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Le beau gars.

Il �tait l� dans l'embrasure de la porte, les mains pos�es sur le haut de la porte, les poils noirs de ses aisselles d�coupaient son tee shirt blanc immacul�, son jean bleu d�lav� �tait retenu par une �norme ceinture noire, avec un gros ceinturon. Il �tait pieds nu et la bosse de son pantalon de dessinait encore plus.

Il me parlait de sa voix rauque et virile, pendant que je pr�parais une grosse salade de fruit. Sa copine venait de le quitter depuis 15 jours et il se refusait � la remplacer.
Moi je ne l'�coutais plus je flashais sur son corps, son torse en v, les poils qui sortaient du haut de son tee shirt, ses biceps veineux, ses tr�s larges cuisses bien serr�es dans son jean, ses pectoraux bien dessin�s, les t�tons biens pointus, et je dois l'avouer la bosse de sa bite orient�e sur le gauche qui me fascinait.

Quand je pris les bananes il se mis � me brancher : elle sont grosses hein les bananes, j'en ai mis une fois dans la chatte � ma copine, elle a pas aim�... je lui dis il fallait retirer la peau... �a fait moins mal, il me dit ah bon comment tu fais ?
Rouge de honte, je ne r�pondais pas � ses allusions... pff il me dit " fait chaud ici ", je peux me mettre � l'aise ? Oui lui dis-je affol� !

Il retira son tee shirt nike, et j'eus le souffle coup�, son torse viril �tait magnifique !
Un filet de poils drus noirs partait de sa ceinture vers le nombril, puis une for�t �paisse de poils noirs tapissait ses pectoraux... ses abdos �taient secs et sexuellement attirants.
Il me dit je peux me mettre en cale�on ? Voui h�sitai-je. Moi m�me en short adidas noir en coton, je commen�ais � me sentir mal dans mon slip, un peu trop serr�, mon d�bardeur me donnait chaud.

Quand il retira son pantalon, je vis bien la masse de sa bite provoquer une bosse dans son cale�on, ses longues jambes poilues et viriles, mais je coupais les oranges sans rien n'y faire para�tre...
l'eau fra�che sur mes Avant bras me calma un peu, et je retournais � la pelure de mes pommes...
soudain il me rejoint et se colla � mon dos en m'enla�ant, je stoppais net mon travail car je sentais sur ma raie une �norme bite qui palpitait...
la t�te en feu, je la rejetais en arri�re pour sentir son souffle chaud, avec mes mains je caressais son bassin, il me baissa mon short et mon slip d'un coup sec...

Je lui baissais son cale�on, et je sentis encore plus pr�cis�ment cette masse de chair palpitante contre mes fesses.
Il pris une banane, l'�plucha et sans rien dire me la mis dans la bouche, j'ouvrais ma gueule et au lieu de manger un morceau commen�ais � sucer le fruit.
Lui de son autre main, saisi la bouteille d'huile d'olive et en reversa entre mes fesses...
il jeta la banane, et me pencha en avant. Il sorti d'on ne sait ou une capote noire qu'il enfila...je n'osais bouger, j'avais pouss� le saladier de salade de fruit, et j'avais le nez dans les �pluchures.
Avec deux doigts il me p�n�tra pour me pr�parer � l'assaut.
L'huile facilitait son travail je g�missais.
Je sentais ses jambes poilues contre les miennes, je pris l'initiative branlais un peu sa grosse bite et la pr�senta devant ma rosette...
je m'allongeais compl�tement sur la table, il me pris par les �paules et commen�a le travail d'enculage.
La douleur plaisante au d�but fut intense quand son �norme gland franchit mon sphincter...

Je vis des �toiles, par correction il ressortit, ce fut un bruit de bouteille qu'on d�bouche tant sa bite �tait massive... je fut soulag�. Il prit le pot de mayo et m'enduisit largement le cul et sa bite...
puis sans me toucher, il m'encula d'un coup. Je sentais sa bite qui avan�ait dans mon rectum inexorablement, la base de sa grosse bite plus large me fit relever la t�te dans un feulement de douleur et de plaisir � la fois.
J'avais l'impression qu'il distendait en longueur mon rectum, ses couilles enfin touch�rent les mienne.

Il me dit "tu es � moi maintenant" je ne pus lui r�pondre tellement essouffl�.
Puis m'�carta les fesses avec force et se mit � me labourer puissamment ? J'avais l'impression qu'il m'arrachait les intestins � chaque retrait, mais j'avais le sentiment de sa puissance derri�re moi.
Ce gars de 22 ans me poss�dait comme une b�te !
Ma prostate en vracs, mon anus d�vast�, je jouissais contre la table, les resserrements de mon anus, lui fit gonfler encore plus sa bite et il poussa un cri �touff�. Ses jets de sperme contenus dans la capote furent nombreux.
Il se coucha sur moi, sa queue me poss�dant encore.
J'aimais cette position de soumission, sa transpiration se m�lait � la mienne, ses poils drus me grattaient le dos.

Il ne d�bandait pas, alors que la mienne toute molle pendait lamentablement;
il me dit t'as une bonne chatte, ma salope, t'es une vraie chienne !
(Je me dis chatte et chienne � la fois, quel bonheur)
puis il d�cula toujours band� � mort, il me retourna et me dis, je retire la capote et tu me nettoies.
Ce que je fis, son sperme avait un go�t sucr�, les veines de sa queue me d�liraient, ses couilles pendaient maintenant, il avait un bas de corps tr�s poilu et �a m'�lectrisait.
Quand j'eus fini, il me dit putain 15 jours de sperme dans la capote tu vois �a en fait quand m�me !
Il fit un noud � la capote et me la donna en disant je te fais un don de sperme, �a vaut cher garde le.

J'�tais l� assis contre le pieds de la table, le cul sur le carrelage froid, avec l'impression qu'il �tait encore en moi, je me d�lectais de son rhabillage, virilement, avec m�thode... il eut du mal � fermer sa braguette, il me sourit, me tapa sur la t�te et me dit � dans 15 jours, mon b�b� et s'�clipsa.
Le cul sale de mayo et d'huile, sa capote dans la main, je pris une douche tr�s chaude.
Quand je le croisait dans la rue, il tournait la t�te, mais 15 jours apr�s il fut exact au rendez vous, en short satin rouge, avec son maillot de l'OM, et ses baskets.
Ce fut pire que la fois suivante j'avais l'impression que sa bite avait encore grandie, mais c'�taient les traces de la 1ere fois.
Je ne l'ai plus revu, depuis je me branle souvent le soir en pensant � lui.
Il m'a ouvert le cul depuis il ne me faut que des gros calibre ! Il m'a d�pucel� et f�cond�, le salop !

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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