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Mon Oncle Bernard...

A 18 ans, j'�tais un jeune homme timide et gringalet, un blondinet mince et mignon. L'�cole ne m'interressait pas et mes r�sultats scolaire �taient plus que d�cevant. Mes parents �taient divorc�s et j'avais avec ma m�re des relations conflictuelles qui devenaient de plus en plus difficile. Elle s'�tait toujours tr�s peu occup� de moi. Son m�tier d'infirmi�re lui imposait un emploi du temps compliqu� et les gardes de nuits n'�taient pas rare...J'ai pass� mon adolescence plut�t livr� � moi-m�me et cela m'a permis de me livrer � ma grande passion, me v�tir des dessous de ma m�re et me carresser dans ces divines mati�res...
L'amant de ma m�re, un toubib de son hopital, �tait on ne peut plus amateur de frou-frou et la couvrait de lingeries sexy, ma m�re se contentait de la mettre pour lui faire plaisir mais sans grande conviction... � chaque visite de son amant, des le lendemain, je fouillais les tiroirs du dressing de ma m�re, � la recherche de nouveaut�...

Une petite gu�pierre noir transparente, un string de nylon rouge, des bas coutures, seules les chaussures n'�taient pas de ma pointure et je pouvais � peine enfiler une paire de mule � talons aiguilles... je tapinais alors dans l'appartement, maquill�, parfum� et appr�t� comme une pute, j'�tais aux anges...
Un jour que j'�tait en grande tenue, ma m�re dont l'emploi du temps avait chang� brusquement revint sans crier gare et je fus surpris dans le salon, devant un dvd porno, dans une de ses tenues de salope...

Ce fut un d�chainement de hurlements, d'insultes et une crise de nerf, des sanglots et des larmes...

Le soir m�me, je l'entendit parler avec mon oncle Bernard au t�l�phone, et je compris a demi-mot que j'allais devoir partir de la maison...
Le lendemain elle me fit savoir que mon Oncle viendrait me chercher des le lendemain soir et qu'il me prendrait avec lui pour le trimestre � venir... Elle ne voulait plus de moi pour l'instant � la maison et se lamenta de son absence d'autorit� et ses horaires de travail compliqu�s qui �taient selon elle, la source de mes vices et de ma mauvaise �ducation. Elle �tait persuad�e que son fr�re ;Bernard allait remedi� � �a, c'�tait un militaire � la retraite, c�libataire parisien, que je n'avais pas vu plus de 3 ou 4 fois de toute ma vie. Tout fut rapidement conclu, tr�s strict, il me dit rapidement bonjour et je me retrouvais � l'avant de sa voiture en route pour Paris.
;Une fois chez lui, il m'indiqua ma chambre et me dit d'une voix dur:
" - Demain, je m'occupe de toi "

Lopette pour m�le

Suite de l'histoire

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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