon sexe qui durcissait et ne cessait de s'allonger dans ma main. Souhaitant d�couvrir ce qui se passe alors au pont de non retour, je me masturbais alors avec entrain pour sentir enfin le mot jouissance. (bien qu'� cet �ge l�, pas une goute de sperme ne sortait.) Ce fut bien plus tard qu'enfin, vers l'�ge de mes 18 bougies, tranquillement dans ma chambre en train de m'asticoter, je pus jouir litt�ralement sans y avoir �t� pr�venu. Je me rappelle encore ce jour, car j'ai du imm�diatement changer les draps pour effacer toute trace de ce plaisir. J'avais comme l'on pourrait dire avec po�sie, exploser le ciel, un feu d'artifice qui jaillissait sans contr�le.

Apr�s avoir enfin d�couvert ce changement d�cisif dans ma vie de jeune pub�re tardif, �a a �t� l'un des moments cl� qui par la suite, m'a pouss� � aller plus loin cette fois-ci et franchir le cap du passage � l'acte.

Me renseignant comme tout � chacun, je choisis donc un site internet de rencontres pour entrer en contact avec des hommes plus ou moins ag�s. Je remplissais donc mon profil avec soin, en remplissant chaque crit�re demand�. Puis, vint le tour de la petite pr�sentation. �tant un peu na�f et d�butant dans ce genre d'aventure, autant dire que ma pr�sentation fur courte mais qu'elle r�sumait parfaitement bien la chose : " Jh d�butant, puceau, souhaitant rencontrer personne qui saura me faire d�couvrir les joies entre hommes. "

En moins d'une journ�e, j'ai du recevoir pas moins de 20 invitations, me demandant de prendre contact pour en discuter. Malheureusement, la plupart de ces gens n'�taient pas du tout de mon �ge mais approchaient en moyenne la cinquantaine. N'�tant pas tr�s s�r de moi, pour faire ma premi�re fois avec ce type d'hommes (car moi assez timide, pas rassur� du tout...), j'ai du d�clin� la plupart des offres qui me semblaient quand m�me bien toutes all�chantes.

Perdant un peu espoir de trouver la personne qui me ferait d�couvrir l'amour entre hommes, je d�cidais de laisser un moment le site de rencontres en suspens. Deux trois jours plus tard, une nouvelles vague de messages sur ma boite de r�ception (les 3 /4 partant direct � la poubelle) et les ayant tous lu, un m'a quand m�me interpel�. Je d�cidais donc de r�pondre � son court message :

-Salut, moi c'est J�r�me, 36 ans. Je viens de voir ton profil et il me plait beaucoup. Si tu as des questions, �cris-moi pour qu'on en discute. Bonne journ�e !

D�cidant alors de prendre mon courage � deux mains et sentant que c'�tait pour moi une chance qu'il m'ait �crit, (d'une, parce que son message �tait diff�rent des autres et qu'il avait certes 36 ans mais pas non plus 50) je d�cidais de lui r�pondre sur le champ ces mots :

-Salut, merci de t'int�resser � moi. Comme tu as pu le lire, je suis puceau donc plein de questions sans r�ponses. J'ai ben envie de te connaitre d'avantage aussi, alors je te laisse mon MSN pour en discuter plus longuement. Bizzz

Ca y est, j'avais enfin d�cid� de franchir le cap de ma timidit� maladive !! J'avais donn� mon adresse mail � un parfait inconnu ! Mais au fond de moi, l'instinct m'avait pouss� � le faire, me disant en mon for int�rieur que ce serait la bonne personne pour m'initier. (Restait quand m�me � confirmer, car j'�mettais quand m�me quelques r�serves)

Par la suite, je re�us donc une invitation et je l'acceptais sur le champ. Il m'a tout de suite mis en confiance. (d'une parce qu'il ne s'est pas pr�cipit� � me demander une photo mais plus � me poser des questions, et de deux, parce qu'il savait trouver les mots juste pour me r�conforter)

Il a su se montrer tr�s patient car nos �changes mail ont bien dur� un mois, afin que l'on apprenne � se connaitre, � discuter de nos journ�es respectives, de nos humeurs de la journ�e, des questions que je me posais, de ce qui m'attendait dans une relation d'hommes.

Au fil des r�ponses, je sentais vraiment que c'�tait bien lui que j'attendais, et que c'�tait bien lui qui me prendrait ma virginit�. J'avais enfin pris ma d�cision et je lui en ai fait part. Sa premi�re r�action fut qu'il en �tait ravi. Il restait donc � discuter de comment cela allait-il se passer avec des d�tails, mais �galement o� ?? Moi-m�me, ne pouvant pas recevoir et lui non plus d'ailleurs, nous d�cid�mes comme un accord que nous le ferions � l'h�tel (et pour ne pas trop d�penser d'argent, nous avions pris rendez vous dans un h�tel Formule 1)

Le jour de la rencontre ne se fit pas attendre puisque ce fut le lendemain de ma prise de d�cision. Comme convenu, il devait venir me chercher chez moi. (pas v�ritablement chez moi, pour la discr�tion mais moi qui l'attendait dans une ruelle d�serte pour se rejoindre) S'�tant auparavant �chang� nos num�ros de t�l�phone, une photo �galement pour se trouver plus facilement et apr�s m'avoir indiqu� avec quel genre de voiture il allait venir, nous nous retrouv�mes enfin.) En faisant attention que personne ne me connaissait, je d�cidais de monter � bord. Mon premier regard ne put s'emp�cher de le regarder de la t�te aux pieds, comme pour me rassurer que je ne faisais pas une �norme erreur. Physique dans la normale, de petite taille quand m�me mais plut�t tr�s attirant, chose particuli�re : il portait �galement des lunettes. (je d�taillerais son physique plus en d�tail lorsque l'on se verra tous les deux nus par la suite)

Etant quand m�me tr�s timide, et ne regardant que la route pendant le voyage jusqu'� l'h�tel, le silence se faisait quand m�me pesant au sein de l'habitacle. Arriv� � bon port, nous nous pr�sent�mes � la r�ception, demandant une chambre pour la journ�e. Quelques regards venant du r�ceptionnaire m'on fait comprendre, qu'il se doutait bien de quelque chose, mais bon... Lui paya la chambre et prit les cl�s. (Il ne semblait pas du tout g�n� devant son interlocuteur, il me paraissait bien d�contract�.)

Arriv� � la porte de la chambre, il entra la carte magn�tique et nous franchis�mes tous les deux le seuil de la porte. (Encore une fois sans dire un mot) Je posais alors les quelques affaires que je tenais en guise de bagage (un sac � dos rempli de quelques affaires de rechange au cas o�).

;La pi�ce se construisait de la mani�re suivante : en arrivant, un grand lit deux, (voire trois) places et au fond de la pi�ce, une petite salle de bain avec deux lavabos pour la toilette.

Lui s'�tait imm�diatement mis � fermer les volets pour plus de tranquillit�, en laissant quand m�me un brin de lumi�re entrer dans la pi�ce (pour le c�t� ambiance je pr�sume), puis s'�tait pos�, l�, debout, � c�t� du lit, attendant que je vienne vers lui. Prenant mon courage � deux mains, je me suis donc avanc� vers lui avec la ferme intention de gouter � ses l�vres. Prenant le temps de bien s'occuper de moi, ses mains me caressaient le dos, les hanches, les fesses, tandis que moi, tremblant comme une feuille, (surement par l'excitation qui inhibait toutes mes angoisses) j'essayais de faire de m�me. Je pris quand m�me quelques initiatives, et lui enleva son pull pour commencer. Puis, avec une certaine assurance que je ne me connaissais pas, je pris la peine de d�faire un � un les boutons de sa chemise pour enfin apercevoir son torse. Par la m�me occasion, il enleva �galement ma chemise. Nous nous retrouvions ainsi tous les deux, face � face, � nous regarder dans les yeux. Il s'est ensuite rapproch� un peu plus (moi, compl�tement t�tanis� par ce qu'il se passait, je le laissais faire), et s'est coll� � moi. Nos sexes tendus se frottaient l'un contre l'autre, et je dois dire que malgr� le fait que je souffrais un peu par mon sexe qui voulait tant sortir, j'ai quand m�me pris beaucoup de plaisir en imaginant la taille de son engin. Corps contre corps, ma peau s'�lectrisait, sa bouche a commenc� alors un voyage sur ma peau, en commen�ant par le cou, tout en descendant vers mon ventre. Le bout de sa langue contre mes t�tons me faisait litt�ralement fondre, et je sentais tout mon corps fl�chir � mesure qu'il descendait, centim�tre par centim�tre. Moi, de mon c�t�, je ne pouvais que l'encourager � continuer, en lui caressant la t�te, ses oreilles. Le remontant avec mes mains, nos bouches se sont m�l� l'une � l'autre pour sceller cette union. Le souffle chaud, sa langue qui bougeait dans tous les sens, je ne mis pas longtemps � comprendre comment embrasser, et comment se rouler une pelle. J'�tais fou de sa bouche : une fois � embrasser ses l�vres sup�rieures, puis inf�rieures, ensuite la langue, cela me rendait compl�tement dingue !! J'avais v�ritablement envie d'en gouter plus et de continuer cette exp�dition tr�pidante.

La suite fut qu'il prit les devants et m'enleva mon pantalon tout en m'embrassant avec tendresse. Moi ayant un peu de mal avec sa ceinture, c'est lui qui finit le travail pour l'�ter � son tour. Nous nous retrouvions donc tous les deux pratiquement nus, chaussettes aux pieds et slips au garde � vous.

D�licatement, il finit par me d�poser sur le lit, puis se coucha sur moi. Ses mains sont rentr�es en contact avec mon sexe sous le slip pour le lib�rer. (Moi l'aidant un peu l�g�rement, en me soulevant pour faire glisser mon slip) Sa bouche se rapprocha alors de ma queue pr�te � recevoir une fellation de dieu. En commen�ant avec ses mains pour me branler avec d�licatesse, ses l�vres sont venues parcourir mes bourses, puis sont venues trouver refuge au niveau de mon gland. Prenant soin de me d�calotter, il su�a mon gland par petites touches puis en faisant tourner le bout de sa langue autour. Arriva le moment o� quand il fit de nombreux va et vient sur mon frein, il la prit enfin en bouche. Dans l'�tat indescriptible dans lequel j'�tais (sinon de pur bonheur), je ne mis pas longtemps � exprimer ce que je ressentais en �jaculant violemment de plusieurs jets. (Le premier sur son visage, et les suivants qui sont retomb�s sur mon ventre.) L�, sur le coup, il fut un peu surpris de la quantit� qui venait d'�tre lanc� mais me rassura que c'�tait normal d'�jaculer instantan�ment quand il vit que je n'�tais pas tr�s fier de ce qui venait de se produire. Finalement, l'excitation �tant toujours pr�sente, nous avons continu� comme si de rien n'�tait.

Cette fois-ci, c'est lui-m�me qui m'a propos� de le sucer. (Ce que j'acceptais, tout en ne sachant pas � quoi m'attendre en fin de compte) La lib�rant de sa prison de tissu, je pus enfin faire la connaissance avec son engin. D'apr�s le toucher, tr�s dur en soit, comme de l'acier. (Ma main bien remplie par le volume qu'elle prenait). Par le gout, pas mauvais du tout, avec quelques perles de pr�cum qui suintaient. Et en bouche, une matraque difficile � avaler. Ma bouche n'�tant pas tr�s ouverte, j'ai eu beaucoup de mal � tout faire passer. L� aussi, il me dit que c'�tait normal car c'�tait ma premi�re fois, mais qu'avec le temps, je finirais par y arriver. Salivant bien autour, et par passage de ma langue de haut en bas, je la pris en bouche. Je dois dire que comme ma m�choire �tait serr�e, plus d'une fois, mes dents ont du racler sur son morceau de chair, sans trop y faire expr�s. A force de la manier entre mes l�vres, j'ai quand m�me pu lui tailler une bonne fellation. (M�me si elle n'a pas dur� si longtemps car je commen�ais � avoir s�rieusement mal � force d'�carter au maximum pour la faire rentrer) Il prit beaucoup de plaisir et me f�licita quand � ma premi�re fellation.

La question quand m�me qui me faisait peur, c'�tait de savoir comment allait-elle bien pouvoir rentrer en moi si je n'arrivais d�j� pas � la sucer enti�rement ? (c'est qu'elle �tait quand m�me sacr�ment grosse au niveau diam�tre, sans mentir, je pencherai bien pour un 6 cm de diam�tre, la b�te, pour une longueur de 16 cm) La r�ponse dans quelques instants....

Vint le moment o� il me demanda de me retourner � quatre pattes sur le lit, pour continuer l'apprentissage. Sa langue commen�a alors un traitement de fourmi en cherchant � percer mon trou, puis vient le tour d'un doigt seulement car d�j� l�, je sentais la douleur intense quand il essayait d'en franchir le passage �troit. Apr�s plusieurs essais de sa part et apr�s un certain temps, il r�ussit � faire rentrer son index ;jusqu'� deux phalanges mais pas plus. De comme un accord, nous d�cid�mes quand m�me d'aller au bout de ma le�on. Arm� d'un pr�servatif � la fraise (puisque je le su�ais encore avant de me faire p�n�trer), il se pr�senta devant ma croupe plut�t bien serr�e. Badigeonnant mon anus de lubrifiant ainsi que sur sa queue, il s'avan�a avec la ferme intention d'aller conqu�rir, tel un g�n�ral, une nouvelle terre inconnue. Sentant forcer le passage, je savais bien que cette fois-ci, j'allais d�guster am�rement. J'ai bien failli lui demander d'arr�ter, tellement je sentais que �a n'allait jamais passer mais il en fut tout autrement. Je gardais mes r�serves en moi, et d�cidais qu'il �tait temps de se faire f�conder par mon homme. Mordant au passage un coussin pour crier ma douleur (et pour �touffer mes cris vu l'�paisseur des murs de la chambre), lui s'enfon�ait millim�tre par millim�tre, pour limiter les d�g�ts. Mes sphincters n'�tant d�cid�ment pas tr�s �lastiques, je sentis vraiment son chibre me d�chirer les boyaux � chaque fois qu'il progressait. A ce moment l�, je ne sentais aucun plaisir, juste de la douleur pure et dure, comme il ne m'a jamais �t� question de gouter. Un v�ritable supplice. (Qui si j'avais eu le choix de recommencer, je ne le referais certainement pas, mais bon... je ne regrette quand m�me pas ce qui m'est arriv� puisque je l'avais quand m�me bien cherch� en fin de compte)

Apr�s avoir pass� mes anneaux, je le retrouvais enfin en moi, en but�e si je puis dire. Malgr� le fait qu'il prenait vraiment tout son temps pour ne pas me faire de mal, je ressentais quand m�me tout le volume qu'occupait son pieu dans mes entrailles. A force de va et vient, et lorsque son chibre glissait petit � petit, c'est � ce moment pr�cis que j'ai eu droit au plaisir. D'ailleurs, en une dizaine coup de reins, j'ai relanc� ma sauce sans pour autant me toucher mais j'ai quand m�me bien regrett� car avec les contractions que faisais mon anus a chaque fois, je sentais encore plus son sexe en moi me triturer l'intestin. (Le combin� des deux faisant quand m�me plus pencher la balance du c�t� du plaisir plut�t que de la souffrance.) Continuant � me besogner, et � prendre son pied dans mon espace �troit, il acc�l�ra la cadence de plus en plus vite, jusqu'� se d�chainer comme une b�te sauvage (l�, je dois dire que lui seul prenait du plaisir, car moi �a me chauffait beaucoup � l'int�rieur et que je ne prenais plus du tout mon pied � �tre secou� comme un vieux prunier.)

Se d�gageant apr�s avoir fait son marathon, il enleva la capote et la jeta par terre, puis se vautra sur le dos, signe qu'il �tait � bout de souffle, de m'avoir tant ramon� de la sorte. M�content de sa derni�re prestation, je d�cidais de lui en faire part, et brisais le silence.

Lui, s'excusant de son comportement bestial, il ne put me dire qu'il s'�tait donn� � fond car j'avais un bon cul bien serr� de puceau. Sentant quand m�me qu'il s'�tait trop l�ch�, il s'excusa � maintes reprises et me dit qu'il ne le refera plus. Il me proposa de recommencer cette fois-ci, en pensant � moi et � me donner du plaisir.

Apr�s plusieurs c�lins pour refaire monter l'excitation qui �tait perdue, nous avons remis ;le couvercle mais cette fois-ci, dans une toute autre position. Allong� sur le dos, les jambes tenues par ses mains pour les maintenir en l'air, il me sodomisa ainsi. Mon cul ayant bien pris auparavant, il rentra beaucoup plus facilement. (Une douleur aigu� pointant quand m�me le bout de son nez lorsqu'il s'enfon�a) Mais la suite fut tout autre : un v�ritable changement. Il me limait de la plus belle des fa�ons, toujours bien � fond, d'avant en arri�re tout en me regardant droit dans les yeux. ;Des larmes coulaient le long de ces joues et venaient s'�craser contre mon torse et mon visage. Jamais je n'ai ressenti cela. (Et lui devait �tre profond�ment touch� pour avoir d�puceler un jeune gar�on) Il se pencha m�me pour venir coller ses l�vres aux miennes et la suite fut meilleure. Je g�missais sans trop penser au monde ext�rieur, aux sons de ma voix qui sortaient pour exprimer mon bonheur, sans trop chercher � les contr�ler. Plus rien ne comptait � mes yeux : que lui, moi, dans cette position aux accoutrements bizarres mais qui nous permettait � tous les deux de s'envoyer au septi�me ciel. (Je pouvais lire dans son regard la satisfaction pleine de cet instant.) Tout en continuant de secouer son bassin, il branla mon sexe avec �nergie pour la troisi�me fois, et je jouis de ce bonheur inconditionnel.

Mes soubresauts accompagn�s de la contraction de mon anus ont eu raison de lui, et � son tour il put d�charger en moi une quantit� impressionnante de sperme � en juger par le nombre de fois o� il tremblait � chaque �jaculation. �puis�s l'un l'autre, nous sommes rest�s un certain moment dans cette position, le temps bien �videmment que sa queue ramollisse pour sortir de mon trou.

Apr�s avoir jet� la deuxi�me capote, nous �tions v�ritablement ext�nu�s, et nous nous sommes assoupis une heure, coll�s l'un contre l'autre, ses bras m'entourant.

Une fois r�veill�, apr�s une courte sieste r�paratrice, et un brin de toilette, nous sous sommes rhabill�s calmement, pris nos affaires et avons rendu le passe magn�tique. Une fois qu'il m'a ramen� au niveau de chez moi, je lui ai simplement lanc� un Merci (avec mon plus beau sourire) puis suis descendu de la voiture.

Apr�s �a, je ne l'ai jamais revu, ni recrois� sur le net. Alors, si tu lis cette histoire...Merci encore. FIN

Neko

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