Page pr�c�dente

Le parking

Bonjour, je me fais appeler Lyano, j'ai 20ans et je vais vous raconter un passage de ma vie.

C'�tait exactement il y a dix jours et je m'en rappelle encore comme si c'�tait hier. Je suis de Dunkerque et un jour, un mec du net me proposa une rencontre r�elle. C'�tait le soir, il �tait 22h30 environ et je commen�ais a fatiguer car je me tenais devant l'�cran depuis au moins trois heures. Rien que pour le plaisir des yeux, j'ouvris la page de chat et un homme se pr�senta bient�t � moi, venant lui aussi de Dunkerque, grand de 1m92, mince, les yeux verts, les cheveux bruns, le style d�contract� et assez sportif : il avait la trentaine et il ne manqua pas de pr�ciser les 22 cm que mesuraient son sexe, que je devinais sportif, lui aussi.

Tout de suite il �tait pr�t � me retrouver et nous passerions la nuit ensemble. Mais je devais rentrer assez t�t pour ne pas inqui�ter ma m�re ; il me rassura sur tous les points. Je ne savais pas pourquoi, mais il m'attirait ce mec, et je ne pus refuser une telle escapade, si risqu�e puisse-t-elle �tre, mais le risque j'aimais �a, j'avais �a dans la peau.

10 minutes plus tard, il se pr�senta � ma porte. Je mis une seconde pour me rappeler notre bref dialogue sur le net et pour faire le point par rapport � la figure qui se trouvait face � moi. Je ne mis que tr�s peu de temps avant de comprendre, avec stupeur, que je l'avais d�j� vu autrefois. C'�tait l'agent de La Lyonnaise des Eaux qui �tait venu r�parer une fuite. Je n'aurais jamais dout� auparavant de son go�t pour les hommes. De plus, sa bague au doigt d�signait une alliance, donc il �tait probablement mari�, et probablement bi. A moins que la bague e�t servi � autre chose.

Mais maintenant il �tait devant moi et me fit comprendre qu'il me rejoignait dans sa voiture. C'est alors qu'il me demanda si j'avais un fr�re, quelles �tudes je faisais et ce que j'aimais faire dans la vie. J'appr�ciais sa curiosit�, une mani�re � lui de me s�duire. Et de me jeter de ces regards qui tuent, de cette mani�re sensuelle de mouvoir ses l�vres et ses sourcils, puis ce fut mes jambes bient�t qui tressaillirent. Sa main droite l�g�rement poilue fr�la ma jambe la plus proche puis un r�le sortit de sa bouche quand il atteint les formes laiss�es par mon sexe.

Nous arriv�mes � ce fameux parking, dans le bois le plus proche. Une fois sortis tous deux de sa voiture, il en fit le tour et me rejoignit, me prit dans les bras avec une intense chaleur, un baiser profond nous engouffrait d�j� dans les affres du d�sir. Il s'arr�ta un instant, laissa �chapper un sourire, puis reprit de plus belle. Je sentais ses bras autour de mes hanches et ses mains qui explorait sensuellement toutes mes parties les plus �rog�nes. Encore un arr�t. Mais cette fois-ci, il ne reprit pas, s'�carta un moment, je le vis sortir un portable de sa poche, puis il s'�loigna un peu plus.

Je le vis rejoindre d'autres types. Je commen�ais � flipper car je ne pouvais que pressentir un �ventuel danger. Qu'avait-il derri�re la t�te ? Moi, je ne voulais qu'une sortie, d�couvrir un homme, car je n'en avais pas connu depuis si longtemps. Mon esprit romantique avait encore divagu�. Et je r�alise peu � peu que je commence � m'enliser dans une histoire de sexe ...

Cela va sans doute vous �tonner. Ou peut �tre pas. Mais quand les trois autres hommes approch�rent, accompagn�s de celui qui m'avait emmen� jusqu'ici, un grand d�sir s'empara de moi. J'�tais fig� par la frayeur, mais une partie de moi ne demandait que cela, comme un fantasme se d�livrant du fin fond de mon �tre. Peu apr�s, la suite, vous pouvez commencer � l'imaginer. Les quatre hommes commenc�rent � me d�shabiller; Je priais qu'il n'y ait personne � proximit� et que personne n'y vienne, dans les minutes, voire les heures qui allaient suivre.

Je me retrouvais bient�t nu, de la t�te aux pieds. M�me les chaussettes tra�naient sur le toit de la voiture. Aucun, ni m�me moi, ne fit de bruit. Et tandis que j'�tais dans ma tenue d'Adam, eux ne s'�tait pas d�shabill�s et je doutais qu'ils le firent un jour. Un de ces quatre hommes, que je ne distinguais m�me plus dans le noir, m'embrassait langoureusement, un autre d�vorait mon sexe et le troisi�me, je ne le sentais pas encore, je l'entendais ouvrir la fermeture �clair de son jean. Peu de temps apr�s je sentais son sexe pourvu d'une capote qui cherchait mon trou. Puis mettant ses mains sur mes hanches, il enfon�a son sexe d'un cou sec. Je sentais une l�g�re douleur, mais pas un cri ne sortit de ma bouche, peut �tre par peur que quelqu'un puisse nous entendre.

Je sentais mon corps traverser par la puissance du d�sir, lim� par le sexe d'un inconnu. Alors qu'il explora la plus profonde de mes ouvertures, je sentais combien son sexe �tait grand et puissant, plusieurs vingtaines de centim�tre m�me. Mais je fr�missais aussi de ces mains qui m'empoignaient et me tenaient aussi fort que j'eusse �t� son instrument. Et c'�tait le cas.

Je me tenais debout, avec un arri�re-go�t de vertige. L'un me tenant par derri�re, un autre devant, enfin deux, plut�t. Celui qui m'embrassait se tenait contre la voiture et moi j'avais toutes les difficult�s � garder mon �quilibre, mais ce n'�tait pas le plus important, je dois l'admettre. Puis celui qui me su�ait passa d'un coup entre mes cuisses en les �cartant de la force de ses grandes mains, que je ressentais comme fortement poilues. Il s'appr�tait � sucer les couilles et le sexe de mon limeur. Quel m�tier ... Faut bien l'avouer.

Mais je sentais mes cuisses frissonner, de par les mouvements de Monsieur Poilu. En fait, son camarade (celui qui m'a raccompagn� jusqu'ici) lui avait rabaiss� son jean et le limait � son tour. A cet instant, j'aurais tout donn� pour �tre � sa place. Pas parce que j'avais plus de sentiments pour celui qui le prenait, mais pour autre chose. Peut-�tre le d�sir d'�tre pris.

Car je n'�tais plus pris par l'autre ; celui qui m'embrassait me vautra contre la voiture et m'empala � son tour, tout doucement d'abord, puis le rythme s'acc�l�rait. Bien qu'il semblait avoir une bite plus petite que celle de l'autre, elle avait n�anmoins doubl� de volume. J'entendais les r�les des trois autres comp�res, leur dialogue me faisait comprendre qu'ils avaient d�j� pass� un bout de chemin ensemble. Et malgr� les r�les de mon nouveau limeur, j'entendais aux sons de la voix que mon chauffeur se nommait Maxime, et les deux autres, Etienne et Aziz. Etienne �tait celui qui m'avait pris, Aziz �tait sans doute le plus poilu de la bande.

Celui qui me limait mon cul en ce moment, c'�tait Quentin. Au bout d'un moment, je sentis ses jets affam�s qui se rabattaient au fond de mon cul. On n'avait pas pens� � la capote. Au lieu de m'en inqui�ter, je pensais intens�ment au plaisir de cette rencontre.

Tous les gars me firent la bise. Je me rhabillais rapidement. Il allait bient�t faire jour. Ce ne fut pas sans surprise que Maxime me proposa des moments encore plus forts que celui-l�.

Heureux, j'attendais ce jour fatidique avec impatience. Un mail de sa part, alors, me ferait s�rement le plus grand bien.

La suite, pour bient�t.

Si vous souhaitez m'�crire, n'h�sitez pas, c'est sur :

Lyano

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :