Cyrillo

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Livraison � domicile

J'ai toujours eu un petit faible pour les petites racailles.
En g�n�ral ce sont des petits mecs pas mal d�lur�s qui savent tr�s bien ce qu'ils veulent et o� ils vont. �videmment, c�t� baise ce sont les plus beaux petits cochons qui soient. Ramón, parce que c'est de lui qu'il est question ici, est comme �a et je dirais m�me beaucoup plus encore.

Lorsque je le vis la premi�re fois, c'�tait � l'�picerie de quartier tout pr�s de chez-moi. Nous �tions en juillet et il faisait une canicule � nous allonger les couilles jusqu'aux talons. Je l'aper�us alors qu'il �tait sur un petit podium � placer des l�gumes dans le comptoir r�frig�r�. J'en suis devenu troubl� au point de ne plus savoir o� regarder ni o� me mettre tant ce petit mec �tait beau et sexy. Il devait avoir 17 ou 18 ans, pas plus. Peau tr�s basan�e, imberbe, probablement Carib�en ou quelque chose du genre. Un m�lange de Noir, de Latino et peut-�tre aussi d'Indien Caribe, je ne sais trop. Un petit corps � faire r�ver, plut�t mince et muscl�, juste ce qu'il faut. Un dieu quoi. Il avait les cheveux courts, couleur de l'�b�ne, les yeux noirs, le regard per�ant, le sourcil �pais, la l�vre aussi. Il me regarda, me sourit g�n�reusement d'une bouche incroyablement app�tissante et pourvue d'une dentition impeccable, blanche immacul�e. On aurait cru la perfection.
Il portait un d�bardeur moulant et transparent fait de mailles tr�s l�ches au travers desquelles on distinguait des halos mammaires obscurs et grands du milieu des quels pointaient des mamelons aussi �normes que des bouts de doigts. Une touffe de poils noirs et denses lui d�passait des aisselles. Il portait �galement un mini short en jean tr�s ajust� et d�chir� � plusieurs endroits dont � l'int�rieur de la cuisse gauche ce qui lui laissait d�passer un bout de queue. Il avait �galement un trou � l'arri�re de son short, ce qui me permettait de voir sans probl�me, la raie de son cul, tr�s beau petit cul rebondi et ferme. Je m'imaginai alors ce que ce petit cul devait bien sentir et go�ter.


Puis nos regards se sont crois�s alors qu'il tenait fermement dans les mains, un immense concombre anglais qu'il caressait lascivement de haut en bas simulant ainsi la masturbation. Il caressait le long l�gume de ses gros doigts spatul�s tout en se frottant le g�n�reux paquet sur le rebord du comptoir. Et soudainement il sortit la langue, la passa sur ses l�vres charnues 3 ou 4 fois en me fixant droit dans les yeux puis me lan�a un sourire des plus complice en me faisant un clin d'oeil qui en disait long. Trop, c'en �tait trop.


Ne sachant plus trop o� regarder, je baissai les yeux et m'aper�us alors que le bout de queue qui d�passait de son short �tait devenu encore plus long et gonflait � vue d'oil. Une queue longue, brune et lourde, pourvue d'un gland �norme comme une poign�e de porte et j'exag�re � peine. Nos regards se crois�rent de nouveaux puis il me relan�a d'un autre sourire encore plus convaincant puis me fit de nouveau un autre clin d'oil en sortant la langue. Moi qui depuis des lustres n'�tais plus habitu� � autant de manifestation envers ma personne, je fus soudainement pris de panique et d�cidai de faire quelques achats pour apaiser toute cette tension qui me pesait depuis que j'avais franchi la porte de cette �picerie. Je d�couvris alors pour la premi�re fois, � quel point mon �picier de quartier avait une gamme de beaux produits � offrir � ses clients et �videmment je pensais � Ramón, � ce qui lui pendait hors du short et bien s�r, ce que je devinais qu'il avait dans le short.


Arriv� � la caisse, j'avais tellement achet� pour essayer de calmer mes ardeurs qu'il �tait �vident qu'une livraison s'imposait. Le caissier qui me connaissait tr�s bien depuis toutes les ann�es que je suis client chez-lui, me proposa une livraison � domicile et c'est Ramón qu'il d�signa pour la faire. Il me fit un petit sourire moqueur, reluquant vers le petit l�gumier au teint basan� et me dit que Ramón livrerait chez-moi. C'est � ce moment que j'ai su qu'il s'appelait Ramón. Je me surpris alors � imaginer ce jeune adonis sur une selle de v�lo de livraison avec son accoutrement sexy, p�dalant la queue pendante sortant de son short. Soudainement, une �rection incontr�lable se fit sentir avant m�me que j'aie eu le temps de payer la note. Je quittai l'�picerie avec un grand sourire aux l�vres et me dirigeai rapidement vers chez-moi.


En rentrant chez-moi je ne pus que constater mon bordel de la veille. Des revues et des films pornos tra�naient ici et l� sur le tapis du salon. Il y avait sur la table � caf�, des condoms, un tube de lubrifiant et ma s�rie de godes align�s du plus petit au plus gros. Non mais moi qui donnais l'impression d'�tre un homme d'�ge m�r s�rieux et bien rang�, voil� que tout allait basculer avec cette mise en sc�ne �rotico-pornographique que ce jeune homme aurait sous les yeux en p�n�trant chez-moi. De toute �vidence je n'avais pas le temps de faire du rangement avant que n'arrive le beau Ramón. Il faisait trop chaud pour mettre de l'ordre et advienne que pourra, dor�navant je ferai passer pour le vieux cochon qui s'en met plein le cul en s'enfilant des godes gros et longs comme �a.


Je d�cidai de pisser un bon coup car c'�tait ce qui pressait le plus avant que le jeune fauve n'arrive. J'�tais encore excit� avec un reste d'�rection dans le pantalon. La queue me bavait au point que j'en avais le pr�puce coll� au fond du slip. Ma grosse bite aussit�t hors du jean, me vint soudainement l'odeur masculine du d�sir m'envahir et me p�n�trer les narines. Cette odeur que j'associe tant au sexe et � la bonne queue de m�le, celle-l� m�me que je recherchais dans les buissons des parcs, � une certaine �poque alors que ma bouche gourmande n'en pouvait plus de n'avoir rien � se mettre sous la dent. J'avais � peine eu le temps de me secouer le membre et de me passer le pouce sur le gland pour enlever le jus de d�sir qui me coulait de la queue, que le carillon de la porte se fit entendre. Il n'y avait pas de doute, c'�tait lui. C'�tait Ramón. Vite je sortis en trombe de la salle de bains, un peu plus excit� et appuyai sur le bouton de la porte pour le faire entrer.


Il �tait l� au bas de l'escalier encore plus beau qu'� l'�picerie. Je le regardai gravir les marches avec les sacs d'�picerie dans les bras, sa grosse et longue queue d�passant de son short. La canicule agissait sur ses parties g�nitales, c'�tait �vident. Il d�posa les sacs dans l'entr�e, � mes pieds. D'un regard vif ses yeux firent un tour rapide des lieux puis il me fit un sourire espi�gle et complice avant de redescendre chercher les sacs qui �taient rest�s sur son v�lo de livraison. En remontant l'escalier je m'aper�us qu'il avait alors une �rection totale et sa longue queue brune de dressait droit devant lui retroussant le rebord de son short. De lourdes couilles grosses comme des oeufs remplissaient un long sac brun et lisse qui pendouillait et balan�ait de gauche � droite au fur et � mesure qu'il montait les marches. De toute ma vie c'�tait de loin le spectacle le plus �rotique que je voyais � ce moment-l�. Non mais imaginez un peu la sc�ne : un dieu de 18 ans gravissant votre escalier avec une teub brune d'au moins 24cm, bien raide, pointant droit devant lui, le tout garni d'une belle touffe de poils noirs, et de lourdes couilles dansant ensemble la plus belle valse du monde.


Arriv� sur le seuil de la porte il d�posa les derniers sacs, se redressa et de ses yeux rus�s, il fit un autre tour d'horizon du salon. D'une main il s'appuya sur le cadre de la porte et de l'autre il agrippa son long membre obscur et dur et d'un coup de bassin vers l'avant il me dit :
< Chupa, chupa, chúpamela, chúpamela bien.>
Il lib�ra la main qui le retenait au cadre de porte, s'�carta les jambes, les genoux un peu fl�chis et se cracha abondamment dans les mains. Il empoigna son immense gland � deux mains, le frottant � un rythme effr�n�, se masturbant et se branlant les couilles de gauche � droite dans un mouvement endiabl� du bassin. Puis il me dit d'une voix ferme et d�cid�e :
< Es tuya, por favor chúpamela, es tuya.>


Le peu d'espagnol que je connaissais �tait suffisant pour que je comprenne ce qu'il voulait que je lui fasse et sans plus tarder, je me jetai � ses pieds, m'accaparai de cette �norme bite et de ce gros gland suintant le d�sir. Je me suis mis � le lui bouffer comme la chose la plus rare et la plus pr�cieuse au monde. Il faut dire que �a faisait belle lurette que je ne bouffais plus de queue, mon seul plaisir �tant celui que me procuraient � l'occasion, mes fid�les godes et ce depuis un moment d�j�. Ce gland gigantesque qui me remplissait la bouche �tait sans doute ce que j'avais bouff� de meilleur et de plus gros � ce jour. Tout � fait le go�t qui me venait en t�te lorsqu' �tant plus jeune, j'avais envie de bouffer de la grosse teub et que je sortais m'en chercher une dans les buissons des parcs. Je me souvins des effluves de toutes ces belles queues qui me passaient sous le nez et qui me p�n�traient les narines et les papilles. Je me souvins de tout �a sauf que l� j'avais beaucoup plus encore et � moi tout seul. Je n'avais pas � partager mon butin comme dans le bon vieux temps, quand 5 ou 6 mecs faisaient la queue pour sucer la plus grosse bite qui s'y trouvait. Moi, j'avais l�, le plus beau et le plus gros morceau du monde entre les mains et de plus, j'�tais chez-moi, dans mon salon et pas avec n'importe qui. J'�tais avec Ramón, le beau Ramón et, d�j� je l'aimais.

� deux mains j'entrepris de manipuler son long membre alors que ma bouche s'affairait � avaler le plus de centim�tres possibles. Aussi bien en profiter quand �a passe, me disais-je, tout en d�vorant l'�norme et d�licieux gland que je tenais ferme de mes dix doigts. Cette queue �tait un pur d�lice, go�teuse � souhait et dot�e d'un pr�puce abondant qui ne faisait pas mieux que d'y capter ces saveurs qui me plaisent tant. Mais quel gland! Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Je m'acharnai � le lui siphonner, � essayer d'en extraire toutes les saveurs et d'en extirper le plus de jus possible qui viendrait � jaillir. Je d�sirais profiter au maximum de cet instant magique et humer toutes les odeurs de ce corps et de cette queue. D�j� pour son jeune �ge, Ramón avait tout du m�le mature. Tout de la virilit� carib�enne �tait omnipr�sente chez cet �tre ensorcelant, non seulement les saveurs mais les mensurations aussi. C'est � se demander s'il avait termin� sa croissance le petit Ramón, car s'il avait eu encore � cro�tre de la queue il aurait souffert d'une grave infirmit�, �a c'est s�r. Mais ce qu'il go�tait bon mon Ramón. Ce qu'elle �tait bonne sa queue, sa belle grosse queue de macho carib�en.


< Chupa, chupa, sí papi, chupa, así, así papi,>
me disait-il alors que moi, je ne cessais de m'appliquer la bouche pleine, � faire son bonheur et le mien tout autant. Je m'affairais sur son long membre viril, dur et gonfl� au maximum lorsque tout d'un coup il se raidit et se mit � trembler de tout son corps puis hurla � haute voix :
< Cola, cola la leche papi >
Sans que j'aie eu le temps de r�agir, une gicl�e de liquide chaud, de nectar des dieux devrais-je plut�t dire, me remplit la bouche et sans tarder j'avalai tout son jus de couilles qui � mon avis �tait du vrai bonbon que je laissai couler jusqu'au fond de ma gorge et profond�ment en moi. J'�tais aux anges.


Apr�s les longues gicl�es, il reprit rapidement ses esprits et essaya de remettre en place dans son short trop petit, la vingtaine de centim�tres de queue et de couilles dont l'avaient si g�n�reusement pourvu ses g�niteurs. Mais rien � faire, toute cette abondance de chair d�bordait d'un c�t� ou de l'autre. Du regard il fit un dernier tour d'exploration des lieux et sourire aux l�vres il me mordit tendrement le lobe de l'oreille en me chuchotant :
< Fue muy rico, muy, muy rico papi. A mí me gustó mucho, ? y a tí papi, te gustó? >
Avant m�me que j'aie eu le temps de trouver les mots pour lui r�pondre, il effleura ses grosses l�vres pulpeuses sur les miennes, les embrassa tendrement, sans plus et me dit:
< Volver�, sí volver� > en souriant et en regardant les objets �rotico-pornographiques qu'il avait sous les yeux. Il d�vala les marches du paradis � vive allure et quitta sur son v�lo, sourire aux l�vres, les organes au vent. Je r�alisai alors que je n'avais m�me pas �t� foutu de lui remettre le g�n�reux pourboire qu'il avait pourtant si bien m�rit� pour cette livraison et ce petit extra surprise surtout tant appr�ci�. Je devais sans doute �tre terriblement troubl� par ce qui venait de m'arriver et par le beau Ramón.


Ramón avait � peine enfourch� son v�lo et parcouru une dizaine de m�tres que je me pr�cipitais sur mon gode noir de 24 centim�tres avec la ferme intention d'assouvir mes plus bas instincts. Ayant encore bien impr�gn� sur les l�vres et les mains, l'odeur virile de Ramón, je ne pouvais m'emp�cher de penser � lui et � ce qui venait de se produire.
Une s�rie d'images me passaient dans la t�te comme si je visionnais un film porno. Toute son odeur me p�n�trait encore malgr� son d�part. Le parfum suave de sa touffe et l'odeur aigre-douce de la sueur de son entre jambe me collaient aux narines et aux l�vres. Mes mains et ma langue embaumaient le gland viril et le pr�puce abondant. Mon petit cul n'avait pas �t� combl� et il me fallait � tout prix substituer Ramón, ne serait-ce que pour quelques instants. J'agrippai alors sauvagement le gode, le portai � ma bouche et pronon�ai � voix haute :
< Ramón, Ramón, ven por aquí. >
Je le l�chai un moment avant de le couvrir d'un condom et de l'enduire du gel lubrifiant qui se trouvait juste l�. Je d�posai le gode g�ant sur la table � caf� et l'enfourchai. Je pris place sur cet objet de d�sir que je ne voyais plus du tout comme un vulgaire machin en caoutchouc noir. Dor�navant ce gode s'appellerait Ramón.
Je m'assis sur la queue de Ramón et �prouvai autant de plaisir que si �a avait �t� sa queue � lui. Je me suis mis � la faire p�n�trer tout doucement dans mon petit trou, me tortillai dessus et bougeai mon cul pour qu'elle entre jusqu'au fond, puis je suppliai Ramón de m'en donner plus, encore plus:
<Dame pinga, dame más pinga por favor, > lui r�p�tais-je.
Encore plus s'il te plait. Je l'aime ta queue elle est bonne, donne m'en plus.
< Más profundo por favor, dame más.>
Je me mis � quatre pattes, appuyant le long membre de caoutchouc contre le divan et dis: <Dame por detrás. Por detrás por favor, damela completa, la quiero muy dentro de mí.>
Puis je changeai de position � toutes les 10 minutes pendant plus d'une heure et compris ce que pouvait signifier le pr�nom Ramón. C'est que si il s'appelait ainsi, �a devait vouloir dire qu'il excellait pour effectuer le travail de ramoneur. Puis je me passai un poignet, Ramón profond�ment enfoui dans le cul.


Le lendemain j'avais l'anus qui me rappelait que la veille j'avais bien joui, trop peut-�tre, mais la slotte qui sommeille en moi me disait que je n'avais pas �t� tout � fait combl�. Je d�cidai de passer un coup de fil � l'�picerie sans avoir pr�alablement fait de liste d'emplettes et je commandai : Le Blueboy d'octobre, un concombre anglais, un pot de yaourt nature, une bo�te de condoms noirs et 6 bi�res mexicaines. Je demandai que ce soit livr� par Ramón ce qui ne sembla pas causer probl�me et me pr�parai � recevoir le fauve. Je suis devenu tout excit� � l'id�e de revoir Ramón. Je me douchai, me fis un lavement en r�gle au cas ou Ramón eut l'intention de me ramoner les arri�res puis m'ass�chai pour ensuite m'entortiller la taille d'un l�ger par�o aux couleurs des Cara�bes. Je mis un disque de Polo Montañez en supposant que Ramón soit Cubain et qu'il appr�cie mon choix musical. Je me servis une petite bi�re puis tr�s relaxe j'attendis que la b�te vienne.


Le carillon de la porte retentit et Ramón monta avec les victuailles et la bi�re. Il gravit l'escalier et me dit: < !Qu� calor señor! >
Il d�goulinait de sueur et pour se prot�ger du soleil il s'�tait enrubann� la t�te de son t-shirt. Il ne portait que ses baskets et un spandex blanc et transparent tant il �tait mince et imbib� de sueur. On distinguait tr�s bien sa peau cuivr�e � travers le v�tement. Ce fut plus fort que moi et lui dis :
< !Que sexy estás hoy Ramón! >
Ce qui instantan�ment provoqua chez le jeune homme, une �rection des plus majestueuse. Au fur et � mesure que gonflait sa longue queue, je pus distinguer la forme que prenait son gland � travers le tissu mince et d�tremp� du spandex. Il d�posa la bi�re et le sac d'�picerie sur le pas de la porte. Puis soudainement une bosse aux proportions d�mesur�es apparut alors que Ramón se touchait. Je ne savais pas si le geste de sa main sur sa bosse �tait pour camoufler une situation embarrassante ou s'il se caressait pour activer d'avantage l'�rection qui le titillait.
Il se pencha, sortit du sac la revue Blueboy et me dit:
<?Te gusta a los Latinos viciosos?> en me montrant la page centrale du magazine o� deux mul�tres � grosses queues s'en donnaient � cour joie.
Puis il s'empara du concombre anglais, le masturba et le porta � sa bouche puis le l�cha. Il frotta le long l�gume sur sa queue, entre ses jambes puis le fit glisser entre ses fesses. Il se mit � frapper le concombre dans sa main comme s'il empoignait une matraque pr�te � s'attaquer � un manifestant en manque de sensations fortes puis il me poussa sur le dossier du fauteuil. Il me fit signe de me retourner puis me bascula � plat ventre le cul en l'air alors qu'il se trouvait derri�re moi. D'un geste des plus viril, il arracha mon par�o d'une main et se mit � me frapper les fesses avec le concombre puis me le passa entre les cuisses, sous les couilles puis dans la raie du cul. Il se cracha dans la main y frotta le concombre pour l'enduire abondamment de salive et commen�a � me le p�n�trer dans le trou du cul.


<?Lo quieres, lo quieres por el culo el pepino?> Me disait-il.
Et sans trop m'y attendre il m'enfon�a le long concombre jusqu'au fond des entrailles en le retenant par l'extr�mit�. Il me l'entra jusqu'au fond, le sortit compl�tement puis recommen�a de nouveau � le pousser le plus profond�ment possible. Il prenait plaisir � le voir entrer et sortir et devait imaginer sa grosse queue brune p�n�trant mon petit cul. Il disait plein de choses obsc�nes que je n'arrivais pas toutes � comprendre et �a m'excitait. Au bout de 20 minutes de va-et-vient intensif et acc�l�r�, il sortit le concombre de mon cul apr�s l'avoir bien travaill� et bien ouvert. Il fouilla � nouveau dans le sac d'�picerie puis en sortit un gros �pi de ma�s qu'il pela sous mes yeux avec un air vicieux.
< Mais qu'est-ce que c'est Ramón ? J'ai pas demand� de ma�s moi > lui dis-je.
< Es para tí, un regalo > me dit-il. Il prit du sac le pot de yaourt, l'ouvrit et y trempa l'�pi de ma�s avant de me l'introduire au cul afin d'y poursuivre ses pr�liminaires de ramonage. Pendant un long moment, je ne sais plus au juste, il empoigna d'une main ferme la tige de l'�pi qu'il fit entrer et sortir de mon cul sans rel�che. Puis ensuite, pendant dix ou quinze minutes il fit rouler entre ses mains la tige de l'�pi que j'avais bien enfoui dans le cul comme s'il avait voulu allumer un feu au temps du CroMagnon.
< ?Quieres más, quieres más? > me disait-il
Et moi je r�pondais du mieux que je pouvais: < Sí dame más, dame más, quiero más, mucho más. >
Il en rajouta encore et encore me disant:
< Sí, ?quieres más? ?Como qu�? Dime papi. Dímelo,> puis il s'empara du gros dildo de 24 centim�tres qui se trouvait juste l� � c�t� de nous et me le mit sans m�nagement dans le cul et se poursuivirent encore les pr�liminaires largement amorc�s depuis d�j� plus d'une heure.

Non mais ce qu'il �tait cochon ce Ramón! Mais o� donc avait-il appris ce m�tier de ramoneur qu'il ma�trisait si bien? Puis je lui criai:
< ! Basta, Basta ! >
Je n'en pouvais plus. Vraiment c'en �tait trop. Il s'arr�ta d'un coup. Je le suppliai, la voix toute tremblotante, s'il ne pouvait pas me donner un moment de r�pit, car j'en avais vraiment besoin.
< Quiero descansar un poco Ramón. Es demasíado todo lo que me das por el culo. ? Es posible descansar un rato? >
Puis il me r�pondit:
< Sí, sí amor, >
puis se jeta sur le fauteuil les jambes �cartel�es, les deux mains tendues vers son �norme phallus qui montait vers le ciel. Il me dit:
< ¡Mira, mira, cómo se me la pones! Ven, ven por aquí. >
Je me pla�ai � genoux, entre ses deux jambes bien �cartel�es puisque c'est la position qu'il souhaitait que je prenne puis il me dit:
< Mientras se descansa tu culito, me la puedes chupar, ?O.K? >
Le sucer pendant que je me reposais le cul. Apr�s tout ce n'�tait pas une mauvaise id�e!

Je me mis son gros gland suintant dans la bouche et il avait ce subtil petit go�t de sardine qui, � moi, me plait tant. Je passai ma langue sous son large pr�puce plein de jus de d�sir et je m'en donnai � pleine gueule puis d�gustai cette queue que j'aimais tant. Le repos de mon petit cul fut de bien courte dur�e puisqu'il me fit une proposition des plus all�chante � laquelle je ne pus r�sister un instant de plus... Il m'offrit sa queue par le cul et �a avait l'air de presser tant il s'impatientait de vouloir �vacuer son jus de couilles. Il me dit: < ?Lo quieres por el culo mi palo?> < ?Dime, dime papi? > < ?Lo quieres mi palo negro? > Tout en fouillant dans le sac pour prendre la bo�te de condoms qu'il ouvrit maladroitement. Il sortit un sachet qu'il d�chira avec ses dents et s'enfila le condom puis il reprit sa place de macho dans le fauteuil. En me faisant un signe de la main il me dit: < Ven, ven por aquí, > puis tenant sa grosse tige � deux mains me fit signe de grimper sur le fauteuil au-dessus de lui.
Je m'ex�cutai sans la moindre h�sitation.
Je l'enfourchai, m'accroupis puis m'aligna vis � vis son membre immense et commen�ai � descendre dessus jusqu'� ce que je sois compl�tement assis sur ses cuisses, sa tige dure bien enfouie au fond de mon cul.
Il me dit : < Mueve tu culito papi, mu�vele, mu�vele, sí, así, así me gusta a mí. >
Je bougeai � un rythme effr�n� comme si j'avais eu un ressort au derri�re.
C'est incroyable comme il appr�ciait, �a se voyait dans ses yeux.
Il me prit les fesses de ses larges mains puis m'aida � bouger encore plus: < Sí papi. Así, > disait-il.
Alors que j'�tais bien agripp� � son cou, il se souleva, me retint par les jambes et sans retirer sa longue queue de mon orifice chaud et gourmand, me retourna le dos vers le sofa, m'y bascula pour que je sois face � lui, les yeux dans ses yeux. Il me souleva les jambes, les d�posa sur ses fortes �paules, son long membre viril entr� bi
en profond�ment en moi puis pendant un long moment il continua � me p�n�trer de son grand b�ton noir et dur qu'il adorait voir entrer et sortir de mon orifice bien dilat�. Ainsi il me fit languir encore un long moment avant de me dire:
< ?Lo quieres mi palo. Lo quieres mi palo negro? Es tuyo >
Puis � cet instant il m'enfon�a son long manche d'un coup, jusqu'au fond du cul au point o� j'ai cru voir les 36 chandelles. Je sombrai alors dans une telle euphorie, que je le suppliai de ne plus me laisser et lui demandai de me faire jouir encore et encore pendant des heures. Je ne sais pas s'il comprenait ce que je lui disais, mais alors que nous �tions dans le feu de l'action et que ses lourdes couilles battaient entre mes cuisses et que son gigantesque membre entrait et sortait de moi, il me dit: <Papi, ahora es para nosotros dos, > puis s'activant encore plus il me mordit la l�vre assez fortement, se mit � g�mir et � trembler puis dans un spasme que je crus fatal il cria: < Cola, cola la leche > puis s'immobilisa en l�chant un long soupir de satisfaction. Il venait de se vider les couilles. L'homme, le macho �tait fier et satisfait de lui. Son corps �tait en vapeur et putain, quelle odeur il d�gageait! Il m'enivrait. Ce qu'il sentait bon et ce que je l'aimais.

Il resta couch� par dessus moi un long moment avant de reprendre vie puis d'un bond il se leva et me dit sourire aux l�vres :
< ?Te gustó? ?Satisfecho, satisfecho tu culito papi? >
Je lui offrit una cervezita, j'en pris �galement une. Nous buvions nos petites bi�res, lui tout affal� � poil sur le divan, la queue pendante et longue entre ses cuisses et moi, assis par terre � ses c�t�s � le l�cher, le sentir, le caresser. Je l'aimais. Il me fit un commentaire sur la musique qui jouait en sourdine m'avouant qu'elle lui avait permis de bien performer malgr� cette canicule accablante. Puis il r�clama una ducha qu'il prit en vitesse avant d'enfiler de nouveau son mince spandex us� et transparent. Cette fois-ci je ne devais pas oublier de payer mes achats et lui remettre un g�n�reux pourboire pour cette excitante livraison. Je n'ai pas eu � fouiller dans mon portefeuille. Je l'ouvris et lui, plongea ses longs doigts dedans en me disant: < Muy buen servicio,?no? > Je r�pondis que si, du tr�s bon service... C'est alors qu'il pigea quatre billets de cinquante dollars et un de cent et me dit avec le sourire: < Señor, buen servicio vale mucho.> Puis il mit les billets dans le rebord de son spandex, qu'il roula sur sa cuisse jusqu'� l'aine pour �tre certain de ne pas perdre son butin et quitta tr�s heureux sur son v�lo de livraison.

Quelques jours plus tard je pris des vacances et �videmment j'avais choisi Cuba comme destination parce que Ramón �tait Cubain et j'avais d�cid� qu'� l'avenir je ne voulais rien d'autre que du Cubain pour passer du bon temps. Je trouvai un billet d'avion derni�re minute puis partis pour la perle des Antilles. Afin de ne pas trop souffrir de solitude, j'avais pris soin d'apporter dans mes bagages, mon gode qu'� pr�sent je nommais Ramón mais le malheur et la malchance ne cess�rent de s'acharner sur moi tout au long de mon s�jour. En arrivant � La Havane on confisqua mon Ramón sous pr�texte que je transportais du mat�riel pornographique ill�gal. J'ai d� payer $250.00 am�ricains � un douanier v�reux afin qu'aucun rapport ne soit fait contre moi, m'�vitant ainsi d'�tre d�nonc� et fich� aux autorit�s. Je n'avais donc plus mon fid�le compagnon de voyage si pr�cieux pour me tenir compagnie. Une fois sur place, j'ai eu droit � 6 jours de temp�te tropicale aliment� de pluies diluviennes et de vents tr�s violents qui arrachaient tout sur leur passage. De toute �vidence et dans de telles conditions nul besoin de vous dire que la drague fut impossible pendant tout mon s�jour pass� enferm� dans ma chambre d'h�tel sans m�me rien avoir � me mettre au cul.

J'�tais revenu � Montr�al avec une telle h�te de revoir mon beau Ramón, parce que cette histoire de dildo confisqu� � Cuba m'avait mis dans un �tat tel, que pendant tout mon s�jour pass� l�-bas, je n'avais jamais cess� de penser � lui. � Ramón �videmment, pas au gode. Mais c'est � sa grosse teub de mul�tre que je pensais le plus souvent. � lui, un peu moins, bien qu'il me fit un petit quelque chose ce petit Ramón. Je ne sais trop quoi au juste, mais quelque chose.

Le lendemain de mon retour � Montr�al lorsque je me pr�sentai � l'�picerie, je ressentis un certain malaise au sein des employ�s et des patrons alors que je tentai de savoir ce qui �tait advenu de Ramón. Disons qu'ils n'eurent pas trop envie de discuter. �a ne pouvait �tre plus �vident. Il sembla m�me y avoir du branle-bas de combat autour des caisses alors que trois ou quatre tantouzes dans la soixantaine discutaient fermement avec un caissier et le patron. J'avais demand� � un commis s'il avait vu Ramón mais celui-ci, nerveux m'avait r�pondu de mani�re tr�s �vasive qu'il n'�tait plus l� et que personne ne savait o� il se trouvait. Je d�cidai de quitter sans rien acheter et entrai directement chez-moi.

Quelques jours plus tard je retournai � l'�picerie pour y faire des courses alors que tout sembla �tre revenu au calme et � la normale. Le l�gumier qui rempla�ait Ramón n'avait rien, mais absolument rien de sexy. C'�tait un petit boutonneux, plut�t ob�se et aux cheveux gras qui n'avait pas l'air � sa place du tout sur le petit podium servant � placer les fruits et l�gumes au fond du comptoir r�frig�r�, celui-l� m�me sur lequel Ramón m'avait fait son petit num�ro �rotique, quelques semaines auparavant.

Je fis quelques achats et aper�us deux tantouzes qui discutaient ensemble d'un petit mec qui avait pris la fuite avec leur argent apr�s avoir pass� la soir�e � leur domicile.
Discr�tement je fis semblant de chercher des produits aux rayons des surgel�s et tout doucement je m'approchai des deux comm�res pour �couter ce qu'elles avaient de si pr�cieux � se dire. J'entendis alors prononcer le pr�nom de Ramón puis il fut question de fric et de v�lo vol�s.

Puis mine de rien je m'�loignai tranquillement puis passai � la caisse du beau Bernard que je soup�onne depuis des ann�es de faire trempette avec les petits mecs qui travaillent � l'�picerie. Bernard et moi nous nous connaissons depuis plusieurs ann�es d�j� et il n'y a pas vraiment de secrets entre nous. On se dit tout ou presque. Il sait que je suis gay et moi je sais qu'il n'est pas tout � fait h�t�ro.

Toujours est-il que je demandai � Bernard si Ramón travaillait toujours comme l�gumier. Il me r�pondit non et m'expliqua que quelques jours plus t�t, Ramón avait d�guerpi avec les recettes de certaines livraisons qu'il avait effectu�es tard en soir�e en plus de voler le v�lo de livraison de l'�picerie. Il me dit qu'il ne savait pas pourquoi mais beaucoup de gens avaient r�clam� le petit Ramón au cours des derni�res semaines. D'ailleurs il remarqua que la client�le de l'�picerie s'�tait beaucoup �gay�e depuis qu'il avait embauch� Ramón. Mais moi je suis certain qu'il n'avait pas fait que de l'embaucher, il avait s�rement d� le d�baucher aussi, � moins que ce ne soit le contraire qui se produisit.

Bernard m'avoua que les vieilles m�m�s du quartier qui �taient de fid�les clientes, se plaignaient. Elles ne voulaient plus venir � l'�picerie parce qu'elles trouvaient Ramón trop os� et vulgaire de par sa mani�re de se v�tir compte tenu qu'il �tait affect� aux fruits et l�gumes ainsi qu'au service � la client�le. Il me dit qu'� plusieurs occasions il avait remarqu� les v�tements provocants que portait Ramón mais qu'il avait jusqu'� cet incident, �t� un employ� mod�le et sans reproche, un employ� avec beaucoup d'entregent. Je ne pus m'emp�cher d'ajouter : et un bel entrejambe... Bernard pouffa de rire et me dit que c'�tait sans doute la raison pour la quelle d�filaient autant d'admirateurs venant le contempler pendant ses heures de travail. Puis il me dit qu'il avait pu constater une forte hausse de la client�le, masculine et gay, les jours o� Ramón travaillait.

Il remarqua une augmentation tr�s significative du nombre de livraisons depuis qu'il avait assign� Ramón � cette t�che �tant donn� que les fruits et l�gumes ne l'occupaient pas plus qu'il ne le fallait. Je payai mes achats et saluai amicalement le beau Bernard puis quittai avec tr�s peu d'espoir de revoir Ramón, mon beau Ramón.

�tant sans nouvelles de Ramón depuis plus de trois semaines, je ne pus tout simplement pas me faire � l'id�e de ne plus le revoir. Je sombrai dans un �trange �tat d'esprit lorsque je me mis � penser que cet �pisode n'avait �t� rien d'autre qu'un petit soubresaut dans ma vie sexuelle avant que ne s'installe la grande abstinence � la quelle nous devons tous un jour ou l'autre �tre confront�s alors qu'on atteint un certain �ge. Je compris donc pour qui et pourquoi les godes avaient �t� invent�s et j'optai pour cette alternative pas si mauvaise en soi et entretins ainsi mon petit cul au cas ou Ramón ou un autre ne viendrait qu'� sonner � ma porte.

J'avais repris mon travail depuis pr�s de deux mois et nous �tions en plein �t� des Indiens. Novembre �tait � nos portes quand soudainement, un lundi soir tard, autour des 23 heures, on sonna � la porte. Mais qui cela pouvait-il �tre par une heure aussi tardive? Je n'attendais personne. Je venais tout juste de terminer de prendre ma douche et je n'�tais v�tu que d'un simple drap de bain. J'appuyai sur le bouton pour actionner l'ouverture de la porte et un beau petit mec, en short, tout en muscles et en cuisses entra. Un petit trapu vraiment pas piqu� des vers, mais pas du tout, �tait l� au bas de l'escalier, s'appr�tant � monter. Avant m�me que j'aie eu le temps de lui demander ce qu'il d�sirait, il commen�a � gravir les marches avec un carton de bi�re dans les mains. Je lui dis qu'il devait faire erreur puisque je n'avais pas t�l�phon� � l'�picerie pour commander quoi que ce soit mais il faisait fi de ce que je lui disais continuant son ascension d'un pas ferme et d�cid�.

< Je m'appelle Marco > me dit-il, une fois arriv� en haut de l'escalier.
< Non mais ce n'est pas une heure pour venir sonner aux portes des gens >
lui dis-je un peu vex�.
< Ouais je sais mais voulez-vous s'il vous plait, monsieur, nous encourager mes potes et moi ?> me dit-il.
< C'est pour quel organisme ton truc?> lui demandai-je.
<Vous vendez quoi, pas encore du chocolat infecte et des stylos qui ne fonctionnent pas?>
< Ne soyez pas autant sur vos gardes monsieur, laissez-moi vous expliquer de quoi il s'agit. C'est que mes potes et moi, on a besoin d'une petite main d'encouragement de la part des clients � qui nous rendons visite...> me dit si gentiment le beau petit Marco.
< � 23 heures vous arrivez comme �a chez les gens pour une petite main d'encouragement, non mais �a va pas? > lui dis-je.
Ce petit mec-l�, moi, je croyais savoir de quel type de petite main d'encouragement il pouvait avoir besoin.
< Je vais t'expliquer si tu veux, mais ne t'�nerve pas o.k > me dit-il alors qu'il venait de passer au mode tutoiement.

Puis il ouvrit le carton de bi�re qui en fait ne contenait aucune bouteille de bi�re.
Il y avait dans ce carton bien d'autres choses que le jeune gar�on commen�a � d�baller et � disposer tout autour de lui. Des condoms, du gel lubrifiant, des godes, un fouet et de nombreux objets de toutes sortes �taient alors �tal�s devant moi. Il me tendit alors un d�pliant en me disant qu'il s'agissait des services et des produits qu'ils offraient lui et ses amis puis me remit une carte fid�lit�.
< Non mais c'est quoi ce cirque, une d�monstration Tupperware?>
< Regarde notre d�pliant et tu vas tout comprendre>.
Je commen�ai � lire le d�pliant qui nous faisait part de promotions diverses et de sp�ciaux � ne pas rater. Je pus y lire :

Premier essai gratuit � tous nos nouveaux clients.

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Notre personnel courtois et d�vou� est toujours pr�t et heureux de vous servir :

Igor, (Big coockie), Slovaque, 18 ans, queue 19.5cm X 4.5cm. Non circoncis, blond, grand, mince. Je suis soumis si tu le d�sires.

Rolando, (El burrito), Mexicain, 19ans, queue 17.5cm X 4cm. Non circoncis, cheveux noirs, peau basan�e, imberbe, petit et mince. Je t'offre mon beau petit cul y mucho más.

R�al, (La banane), Qu�b�cois, 20 ans, queue 18.5cm X 5cm. Non circoncis, ch�tain, un peu poilu, tr�s costaud. Bonne queue, beau cul .

Richard, (Big tool), Qu�b�cois, 19ans, queue 20cm X 6cm. Non circoncis, teub, tr�s grosse, tr�s large et grosses couilles. Imberbe, cr�ne ras�. Si tu le d�sires, je serai ton ma�tre.

Marco, (Zucchini), Italien, 20 ans, queue 22cm X 5cm. Non circoncis, cheveux noirs, l�g�rement poilu, tr�s grosse queue et tr�s grosses couilles qui sauront te combler.

Ramón, (La porra), Cubain, 18 ans, queue 24cm X 6cm. Non circoncis, mul�tre, imberbe, tr�s gros gland, tr�s, tr�s bien membr�. Si tu es pr�t pour une d�fonce, je suis celui qu'il te faut.

Nicky, (El platano), Colombien, 22 ans, noir, queue 20.5cm X 4.5cm. Non circoncis, gros gland, peu poilu mais ouvert � tous les fantasmes.

Mohammed, (Happy zob), Marocain, 20 ans, basan�, queue 22cm X 5cm. Circoncis, tr�s grosse queue. Tr�s r�sistant. �jaculations garanties aux 15 minutes ou argent remis.

Toutes les descriptions des petits mecs �taient agr�ment�es de photos des plus explicites et je vous assure que c'�tait du vrai travail de pros. Puis �a disait : Pour plus d'information et en savoir plus sur nos mod�les disponibles, veuillez consulter notre site Internet : belkeu.bocu

J'�tais tr�s impressionn� de voir � quel point les petits mecs �taient bien organis�s. Ils fonctionnaient comme de v�ritables business man. C'�tait tout simplement fascinant. Sous le choc ou sous le charme, je ne savais plus trop, je demandai � Marco, ce qu'il voulut ne r�alisant tout simplement pas ce qui m'arrivait et ce, malgr� toute cette panoplie d'objets et d'accessoires �rotiques que j'avais sous les yeux en plus de ce beau jeune gar�on sexy qui faisait des pieds et des mains pour me vendre son produit...

Soudainement je crus � l'arnaque et je pensai qu'il chercha tout simplement � m'avoir.
Puis Marco lan�a :

<Veux-tu m'essayer? >
<T'essayer toi, mais tu plaisantes?> Lui r�pondis-je. Ce n'est pas qu'il ne me convenait pas, bien au contraire, il �tait tr�s, tr�s bien le beau Marco. Je ne parvenais tout simplement pas � comprendre comment une telle chose pouvait-elle m'arriver � moi. Puis Marco me d�signa de son gros doigt, l'espace qui lui �tait r�serv� dans le d�pliant et je lus :
Marco, (Zucchini). Italien, 20 ans, queue 22cmX5cm et bla,bla,bla.
< C'est toi �a? C'est vrai ce qu'on dit l�-dedans?> lui demandai-je.
< Ouais man! Veux-tu que je te le prouve?> Puis il m'indiqua dans le d�pliant l'espace en caract�res gras qui disait : Premier essai gratuit pour tous nos nouveaux clients.
< Alors, tu veux que je te fasse une d�monstration ou pas? > demanda-t-il de nouveau.
Puis il porta sa main � son entrejambe d'o� je remarquai une protub�rance en voie � me faire succomber � une d�bauche des plus perverse.

Puis son portable sonna. Il r�pondit :
< Ouais, ah!, c'est toi boss, non y a pas de probl�me, je crois que �a va fonctionner. Ouais, ouais, ouais, je vais lui dire. Donne-moi 5 minutes encore, O.K.> finit-il par dire � son interlocuteur.
< C'est le patron qui m'appelait pour me faire penser de te dire que ce soir c'est la soir�e du deux pour un et il me demandait si j'avais besoin d'un petit coup de main pour te convaincre d'essayer l'offre gratuite.>
Puis il me dit qu'il �tait � l'entra�nement, que c'�tait son premier soir et que le patron l'avait � l'oeil, supervisant son travail.

Je commen�ai � me sentir un peu plus confiant face au jeune gar�on qui avait poursuivi ses attouchements. Puis il prit ma main pour que je caresse sa queue au travers de son jeans afin que je sois en mesure de constater que le produit �tait fid�le � ce qui �tait indiqu� au d�pliant. Nous �tions toujours debout sur le seuil de la porte d'entr�e. Je me mis � bander comme un taureau en caressant cette �norme teub. Je salivai.

Il d�boutonna alors sa braguette d'o� en sortit une chose �norme. La publicit� n'�tait pas trompeuse, mais pas du tout... Il ne s'agissait pas d'une arnaque, le produit �tait bel et bien conforme � ce qui �tait d�crit dans le d�pliant qu'il m'avait remis plus t�t. J'eus m�me droit � une prime. Oui, une prime. Un percing! Marco avait le gland perc� d'un �norme Prince Albert qui ne l'emp�cha point de lever la queue droit vers le ciel. Encore une fois j'�tais aux anges. Je portai ma bouche � son bijou que je su�ai un peu et que j'engloutis pour enfin m'attaquer au gland que je trouvai savoureux bien que l�g�rement trop go�teux. Je bouffai du gland pendant un long moment en prenant bien soin de ne pas me briser une dent avec son gros bijoux en argent. J'empoignais sa grosse tige � deux mains afin de lui faire une petite s�ance de masturbation et de lui pomper un peu le jus. Ce que c'�tait bon! Puis il me dit : <Si je comprends bien, tu acceptes l'offre gratuite?>

Sans sortir sa grosse queue de ma bouche gourmande, je lui r�pondis que je me sentais m�me pr�t pour essayer le fameux deux pour un qu'il m'avait propos� puisque nous �tions lundi et que comme client, j' y avais droit. Il fouilla, sortit le portable de sa poche et appela pour commander : < Ouais, c'est fait mais il veut �galement le deux pour un. O.K, on t'attend mais ne tarde pas trop car j'ai toute une salope au bout de la queue> dit-il au mec avec qui il parlait. Et moi, je souriais de bonheur sans l�cher cette grosse teub juteuse que j'avais enfouie au fond de la gorge. Je me suis alors dit que le mec qui arriverait ne serait en fait qu'une surprise que je devrai accepter tel quel. Puis la sonnette de la porte se fit entendre. Marco, qui lui avait, les mains libres, appuya sur le bouton pour ouvrir la porte au petit mec surprise. < D�j�, mais quel service! > lui dis-je.

J'entendis le mec monter derri�re moi car j'avais le dos � l'escalier et les yeux qui me tournaient tellement j'�tais en extase � bouffer cette teub. Puis dans un moment de lucidit� je me retournai pour voir qui �tait l� mais ma bouche et mes yeux se heurt�rent � un entrejambe et � une gigantesque queue que je portai � ma bouche sans h�sitation sans m�me avoir pu remarquer le visage du jeune homme en question, tant j'avais sa fourche �cras�e dans ma face.

Je ne quittai pas la queue de Marco pour autant continuant de la masturber de ma main gauche alors que j'agrippai de l'autre main la queue du nouveau venu que j'eus aussit�t au fond de la gorge. Je reconnu alors cette texture, ce go�t de queue, ce gland. Je reconnus cette queue. J'ouvris grand les yeux, regardai vers le ciel pour voir le visage du gar�on, car j'en �tais s�r, mes papilles gustatives n'avaient pas pu me trahir, c'�tait Ramón, mon Ramón qui me revenait. Je continuai � lui astiquer le gland de ma bouche gourmande puis inutile de vous dire ce qui arriva par la suite.

Bien je peux peut-�tre vous en glisser un petit mot mais vraiment juste un petit... Apr�s plusieurs minutes pass�es � bouffer la queue de Ramón et celle de Marco devant la porte d'entr�e, on bougea pour se diriger sur le divan du salon. L�, ils prirent l'heureuse initiative de me basculer � plat ventre sur le dossier du divan, t�te en bas puis � tour de r�le je les su�ai et eux ils m'encul�rent. Pendant que l'un me foutait sa grosse teub au cul debout par derri�re, l'autre devant moi, � genoux sur le divan me foutait la sienne dans la gueule. Puis ils s'�chang�rent ma bouche et mon cul pendant plus d'une heure comme ils le voulurent bien et �videmment, � ma plus grande satisfaction...

Ensuite ils discut�rent ensemble et d'un commun accord, ils d�cid�rent de me mettre leur queue au cul tous les deux en m�me temps. La double p�n�tration � laquelle j'avais r�v�e toute ma vie bien c'est avec Ramón et Marco que je la v�cus ce soir-l�. Apr�s une longue heure pass�e � me faire bourrer le cul par deux immenses teubes expertes du ramonage, croyez-moi mes amis que ces deux immenses queues, bien, elles gliss�rent sans probl�me jusqu'au fond de mon orifice comme s'il eut s'agit d'un jeu d'enfants et je n'ai pas eu � m'en plaindre ne serait-ce qu'une seconde, bien au contraire. La grande slotte qui sommeillait en moi ne cessa d'en redemander encore et encore alors que nos deux jeunes et fringants �talons n'en purent tout simplement plus, �puis�s de fatigue tous les deux de r�pondre � mes demandes et mes exigences des plus perverses. Parce qu'apr�s la double p�n�tration, n'allez pas croire que tout c'est arr�t� l�, non mes amis. Je vais vous �pargner ce qui a
bien pu se passer avec mes deux jeunes �talons une fois qu'ils m'eurent bien bourr� le cul de leur grosse teub. J'ai bien beau faire passer pour une salope, l� vraiment, je ne voudrais surtout pas offenser les plus prudes d'entre vous, car vous le savez, j'ai beaucoup de respect pour vous tous. Mais quand m�me, ce que j'ai pu �tre fier de moi pour une fois, ce soir-l�.

Mais il faut croire que j'avais bien pass� le test puisque d�s le lendemain, Ramón revint chez-moi et me proposa de travailler pour lui m'expliquant tout de son business et l'importance que celui-ci prenait de plus en plus dans sa vie. Il n'arrivait plus � passer les entrevues des nouvelles recrues ni de voir � leur supervision et ne voulait surtout pas n�gliger sa client�le r�guli�re qui savait si bien le g�ter et qui le r�clamait tout autant sinon plus. L'immense succ�s que son business connaissait en faisait dor�navant un homme trop occup�. Il me proposa donc un r�le au sein de sa tr�s lucrative entreprise. Il m'offrit un poste � la direction des ressources humaines ce qui consistait � embaucher et faire passer les entrevues aux jeunes mecs qui venaient offrir leurs services en plus d'avoir � m'occuper de toute la logistique qu'une telle organisation n�cessite. Je ne demandais pas mieux, moi. Et ce que Ramón ne savait pas, c'est que depuis pr�s de vingt ans, j'�tais directeur des ressources humaines de l'entreprise de pompes fun�bres o� je bossais et o� je m'ennuyais � mourir depuis le premier jour o� j'y avais mis les pieds. De toutes �vidences je demeurais dans les pompes mais je pr�f�rai de loin celles que m'offrit le beau Ramón, sans compter le tr�s beau d�fit qui m'attendait. J'acceptai imm�diatement l'offre de Ramón et il resta passer la nuit avec moi pour f�ter �a. D�s le lendemain matin, je t�l�phonai � mon patron pour lui annoncer que je n'entrerais plus au travail. Que je quittais � jamais mon poste.

Les jours qui suivirent Ramón s'installa chez-moi. Mon appartement devint alors le si�ge social de l'entreprise qu'il avait mise sur pied quelques mois auparavant. Je devins son associ� et son amant m�me si pendant toutes ces ann�es j'eus � le partager avec des milliers d'autres. Il fut toujours tr�s reconnaissant envers moi mais il su avant tout me donner le meilleur de lui-m�me, l� et quand j'en avais besoin. Sa grosse teub brune et dure qu'il me donne encore aujourd'hui avec tant de vigueur et de rigueur, bien je la lui bouffe toujours avec autant de passion apr�s cinq ann�es de vie commune pass�es ensemble alors que la baise n'a jamais cess� d'�tre aussi torride entre nous deux.

Fin

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