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Loic

Je vous ai racont� cette fin d'ann�e inattendue dans les vestiaires avec Lo�c et Guillaume. Mais les choses n'en sont pas tout � fait rest�es l�.

Du moins avec Lo�c ! Passant le BAC ensembles, on allait forc�ment �tre tous amen�s � se recroiser. Et plus d'une fois. Je ne revis jamais Guillaume seul, et il n'y eut jamais d'allusion � la sc�ne en sa pr�sence (dommage vu son comportement.). Mais Lo�c. Nous avons pass� une partie des vacances ensembles avec des amis, avant que nos chemins se s�parent.

Une semaine chez un pote, on �tait assez nombreux, suffisamment pour que je ne me retrouve pas seul avec lui avant la fin du s�jour. Certains �taient d�j� rentr�s, beaucoup �taient partis � la plage, mais pas moi, couch� le matin, je me r�veille en plein apr�s midi pour trouver une maison d�serte. sauf dans la chambre qu'occupait Lo�c avec sa copine. Il �tait seul, il partait le soir m�me et �tait rest� pr�parer ses affaires.

Je sortais de la douche, encore tremp�, v�tu d'un cale�on et je m'�tais interrompu dans ma course vers la cuisine quand j'ai entendu le bruit des sacs dans sa chambre. Je m'arr�te. " Salut ! T'es encore l� ? " Question innocente, petite �change banal. J'ai � moiti� la gaule m�me si je me suis branl� vite fait dans la douche, presque nu (m�me pas fais expr�s !), il est l�, beau, simplement en short et boxer.

Souriant, gentil, un brin distant.
Que faire ? Il me plait. Je sais qu'il part assez loin l'ann�e prochaine avec sa copine, qu'on ne se verra plus, et sans que ce soit l'amour fou, il me plait bien, j'ai envie de lui, autant essayer. Mais j'ai un peu peur de sa r�action.

Il me fixe droit dans les yeux ou s'affaire � ses bagages quand il me parle. J'essaie d'avoir l'air d�tendu, mais je sais que je ne trompe personne, tandis que lui semble rester impassible. " Tu te souviens du cours de sport." Je n'ach�ve pas ma phrase. Il me regarde en silence, je suis confus, c'�tait maladroit. Peut-�tre qu'il ne veut plus en entendre en parler, qu'il va se mettre en col�re, qu. Mais pourquoi son regard a-t-il d�vi� sur mon cale�on ?

Je ne trompe carr�ment plus personne. Ma queue est raide sous le tissu. Il ne dit rien et je m'avance. Je m'agenouille devant lui. Il a l'air plut�t consentant, autant continuer. Mes mains caressent son torse et font descendre son short. Moi, impatient ? Peut-�tre. Et puis on a peu de temps.

Et il pourrait changer d'avis. Mon visage est devant son boxer. Je l'embrasse, le mordille, le l�che. Sa jolie queue durcit sous ce petit jeu et je la gobe par moments � travers le tissu. Son boxer est tremp�, seulement par ma bouche pensais-je, jusqu'� ce que je ne sente de la mouille passer � travers le tissu. C'est excitant. Il l�che un g�missement inattendu, mais repousse l�g�rement ma t�te, me fait relever.

Surpris, mais pas d�rang�, je me laisse faire. Il m'incite � m'allonger sur le lit, et me retire mon cale�on. Il se d�barrasse de son boxer et je vois devant moi cette belle queue dress�e, humide. Je m'attends � ce qu'il me suce, ou � un soixante-neuf, mais non. Il m'embrasse, me prend dans ses bras, et nous nous caressons longuement, l'un contre l'autre, nous avons chaud, et nos bites sont gonfl�es � bloc. Moi qui m'attendais � de simples (mais d�licieuses) pipes, je suis aux anges, il veut plus, et moi aussi !

Pendant nos longues caresses et baisers, un doigt mouill� se glisse dans son cul. Je m'attends � une r�action violente, mais nan, il g�mit de plus belle et continue de m'embrasser, et se d�tend. Il se jette sur ma queue, mais la suce doucement, il sait ou je veux en venir, en glissant un second doigt insistant - et bien accueilli. Cela dure un petit moment, mais je n'y tiens plus.

De lui-m�me, il se met � quatre pattes, je passe un des pr�servatifs rest�s sur la table de nuit, et avance mon gland de son trou. Je reste h�sitant, mais il est plut�t encourageant " vas-y ". J'introduis progressivement ma queue, qui est accueilli par des r�les o� subsiste peut-�tre une douleur mais qui ressemble surtout � l'expression d'un certain plaisir. Je suis pri� d'acc�l�rer le mouvement, et je m'ex�cute. C'est ma bite enti�re qui fait des va et viens dans son cul, je sens nos couilles se frapp�es � chaque coup de boutoirs, et nous g�missons ensemble.

Je ne veux pas tout arr�ter. Je me retire, l'allonge sur le dos. Je veux que �a dure plus longtemps, mais lui comme moi, nous sommes tr�s excit�s. J'attrape sa main et l�che deux de ses doigts auxquels j'indique la direction de mon cul.

Il comprend vite. C'est sans doute un peu brusque, je suis un peu surpris, mais si excit� que je ne tarde pas � enfiler une capote sur sa queue et � avancer mon trou de son gland. Doucement, je glisse le long de sa bite, et commence moi aussi une s�riez de va et viens. C'est terriblement bon.

Je ne peux m'emp�cher quelques r�les de plaisirs, qui semblent le satisfaire vu son sourire. Nous restons quelque temps comme �a, ma bite raide devant lui qu'il ne touche pas, car il sait que je jouirais aussit�t. C'est si bon de le sentir � mon tour en moi. Son souffle plus pressant m'indique qu'il va jouir.

Vite, je retire le pr�servatif, et le masturbe � peine quelques secondes avant qu'il n'envoie de longues gicl�es sur nos deux torses, que je r�pands avec plaisir. Il ne m'oublie pas. Je m'attends � subir le m�me sort, et quelle ne fut pas ma surprise quand il se jeta sur ma queue pour la gober et la pomper avidement. Je pensais qu'il se retirerait au moment o� j'allais jouir, mais au contraire, et je sens mes gicl�es de foutre lui inonder la gueule, pour son plus grand contentement vu le bruit qu'il fait. Il est g�nial. Il se rel�ve, pour m'en faire profiter, mais lorsqu'il me roule une pelle, je constate qu'il en a d�j� aval� la plus grosse partie. Nous embrassons et caressons un moment, simplement heureux, sans se poser de questions.

Nous avons repris une douche, rapidement, tous les deux, il m'embrasse � nouveau, on se dit au revoir le soir pour ne plus trop avoir l'occasion de se recroiser, mais vu son regard quand il nous quitta, je sais qu'il restait sur une bonne impression.

Jeune Loup .

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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