M. mon amiJe corresponds depuis je ne sais plus combien de temps sur le net avec un gar�on qui travaille dans le spectacle. Il est tr�s gentil. Il s'appel B. Moi je ne le suis pas. Il adore les gar�ons muscl�. Je suis muscl�. Il voudrait que je le rencontre car il aimerait passer une nuit de folie avec moi. B. Est si gentil, je crois que si on se rencontrait, je perdrais le seul ami que j'ai. Je me connais, apr�s avoir joui avec un mec, je ne veux plus le revoir. J'ai essay� de vivre avec des gar�ons qui �taient absolument beaux. Mais �a s'est toujours mal termin� car je n'aime pas me sentir li�. J'aime baiser et foutre le camp comme un sauvage. Je suis sauvage. L'autre jour, il m'a dit : "j'aimerai bien te rencontrer par hasard dans Paris quand j'y viens" Je marche en direction de l'op�ra, il fait chaud et je suis en tshirt moulant qui laisse bien voir mes pectoraux gonfl� et mes bras noueux. "j'ai envie de ton corps muscl� nu contre moi. Viens avec moi je suis � l'hotel. Mon pote M. est l� mais je vais le virer, on restera tous les deux et tu te dessaperas devant moi et je te l�cherai partout et je sucerai ta grosse queue et je rongerai ton trou du cul, tu me bourreras le fion et on jouira comme des fauves" Je souri et je dis : Ok, je te suis" on marche. On prend l'ascenseur. On arrive � son �tage et il ouvre la porte. Son ami M. est l�, nu, squelettique, moche, eff�min� comme une tordue de service. Il me dit "Ah !!! Tient!!! Voil� notre Pascal tant d�sir� !" Je prends des fringues qui trainent sur un fauteuil et je lui dis : "mets �a et casse toi sale fiote, tu fais languir B. depuis assez longtemps, salle merde de faux h�t�ro m�me pas pd" Il fait des yeux tout rond et s'en va � la salle de bain, dignement comme la Pompadour en tortillant son gros cul flasque. Je rigole � l'int�rieur. B. Et d�j� nu, il entreprend de me dessaper. Je me laisse faire, il l�che mes t�tons car il sait que j'aime �a. M. sort de la salle de bain et s'en va en faisant un "pfffft" de fiote et en roulant ses yeux de porc lubrique. B. me suce fr�n�tiquement. Il malaxe mes burnes. Je grogne de plaisir. J'ai envie de son trou du cul. Soudain M. revient et nous chante "ca vaux mieux que d'attraper la scarlatineuuuu, ca vaux mieux que de sucer d'la mort aux rats" "Pascal... encule moi, brutalise moi, j'ai envie que tu me viole" alors je lui chante "Non tu s'rai trop contenteuuuu, ca te f'rai bien trop plaisir..;" Alors il pleure et entreprend de se masturber son minuscule p�nis de souri. Je dis � B. "Vas y baise le". Alors B. se dirige vers M. Et lui casse le fion en y foutant sa longue queue dedans avec une brutalit� incroyable. Alors, d'un coup de braguette magique je disparais dans un nuage de fum�e et B. Se retrouve avec sa queue raide dans le cul de M. Voil� ce qui pourrait arriver si B. me rencontrai � Paris, par hasard, a plus mon amour, je tra�ne souvent du c�t� de l'Op�ra vers 23h. PascalR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |