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Lutte coquine

Un de mes potes a embauch� son neveu comme stagiaire. Ce neveu a 18a depuis 1 semaine.

Avant sa venue, il m'a demand� si je pouvais l'h�berger, ne pouvant le faire lui-m�me. De mon c�t�, j'ai 35 ans. Aussi, la perspective d'abriter chez moi ce jeune mec n'�tait pas pour me d�plaire mais, cela allait m'interdire pour un bout de temps de ramener mes conqu�tes chez moi, d'autant que personne ne sait que je suis gay.

J'avais bien le fantasme de d�vergonder un jeune �ph�be, mais ne sachant pas � quoi il ressemblait et surtout son orientation sexuelle qui plus est avec un mec plus �g� (!) Je mis assez longtemps pour accepter.

Mais il fallait absolument que je lui donne une r�ponse avant qu'il n'arrive pour leur permettre de s'organiser... alors, finalement j'ai r�pondu oui.

Quelques jours plus tard, nous �tions pr�sent�s. Anodinement, mon pote lui indiqua que c'est chez moi qu'il allait passer 3 semaines.

Il est brun, la peau matte, les cheveux assez courts. Quand je le vu pour la premi�re fois, je le trouvai tr�s mignon. Mais avec une allure "mal termin�e". C'est � dire ado fragile, presque infantile, ce qui me r�solu tout d'abord � ne rien tenter.

Ce qui me frappa, c'est son c�t� un peu "gauche" � cause sans doute de son �ducation mais tout de m�me assez liant. Je remarquais imm�diatement un appareil dentaire, ce qui renfor�a encore cette impression de me trouver face � une sorte de coll�gien. Ce qui n'est toutefois pas mon fantasme.

La premi�re soir�e se fit sans histoire. Je lui donna la chambre d'amis, il s'organisa et rien ne laissa transpara�tre une quelconque envie de son c�t� comme du mien. Mais il riait beaucoup, plaisantait et je vis tout de suite qu'il �tait � l'aise avec moi. Nous regardions la t�l� c�te � c�te mais il �tait inconcevable pour moi de tenter quoi que ce soit.

La journ�e du lendemain fut un d�clencheur: Comme il faisait beau, � l'heure du d�jeuner ne nous sommes tous retrouv� � jouer au ballon sur la pelouse en face. Une sorte de rugby dont les r�gles n'�taient pas tr�s bien d�finies. Il s'agissait simplement de prendre possession du ballon en maintenant fermement son adversaire. Bien s�r, je me fit un plaisir de convoiter la balle lorsqu'il en eu la possession. Lui est un peu plus petit que moi : 1m70 et moins lourd aussi. La chose fut assez facile et comme les autres �taient partis d�jeuner, nous nous retrouv�mes seuls � ce jeu dont j'avais presque syst�matiquement le dessus.

Il est facile d'imaginer que j'y prenais un plaisir certain, quand la balle lui ayant �chapp�, je le maintenais encore sur le dos, mes jambes autour de ses reins. Cette position me fit bander et j'avais peur qu'il s'en aper�oive.

Le jeu pris fin et, � la cantonade, il me promit une belle revanche en d�multipliant les provocations � chaque fois que je le croisais dans l'apr�s-midi en guise de d�fis.

Je n'allais pas rater cette occasion! Sit�t rentr�, je lui lan�ais d'un air amus� en le poussant de la main :

-"Alors, cette revanche?" et comme nous �tions dans ma chambre, nous nous sommes roul�s imm�diatement sur le lit dans le m�me �clat de rire que le matin. J'avais un peu peur qu'il me repousse, se sentant dans une position un peu �trange, seul avec un mec qu'il connaissait � peine � se livrer � des jeux tout de m�me assez intimes.

Mes craintes se trouv�rent dissip�es: Il jouait avec une ardeur plus grande encore que pr�c�demment, sans doute me connaissant mieux et surtout qu'il n'y avait pas de t�moins cette fois-ci.

Puisque nous �tions sur le lit, il trouva naturel que nous d�chaussions, et c'est pieds nus que nous tournions sur le lit. Je le laissais volontairement prendre le dessus parfois sur moi pour qu'il ait l'impression qu'il pouvait gagner mais surtout pour que le jeu, � l'issue incertaine, garde son int�r�t et qu'il dure plus longtemps: Le risque �tait qu'il s'arr�te et si c'�tait le cas, aucune occasion ne se pr�senterait plus pour moi.

Ce que j'aimais particuli�rement, c'�tait qu'il me maintienne sous lui. Il me tenait alors les mains au dessus de ma t�te et me regardait alors longuement d'un air de satisfaction mais rien de plus. J'attendais �videmment qu'il s'enhardisse en m'embrassant par exemple mais le c�t� viril de nos �bats ne semblait pas prendre cette orientation.

Il fallait donc que je lui fasse comprendre, sans trop de ardeur, de mes intentions un peu moins innocentes, ce qui n'�tait pas simple.

Alors, tandis qu'il �tait sur moi, en faisant mine de vouloir me d�gager, je donnais alors quelques petits coup de reins, de fa�on � ce que mon sexe frotta contre le sien � travers nos jeans. Il me dit alors:

-"Ce n'est pas comme �� que tu vas r�ussir � t'�chapper, tout ce que tu vas faire, c'est de me faire bander!..."

J'�tais sid�r�. Me disait-il �� pour plaisanter ou le pensait-il vraiment? Il n'y avait qu'un moyen pour en avoir le coeur net: D'un air innocent, je lui mis alors ma main entre ses jambes et je lui dit:

-"Ah ouai? J'aimerais bien voir ��!...." et ce fut le d�clencheur car il se laissa faire si bien qu'il �tait toujours sur moi mais les jambes plus �cart�es pour laisser l'acc�s � ma main qui maintenant cherchait ses bourses, descendait et remontait, se qui ne laissait la place � aucune erreur d'interpr�tation sur mes intentions.

Je mis mon petit lutteur sur le c�t� et comme je sentais bien qu'il �tait un peu � l'�troit dans son jean, j'entrepris de le lui enlever, ce qu'il m'aida � faire. Rapidement, il se retrouva nu et comme je ne voulais pas �tre en reste, je fis de m�me et nos deux corps se frott�rent queue contre queue en inventant rapidement un nouveau jeu qui pris la suite naturellement du premier:

Plac� comme j'�tais, je ne pouvais voir son sexe puisque son nouveau jeu consistait justement � m'en interdire l'acc�s. Donc, il se mettait sur le ventre, � charge pour moi de le soulever pour passer ma main sous son ventre pour lui toucher le chibre. A peine avais-je r�ussi � effleurer son sexe (dont il ne se privait pas de me laisser quelques secondes dans la main), qu'il ramenait ses jambes sous lui pour m'emp�cher d'aller plus loin.

Ma frustration augmentait d'autant mon excitation et ma bite �tait dure � exploser. Surtout que le jeu �tait r�ciproque et que de mon c�t�, je devais tout faire pour qu'il n'ait pas la possibilit� de me toucher mon sexe, ce qu'il ne se privait pas non plus d'essayer de faire. La tentation �tait grande pour que je le laisse prendre possession de mes couilles et du reste mais les r�gles �taient ainsi �tablies, donc tout ce qui me restait � faire �tait de lui caresser son petit cul, ce que je finit par faire en tournant mes doigts autour de sa rosette d'amour.

Contre toute attente, alors qu'il �tait sur le ventre, il poussa un petit soupir et me dit:

-"Tu serais pas un peu p�d�, toi?" Ce que je n'arrivai pas � prendre comme un reproche ou un compliment...Mais vu la situation....Je pris du gel qui �tait � port� de main dans la commode et j'entrepris de le lui enduire le cul. Il se laissa faire et se souleva m�me en levrette pour me faciliter la t�che. Dans un souffle il l�cha que c'�tait la premi�re fois, ce dont je me doutais vu son orifice d'amour serr�. J'arriva � introduire doucement un doigt mais ses contactions un petit cris de douleur me fit abandonner un instant mon projet.

Mais j'avais enfin acc�s � sa bite puisqu'il s'�tait sur�lev� et que la situation n'�tait plus aussi innocente, je ne risquais pas de me voir opposer un refus. Je passais donc ma main entre ses jambes et me mis � le branler doucement, ce qui entra�na des mouvement de va et viens de sa croupe sur�lev�e par rapport au creux de ses reins. Mon petit mec se laissait traire et je sentais qu'il se d�tendait, si bien que j'entrepris � nouveau d'explorer son cul dans lequel mon doigt �voluait � pr�sent facilement, encourag� par ses cris devenus g�missements.

Je lui proposais alors de lui faire l'amour mais ne le sentant pas pr�t, je lui laissait alors un r�pit puisque je sentais que ma branlette allait le faire jouir avec le risque qu'il n'aille pas plus loin ensuite, l'excitation pass�e.

Je me mis dos au mur, mon sexe � la verticale, les jambes l�g�rement �cart�es pour le regarder. Il se retourna et me demanda l'air ing�nu si j'�tais f�ch�. Au m�me moment, il m'appliqua son pied nu sous mes couilles et remonta avec le plat du pied sur ma queue, se qui me fit tressaillir d'envie. Voyant l'effet que cela me faisait, il s'approcha de moi, me regarda un instant et me roula une pelle d'enfer. Bien s�r, j'en profita pour me saisir de sa queue merveilleusement belle pour le branler de nouveau, mais, l'instant d'apr�s, sa bouche �tait d�j� sur mon gland pour me sucer.

Comme j'�tais dans un �tat d'excitation difficile � d�crire, je sentais le moment o� j'allais jouir et lui pris la t�te pour d�tacher ses l�vres de mon sexe. Peine perdue : Il se cramponnait avec la ferme intention de me faire jouir. Comme j'arrivais enfin � me d�gager (sinon j'aurais inonder son gosier de ma liqueur), il attrapa imm�diatement mon gland qu'il fit tourner dans ses doigts experts en s'inqui�tant de savoir si cela me plaisait !

Moi sur le dos et lui � c�t� de moi sur le genou, la t�te pench�e sur ma bite, il continuait � me branler avec douceur, en ponctuant sa branlette de quelques coups de langues tout en jetant un coup d'oil sur le c�t� pour voir ma r�action. Ma main droite, bien qu'enveloppant son chibre �tait incapable de coordonner des gestes tellement mon plaisir �tait grand. Je g�missais, je voulais son sexe tout � moi. Alors, je me mis t�te-b�che sur le c�t� et j'entrepris sans lui demander un 69. C'�tait un vrai bonheur de s'occuper mutuellement de l'autre. Nous rivalisions de savoir-faire. C'�tait � celui qui d�plorait le plus d'imagination pour l�cher, branler, contenir les couilles, su�oter et arracher � l'autre les g�missements les plus forts.
N'en pouvant plus, je lui dis que j'allais venir, ce qu'il dit qu'il allait faire aussi. Nos cris donn�rent le signal. Je sentis simultan�ment le flot de mon sperme se l�cher dans sa bouche tandis que sa liqueur emplis � ce point la mienne que, l'espace d'un instant, je ne sentait plus son gland du reste de sa semence. Il se contracta, moi aussi et nous avons gicl� le temps de plusieurs vas et viens. Enfin, vid�s, nous nous sommes remis dans le m�me sens tandis que je l'embrassais dans le cou. Nous rest�mes r�veurs pendant un instant, allong�s l'un contre l'autre.

En discutant, il me confirma �tre encore puceau mais qu'il ne se sentait pas encore pr�t � franchir le pas. Je compris alors que son acharnement � vouloir me sucer et me branler consistait tout simplement � me faire jouir avant que je puisse lui faire l'amour. Cela le rassurait : Sa petite exp�rience l'avait conduit � remarquer qu'un mec ayant joui n'avait pas la m�me envie apr�s et que cela lui �pargnait de se faire prendre, ce qu'il redoutait.

Si bien que sa vie sexuelle s'�tait born�e jusqu'� pr�sent � des branlettes (au demeurant extraordinaires) et � sucer et se faire sucer, ce que je respecta et d'ailleurs, je n'ai pas eu � m'en plaindre !

Les 3 semaines pass�es chez moi furent merveilleuses : Quand l'envie nous prenait, il quittait sa chambre d'amis ou moi la mienne et nous nous glissions dans la m�me couette. J'ai red�couvert avec lui les caresses et donc les pr�liminaires. Il nous arrivait de jouir une dizaine de fois dans la m�me nuit. Certains de nos jeux consistaient � faire jouir l'autre le premier, voir le faire jouir 2 fois le premier, ce qui est un peu une torture certes coquine : Tout �tait le pr�texte � des caresses effr�n�es : La douche, le d�ner, la t�l�. Il su�ait avec une d�licatesse inou�e, soupesant mes couilles et en donnant souvent des bons petits coups de langue. De mon c�t�, j'avais acc�s � sa queue sauf quand ce petit coquin faisait mine de ne pas vouloir, ce qui augmentait mon d�sir.

Parfois, docile, il me laissait m'allonger sur sa croupe et, dans le secret de ses fesses, je pouvait r�pandre ma semence dans sa raie sans qu'il esquisse un geste dans une apparente indiff�rence. D'autre fois, il s'allongeait sur moi tandis que j'�tais �tendu sur le dos et se frottait sur mon sexe en me galochant furieusement, alors que mes jambes lui entouraient les reins. Il aimait � me labourer ainsi les couilles et le sexe pour larguer son foutre dessus ou sur mon ventre.

Puis le dernier jour arriva, il devait rentrer chez lui, son stage termin�.

L'autre jour il me t�l�phona pour me faire part de son souhait de passer les vacances de P�ques dans la r�gion. Spontan�ment, bien s�r, je lui ai propos� de " l'h�berger ".

Je n'ai pas besoin de dire que j'attends ce moment en caressant l'espoir sans doute un peu fou qu'il veuille me sentir en lui et lui en moi.

Julien

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