Le beau-p�rePierre-Emmanuel m'aimait moins. Je le sentais. Il passait sa crise des 30 ans ! Il lui fallait du nouveau. Cette situation �tait dure pour moi. Cela faisait 3 ans que nous vivions ensemble chez son p�re toujours tr�s absorb� par ses affaires. La m�re de mon compagnon �tait d�c�d�e peu de temps apr�s sa naissance. Le p�re, sans accepter l'homosexualit� de son fils, s'�tait consacr� encore davantage � l'extension de son usine. De mon c�t�, j'avais �t� mis � la porte de la maison. Un " p�d� " dans le milieu ouvrier �a la foutait mal ! Pierre-Emmanuel m'avait conquis par son charisme. Il avait alors 27 ans, ind�pendant, il travaillait dans l'usine de son p�re. Il devait reprendre un jour les affaires. Il m'avait impos� � son p�re. La situation n'�tait pas facile pour moi. Autoritaire, je n'avais os� refuser la proposition de mon ami. Pierre-Emmanuel �tait mon premier amour et je le pensais �ternel. Mais voila, apr�s trois ann�es, ou j'�tais devenu la v�ritable petite soubrette de la famille, mon compagnon �tait lass�. Las de moi, las de l'usine. Il voulait partir aux Etats-Unis faire un Master ! Qu'allais-je devenir ? Je n'avais o� aller. Je n'avais pas d'argent. J'avais servi mon compagnon et indirectement son p�re pendant trois ans. En �change, j'�tais aim� par Pierre-Emmanuel. Que demander de plus ? Mais tout a une fin et un soir, mon futur-ex annon�a son d�part a table, comme si je n'�tais pas l�. Je n'existais soudain plus. Depuis peu portant, j'avais mis tout en ouvre pour retrouver l'amour de mon homme. La maison �tait fleurie. Je faisais d'�normes efforts pour varier les plats ... D'allure plut�t classique, je tentais de mettre en avant mes atouts, la jeunesse de mon corps (19 ans), mon m�tre 81 pour 70 kg, muscl� juste ce qu'il faut, blond comme les bl�s et totalement imberbe. Je choisissais des pantalons plus moulant, des T-shirt mettant en �vidence mes pectoraux. Sans effet. La d�cision de Pierre-Emmaneul tomba comme un couperet. Elle �tait accueillie dans le plus grand des silences. Mon ex quitta la table sans un regard pour moi. Nous l'entend�mes redescendre de notre chambre avec ses bagages. La porte claqua ! Il �tait parti. Je ne savais plus quoi dire ni quoi faire. J'�tais face � ce p�re que j'appelais toujours Monsieur et que je vouvoyais. Cet homme de plus ou moins 55 ans b�ti comme un ch�ne avec son m�tre 90 et ses 90 kg m'avait toujours impressionn�. Il m'avait le plus souvent totalement ignor�. En tous les cas c'est ce que je pensais... Que ferait-il de moi ? Quand me jetterait il � la porte ? Mon coeur battait la chamade .Quelques minutes plus tard. Une �ternit� pour moi, Monsieur coupa le silence de sa voix puissante et d�clara : " Qu'il en soit ainsi. Je n'ai plus de fils. Mais j'accepte de garder � mon service ma bru ! " Je d�glutis. Il avait parl� de moi au f�minin ! Sa bru ??? Ou alors y avait-il quelqu'un d'autre dans la maison ? Il pointa son regard noir dans mes yeux bleus perdus. et ajouta " Louise (je m'appelle Louis), vous pouvez d�barrasser, et aller vous coucher . Demain debout � 6 heures, comme d'habitude, pour pr�parer le d�jeuner,. Je vous indiquerai les nouvelles r�gles de la maison. Ce sera � prendre ou � laisser". C'est bizarre. Mais � cet instant, je bandais. Un homme bien plus �g� que moi, me traitait de bru, de servante, de Louise ! . Et moi comme un con je bandais. Je n'osais contrarier Monsieur, j'ai donc d�barrass� la table et me suis retir� dans ma chambre. Sans le savoir, je commen�ais une aventure qui allait me mener de surprise en surprise. Le lendemain matin, je me suis lev� de bonne heure, et suis descendu � la cuisine vers 5H30 afin de pr�parer le d�jeuner de Monsieur. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je d�couvris sur la table de la cuisine une culotte en dentelle et un tablier de soubrette avec un petit mot �pingl� sur lequel je pouvais lire " � mettre sans autre accessoire pour servir le caf� et le d�jeuner du matin ! " Il est dingue ce type pensais-je imm�diatement. Pourtant, je bandais � nouveau. J'avais envie d'aller plus loin. Je me d�v�tis prestement, enfilais la petite culotte en dentelle et mis le tablier. En me regardant dans le miroir du hall, je souris � moi-m�me, car j'avais un sacr� beau petit cul. Monsieur voulait jouer ? Il allait �tre servi ! C'est donc en soubrette tr�s sexy que je pr�sentai � Monsieur, son petit d�jeuner. Contrairement � son habitude, il �tait en peignoir lourd et sombre. Je sentais son regard sur moi. J'�tais au comble de l'excitation. Je tremblais .Je manquai de faire tomber du caf� sur la table. Lorsque j'eu termin� de servir, j'allais rejoindre la cuisine quand la voix de Monsieur m'interrompit dans mon �lan : " restez. ". Sa main gauche fermement pos�e sur mes fesses m'avait attir�e vers son si�ge. " Mon fils ne vous a jamais trait� comme vous le m�ritez et je compte bien faire votre �ducation ". De sa main gauche il continuait � me p�trir le cul et de sa main droite, il avait ouvert son peignoir. Je d�couvrais un corps �tonnement muscl� et une pilosit� abondante. Ce n'�tait pas fait pour calmer mon �rection qui me faisait mal maintenant. Lui ne bandait qu'� moiti�, son sexe �tait d'une taille impressionnante. Tout a fait calme et d�tendu, il m'ordonna de le sucer. A genoux, devant celui qui aurait pu �tre mon beau-p�re, je commen�ai � le sucer de mon mieux. J'y trouvais un plaisir grandissant. L'odeur de son corps me plaisait, la lente �rection de ce sexe lourd provoquait en moi une sensation buccale extraordinaire. Ma bouche se remplissait de cette majestueuse tige. Il ne devait plus avoir bais� depuis un certain temps et je re�u rapidement 7 longs jets puissants dans le fond de ma gorge. Je me relevai ne sachant pas quoi faire. Il me sourit et me dit " avale. ce sera ton d�jeuner chaque matin . Tu suces divinement bien ! " Je me r�jouis � l'id�e de recevoir cette potion magique tous les matins .J'allais quitter la pi�ce quand il me retint encore ... Pour me demander de me coucher sur la table les jambes bien �cart�es. J'obtemp�rai et ma rosette imberbe se trouva ainsi offerte au regard de Monsieur. Il souleva l�g�rement me couilles retomb�es, humidifia deux de ses doigts et entreprit de caresser ma rondelle. " C'est donc par ce petit orifice que mon fils te p�n�trait. " " oui Monsieur " Rentrant un de ces doigts dans mon cul " ta chatte est encore bien �troite ! Soit mon fils ne te baisait pas assez soit sa queue est ridiculement petite ! " " Il ne me baisait plus beaucoup vers la fin ! - La majest� de votre sexe est bien plus impressionnante ! " LouisLa suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |