Le sondageIl y a des mecs qui pour gagner leur vie vont de porte en porte, un pc portable sous le bras en posant des questions bidons dans le cadre d'un sondage. Un matin l'un d'eux sonne chez moi. J'h�site � ouvrir : j'ai une gueule de bois � damner un saint car j'ai pass� une nuit de glandeur esseul� � qui il n'est permis de choisir qu'entre la t�l� et la bouteille. Bien entendu j'ai opt� pour les deux jusqu'au moment o� c'est la bouteille qui a bu la t�l� . Du plomb dans l'aile, je me d�cide � ouvrir. Il me faut quelques secondes pour faire la mise au point et comprendre � quel loustic j'ai � faire. Il pr�sente bien ; droit comme un "I" plant� dans un superbe costard velours ; tout sourire - et quel sourire ! - une barbe bien dessin�e, ni rase, ni fournie, velout�e quoi, comme son costard. Il commence � d�biter, probablement sur l'objet de sa visite auquel je n'entends pas grand chose, avec un rictus un peu moqueur. Pour ma part je suis transi de froid et je finis par saisir la raison de son amusement : il g�le dehors et je suis sur le pas de ma porte avec pour seul v�tement un slip qui a pas mal v�cu. Aussit�t, je l'invite � p�n�trer dans mon foutoir et lui sugg�re de s'installer sur le canap� o� tra�nent quelques revues pornos, mes chaussettes et le cadavre de la bouteille. Confus � en crever, je me h�te de d�barrasser mais il m'arr�te aussit�t d'un geste en soulignant que c'est tr�s bien comme �a. J'attrape au vol un tee-shirt sur le dossier en vue de l'enfiler, mais la encore il m'en emp�che ; "Non, non c'est tr�s bien comme �a." Premi�re question : Vous aimez les produits laitiers ? On se redresse, il plonge aussit�t sa main dans mon slip pour s'emparer de ma queue. Mon sexe frotte contre le velours de son pantalon. Dans un �clair j'envoie au diable le reste de ses v�tement qui me s�parent de son corps tout entier. Enfin je suis face � sa queue, sa grosse queue luisante qui n'attend plus que ma gorge. Je l'avale jusqu'� la glotte � plusieurs reprises puis du bout de la langue je creuse le moindre sillon qui dessine son gland. Je le force � s'asseoir sans cesser ma d�gustation, lui �carte les cuisses et les sur�l�ve de sorte que son anus soit en partie accessible. Ses couilles sont pleines � craquer, je les triture un moment, et d�laissant un bref instant son sexe gonfl� � bloc, les asticote d'une langue paresseuse tandis que de deux doigts je m'attaque � son trou du cul. J'entends le sondeur g�mir, haleter. Il n'en a plus pour longtemps. Le moment est venu, j'empoigne ma queue et l'enfonce d'un coup bien profond�ment , la retire et recommence plusieurs fois de suite. Je le sonde comme un forcen�, son four bouillant ne me l�che plus, j'adopte alors une cadence effr�n�e retenant in extr�mis l'instant crucial. Enfin, dans un dernier effort, je me d�racine, glisse sous le corps mon partenaire et d'une main sous sa nuque l'encourage � me sucer. Il se l�chait les l�vres encore toutes collantes de mon sperme quand il m'a dit : "C'est ce que j'appelle un sondage en profondeur... " meyrilR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |