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�pisode 1 ici

Le beau P�re - Suite

J ai �t� stresse toute la journ�e. Combien de temps, Monsieur allait il s'amuser ?
Qu �prouvait-il exactement pour moi ?
Cherchait-il � se moquer de moi ? A se venger de son fils ?

Il n'avait jamais eu de regard pour moi. Quoique je me rappelais soudainement qu un jour d'�t�, l'ann�e pass�e, je l'avais surpris � me mater alors que je nageais nu dans la piscine. Mais bon, il �tait chez lui, nos regards s'�taient peut �tre croise par hasard. Et puis, il y avait cette diff�rence d'age ! Moi � peine 19 ans et lui d�j� plus de 55 ! Bon c'est vrai qu'il avait pour son �ge, un corps tr�s sexy en tous les cas pour moi. Pour rappel, Monsieur mesure un m�tre 90 et p�se 90 kg. Son corps est recouvert d'une pilosit� soyeuse. Cette m�me pilosit� qui m'avait tellement attir� chez son fils. Bien que moins abondante. En effet Pierre Emmanuel, le fils et mon ex, n'avait pas de poils sur les fesses. Son p�re, �tait poilu de partout sauf dans son dos large et dessinant des �paules d'athl�te.

N'avait-il pas �t� champion de natation dans sa jeunesse. Moi de mon c�t�, blond, j'�tais totalement imberbe, m�me sur les jambes. Cela me donnait un petit air androgyne que mes 19 ans aidaient encore plus.

19H30 sonnait la pendule, Monsieur, n'allait pas tarder. Je m'activai encore pour que tout soit parfait. Je me sentais en p�riode de test .Moi qui n'avait ni de dipl�me ni de job, je prestais une p�riode d'essai aupr�s de Monsieur. Monsieur entra enfin de fort m�chante humeur.

Il m'ignora. Je le servi comme un domestique. Pour lui faire plaisir, j'�tais nu avec ;comme seul v�tement le tablier qu'il m'avait oblig� de porter le matin. Etrangement, cet air dure, pr�occup�, sombre, m'excitait, ;et j'avais envie que Monsieur me prenne. Il n'en fit rien et alla dormir de bonne heure apr�s s'�tre enferm� dans son bureau quelques heures. Je me sentais perdu. Il avait jou� avec mon corps une seule fois, juste le temps pour moi de le d�couvrir et d�j� de l'aimer.

Le lendemain, je me levai rapidement afin de lui pr�parer son caf�. J'avais remis les bas et le porte jarretelle de la veille, ainsi que la paire de haut talon. D�s son lev� je lui servi � son habitude son caf� dans la salle � manger, ;doucement je d�gageai les pans de son lourd peignoir et d�couvrit l'objet de tous mes d�sirs.

Sans pr�liminaire, comme la veille, je me mis � genoux et pris ce sexe imm�diatement en bouche et le su�ai jusqu'� obtenir ce nectar doux et aigre � la fois. Il g�missait et me caressais les cheveux. Je me relevai toujours sans mot dire et retournai � la cuisine. Avant de partir a l'usine, Monsieur me pr�vint qu'il prendrait cong� cet apr�s midi et que je devais me tenir pr�t � le servir. Qu'est-ce que cela voulait dire ? ;Sans trop le savoir, je pris les pr�cautions d'un lavement complet...

Lorsque Monsieur revint de l'usine, il �tait souriant et portait de nombreux paquets encombrants. Je n'osais le questionner. Il d�posa tous les paquet sur une table et m'ordonna de m'habiller avec le contenu de toutes ces boites, apr�s m'�tre ras� le pubis. Je m'ex�cut� du mieux que je pu. Il y avait dans les boites, une perruque blonde, des bas r�silles rouge, des jartelles assorties, une petite combinaison en soie rouge satin�e un peu trop petite et qui ne recouvrait que le haut de mes fesses, des chaussures vernies rouge aux talons de plus 10 cm ! Un coffret refermait une trousse de maquillage et last but not least, une superbe parure en brillant ras du cou, d'une hauteur de quelque 5 cm.

Une fois habill�, je le rejoignis dans son bureau. Il m'observa avec grande envie, son sexe gonflait � vue d'oeil dans son pantalon. J'�tais heureux. Il me demanda alors de fermer les yeux et me recouvrit d'une fourrure assez courte, descendant � mi-cuisse de sorte que je ne devais pas me baisser ;sans que ;l'on ne d�couvre, mes jarretelles et le d�but de la fente de mon cul. Je lui souris � mon tour et lui demandai en baissant les yeux en quel honneur il me couvrait de cadeaux ? Il me dit avec un petit sourire pervers qu'il voulait jouer.

Nous sortions en voiture pour une promenade. Tr�s rapidement dans la voiture, il me demanda d'ouvrir mon manteau alors que nous �tions a un paillage. J'�tais g�n�, les v�hicules sur notre droite �taient des camions et les camionneurs auraient vite fait de me voir en petite tenue affriolante ! Je refusai mais Monsieur devint s�v�re. Il me mena�a de me faire descendre de la voiture si je n'ob�issais pas. J'ouvris donc mon manteau et laissai apercevoir mon corps que l�g�rement recouvert par la combinaison. Monsieur souriait � nouveau, il glissa sa main entre mes cuisses. In�vitablement je me mis ;bander et mon sexe se lib�ra de la combinaison trop l�g�re. Monsieur m'ordonna de me caresser, il voulait m'entendre g�mir ! Ce ne fut pas tr�s long avant d'entendre un premier klaxonement. Un camionneur hilare me matait et levait le pouce pour m'encourager ! Les voitures avan�ant plus rapidement que les camions, un second camionneur profita du spectacle.

Bizarrement, je prenais go�t cet exhibition. Une fois la station de payage pass�e, Monsieur me f�licita et me dit qu'il appr�ciait que l'on m'appr�ci�t tant ! Il s'arr�ta sur l'aire de parking suivante et me demanda de me mettre � 4 pattes cul contre la fen�tre pour le sucer. L'excitation m'avait gagn�e, je ne me contr�lais plus. Mon r�le de pute me convenait parfaitement. Et puis j'avais une envie folle de sucer Monsieur.

Je m'ex�cutai aussit�t et pris par d'une folie fr�n�tique, je ne r�alisai pas que l'un des camionneurs s'�tait arr�t� derri�re nous, qu'il �tait descendu de son camion et matait mon cul offert devant la vitre de la voiture c�t� passager ! Monsieur me traitais de pute, de salope, m'encourageant a me dandiner. Puis il me dit : "tu dois avoir terriblement chaud au cul. Je vais ouvrir la fen�tre". C'est alors que je sentis la main d'un inconnu �cartant mes fesses. Je voulus me relever surpris, mais Monsieur avait pr�vu le coup et me maintenait la t�te sur sa queue gonfl�e au maximum. Il m'expliqua qu'il s'agissait du camionneur. Je ne pouvais refuser de lui offrir mon cul apr�s l'avoir excit� !

Tr�s vite apr�s bien avoir l�cher mon cul, le camionneur me pr�senta sa bite et l'enfon�a dans mon petit trou sans m�nagement. En moins de 4 allers-retours, je sentis dans les entrailles des jets de spermes me remplir le cul pendant que Monsieur jouissait pour la seconde fois de la journ�e dans ma bouche. La journ�e n'�tait pas termin�e. Monsieur s'arr�ta dans un car Wash. Le responsable du car Wash �tait un pakistanais de fort belle allure. Il devait avoir 25 ou 28 ans, grand, une peau mate et des cheveux noirs !

Monsieur m'ordonna � nouveau de me foutre � poils et de me caresser pendant qu'il baissait sa vitre pour demander un service complet avec un sourire. L'autre ne se le fit pas dire deux fois, nous �tions la derni�re voiture de la journ�e. Il nous demanda de sortir de la voiture afin d'attendre dans son petit cagibi pendant que son fr�re allait aspirer la voiture � l'int�rieur. Il appela son fr�re dans sa langue, l'autre paru, il �tait un peu plus petit, barbu et avec une balafre sur le c�t� de l'oeil droit et sans doute plus vieux de quelques ann�es. Il �tait un peu effrayant. Monsieur ne paraissait pas avoir peur. Il me dit de remettre mon manteau pour sortir de la voiture afin de ne pas prendre froid inutilement.

Les deux fr�res se marraient quand ils me virent sortir perch� sur mes tallons aiguilles. De mani�re autoritaire, comme s'il �tait mon mac, Monsieur me poussa � l'int�rieur du local attenant au car wash. Le fr�re a�n� commen�ait � aspirer l'int�rieur de la voiture quand l'autre nous rejoignit se palpant sans discr�tion son paquet d�j� bien gonfl�. Monsieur lui fit signe avec un clin d'oeil que j'�tais � sa disposition s'il le souhaitait et d�j� les mains rugueuses de ce jeune type m'�taient mon manteau. Un peu timide tout de m�me, il sortit sa queue et Monsieur me poussa la t�te vers cette queue brune circoncise au gland rose �norme. Je me mis � le sucer avec un plaisir de salope. D'abord du bout de la langue ensuite � pleine bouche. Cette queue sentait pourtant la pisse mais le plaisir de me faire baiser la bouche par ce jeune type m'excitait.

Monsieur me demanda de rester avec les fesses relev�es. Je compris rapidement pourquoi, le fr�re �tait rentr� et faisait d�j� ;battre sa queue sur mes fesses. Monsieur s'�carta de nous pour mieux profiter du spectacle. Les deux fr�res se d�cha�naient, l'un dans ma bouche, l'autre dans mon cul. Il poussaient des r�les de b�tes f�roces et moi je g�missais comme une femelle en chaleur. L'a�n� jouit dans mon cul 5 ou 6 gicles puis ce fut au tour du cadet de vouloir me prendre afin de jouir �galement dans mon cul de putain. Une fois l'affaire faite, Monsieur reposa mon ma fourrure sur mes �paules et nous quitt�mes ;nos deux pakistanais qui n'en revenaient ;toujours pas. Ils nous offrir de revenir quand on voulait. Le paiement se ferai ;toujours en liquide ... Je sentais le sperme couler le long de mes jambes. Tout ces gicl�es et le trou ouvert pour la troisi�me fois par des bites de machos ...

Monsieur ne dit rien sur le chemin du retour. Une fois a la maison, il me fit l amour et s'endormit la queue en moi en me serrant tout contre lui ... Il avait appr�ci� sa journ�e tout comme moi. Une longue histoire commen�ait entre nous. Pour mon plus grand plaisir, j'allais �tre � son service.

Louis

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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